28 novembre 2017

petits moments de plénitude illustrés


une bonne baise en extérieur; de bons et solides coups de reins, des couilles qui tapent sur mes fesses,..









 un god vibrant entre les fesses, des dizaines d'inconnus sur la toile qui matent anonymement et sans doute se branlent de concert.




 le plaisir qui se lit dans les yeux de son compagnon alors que l'on tient sa queue prête à exploser contre son visage













 Son cul que je prépare avec amour et désir et ses couilles tout contre mon membre



ma langue forçant doucement sa rondelle,avide de son intimité















Sa bite toute entière engloutie au fond de ma gorge et sa semence que j'avale goulûment





Cette jouissance qui monte, monte tandis qu'il me baise, tandis que je caresse son corps superbe




 et cette semence enfin qui éclabousse mon visage

20 novembre 2017

ce matin




juste ce matin; doux réveil

19 novembre 2017

émois



A passer et repasser devant un beau mec en slip de bain, on ne peut s’empêcher, ne serait-ce que l'espace d'un instant, le frôler, frôler cette chair désirée bien que pressée dans ce si petit bout de tissu.juste un vague instant.

18 novembre 2017

Le "sagging pants"en voie d'interdiction aux USA


Après une demi-douzaine de municipalités de Louisiane, plusieurs grandes villes américaines vont interdire
le pantalon baggy: Atlanta (Georgie, sud-est), Baltimore (Maryland, est), et Dallas (Texas, sud). Motif : il est indécent !

Pour de nombreux leaders noirs américains, c’est une nouvelle mesure qui stigmatise leur communauté. Pour Wilhelmina Leigh, chargée de recherches au Centre des études politiques et économiques de Washington, un organisme de recherche sur les problèmes touchant la communauté afro-américaine, « ce sont toujours les mêmes qui sont visés ». «Les tatouages, les piercings, les coupes de cheveux punk font aussi partie de la culture de la jeunesse mais on ne fait pas de loi contre cela. Singulariser le port de pantalon "baggy" en revanche est clairement une façon de singulariser un type de population avec qui on a des problèmes", ajoute-t-elle. Elle aurait pu tout aussi bien mentionner le string apparent, les tee-shirts trop courts pour les filles ou les pantalons super moulants...

Mais les législateurs américains à l’origine de ces mesures affirment qu’ils ont voulu lutter contre les « gangs ». Par quel extraordinaire sont-ils arrivés à des textes de lois aussi délirants ? En fait, le baggy est issu de la culture « gangsta rap » des années 90 quand des jeunes noirs des Etats-Unis ont clamé leur solidarité avec les détenus. Car lorsqu’un homme entre en prison, on lui enlève sa ceinture, faisant tomber son pantalon. Idem pour les chaussures auxquelles on enlève les lacets. Patricia McDow, conseillère municipale à Yonkers (New York) va également présenter un amendement en conseil municipal « pour que les jeunes adultes comprennent l'histoire de cette tenue", affirme-t-elle. Impossible de l’accuser de préjugés culturels, elle est elle-même afro-américaine mais elle assure que "cette façon de porter ces pantalons vient du système pénitentiaire». «Nous voulons apprendre à nos enfants à refuser cette culture et être fiers de leur histoire", clame-t-elle. "C'est comme une prophétie qui se vérifie elle-même quand on sait que tant de jeunes Noirs finissent en prison après avoir imité la culture pénitentiaire que ce soit par les tenues qu'ils portent, la façon dont ils parlent ou ce qu'ils font", indique-t-elle.

André Kaspi est écrivain, professeur d’université, l’un des meilleurs spécialistes français des Etats-Unis.« Il y a deux éléments d’explication dans cette mesure : la première c’est qu’on ne
peut pas considérer que montrer une partie de son caleçon, c’est la signe de la décence... Donc, dans un certain sens, ça peut choquer les citoyens américains quelle que couleur qu’ils soient». « Le deuxième facteur d’explication, c’est que ces signes là ont pour but de renvoyer à des appartenances de bandes ou de gangs. Là, on est dans un domaine tout à fait différent. Il ne s’agit plus de combattre l’indécence mais les gangs». « C’est vrai que dans la communauté afro-américaine, les gangs sont nombreux. Ils jouent un rôle extrêmement important et, en fin de compte, ils sont directement responsables de phénomènes de violence. « Il ne faut pas interpréter cette mesure comme une mesure raciste dirigée contre la communauté noire. C’est une mesure qui vise à maintenir la paix publique ». « Lorsque les filles montrent leur string, c’est de l’indécence. Ce n’est pas le signe d’appartenance à une
bande. Lorsque les garçons montrent une partie de leur caleçon, c’est à la fois de l’indécence et le signe d’appartenance à une bande. Ce n’est pas tout à fait la même chose mais du point de vue de la moralité, il est tout aussi regrettable que les filles On se retrouve dans le même cas de figure sauf que pour les garçons, c’est beaucoup plus grave et ça entraîne un trouble à l’ordre public ».

