15 novembre 2014

madonna dance!






Allez! cela doit l'effet "spring break" ou que sais-je mais cette belle bande mecs, semble vouloir s'éclater et répètent un morceau de Madonna.. je dirais que c'est assez concluant. j'aimerais bien participer à la soirée où ils feront leur show!!



     


14 novembre 2014

calendriers

Et oui la fin d'année approche! bientôt nous aurons la visite des ébouers, des facteurs, des pompiers (hmm..!) qui sonneront à nos portes avec leurs calendrier 2015 remplis de charmants petits chiots et des merveilleux paysages tous aussi bucoliques les uns que les autres. Bien entendu on préférerais voir l'équipe d'aviron du coin passer avec un beau calendrier plein de leurs photos déshabillées.. pour de bonnes actions et causes bien entendu!


13 novembre 2014

Deep throat

C'était un gars somme toute banal.  Le genre de gars que l'on est susceptibles de ramasser quand on va exprès dans certains endroits où tout le monde est là pour justement " échanger". On boit un coup ensemble, on échange quelques banalités qui finalement serviront de" préliminaires". On se jauge, non seulement physiquement -quelques attouchements,  quelques frôlements - on ne sait jamais si c'est pour chauffer l'autre ou plus prosaïquement pour vérifier avant de consommer que cela vaut l'effort.  Puis soit on se lance sur place soit on "va chez moi ou chez toi? "?
Celui là était parfait pour l'état d'esprit dans lequel je me trouvai ce soir là.  Un mec,  un peu rugueux,  pas forcément avec de la conversation mais avec un sex appeal qui vous commande d'y aller sans trop d'états d'âme ni sans trop se poser de questions.   On s'est vite retrouvé chez lui.  Ni une ni deux,  on avait fait valser les frocs et j'avais voulu garder un moment mon jock strap,  juste pour l'exciter  un peu plus.  Franchement c'était pas la peine.  Il était à poil devant moi et brandissait un superbe braquemart.  De quoi satisfaire n'importe qui! 
Mais voilà,  son truc à lui c'était Deep throat,  Deep throat max plutôt.  J'aime bien en avoir plein la bouche et bien profond mais j'aime bien aussi "déguster" et montrer mon savoir faire aussi. Là non. Là il fallait juste engloutir et l'avoir bien profond jusqu'à l'étouffement. Au début j'avais la désagréable impression de subir une vraie torture mais il savait ce qu'il voulait.  Il y prenait un tel plaisir que cela en devenait communicatif et même s'il était clairement à la manœuvre,  il savait quand j'avais besoin de prendre de nouveau un peu d'air.  Peu à peu l'expérience aidant j'en eu terriblement envie.  Je ne souhaitais qu'une seule chose sentir son viet pénétrer en moi et sentir son pubis tout contre mes lèvres et ses veines de sa queue battre contre ma langue et contre les parois de mon palais.  Ses gémissements témoignait qu'il y prenait plaisir et qu'il appréciait ma courbe d'apprentissage!  Je reçus presque avec regret sa chaude semence sur le visage qu'il entrepris de lécher méthodiquement de la langue.  Quand enfin il daigna s'occuper de moi,  je compris vite qu'il savait y faire aussi et je ne fus pas long à déchirer le silence de son appartement de mes cris de plaisir.


p'tit coup de tondeuse **




effectivement, si je ne faisais rien, si je laissais les choses en l'état cela donnerait ça; mais j'avoue préférer donner un petit coup de rasoir régulièrement. juste pour dégager tout autour. cela donne "du volume" à l'engin, du relief. et c'est quand même plus esthétique! enfin je crois!





12 novembre 2014

Chochote


Réveillez la femme qui est en vous! Si j'étais une femme, mais définitivement, je ne suis pas une femme, je ne serais pas femme à porter de la lingerie. Non, plutôt "Petit Bateau" que " Aubade". Mais, sûr si j'étais hétéro, je raffolerais voir ma copine mettre, porter et surtout enlever de fragiles et délicats petits dessous.. Mais
moi, moi, qui suis hyper branché sous-vêts, je reste fidèle à mes slibards ou boxer bien usés, bien délavés, 
difformes. Mais, tout en adorant ce genre de tenue plutôt abracadabrante et tout en étant incapable de la porter! Où? Dans quelles circonstances? Je me vois déjà (ou plutôt je ne m'y vois pas du tout) dans le vestiaire du gymnase, enlever mon pantalon de costard et laisser apparaitre cet espèce de caleçon. Par contre si un mec de rencontre s'exhibait devant moi dans cette tenue, je pense que cela m'exciterais ou je partirais d'un énorme fou rire... C'est selon. Je penche quand même pour la  seconde hypothèse. Après cela, je crains que la soirée ne soit gâchée!

01 novembre 2014

La main dans le sac **


Douce après midi d'automne, douce après midi de Toussaint. Les cimetières sont pour une fois noirs de monde et le cimetière de Montmartre ne déroge pas à la règle surtout que la tombe de Dalida s'y trouve et, croyez-moi si vous le voulez mais, le monde se presse autour d'elle.
Douce après midi donc. Les minutes et les heures s'égrènent lentement. Je continue la lecture du dernier Dugain, affalé sur mon canapé et comme toujours et c'est une tradition de père en fils, je lis la main dans le boxer et je me tripote les parties tout en lisant. Je ne sais pas si cela provient de mes racines méditerranéennes mais j'avoue passer un temps fou "la main dans le sac".
Bien entendu cela ne finit pas, toujours en branlette; non pas toujours mais quand même, avouons-le, assez souvent.
De fait, je voue une grande passion à mon sexe. 
Je ne dis pas qu'il est particulièrement beau, je ne dis pas être un TTBM comme on dit, même si je dois dire que je n'ai pas à rougir (si tant est qu'il faille rougir de la taille de son vit!) de son allure, mais j'aime le regarder dans les miroirs du gymnase, j'aime le voir bien sage avec mes couilles bien pendues à ses cotés et le voir se "détendre" sous le regard en coin de mes voisins de douche. Mais ce que j'aime par dessus c'est le voir dressé. Tout en majesté. lourd, épais, les veines saillantes, le gland dégagé, battant de toute l'énergie de mon désir contre mon ventre ou, mieux encore, le sentir brûlant dans ma main, turgescent, gonflé de sang tandis que mon compagnon approche tout doucement son fion, tandis qu'il disparaît au plus profond de lui.  
Mais là, présentement, je suis seul avec mon livre passionnant, certes et avec mon corps qui n'est pas insensible à mes caresses. À mes doigts qui caressent les poils de mon pubis, tâtent mes petites boules toutes rabougries, qui s'aventurent enfin dans mon entrejambe; humide, chaude, tel un nid douillet. 
Alors je lâche le livre, laisse ma queue se détendre à l'air libre. Très vite je pourrai l'admirer dans toute la splendeur de mon envie.
Très vite, je me débarrasserai de ce qui m'encombre pour jouer en toute lumière. J'imaginerai ce beau mec rencontré au hasard des tombes ce matin. Je l'imaginerai à califourchon sur moi, sa queue bien droite, retenant ses longues couilles pendantes pour bien voir son cul avide se rapprocher de mon engin tuméfié et, enfin, l'engouffrer dans un long spasme.
Bientôt, la sève jaillira, bientôt .....
(1/11/10)