26 mars 2011

working out


Allez mec, allez! speede un peu; il est déjà 11:39! décolle! et file à la gym, t'entrainer un peu! l'été arrive.... et tu as intérêt à te débarrasser de cette bouée hivernale! allez, un petit fil d'animation pour se motiver....


23 mars 2011

Le matin




Le matin, pas tous les matins, non. Plutôt ceux du week end, quand on paresse un peu au lit, quand on se sent particulièrement bien, lovés l'un contre l'autre presque l'un dans l'autre. Ces matins là donc, j'aime à te tenir enlacé par la queue. Voilà on reste là enlacés moi ton sexe dans la main tenu fermement, juste pour être ensemble, comme qua d on se tient la main, mais là, simplement c'est ton sexe. Rien de plus, rien de moins que de la tendresse.
Et puis des fois tu gardes, Dieu sait pourquoi, des fois tu gardes ton slip et là, là c'est encore différent. Là mon grand plaisir. C'est de caresser le coton de ton CK, de deviner dessous la forme de ton gland. Parcourir ses contours sous le tissu, le sentir, sensible à mes caresses, se durcir, se marquer encore davantage. Parcourir ce sillon que j'aime tant lécher d'une langue gourmande.
Après, après c'est une autre histoire.

22 mars 2011

rien de special



non rien de spécial, juste une image trouvée au hasard du web. juste une image qui m'a rappelé de très bon souvenirs dans un sauna parisien, proche de la gare du nord et qui dispose de douches collectives équipées de ce même tronc... très pratique pour se tenir droit quand on vous empale publiquement. oui décidément c'est de très bons souvenirs. j'en bande de nouveau!

20 mars 2011

Niente


Et puis finalement, soleil ou pas soleil, printemps ou pas. Suis resté presque toute la matinée au lit. Bordel que c'est bon!
Un bon café, Bouquiner, faire mon courrier, consulter mes mails, envoyer des nouvelles. Rien de mieux que de rester à l'aise, à poil et laisser le temps filer. Ces précieuses minutes du week end. Minutes que l'on voudrait si longues si éternelles. Parce que demain, demain, ben oui, on bosse.

C'est le printemps


C'est le printemps et cela se voit dehors. Cela se voit mais on s'en fout. On est au lit et on veut pas en sortir. On est au lit,
l'un contre l'autre et on veut pas se réveiller, émerger, revenir dans le monde. En tous cas pas tout de suite. Enlacés on est bien. Même si le chat gueule parce qu'il a faim, même si le soleil, le premier soleil éclatant de printemps est déjà un peu haut dans le ciel, on est bien, on s'en fout. Restons encore. Toi et moi.
Et puis tout à l'heure, peut être auras-tu, aurais-je, aurons-nous envie de nous faire du bien, de nous cajoler. De fêter comme il se doit cette arrivée en fanfare du printemps.


Oui, peut être nos bouches se croiseront, nos corps se mêleront. Mais là, maintenant, l'un contre l'autre, encore un peu dans nos rêves de la nuit, on est bien et cela nous suffit... Ah, oui! Le chat, j'allais oublier le chat.
Miaou..

19 mars 2011

Le viet dressé






Te voilà dressé en toute majesté
Te voilà dressé en toute fierté
Fierté, grandeur du désir magnifié


Arme de chair et de sang





De plaisirs donnant
A nos corps déchainés
Pique cruelle pourtant désirée
Par nos culs transpercés

Tu te tiens là par moi flattée,
Tu te tiens là par moi attirée









Pour toi mon cul, ma bouche s'ouvrira
A moi, en moi longtemps tu seras
Bientôt, d'un coup de rein, ta semence jaillira
Bientôt d'un cri d'un seul
La jouissance sur nous jettera son linceul