21 octobre 2017

Intimité**

Intimité


Voilà on rencontre un mec, on le suit chez lui. On part à la découverte de son corps toute la nuit. On croit alors qu’il n’a plus de secret pour nous. On a aimé chaque parcelle de peau, chaque parcelle de notre corps se souvient du sien. On a son odeur inscrite sur la peau, au plus profond de nos narines et de la mémoire.
Toi qui m’a sourit hier au soir ; toi qui m’a emmené ici, dans cette tour de Beaugrenelle, Là au bout de mes doigts, tu es encore là, je peux te sentir et me souvenir de chaque moment de plaisir donné et reçu.
Et puis je suis là dans une salle de bains ; une salle de bains qui est la tienne. Une salle de bain où je me regarde dans cette grande glace qui est la tienne et où tu te regardes chaque matin. Et je m’aperçois que je ne sais rien. Je suis là parmi tes objets, dans ton intimité. Une serviette encore humide de la dernière douche prise, un tube de dentifrice tout écrasé sur le rebord du lavabo, une crème à raser.
Quelques comprimés de je ne sais quoi ; un peigne, une brosse où quelques cheveux sont resté accrochés ; un flacon d’eau de toilette presque vide.
Le panier à linge sale est là aussi sous le lavabo ; les chemises de la semaine, le slip et les chaussettes d’hier. Le slip que cet inconnu encore hier au soir, a porté tout au long de la journée, maintenant, compressant ce sexe que l’on a tant caressé il y a peu, qui nous a transpercé aussi... Je suis chez lui ; il m’a ouvert sa porte, il m’a offert son corps et pourtant, ici au milieu de ses affaires, je suis un intrus, il redevient un inconnu, je me sens voyeur ; c’est une intrusion. J’ai envie de prendre ce slip ; je le prends et le porte à mon visage ; je hume, je le hume, comme pour mieux le connaître. Je retourne vers la chambre.
Cette chambre du 24° étage de cette tour. La vue sur Paris encore endormi est superbe. Il est là endormi dans ses draps. Je le regarde un instant, je balaye du regard cette pièce où je l’ai aimé ; le désordre du lit, le désordre des vêtements éparpillés sur le sol, de ce bureau aux livres empilés. Je me sens bien. Je me glisse auprès de lui ou je file. Je file, je me rhabille, doucement, sans faire de bruit ; mes yeux s’arrêtent un instant encore sur cet horizon parisien qui s’éclaire doucement. Et puis la rue, la fraîcheur du matin qui point, la recherche d’un taxi.
J’ai gardé un souvenir de toi, je porte sur moi, non seulement ton odeur mais aussi le slip que tu portais, le slip jeté avec tes vêtements avant de me baiser cette nuit. Tu trouveras le mien quelque part sur ta moquette.
C’est le matin, je suis bien. Je ne sais pas ton nom, mais nous sommes encore si proches.


04 octobre 2017

Instantané, après



4h du mat. je ne connais que ton prénom, comme souvent, comme presque toujours. regards croisés, sourires échangés.
Puis, la nuit se déroule dans ma tête. milliers de flashs. Fumée de cigarette, une main sur ma cuisse, une ruelle sombre.
les lumières de la ville qui défilent
une banquette de taxi, sale.
un baiser, puis deux.
le silence; la musique assourdissante; le silence
Finalement peu de mots
un corps, des râles. des draps qui se froissent, des regards; de l'amour? oui sans doute, un moment, quand tout vous abandonne, quand tout bascule.

Maintenant la douche coule dans la pièce d'à côté. Raie de lumière dans une chambre inconnue.
Vêtements dispersés.
Bientôt, l'instant d'après.

Peut-être un jour même ces souvenirs auront pour nous des charmes.



20 septembre 2017

juste avant



A quoi on pense juste avant ? Avant le premier contact, avant que les yeux explorent les yeux, les mains explorent la peau, découvrent sa granularité. Aquoi pense-t’on.
Ce mec rencontré peu importe où. Ce mec qui nous a suffisamment excité juste du regard ou par un frôlement ou encore quelques mots échangés. Juste assez pour nous mettre les hormones en ébullition, juste assez pour le suivre chez lui ou chez soi peu importe, le suivre.

