14 décembre 2014

sunday's movies

  petit film de Bruce Weber; toujours sympa, BW!
    





13 décembre 2014

Allumeur **

Nous partagions cette chambre depuis le début de notre stage. Tu avais sans aucun doute remarqué que tu me faisais de l'effet. Cela malgré tous mes efforts pour cacher ces émotions et cette attirance. Tu en jouait bien entendu et les débuts de soirée ainsi que les couchers étaient un vrai calvaire. Tu prenais un malin plaisir à te balader à poil ou en sous-vêtements dans la chambre. Moi, je gardais les yeux rivés sur le téléviseur et zappais maladivement .
Cette fin d'après midi-là,  nous avions temps libre et tu paressais sur ton lit en slip.  Je ne voyais que ton superbe dos légèrement cambré, tes jambes musclées délicatement écartées et surtout tes fesses magnifiquement galbées par ton slip dont le tissu dessinait une raie profonde et ouverte.
 J'ai joué à ton jeu.  J'étais encore en boxer moi aussi.  Je me suis alors jeté à califourchon sur toi sur le ton de la plaisanterie prétextant te forcer à t'habiller pour aller faire un tour.  J'ai donné de grande claques sur tes fesses et ton dos.  Cela te fit sourire t'amusant du jeu et faisant mine d'y prendre du plaisir.  Je commençais à bander sérieusement. tu dus le sentir car tu tendis tes bras en arrière pour te saisir de mes hanches et mimer une pénétration.  Puis ta main se posa sur mon boxer

 -hmmm tu bandes mon cochon! 
Je ne relevait pas ; oui, effectivement je bandais un peu...
Je continuai mon petit jeu , lui baissai le slip et lui donnai de petites tapes sur ses fesses nues. 
- Bien blanches ces fesses! Et charnues ! Je les écartaient, 
- Et sous cette forêt de poils,  y'a quoi ?!    
- et là,  y'a quoi,  hein ?! Dit-il tout en sortant mon sexe de mon boxer et  en me complimentant sur sa vigueur et sa taille. 
- et bien,  quelle engin ! C'est quoi qui te fait de l'effet comme ça ?!
J'avais ses fesses musclées sous les yeux.  Tandis qu'il caressait ma verge et mes couilles extraites de mon boxer. Je ne maîtrisait plus la situation ! Il avait finalement pris l'initiative ! On y allait,  ses provocations des derniers jours,  s'expliquaient enfin.
Entre ces deux demi lunes, sous cette broussaille, j'entrevoyais son intimité, sa rosace large et offerte.  J'y fis couler quelques gouttes de salive puis caressai son oeillet.
On ne riait plus, un silence pesant emplissait maintenant la chambre. Ses caresses "innocentes" de ma verge étaient plus fermes; comme une attente,  un désir brûlant .
Il me branla alors sans plus de réticence, il me branlai tandis que je lui caressai les fesses, sa rainure, sa rondelle. Je gémissais et il y prenait plaisir,  je sentais ses reins bouger sous moi tandis que ses mains caressaient alternativement mes fesses et mon sexe dressé.  Très vite trop vite, le plaisir montait inexorablement et j'inondai ses fesses et son dos de ma semence.  je l'essuyai de ma langue et je m'écroulai sur son dos, lui baisai les épaules,  le cou.
- retourne-toi, lui susurrai-je,  regardons-nous.
Les yeux dans les yeux, l'un sur l'autre.. Silence, c'était à celui qui parlerais le premier et rompre ce silence, nous terrifiait car c'était aussi, peut-être rompre le charme qui s'était installé entre nous. 
je sentais sous mon bassin, sa queue encore raide dans son boxer; alors pour ne pas faire éclater cette bulle singulière dans laquelle nous nous étions réfugiés, il fallait continuer et aller jusqu'au bout.
Tout en ne le quittant pas des yeux, Je caressai le tissu humide de son boxer et sa queue qui pointait contre la ceinture. 
J'y collai ma bouche, la mordillai à travers le tissu avant de la libérer pour qu'elle prenne ses aises. Ta verge, magnifique en majesté! des veines turgescentes, un gland en "pointe" que je décalottai pour en savourer la mouille abondante.
je t'ôtai le boxer ainsi que le mien et restai un moment à genoux entre tes cuisses à t'admirer. 
- viens, embrasse-moi, furent tes premiers mots.

Nous nous enlaçâmes furieusement, nos bouches s'entredévoraient, nos sexes s'entrechoquaient, nos mains caressaient, découvraient frénétiques le corps de l'autre.
En nage, exténués, nous reprîmes quelques instants nos esprits et notre respiration puis partîmes l'un et l'autre à la conquête de nos sexes. 
Et, tandis que tu te régalais de ma queue et des mes couilles, je me glissai enfin entre tes fesses, humant ton intimité, recueillant les perles de sueurs pour ensuite baiser ta rondelle.
Le reste de l'après midi est une autre histoire.




12 décembre 2014

exhib ou pari stupide?

Voilà un gars qui n'a pas froid aux yeux... Ni ailleurs d'ailleurs!... sans doute un pari stupide d'étudiant, en tous cas il se dessape en plein milieu des galeries (superbes par ailleurs) du metro de Moscou et se ballade à poil dans l'indifférence totale. Faut-il s'en réjouir ou s'en inquiéter? c'est une autre histoire.





07 décembre 2014

all by myself







Oui.. bon, quand j'ai vu ça je me suis dit, ouaiuh!.. puis pourquoi pas moi?! puis c'est con pourquoi faire?! puis enfin pourquoi pas, allez juste pour voir..
bon en fait c'est pas simple.. il faut bien s'étirer la verge, c'est assez facile, pour qu'elle atteigne une longueur raisonnable et ensuite tenter d'incorporer le gland; c'est là que ça se complique et flop, je n'y suis pas encore arrivé... pas sûr par contre que j'essaye une seconde fois!...