16 mars 2011

Métro, boulot




Un matin comme les autres. Gens pressés qui se croisent sans se voir. Surtout pas se voir. Des couloirs, de longs couloirs. Chaleur oppressante d'un quai surpeuplé. Et enfin une rame qui s'approche, des portes qui s'ouvrent et le chassé-croisé de ceux qui sortent et de ceux qui veulent rentrer. Bousculade, irritation. Un matin comme les autres. Et puis cet hurluberlu, cet escogriffe à lunettes qui arrive dans mon champs de vision. Un petit chapeau vissé sur le crâne, des lunettes comme on en faisant avant et que l'on remet maintenant.
Des lunettes qui couvrent la moitié du visage; visage forcement émacié. Et puis une improbable veste en grosse laine sur un vague t-shirt col en V "genre zara-h&m" porté à même la peau sur une poitrine velue. Pour couronner le tout un tout aussi vague et informe pantalon de jogging tenant en ne sait comment mais qui l'espace d'un instant a accroché mon regard libidineux et matutinal. Ce zigue ne porte visiblement pas de slip sous cet infâme falsard " qui tient on ne sait comment" et qui au moindre geste ne cache rien de son pileux bas-ventre... Un instant, mais juste un instant, je défaille à la cette vertigineuse vision plongeante et surtout sur cette forme mouvante qui pointe sous le tissu.. Bien sûr, je suis repéré, bien sûr il n'a rien perdu de mon trouble, de mon regard qui s'est si vite voilé rivé sur ce gland se dessinant sur le coton.


Foule, cohue, ces cons qui restent assis sur les strapontins et ces non moi,s cons qui restent ainsi sans rien dire, comprimés, les uns contre les autres a milieu. A peine accrochés à la barre centrale. Mais le voilà si près de moi. J'ai le nez presque contre sa poitrine, je pourrais presque en compter chaque poil! Et... Le tissu épais de son jogg contre ma main,... A chaque cahot du train, sa queue vient cogner contre la paume de ma main. Je frémis, je craque, je tâte, et je le sens, les rebords bien marqués, je sens contre ma main, les fermes rebords de son gland. Je bande sous mon costume de ville. Je reste coi, le regard rivé sur sa poitrine, évitant à tout prix son regard, bien qu'il se prenne au jeu, bien que je sente sa queue durcir et pointer encore plus. Bon Dieu, elle est bonne! Je la caresse à travers le tissu si épais, trop épais! Et puis, je la prend, je presse. Et puis, et puis gare Saint lazare, il descend emporté par le flot. Pas un regard. Rien. Juste une main qui rajuste comme elle peut ce jogg déformé par le désir.
Bonne journée!

15 mars 2011

imagine encore


Imagine, imagine encore. c'est le printemps, les rues de Paris sont ensoleillés, c'est déjà une bonne part de bonheur. tu gambade, insouciant, encore insouciant. Et puis, là au détour d'un trotoir à la sortie d'un café, d'un magasin, qu'importe, vos regards se croisent. Comment, ne pas lire sur ce visage, dans ce regard, le désir; un désir simple. Juste pour te connaître, juste pour ton plaisir, juste pour son plaisir. le fun quoi! comment, comment résister à ce regard; si simple!

imagine


Imagine, imagine, cette queue massive, turgescente qui t'empale régulièrement, qui te pourfend profondément, t'arrachant à chaque coup de butoir, des gémissements du plus profond de tes entrailles.. Imagine, imagine, ce torse, cette machine à jouir puissante, inscrivant à son bassin dans ce rythme effréné qui t'électrise, donnant à tous ses muscles la force nécessaire pour ta jouissance.
imagine, just imagine....

13 mars 2011

juste un peu de bonheur

Just Judy.....

sunday's movies

Et quelques one man's shows......