Et puis on est là près d’un lit ou d’un canapé, les vêtements sont de trop, une gêne à la fusion. On se demande alors si on eu raison, raison de suivre ce regard bleu, ce sourire plein de promesses. Bien sûr, là au fond du jean, le désir est là prêt à se durcir, mais tellement fragile, tellement tributaire du premier contact, d’une texture de peau, d’une granularité, du mot qui va tout foutre en l’air.






Alors oui on se concentre sur ce désir naissant, pour le faire durer ; on se remémore les quelques secondes qui ont suffi pour nous amener là où on est maintenant. Comment est il, en vrai ? Quels sont ses fantasme
J’ai envie qu’il me triture les seins, qu’il me les mordille longtemps, qu’il me pousse aux limites de la douleur. J’ai envie que cela soit long, lui lécher les couilles, le cul ; est-il propre ? Et puis, le slip est enlevé et ce n’est plus le moment d’avoir le trac.

Déjà sa main s’approche, ses yeux sont là et ce que je voulais y voir s’y trouve bel et bien. Sa queue est ce qu’elle est et on fera avec, sa peau n’a sans doute pas la texture que mes doigts attendaient mais qu’importe ! Sa langue rencontre la mienne, mes mains sont dans ses cheveux ; tout bascule. Nous y sommes, le monde est loin derrière, les bruits de la rue s’estompent, l’univers est concentré autour de nous et de ces deux corps qui se cherchent.
Tout est bien.

09 septembre 2017

La rondelle **


Le couloir est plongé dans une douce pénombre. Les fenêtres donnant sans doute sur la rue ont été consciencieusement occultées afin de ne laisser passer aucune lumière de l’extérieur. Pour ne rien laisser paraître "aux autres", à ceux du dehors, de ce qui se passe ici, mais aussi, pour permettre "à ceux du dedans" de pas être distraits, livrés tout entiers à leurs fantasmes et désirs.
Les hommes simplement vêtus d’une serviette autour des reins déambulent, se croisent, se jaugent. Des portes ouvertes sur de minuscules cabines laissent entrevoir des corps en attente, offerts. Des queues distraitement entretenues dans une légère érection, des culs tendus comme prêts à recevoir le vît jubilatoire.
Comme eux, je tourne et retourne cherchant le détail qui mettra mes hormones à l’envers et me poussera à faire le pas. J’aime voir ces corps alanguis, cambrés, tendant leurs fesses, quémandant une caresse. Poses félines. Et enfin, la voilà,  cette cambrure de dos, cette colonne vertébrale creusant profondément ces hanches, ces fesses tendues … 
Je m’approche, laisse courir mes doigts lentement le long de cette tranchée. A ce contact, le corps se cambre encore un peu plus, comme électrisé. La tendre courbure est à portée de main. Je sens ma queue se tendre sous la serviette, je dois continuer mon exploration, mon lent effleurement, sans précipitation, en plein contrôle de mon excitation grandissante. Je caresse enfin ses fesses : elles sont fermes et délicieusement couverte d’un mœlleux duvet. Ostensiblement elle se tendent encore. Il ne m'a pas regardé, cela n’a pas d’importance, nous sommes tout deux concentrés sur cet instant: moment de découverte, plein de promesses. J’imagine sa queue se tendant, cherchant la liberté comprimée sur le froid plastique de la couchette. Mes caresses se font plus fermes, de la tranche de ma main, j’explore sa raie et m’imprègne de cette moiteur si intime, si précieuse ; je porte ma main à mon visage : je veux le humer comme pour mieux le connaître. Mes mains maintenant lui écartent fermement les fesses, je veux découvrir sa rondelle, son trou du cul. J’approche mon visage que je plaque entre ses fesses fermement écartées par mes mains, ma langue avide recueille l’humidité un peu acide des lieux, léchant chaque poil. De petits gémissements, les mouvements du corps qui se soulève pour s’offrir davantage m’encouragent à continuer.
Je regarde ce trou du cul, je souffle sur cette rondelle offerte qui se contracte et se dilate sous mes yeux. Je la caresse d’un doigt, d’un coup de langue. Il est maintenant, les fesses tendues, comme en prière sur sa couche. Sa queue parfaitement tendue bat régulièrement sur son ventre. Je saisis à pleine main ses couilles pendantes tandis que ma langue s’aventure de plus en plus profondément en lui. D’un geste brusque, il a fait tomber ma serviette et s’est emparé de ma bite qu’il branle maintenant énergiquement.
J’enfonce mon visage entre ses fesses, je m’enfonce à en étouffer, je le caresse avec mon nez, mon menton et ma barbe de deux jours. Je jouis, je jouis et mon râle de plaisir se perd au fond de son cul.





