25 mai 2016

maitrise de soi


Douleur, plaisir, jouissance totale...
...


23 mai 2016

temps de merde (again)






Bizarre, depuis quelque temps, à chaque fois que je prends quelques jours pour venir ici à la campagne me détendre, m'occuper du jardin; tondre, planter, élaguer,... faire de longues promenades sur es chemins,.. et bien il pleut, il tombe des cordes. comme disait ma grand-mère: aujourd'hui , il n'a plu qu'une seule fois.

rien d'autre à faire que de regarder par la fenêtre!





01 mai 2016

Le roux

Malgré la vapeur et la pénombre ambiante, au milieu de toute cette chair exposée, de ces ventres tombants, poilus, glabres ou musclés, la blancheur translucide de ta peau jetait comme une note de trouble dans cette atmosphère déjà bien décalée. Je ne voyais que partiellement ton corps et ton visage se perdait dans la vapeur mais j’aurais juré que tu étais roux, tous mes sens me disaient que tu l’étais.
J’ai un faible prononcé pour les roux ; de fait ma seule expérience des roux est,…. lointaine et féminine : j’ai fait l’amour avec une grande rousse, je me suis enivré de son odeur, j’ai longtemps exploré cette peau si particulière, si loin de ma peau mate de méditerranéen. Je n’avais jamais fait l’amour avec un roux.
J’étais excité, je te cherchais à travers la pénombre et tous ces corps nus qui circulaient de part et d’autre de ce hammam.
Tu étais là devant moi, très proche ; tu n’étais pas vraiment beau, plutôt malingre ; un drôle de corps encore adolescent aux épaules étroites, le torse en retrait, des pecs inexistants, un petit ventre arrondi presque d’enfant ; glabre.
Les tâches de rousseur sur ton visage et la délicieuse touffe de poils autour de ta queue ne mentaient pas : tu étais bel et bien roux. J’ai tendu la main, presque mécaniquement sans vraiment réfléchir à ce que je faisais.
 J’ai tendu la main vers tes couilles que j’ai doucement attirées vers moi. 
Tu t’es gentiment laissé faire. Ton ventre, ta queue maintenant était à quelques centimètres de mon visage, ma main, toujours autour de tes couilles. J’ai levé les yeux vers ton visage pour guetter une expression, ton regard. Tu avais manifestement envie de te laisser faire, tu semblais un peu inquiet; j’ai continué. J’ai laissé mon regard se perdre sur ton nombril, petit oasis perdu au milieu d’un désert translucide et rosi par la chaleur de l’endroit. Tandis que d’une main je t’agrippais par les fesses, je te caressais de l’autre les couilles; ta queue laissée libre, doucement réagissait. Je voulais la voir grandir tranquillement, livrée à elle-même, sans aide particulière. Bientôt elle se dressa, là, bien droite devant moi : une forme bizarre, pas très longue, pas très grosse mais nettement oblongue, un vrai plug ! De grands coups de langues sur ta rousse touffe et ta bite, terminèrent de nous exciter vraiment. Tes mains s’agitaient dans mes cheveux, ma bite dressée à l’extrême commençait à attirer les mains inconnues.
Je t’ai pris par la main et nous avons quitté le hammam pour rejoindre la salle de douche toute proche, j’avais envie de te laver, de passer mes mains savonnées sur toutes les parties de ton corps, de m’attarder quelques instants sur tes fesses, forcer légèrement d’un doigt humide ta rondelle tout en te mordillant le cou ; te savonner les couilles et l’entrejambe et finir, enfin, par rincer consciencieusement du bout de la langue, chaque parcelle de peau à commencer par les plus délicieuses, les plus intimes : ton trou du cul, encore et toujours le bout de ta queue. Tu te laissais faire, tu semblais peu expérimenté, sans doute une de tes premières visites dans ce genre de lieu, et, en tous cas, ta première expérience avec un exhibitionniste tel que moi, adorant les scènes en public! Seul ton plaisir comptait, je me concentrais, à la découverte de ton corps, sur tes soubresauts, tes vibrations ;
je m’attardais alors pour prolonger ton plaisir, tes tétons, par exemple : tu semblais apprécier mes petits pincements, mordillements légers tout d’abord, insistants ensuite ; mais, surtout, accroché au poteau de douche cambré au maximum, tu appréciais par-dessus tout, ma langue forçant énergiquement ta rondelle ! Tu te cambrais, tu écartais les jambes pour me faciliter la tâche ! Et moi, j’écartais tes glabres fesses des deux mains et m’enfonçait au fond de ta rainure, la langue explorant ton cul. Alors j’ai eu envie de sentir ta queue en moi, d’enserrer cette bite oblongue entre mes fesses. Nous avons cherché une cabine, toi et moi main dans la main, nos queues dressées, le long de ces sombres couloirs.
Dès la porte fermée, je t’ai passé moi-même une capote et me suis rapidement empalé sur toi. Une fulgurante douleur à alors parcouru mon corps, agrippé à ta chevelure rousse, mes yeux rivés dans les tiens, j’ai laissé ton engin envahir mon corps; mais moi, il y a peu encore, si sûr de moi, si possessif finalement !
Faisant tout, jouant de ta passivité, j’étais maintenant entièrement à ta merci ; de mon regard, je demandais le coup de grâce, celui qui finirait le travail ; peu expérimenté, n’ayant pas conscience encore de la forme particulière de ton engin, tu ne comprenais pas ce qui arrivait; j’implorais ton aide ! J’ai approché ma bouche de ton oreille, le l’ai embrassée et, le souffle court, je t’ai demandé «aide moi»; alors, d’un coup, d’un seul : fulgurant encore, tu t’es cambré et, dans un long cri de douleur, tu étais en moi, mes fesses enserraient maintenant ta queue en sa base étroite. J’en avais des larmes aux yeux, tu étais comme effaré ! ma queue rigide et droite cognait contre ton torse, je t’ai demandé de me branler, tandis qu’avec de très légers mouvements je m’activais sur la tienne, redoutant le moment où il faudrait nous séparer !...
Tu as joui très vite, tu as poussé de petits cris de chaton, les yeux pleins de reconnaissance ! Ma queue était à rompre, je sentais venir le moment où j’allais couvrir ton torse glabre de mon sperme, mais je me retenais le plus possible pour rendre cet instant, toujours si court encore plus intense ; et puis, les bras en croix tenant les parois de cette cabine étroite, dans un long spasme de plaisir, j’ai joui, je t’ai couvert le visage de mon foutre tout en me séparant de toi.
Épuisés, nous sommes restés un moment encore ensemble, je voulais encore tenir ta queue entre mes mains, couvrir de bisous ta délicieuse touffe rousse, lécher tes aisselles.

et tes poils humides de sueur.
Tu t’appelles Vincent.