Bouquin


Après Un garçon parfait (prix Médicis étranger 2008), puis Leçons particulières, Une autre époque clôt la trilogie de l'écrivain suisse germanophone Alain Claude Sulzer sur les thèmes des passions interdites, des secrets et des silences ambigus. Le narrateur, un adolescent, s'attarde un jour sur l'unique photo de son père, Emil, qui se suicida quelques semaines après sa naissance, en 1954. Lui prend soudain l'envie d'en savoir plus sur cet homme, sur la montre qu'il porte au poignet, sur le photographe qui prit le cliché. Une rapide enquête lui révèle que ce dernier vit encore, à Paris. Il décide alors de fuguer, de quitter la Suisse pour partir sur les traces d'un passé dont il ignore presque tout. Dès les premières heures dans la capitale française, ce garçon un peu timide se sent com me libéré, indépendant, pris de vertige. L'écriture élégante d'Alain Claude Sulzer épouse parfaitement le rythme d'une quête elliptique. Refusant le commentaire, l'écrivain s'attarde sur des gestes, des attitudes, des sensations. Il change de point de vue, quittant la voix du fils pour raconter, à la troisième personne, l'existence d'Emil et son trouble récurrent devant les corps des jeunes hommes. Il décrit la rencontre d'Emil et de Veronika, fondée sur un malentendu - elle est amoureuse, il est soulagé de se marier pour entrer dans « une vie normale ». Puis, conservant un ton feutré, l'auteur suggère le désir interdit d'Emil, les amours clandestines, les mensonges. Le roman en devient oppressant, comme sont oppressés les narrateurs, père et fils, dévastés par l'épaisseur des silences autour d'eux. Alain Claude Sulzer parvient, dans chacun de ses livres, à recréer une époque, une histoire sociale derrière la fiction sentimentale. Un garçon parfait se déroulait en 1933 dans un palace suisse dont les clients fuyaient l'Allemagne nazie. Leçons particulières évoquait le temps du rideau de fer. Ce troisième roman brosse un tableau glaçant des années 1950, dans une Europe qui traite les homosexuels comme des malades pervers qu'il faut soigner dans les hôpitaux psychiatriques. Traversé par la mélancolie, ce texte contrôlé et remarquablement déroutant refuse aussi bien le sentimentalisme que le militantisme.

12 mars 2011

opera

"Siegfried" à Bastille, épreuve visuelle, bonheur musical (le monde 2/3/11)

Les programmes de salle, de l'Opéra de Paris, ont gardé, depuis l'arrivée de Nicolas Joël, l'actuel directeur de l'établissement, un excellent contenu, mais diffèrent désormais par leur iconographie. Alors que, du temps de Gerard Mortier, les références à l'art et à l'urbanisme contemporains étaient fréquentes, les clichés d'époque et le patrimoine documentaire de la maison (ou celui de la vaste collection de notre confrère André Tubeuf sont devenus la règle. En l'occurrence, les planches de costumes où l'on voit les Siegfried de "tradition" (peau de bête, casque à cornes et cothurnes) constituent un singulier contraste avec le vêtement que le metteur en scène, Günter Krämer, et son costumier, Falk Bauer, ont imposé à Torsten Kerl, le rôle-titre de cette nouvelle production de Siegfried, de Richard Wagner. Imaginait-on que le jeune héros, chanté par un chanteur rotond, puisse être affublé d'une salopette de pompiste bien serrée et moulante et de dreadlocks blondes qui font irrésistiblement penser à Obélix ? Tous les ténors n'ont pas la chance d'avoir le physique de rêve de Jonas Kaufmann, mais pourquoi souligner des désavantages qui seraient peut-être passés inaperçus avec un costume un peu plus pensé ?Ce n'est pourtant pas le pire de ce qu'on voit dans ce troisième volet de la "Tétralogie" (un prologue et trois "journées"), de Wagner, en cours d'intégrale à l'Opéra Bastille. On avait coulé sec pendant L'Or du Rhin, cru avoir atteint le fond avec La Walkyrie. Mais on patauge dans la vase avec Siegfried. Mime est une folle furieuse habillée façon Deschiens, qui cultive de la marijuana dans sa cuisine ; Fafner un chef de gang narcotrafiquant sud-américain (on a échappé de peu à Brünnhilde en Ingrid Betancourt) ; Siegfried un bonhomme Michelin ; L'Oiseau, une randonneuse en treillis qui s'exprime en langage des signes ; Erda, en robe de grand deuil, un rat de bibliothèque au design façon Jean Nouvel. Etc. Une vraie fatralogie."Les yeux fermés" Comme l'écrivait si justement Romain Rolland en 1908, dans un extrait cité par le programme de salle : "On pourrait dire (...) que la meilleure façon de suivre une représentation de Wagner, c'est de l'écouter, les yeux fermés. Si complète est la musique, si puissante est sa prise sur l'imagination, qu'elle ne laisse rien à désirer ; et ce qu'elle suggère à l'esprit est infiniment plus riche que tout ce que les yeux peuvent voir." Ce soir, l'écrivain avait plus que jamais raison.