07 septembre 2017

des fois..

Des fois, souvent, j'aime à te regarder , quand tu es au lit avec un livre; tranquille, juste comme ça, avec le temps qui passe, simplement le temps qui passe.

 




des fois, souvent, j'aime bien te regarder prendre ton plaisir; comme ça , sans façon, parce tu as envie, juste par envie.


En passant, comme ça. ?. **

Rien de mieux à faire cet après midi que d'aller flemmarder et lézarder au parc. Berlin a ceci de sympathique, de disposer de grandes et belles prairies ensoleillées dans le tiergarten et ailleurs aussi.
Berlin a aussi la particularité de disposer de prairies verdoyantes ouvertes au naturisme. 
Nous avons trouvé notre petit coin de verdure. Une couverture sur l'herbe, la glacière à côté de nous,  de bons bouquins,  bref de quoi passer un bon moment. Nous nous sommes dessapés ne gardant que nos shorts.
J'aime bien dans ces moments là,  me reposer la tête contre ton ventre et regarder longuement le ciel et les nuages passer.  Quelques fois aussi,  il m'arrive de m'assoupir aussi.  Et c'est ce qui m'arriva cette fois là. Je ne dormis pas longtemps et  je me réveillai le nez dans ton short; là tout contre. Je posai alors délicatement une bise sur ton sexe qui reposait là tout près tandis que tu lisais.  Puis j'eu subitement envie de te la mordiller un peu!  Bien entendu tu ne restais pas insensible et bien que gardant le nez collé dans ton bouquin,  ta queue durcissait sous mes sollicitations. 
Nous étions plutôt isolés ce jour là et les autres personnes présentes assez éloignées de nous. Je sortis ta verge de sa gaine de nylon et entrepris de nous donner un peu de plaisir;  juste comme ça,  au naturel.  Comme un hommage à la nature, au plaisir d'être là en ce jour ensoleillé, dans cette ville que nous aimons.




01 septembre 2017

rayon de soleil



Hmm,.. il fait froid en cette fin d'été; profitons bien de ce rayon de soleil matinal qui illumine et réchauffe a chambre.

28 août 2017

oups!




oups! je crois qu'il va me falloir quelques gouttes de collyre! ne quittez pas, je reviens pour la suite du show!


21 août 2017

seul a berkeley


Voilà, le silence absolu recouvrit la maison, le silence et le froid, un froid qui semblait sortir de moi, envahir la pièce. Un froid glacial sur Oakland.
J’ai continué. La dodge le matin parcourait les rues froides de Berkeley et d’Oakland. D’une terrasse de restaurant à l’autre, la vie s’écoulait maintenant sans que je perçoive vraiment le temps passer. Du travail, des paroles échangées avec des clients, des potes ; un cinéma ou un joint, une soirée dans une villa sur les hauts de Berkeley, un jacuzzi plein de mecs speedés à mort admirant la baie en me branlant tranquillement. Aucune pensée d’avenir. Surtout pas penser à demain : rester, partir. Dans les milieux alternatifs de Berkeley, on trouvait des tas de combines pour continuer, longtemps après la période « Baba cool-sinsemilla » Un copain m’avait donné une « clef » pour téléphoner des heures sans payer un cent. Il s’agissait de reconstituer à partir d’un numéro de téléphone pris au hasard sur un annuaire, un n° de carte de crédit téléphonique.
Dorénavant, je passais tous mes après-midi libres dans un petit coffee shop de Durant ave. Je m’installait sur la terrasse à l’air libre, et t’appelais Nous parlions des heures. Toi qui pouvais passer des jours sans prononcer plus de quatre phrases, toi qui ne livrais rien de toi, toi, maintenant me racontais tout. Tes peines, tes angoisses. Tes jours auprès de ta mère et ta solitude dans les rues de notre petite ville de province si loin de SF.
Tu me parlais de moi aussi et de nous. Pour la première fois NOUS existait, prenait forme ailleurs que dans mon esprit. Je te manquais, tu pensais à moi et à notre vie, à la vie que nous pourrions avoir ici à Berkeley.
Après chacun de nos après midi, j’étais mal, je prenais en pleine figure, le soleil de la Californie, la nonchalance et la joie ambiante. Je décidais alors de me détacher de toi, de construire ma vie ici. Je sortais de nouveau dans l’esprit non plus de passer le temps mais de construire, de rencontrer, d’échanger. Je commençais à être heureux, j’espaçais nos appels téléphoniques. Toi bien sûr, le sentis très vite. Ton discours était de plus en plus axé sur le manque de moi, et bientôt sur des projets communs en France. Tu me remettais le grappin dessus, je commençais à y croire, à croire à ce que nous pourrions construire là-bas à Paris. Tu m’éloignais de ma vie californienne, tu détricotais à chacune de nos conversations ce que j’avais tissé auparavant. J’allais de nouveau être à toi.

