24 janvier 2016

good vibes (24/1/16)

J'ai déjà du le dire ici je crois, j'avais à ma disposition un stimulateur de prostate. Le plus connu, le plus classique oserai-je dire : l'aneros progasm classic. Maintes fois j'ai suivi les instructions et je dois dire que jamais, à part quelques spasmes bien légers, je n'ai connu les fameux orgasmes prostatiques tels que vantés par la marque et de nombreux "utilisateurs.
Puis j'ai acquis là maintenant un nouveau jouet, plus sophistiqué, vibrant et aux formes plus intrusives. c'est un jouet de chez Fun Factory. Je l'ai acquis suite au visionnage de la vidéo ci-dessous.. Je vous laisse juges!....
 Malheureusement, j'attends encore le facteur pour savoir si cela fait réellement ces effets là!







21 janvier 2016

irresistible....


J'aime te voir marcher dans la rue, j'ai voir ton petit cul musclé bouger devant moi au rythme de tes pas dans ton jean moulant que tu aimes tant. Cela me rend fou quelques fois et... n'y pouvant résister ce coup là, j'ai profiter d'un coin tranquille pour m'y plonger. Plonger ma langue entre tes fesses humides, sentir tes effluves les plus secrètes exhaler à l'air libre.
Tu me rends dingue!!






14 janvier 2016

Drôle de rencontre. **



Nous nous sommes retrouvés dans ton petit appartement en désordre. Pas de passion, juste l’envie de passer encore un peu plus de temps, ensemble, avec nos corps.
Tu t’es approché de moi, je n’ai eu qu’à t’enlever ton marcel et déboutonner ton short pour libérer tes senteurs musquées, retrouver ton corps et ce slip porté si haut. Je me suis agenouillé contre toi, j’ai posé mon visage contre le tissu, ma bouche contre ta queue, ta queue derrière le tissu. Il n’a pas fallu longtemps pour que je la sente durcir contre ma joue. Alors, j’ai doucement soulevé le tissu et je t’ai libéré. Ta longue verge si vite aimée il y a peu, s’offrait enfin à moi, en majesté, en liberté.
Gestes simples.
Tu m’as emmené vers le canapé, là juste devant nous. Tu t’es calé confortablement, les jambes légèrement écartées. Tu m’as tendu ta bite bien droite
  –viens-
J’ai enlevé ma chemise, mon short, mon slip, lentement, les yeux rivés sur cette longue tige tant attendue, tendue, juste pour moi.
Je me suis approché, ma queue toute fière, toute droite.

Tu m’as tendu une capote, que j’ai posée sur ta queue ; tu m’as tendu, un pot de lubrifiant, j’ai préparé mon cul pour toi. J’ai préparé ta verge, pour moi.
Enfin, je t’ai chevauché, doucement je t’ai laissé pénétrer en moi, centimètre par centimètre, jusqu’à ce que mes fesses reposent de tout le poids de mon corps sur toi.
Je suis resté un moment sans bouger comme pour laisser le temps à chaque atome de mes entrailles de fusionner avec toi; ma queue battant furieusement contre mon ventre.
Tu as posé tes mains sur mes fesses, m’incitant à aller et venir; m’incitant à prendre le bon rythme, ton rythme.

Accomplissement

Et puis j’ai voulu que tu prennes le dessus. Je me suis couché sur le sol et je t’ai attendu. Tu as alors soulevé mes jambes et tu m’as cloué littéralement au sol faisant peser tout ton corps en ce point unique ta bite en moi. Alors, longuement, tes coups de reins ont extrait de moi de longs et profonds gémissements. Tu étais en sueur, les yeux grands ouverts, les yeux rivés aux miens, jusqu’à l’accomplissement jusqu’à ce long gémissement, cette plainte comme un cri d’enfant.


Accomplissement (2)
Ton pieu, doucement a quitté mes entrailles; Tu m’as libéré ; ma queue était gonflée à bloc, au bord de l’implosion.
Je me suis rapproché de toi. Tu m’as tendu ton visage ; quelques instants, quelques mouvements seulement et j’ai envoyé tout mon plaisir, tout mon plaisir si longtemps contenu sur ton visage. Un long spasme. L'écroulement. Le repos.



08 janvier 2016

Demi lune 8/1/13

Ce que je regarde en premier chez un mec, dans la rue, au gymnase, ailleurs, c'est bien sur son cul ou plutôt ses fesses. Je dis "bien sur" car je pense que c'est dans la majorité des cas ce que nous regardons tous. Le reste se découvre après ou se devine dans certains cas...
C'est pourquoi je nage en pleine contradiction. Je me délecte de cette mode qui n'est plus une passade du "sagging", des caleçons, des ceintures griffées qui dépassent.
 Mais c'est hélas au détriment de formes ajustées, suggérées par des jeans serrés. Heureusement, ils se portent de plus en plus "slim"! Et, enfin on peut se réjouir de nouveau de ces fesses bien moulées et surtout, le fin du fin, suprême récompense du mateur impénitent, des fesses bien écartées, la raie bien marquée.  C'est le signe indiscutable de ceux qui portent les fesses hautes et fermes, de ceux qui, nus,  laissent apparaitre leurs couilles entre les cuisses, de ceux enfin qui ont le cul qui affleure. que de délices en perceptives, nul besoin d'effort pour écarter les fesses et atteindre de la langue la sublime porte. tout est là à portée de regard, de langue et de doigts. Mais c'est si rare!