On a aimé l'essentiel de la distribution en dépit d'une Brünnhilde (Katarina Dalayman) ordinaire et d'un Mime (Wolfgang Ablinger-Sperrhacke) plus ridicule que grotesque. Il manque au pâle Wotan de Juha Uusitalo le "creux" harmonique (quelles résonances !) de Stephen Milling, fantastique Fafner. Torsten Kerl (Siegfried) tient ce rôle exigeant en dépit d'une voix un peu étroite et fermée dans l'aigu. Mais il est bon musicien et son deuxième acte était exceptionnel.

Les vrais héros de la soirée étaient l'Orchestre de l'Opéra de Paris et son directeur musical, le jeune chef suisse Philippe Jordan. Il dirige, apparemment de mémoire, en contact visuel intense avec ses musiciens dont la tenue, la concentration, exceptionnelles, témoignent du respect et de l'amour qu'ils portent à leur patron. Si, comme le dit Romain Rolland, Siegfried est une "symphonie épique", Jordan la conduit avec une intelligence et une maîtrise extraordinaires, mais qui ne sont pas particulièrement "épiques". Certains dénoncent même une façon un peu sèche et analytique de jouer Wagner. Pour notre part, ce Siegfried aura été, orchestralement, d'un raffinement idéal, d'un équilibre miraculeux. Et, pour tout dire, l'une des plus belles soirées wagnériennes qu'on ait connues.

c'est le printemps (2)




En fait c'est pas vrai; après de nombreuses hésitations (quelle chochotte) j'ai opté pour un jockstrap. quoi de mieux pour filer au club de gym un samedi matin.

c'est le printemps à Paris





Ce matin, c'est le printemps à Paris! Aujourd'hui sera un jour sans!...

