28 novembre 2010

sunday's movie




Allez, c'est la mode du disco! vive les années 70. Voici un petit coup d'oeil dans le rétroviseur. Ce que vous ne verez jamais dans les douches de votre club de gym préféré....

09 novembre 2010

At home




Je t’aime, cela ne fait plus aucun doute que je t’aime ; depuis le temps !
Je t’aime sous toutes tes formes, sous toutes les coutures.
Je t’aime de partout, partout, tout entier.
Je t’aime aussi quand tu te balades en slip minable toute la journée dans l’appartement. Quand tu n’as pas pris la peine de te raser ni même de te raser.. – tu comprends, c’est dimanche ! C’est le jour du seigneur, repos, niente, farniente. Grosse flemme ! –
Tu traînes du canapé du salon à ton gros bon vieux fauteuil bien défoncé. Nouvel obs et tasse de café à la main, en te grattant les couilles si élégamment que c’en est émouvant. Ah ! Et ces vieux CK que tu exhibes
! grisâtres à force d’êtres lavés, la ceinture un peu lâche et l’entrejambe qui bée, laissant apparaître quelques fois un de tes délicieux petits abricots. Le pire –pour moi- c’est quand tu t’affales sur le canapé sur le ventre, à moitié endormi, passant ainsi au cran supérieur du « veux rien faire », pas très loin du coma profond. Là tu offres à ma concupiscence ta cambrure accentuée, tes formes callipyges tendant le coton léger et fatigué de ton CK. Ton cul ! Ton cul aux fesses fermes, rebondies, tes fesses si naturellement écartées qu’elles laissent entrevoir les contreforts de ton délicieux troufignon.



Que faire d’autre que s’approcher ! Que faire d’autre que de passer la main sur ce tissu tendu , caresser cette chair qui se contracte à mon contact. Que faire d’autre enfin que d’enlever ce qui me sépare de toi !
Voilà enfin ma main qui de la tranche écarte ton derche. D’un doigt, je caresse ce lieu sacré que j’aime tant ces formes si sensuelles, cette discrète ligne de peau incroyablement douce qui mène des testicules à la porte sacrée de tes entrailles.



Bien sûr tu te redresses, tu me tends, tu m’offres ton cul et ton oignon maintenant en pleine lumière.
Un baiser, un souffle et tandis que mes mains fermement écartent tes deux lunes, la chair si délicate ici frémit et déjà tu t’entrouvres. Ma langue se glisse dans la brèche et se fraie un chemin, millimètre par millimètre tandis que je flatte de la main ta queue et tes couilles.
Qui se donne et qui donne ? Qu’importe, je suis en adoration devant cette tendre rosace qui m’appelle, qui va lentement céder à mes assauts amoureux.


Bientôt ma langue doit céder la place. Je masse énergiquement tes fesses. Ton trou du cul réagit et s'entrouvre en rythme. Bon Dieu, je suis au bord du collapse, je me glisserai tout entier par ce délicieux interstice. Vite, vite je me desappe. Jette mes fringues par dessus bord, libère mon viet qui se dresse turgescent en un instant.
Une petite goutte de salive et déjà un doigt se glisse sans encombre et te masse fermement tout en te caressant le périnée. Tu gémis, te cambre


encore plus et te livres tout entier concentré là à mes doigts qui, vaillants hérauts de mon immense désir, un par un vont ouvrir le passage. Je vais et je viens, je creuse doucement et sûrement mon sillon au dedans de toi. C'est si simple, si doux, si bon. Bientôt ma queue gonflée de désir remplacera ma main. Dressé sur toi je t'empalerai lentement, profondément, je collerai mon pubis contre ton cul, ma queue tout entière en toi, jusqu'à. E faire qu'un.

Qui se donne et qui donne ? Qu’importe.





06 novembre 2010

Personal fascination

drasko bogdanovic

Photographe d'origine serbe, aime les mecs, nos corps. Il les capte et nous les livre, bruts, brutalement, un appel à nos sens

Depuis maintenant trois ans, Drasko Bogdanovic se spécialise dans le nu. «J’ai été photographe dans divers domaines, mais l’humain m’obsède. Je veux le capturer dans son état naturel, refléter sa réalité à l’aide de mon objectif», confie l’artiste de 33 ans. L’idée d’un livre est venue naturellement après avoir exposé quelques clichés dans le cadre d’un festival de la photo à Toronto. «Il y avait plusieurs clichés que je n’avais pas eu l’occasion de montrer. J’ai décidé de les regrouper dans Persuasion Of Men», explique-t-il.
Le livre expose l’homme certes dans son plus simple appareil, mais avant tout dans sa diversité. Au fil des pages, on passe d’élancé à baraqué, de velu à tondu, de foncé à délavé, d’heureux à malheureux, etc. Oust! les modèles professionnels et les studios sans âme! Avec Persuasion Of Men, on pénètre dans l’intimité de ces hommes naturels qui ont bien voulu ouvrir la porte de leur intimité. «Ils sont rois de leur environne-ment. Leur appartement, leur stationnement, leur cour arrière font office d’habitat naturel. Ils vous y invitent et tentent chacun à leur manière de vous persuader de vous joindre à leurs plaisirs sexuels», élabore Drasko sur le titre de son livre.
Love yourself














