09 octobre 2012

le temps qui passe

Et finalement
Après quelques années
Les hommes ont remplacé tes poupées
Et les glaïeuls posés dans ta chambre
Remplacent aujourd'hui les fleurs des champs

Et c'est le temps qui court, court

Qui nous rend sérieux
La vie nous a rendus plus orgueilleux

Parce que le temps qui court, court

Change les plaisirs
Et que le manque d'amour nous fait vieillir

A l'heure qu'il est

Mes voitures de plastique
Sont devenues vraies depuis longtemps
Et finalement les affaires et l'argent
Ont remplacé mes jouets d'avant
Et c'est le temps qui court, court
Qui nous rend sérieux
La vie nous a rendus plus orgueilleux 


Parce que le temps qui court, court, oh court

Change les plaisirs
Et que le manque d'amour nous fait vieillir
Parce que le temps qui court, court, oh court
Change les plaisirs
Et que le manque d'amour nous fait vieillir
Et toujours le temps qui court, court
Change les plaisirs
Et que le manque d'amour nous fait vieillir

08 octobre 2012

émotion callipyge **

Choc ce matin! émoi incontrôlé! émotion hormonale!
voilà je pousse comme chaque matin la porte du vestiaire de mon gymnase, tout entier dans mes pensées; normal quoi! et puis; patatras! voilà que je tombe nez à nez (façon de parler) sur un cul tout en formes superbement, moulé dans un slip gris dont le tissu est délicieusement et profondément intégré entre les deux fesses.
 Cette merveille callipyge couronnait des jambes robustes et poilues et se prolongeait par un dos massif et costaud. un gars bien charpenté au physique de rugbyman se dévêtait tranquillement pour prendre sa douche après sa séance de sport. les hormones à l'envers, sans hésiter un seul instant, je me suis déshabillé nerveusement, précipitamment et, au lieu d'enfiler comme d'habitude ma tenue de sport, j'ai pris ma serviette  mon savon et hop j'ai filé à ses trousses dans les douches.
 Je suis certain qu'il n'était pas dupe à mon manège; je devais avoir l'ai pitoyable, une vraie chatte en chaleur.
Mais c’était devenu subitement incontrôlable. j’avais qu'une seule envie: fourrer mon visage tout entier entre ses fesses sans nul doute confortables, et ma langue au plus profond de son cul.
je l'ai suivi au sauna. Bien entendu, il ne faisait aucun cas de moi, il était a mille lieux de penser que j'en voulais à ses formes. il devait juste se dire qu'il avait à faire à un drôle de loustic qui le regardait bêtement en se tripotant l'entrejambe. Bien entendu il est sort au bout de quelques minutes. bien entendu sans un regard. il est allé se rhabiller tranquillement; il a enfilé sobrement son slip  et m'a offert une dernière fois cette sublime image de ses fesses moulées dans ce coton orange. pauvre de moi!...une bonne séance de cardio et tout cela passera..