11 mars 2011

Au hasard de la toile : petite histoire ,vraie, fausse? N° 2


En tous cas elle est dans son "jus".. je n'ai pas changé un mot et, surtout pas corrigé la moindre faute d'orthographe et plus si affinité....
Quand j'étais adolescent j'ai fais des parties de branles entre amis devant des films de cul. On ce mettais tous à poil et on ce branler. Chacun pour soi, personne ne ce toucher. On ce regarder et on les comparer. J'avais la plus grosse mais j'étais aussi le plus âgé à l'époque. On le faisais presque tous les jours dans ma chambre et nous étions au minimum 4 à le faire. On comparer aussi celui qui éjaculer le plus vite et celui qui avais le plus de sperme. Beaucoup plus tard, à l'armée, j'ai eu une autre expérience de ce genre (la première d'une longue série) avec un ami et collègue de boulo. Nous étions à l'arrière d'un camion dans un camp d'entrainement. Pour situé le contexte il faut dire qu'il y avait une personne qui dormait à l'avant dans la cabine et pas mal de monde autour du camion. Nous étions dans le noir et nous avons commencer à nous branler discrètement (enfin juste ce qu'il faut) au départ. Puis viens le "tu fais quoi ?" je me branle "moi aussi". J'étais plus à l'aise et pouvais faire un chouilla plus de bruit mais pas trop non plus car il y avait du monde autour je le rappel. Il m'a demander si je m'étais déjà fais branler par un mec et m'a avouer que lui c'étais déjà fais branler par son cousin quand il était adolescent. Moi, avec le sourire jusqu' aux oreille j'ai dis non mais je n'en penser pas moins. Il m'a ensuite demander si sa me tenter d'essayer et j'ai fais le mec rétissant (je connaissais déjà mon orientation sexuel mais je ne voulais pas qu'il le sache). Au final nous avons commencer à nous branler mutuellement et l'enfoiré en avait une comme j'en ai pas vu beaucoup dans ma vie. Ensuite il m'a demander s'il voulais que je le suce et j'ai répondu (toujours en étant rétissant) euh okay mais seulement si tu me le fais aussi. J'ai réussis à me maitriser et à lui faire une pipe potable pour ne pas tout dévoiler puis nous nous sommes fais jouir en même temps. La seconde fois avec lui fus différente. Nous étions bourrer et sa copine c'était absenter. Il m'a demander de le sucer, ce que j'ai fais mais je n'ai pas pu me retenir et il m'a dis que je sucer mieux quand j'étais bourrer (je rappel que la première moi je n'avais voulu rien faire parraitre) et que je sucer mieux que sa copine. Il a aimer. Je ne vais pas rentrer dans les détails mais nous étions dans la cuisine et sa copine est arriver... Je racontera la suite et les autres histoires une autres fois.

08 mars 2011

Au hasard de la toile : petite histoire ,vraie, fausse?

petite histoire ,vraie, fausse? Qui sait! En tous cas elle est dans son "jus".. je n'ai pas changé un mot et, surtout pas corrigé la moindre faute d'orthographe et plus si affinité.... Alors moi c'était avec 3 potes la journée , on avait 12 ans a cette époque , yavais personne chez moi donc je l'est est invité tout les trois . On c'est mis tout les trois torse nu (sans t-shirt mais on avait encore notre jean) puis j'ai mis un film porno et on la visionné , tout les trois allongé , cotés a cotés dans le lit.Puis je commence a me branler , et mes potes a leurs tours et tout a coup , je sans la main d'un de mes potes me passer sur le corps qui décenda jusqu'au pénis , il commença me branler , sa m'éxita , je commenca a avoir une bouffer de chaleur et du coup je pris sa main pour accélerer le mouvement et je fini par ejaculé puis il arrêta et l'autre potes venu sur lui (il était alonger sur le dos , le mec se mis sur lui dans le sens inverse lui metta son pénis dans sa bouche et celui de l'autre dans la sienne et se suca tout les deux . A ce moment , moi je ne servais a rien , donc je me suis dit que j'allais pimentait tout sa , je suis monter a mon tours sur l'autre mais cette fois dans le même sens et je lui metta mon pénis dans son anus et je commença a l'enculer puis on se remit tout allongé , on avait tous éjaculer , on était tous content , mais pas envie d'arrpeter , donc un de mais potes eu une idée : Il décida qu'on se branle , s'encule , se suce etc en filmant.Donc sa commença comme sa : j'était debout contre le mur (tjrs torse nu mais avec mon jean) , un des deux filmer pendant que l'autre arriva et ce mis a genoux et commença me carreser le penis (tans dis-que j'avais encore mon jean) , puis il baissa mon jean mais continue a carreser mon pénis , puis il le mort doucement et baissa les deux.Il commença a me sucer , c'était trop bien , puis il ma branler , mais pas avec la main , avec les dents , il a serez un petit peu les deux de façon a se que mon pénis sois serrez puis il fessais des mouvements de va et viens et d'un coup , mon sperme j'icle dans sa bouche , il en lessa pas une goute , puis on se déshabilla tout les deux . Celui qui me suçer pris la caméra a son tour pour filmer puis mon potes arriva a poil et ce mis a quatre pates par terre , et je me suis mis a l'enculer , très violament , de grand geste a une vitesse vous pouvez pas savoir.Puis nous pouvons plus filmer mais l'autre revenu et se mis assis par terre , ecarta les jambes et j'était tellement exiter que je me jeta sur lui pour le sucer et l'autre arriva pour m'enculer et voila . C'est fini Alala quand j'y repense , tellement envie de le refaire.

