20 février 2013

Les infos? c'est trop déprimant!

Morosité, morosité, déprime, tout va mal. L'économie, la politique, la guerre, les infos nous passent en boucle le pire. Exacerbé, étiré, noirci. Si on se laisse aller, c'est la déprime assurée. Alors éclatons nous avant que le ciel nous tombe sur la tête, avant que l'on se fasse virer, avant que l'on se fasse tuer par un sadique au coin de la rue, avant que Frigide Bargeot ne viennent empêcher nos ébats à grands coups d'encensoir et d'eau bénite. Viens, allume ton smartphone et offrons à la planète déprimée, l'exemple de ce qu'l convient de faire, là maintenant!
 Viens, viens mettre ta belle et longue queue dans ma gorge assoiffée. Viens me désaltérer de ton délicieux nectar, viens inonder mon visage de ta semence. Que tes cris de plaisir couvrent enfin ce déluge de mauvaises nouvelles débitées à plus de 50 mots à la minute par la boite à images, là juste dernière nous. Viens enfoncer ton dard majestueux au plus profond, viens et étouffe mes soupirs de plaisir tandis que mes mains caressent tes fesses qui vont et viennent, tandis que mes doigts recueillent la douce, précieuse humidité de ton cul. Viens, viens et jouis enfin! Que ton sperme inonde mon visage, ma gorge, viens embrasse moi, amour et partageons en frère la suave semence et laissons au moins un instant le monde se déliter sans nous.




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ça passe en boucle aussi...

Il s'appelle Cassidy Haley, Haley chante et joue de la guitare acoustique et du piano. Dans une une interview, il a parlé des avantages et des inconvénients d'être un musicien indépendant, " Vous savez que j'ai une idée vraiment claire de ce que je veux faire et comment je veux entendre et comment je veux regarder. Mais vous ne pouvez pas vraiment rivaliser avec la machine marketing d'une étiquette principale ».
 Il a crée son propre label de musique en Décembre 2009, Rebel sunchine Records. 
Haley a écrit et produit son premier  album , Petits garçons et les dinosaures. Il a de superbes clips, que je vous encourage à regarder et les chansons sont, de mon point de vue hyper bien léchées. 




son interview, édifiante la suractivité de ce gars!

 



Ca passe en boucle chez moi

Voilà une chanson à écouter d'urgence! et un clip à admirer d'urgence too!
Oooo ooo oooooo oooo
Oooo ooo oooooo oooo

Once i was a very young man, and very young man are none to clever
Sailed across to faraway lands
And faraway towns of tin an terror
Ran amok in a strip called love
Lost my mind in the streets of neon
Now I’m coming on back
Help me up move right, left foot forward
Oh we had a merry old time, but merry old times don’t count for nothing
Cocaine, song and women and wine
Memories blur and they make me shudder
Bed in the morning, eight, four, five, couple of days to get my head off

Now I’m comming on back
Help me up move right left foot forward
To Gho Gho Gho Gho Gho Gho Gho
(Oooo ooo oooooo oooo)
I’m troubled by gho Gho Gho Gho Gho Gho Ghosts in heaven
Oooo ooo oooooo oooo

Far below the shiniest stars, shiniest stars won’t shine for ever
Take your soul and you can go far,
If you don’t fall from grace of favor
Golder weights are those who star
You can take now and I’ll take never

Now I’m comming on back
Help me up move right left foot forward
To Gho Gho Gho Gho Ghooo Gho Gho
(Oooo ooo oooooo oooo)
I’m troubled by gho Gho Gho Gho Gho Gho Ghosts in heaven
Oooo ooo oooooo oooo
Gho Gho Gho Gho Ghooo Gho Gho
I’m troubled by gho Gho Gho Gho Gho Gho Ghosts in heaven
Oooo ooo oooooo oooo
Oooo ooo oooooo oooo

Soon I’ll be a very old man, and very old men they dream of summers
Spent with falls in faraway clans
While hometown crowds sing hymns of courage
Ran amok in a striṗ called love
Lost my mind in the streets of neon
Now I’m coming on home
Help me up move right left foot forward


 The Presets - Ghosts-





     

La supérette



Petite frappe, sale allumeur! Tu passes tes journées à regarnir les rayons du Franprix les écouteurs sur les oreilles, un t-shirt aux formes et à la couleur improbables, offrant aux regards concupiscent de la ménagère du quartier un superbe petit ventre plat et velu sur lequel reigne un non moins délicieux nombril tout en bouton quand tu attaques les rayons supérieurs. Et que dire de ton jean porté si lâche qu'il laisse apparaître la moitié au moins de ton boxer et une raie des fesses bien tentantes dès que tu t'en prend aux rayons du bas. Bien entendu mon manège autour de toi ne t'as pas échappé. Faire semblant de chercher le sparadrap aux ayons des lessives, cela va un moment. C'est ainsi qu'avec un sourire enjôleur, tu as eu le culot de me dire - j'en ai plus en rayon, mais il doit m'en rester en réserve- et c'est ainsi qu'excité comme une hormone sous extasy, j'ai osé rétorquer
 - je vous suis?-


Nous nous sommes vite retrouvés dans la réserve du magasin, au milieux des packs de vittel, des boîtes de litière pour chat et autres lessives. Tu as déboutonné ton jean, j'ai  baissé ton caleçon et fait jaillir une belle queue courbe et déjà bien dure!. Je l'ai sans attendre avalée gloutonnement. Je t'ai sucé un peu nerveusement car je craignais que, malgré ton insouciance apparente, une de tes collègues ne vienne chercher quelque chose et nous prenne sur le fait et surtout ne ME prenne ton sexe à la bouche. 


Très vite, trop vite, j'ai senti monter la sève en toi. Très vite, trop vite tu m'as demandé d'une petite voix déjà haletante, si je voulais que tu jouisse sur mon visage. Très vite, trop vite, à longues giclées, dans un long spasme étouffé, tu as joui sur ma gueule, tu as essuyé ta queue sur mon nez, ma joue, ma bouche.
Très vite, trop vite, tu as remballé l'engin, me montrant d'un regard le sopalin. Je suis reparti sans mon sparadrap.




17 février 2013

gay chrétien





Au-delà de ce débat sordide amené par les conservateurs, l'église et les réacs de tous poils, oui il y a des tas de gay qui sont chrétiens et qui assument totalement et parfaitement leur sexualité. Heureusement d'ailleurs. Même si ce que l'on entend pourrait dissuader de croire, même si ce que l'on entend éloigne forcément des églises mais pas de l’Église.
allez éclatons-nous au nom du Christ!

La barbe!


bon, oui, j'ai cédé!... de retour de NYC, après avoir passé pas mal de temps dans les rues, bars et lieux branchés en tous genres de Brooklyn, oui, je me suis laissé pousser la barbe. Oui, maintenant, j'ai adopté la tenue du hipster moyen, barbe soigneusement et régulièrement travaillée par mon barbier parisien. a force de trainer à Brooklyn, on cède à la tentation, finalement, alors que je n'aimais pas du tout ce look, ces poils sur tous ces visages, j'ai fini par aimer cela, à trouver les mecs beaux, à vouloir ces pantalons ultraslim, ces bonnets innommables, ces vestes ultra-courtes, les sacs à mains de nos mamans. voilà j'en suis!