Les roux
J’aimes les mecs roux ; j’aime la peau des roux : quelques fois d’une douceur incroyable, plus souvent rugueuse, qui accroche sous la main. Blanche, laiteuse, leur peau, leur corps peut mettre mal à l’aise : on croirait voir les organes tellement c’est blanc, translucide. Et puis et surtout, l’odeur, le corps entier sent ; je reconnaîtrais un roux, même les yeux bandés même après la douche.
Les poils pubiens, ont un charme unique, rarement très fournis, en tous cas ceux que j’ai pu rencontrer et approcher de près.
En fait, mis à part l’odeur, et dieu sait que les odeurs corporelles m’attirent et me touchent, je me demande toujours si mon attirance pour les roux ne vient pas de ma première vraie expérience hétérosexuelle, la fille, était une explosive et grande rousse à la crinière splendide et bouclée, à la toison musquée.
J’aimes les mecs roux ; j’aime la peau des roux : quelques fois d’une douceur incroyable, plus souvent rugueuse, qui accroche sous la main. Blanche, laiteuse, leur peau, leur corps peut mettre mal à l’aise : on croirait voir les organes tellement c’est blanc, translucide. Et puis et surtout, l’odeur, le corps entier sent ; je reconnaîtrais un roux, même les yeux bandés même après la douche.
Les poils pubiens, ont un charme unique, rarement très fournis, en tous cas ceux que j’ai pu rencontrer et approcher de près.
En fait, mis à part l’odeur, et dieu sait que les odeurs corporelles m’attirent et me touchent, je me demande toujours si mon attirance pour les roux ne vient pas de ma première vraie expérience hétérosexuelle, la fille, était une explosive et grande rousse à la crinière splendide et bouclée, à la toison musquée.