07 mars 2011

irresistible


bon Dieu de m.... que voulez_vous que je fasse! ce con d'amour, ce mec que j'aime, cet enflammé de la verge, se cale devant moi, agite de manière effrénée la bulbe. Pas la peine de faire un dessin! Pas la peine de m'expliquer longtemps! ce n'est pas du langage des signes, c'est juste universel. T'as les hormones à l'envers! tu veux baiser! allons-y donc!

06 mars 2011

Film


Kaboom Un campus movie siphonné comme on n'en avait jamais vu.
Si Gregg Araki est un dingo, alors sa folie devrait être prescrite en pharmacie sous forme de petite pilule du bonheur. Des années après sa trilogie sombre et meurtrière Teenage Apocalypse, le réalisateur de Mysterious Skin nous projette dans une sorte de rêve éveillé sur lequel règne une lumière douce. Le pitch ? À l'approche de ses 19 ans, Smith est taraudé par un pressentiment morbide. Un soir où il est sous l'emprise d'une substance illicite, il assiste au passage à tabac d'une femme par un groupe d'hommes cagoulés. Parallèlement à cette enquête morcelée, Araki injecte dans cette comédie fantastico-inclassable une sacrée dose d'humour décapant et de répliques qui décoiffent. Merci à la repartie cinglante de la jeune Haley Bennett, dans la peau de la meilleure amie cynique. En tête chercheuse de nouveaux talents, Araki nous révèle aussi Thomas Dekker, héros gay mais pas trop, hétéro friendly qui en pince pour la caricature de surfeur sexy qu'est son colocataire. Avec Kaboom, Araki rehausse le niveau du campus movie pour y mélanger fantastique, prémonition d'apocalypse, sorcellerie et une grande dose de fantasmes débridés. Le tout s'achèvera aussi brutalement que lorsque l'on sort d'un rêve. Une sorte de grand foutoir particulièrement jouissif. Encore !

sunday's movie

Quelques bonnes scènes de début d'histoires que l'on espère forcément belles. dans notre cas, les débuts sont souvent compliqués. enfin, les débuts des histoires "vraies" ou potentiellement durables, s'entend. L'amour quoi! car pour ce qui concerne les "sans lendemains". on s'en sort assez bien. un regard, une main baladeuse ou, plus simplement des tas d'endroits "pour cela", facilitent quand même les choses.
cheers!




05 mars 2011

Une robe sur le tapis




Et toi, toi dans mon lit fraicheur de la nuit, chaleur de ma vie.

hammam


petits textes glanés sur la toile


rencontre
Chaude rencontre d'un soir
Au hammam dans le noir
Allongés en cabine
Pour se lécher la pine
Perdre sa retenue
Lui enfoncer le cul
Et lâcher fort son foutre.
Le bonheur sans nul doute...











Croisée de chemin
J'ai rencontré sur mon chemin
Dans la chaleur d'un hammam fou
Un jeune barbichon tendre et doux
Fougueux, délicieux et fin
Un mince éphèbe de Cipango
Timide jusqu'au sanglot
Un numide tout engourdi
Qui s'échappe, peu hardi
Anonyme

















Bourrine moi encore

Comme un animal blessé
Lèche-moi le bout du nez
De mes cauchemars, de mes rêves
Réveille-moi du bout des lèvres
Sans le savoir, d’un sourire
Tu me touches, je te désire
Là mon ventre qui palpite
Sous les coups d’boutoir de ta bite