04 novembre 2010

illustration


Il fallut qu'il élevât son destin comme on élève une tour, qu'il donnât à ce destin une importance de tour et que de toutes ses minutes il le construisit. Construire sa vie, minute par minute, en assistant à construction qui est aussi destruction à mesure.... J. Genet

01 novembre 2010

Carnage dans une église a Bagdad




Aimez vos ennemis, bénissez ceux qui vous maudissent, faites du bien à ceux qui vous haïssent, et priez pour ceux qui vous maltraitent et qui vous persécutent: afin que vous soyez les enfants de votre Père qui est dans les cieux; car il fait lever son soleil sur les méchants et sur les bons, et descendre la pluie sur les justes et sur les injustes. Si vous aimez ceux qui vous aiment, quelle récompense méritez- vous? (Luc 6 : 27-36)



Carnage dans d'une église à Bagdad
envoyé par BFMTV. - Regardez les dernières vidéos d'actu.

Petites Morts ,Art ou poRno....


exposition "la petite mort"
Plus de 120 orgasmes captés sur polaroid....

About this project

"The Fearless Project is an art and cultural initiative bringing together artists, outsiders, thinkers, musicians, designers, writers, creatives: anyone who has ever had the urge to do something outside of their comfort zone."
www.fear-less.com

INSTANT is presented by The Fearless Project as primarily a Polaroid exhibition of the male face during the point of orgasm. Additionally artists are curated and sought out around the world to depict in their own style and form their own depictions. The goal is to break people out from the social stigmas of sexuality by presenting to gallery goers one of their most intimate moments that for many are seen by only a handful of people throughout their whole life.

This "One Night Stand" will take place in Ottawa at Le Petite Mort Gallery on December 4th...play stay tuned to www.fear-less.com for additional details and information regarding the night of the event and also a few things in store to make it a unique and special event tailored specifically for the gallery.
The video attached is from the June exhibition at Robert Goff Gallery.

The money raised here will help cover costs to cover film, press/media & installation materials.

www.fear-less.com/blog


Bouquins


L'écrivain aborde la Seconde Guerre mondiale et une mystérieuse maison de convalescence.

Il y a assurément chez le capitaine Louyre, protagoniste essentiel du nouveau roman de Marc Dugain, L'insomnie des étoiles, un petit quelque chose du commissaire Adamsberg, le héros récurrent des polars de Fred Vargas : même nonchalance apparente, même désabusement, même singularité de comportement, même mélange d'intuition et de raisonnement, de sensibilité et de lucidité... Rien de très étonnant à cela quand on sait que les deux auteurs se connaissent depuis l'enfance et qu'ils se conseillent mutuellement au sujet de leurs écrits. C'est d'ailleurs sur le terrain policier de sa grande amie, qu'il considère comme sa soeur, que Marc Dugain s'aventure cette fois, tout en restant dans les travées de l'histoire contemporaine, son thème de prédilection - la Première Guerre mondiale dans La chambre des officiers, son premier roman paru en 1999, le FBI pour La malédiction d'Edgar en 2005, ou encore la Russie de Staline avec Une exécution ordinaire, en 2007.
L'écrivain s'intéresse aujourd'hui à la Seconde Guerre mondiale et charge son capitaine, haut gradé français dépourvu de tout esprit belliqueux, d'enquêter sur le passé de Maria Richter, 15 ans. Louyre et ses hommes l'ont découverte, décharnée, affamée, à l'automne 1945, dans une ferme abandonnée, au sud de l'Allemagne. Ils y ont également trouvé un corps calciné. Et Louyre apprendra dans la foulée qu'une maison de convalescence des environs a été vidée de ses occupants pendant la guerre... Voilà autant de "secrets palpitants pour un homme menacé d'ennui", confiera-t-il au maire de la ville où il a installé ses quartiers, comme convenu entre les Alliés. Aux petits soins pour l'adolescente, qui lui oppose d'abord un certain mutisme, le militaire veut en savoir plus sur cette étrange maison de convalescence et soumet son ancien directeur, le docteur Halfinger, à un interrogatoire serré. Ce face-à-face sans concession est d'ailleurs la partie la plus intéressante du roman, dont le reste pèche parfois par son côté décousu, qui aborde ainsi de front l'eugénisme et l'euthanasie pratiqués par les nazis pour se débarrasser des malades, des handicapés, et bien sûr des "fous". Et Louyre de commenter sobrement : "Il ne me reste qu'à me persuader de la réalité de ce que je découvre." Seule Maria pourra peut-être lui faire oublier pareille abomination...
Marc Fugain, le cavaleur: article du nouvel obs