18 août 2017

Jeux d'eau ( 2 )

Ce matin à la fraîche, tu as décidé de nettoyer la couverture de la piscine et la plage en teck. Armé du karcher et du balai brosse, , t'es acharné au travail pendant plus de deux heures. C'était marrant de te voir complètement trempé brosser les planches tel le matelot de la marine marchande du 19eme siècle. 

le travail terminé, tu t'es avancé vers moi le tee-shirt et le short dégoulinant. Tu riais content de ton travail. Moi, je ne voyais que la transparence de ton short et la forme de ta queue et de son gland moulés par le tissu humide. 
Que voulais tu que je fasse? ! A part baisser ton froc et me régaler de ton sexe envahissant peu à peu ma gorge. Tu as joui trop vite, ta semence giclant sur mon torse. Le repos du guerrier en quelque sorte.

13 août 2017

Compression


Une tendance forte depuis au moins un an, que ce soit chez les coureurs ou dans les salles de sport, est de porter des vêtements de compression que cela soit pour le haut ou pour le bas.

Il y a quelques années, on portait beaucoup les shorts dit de 'cyclistes' mais personnellement je n'y ai pas adhéré car la matière était trop 'plastique' ,donnant l'impression d'empêcher le corps de respirer correctement voire même de faire suer plus que le normal et du coup, j'avais l'impression que c'était de vrais nids à bactéries. Sans compter que de mon point de vue aussi, l'esthétique laissait vraiment à désirer.. Les bijoux de famille ne tenaient pas en place et sauf à porter un slip dessous, cela se baladait ou pendouillait atrocement le long de la cuisse...
Maintenant les shorts, corsaires et autres leggings (pour ne pas dire collants) tiennent bien en place, le corps respire, la sueur s'évacue correctement et la compression est prévue pour bien maintenir les muscles, éviter les douleurs musculaires en effort intense.
Ce qui est intéressant c'est que la plupart des mecs n'osent pas les porter sans mettre un short par dessus et bien souvent un slip ou un boxer dessous.
Sans compter que les couleurs sont essentiellement le noir ou dérivés du noir.
Bien peu courrent sans autre chose que leurs collants et en salle de gym c'est encore plus vrai.
Toujours cette pudeur nouvelle qui envahit nos moeurs..
Pour ma part, je porte des Skins sans rien dessous ni dessus et outre la bonne sensation de compression, on les oublient très vite.
De puis peu je porte aussi des under armour clutchfit et là c'est top du top. C'est une vraie seconde peau. La compression est ferme tout en se faisant oublier. La seule particularité que je n'ai découverte que lorsque je l'ai enfilé la première fois, c'est que la zone qui correspond à la poche de devant(qui par ailleurs,flatte bien l'anatomie masculine) ainsi que celle qui couvre les fesses est d'une maille très aérée pour bien évacuer la sueur et, du coup offre, si on regarde précisément, une certaine transparence...
Bon en même temps seuls ceux qui vont regarder attentivement, pourraient s'en apercevoir,.. alors!
et c'est pas de la pub...

reveil difficile



ouah....
après la beuverie d'hier au soir, dur dur ce matin de se réveiller... heureusement enfin, il fait beau, un petit tour à la piscine fera du bien!

11 août 2017

boite automatique


C'était bien la peine d'acheter une voiture avec une boîte automatique pour regretter les boites manuelles après!


08 août 2017

je te veux! **






C'est l'heure ou rien ne bouge; pas même les oiseaux, pas même les cigales. C'est l'heure de la sieste, c'est l'heure la plus chaude de la journée. Dans le silence du jardin, à l'ombre des arbres de la terrasse., je te veux. Arrache-moi des cris de plaisir, jouis, jouis longuement en moi. montre-moi que tu m'aimes, que la vie est belle!






07 août 2017

petit bonheur matinal





 
Ce matin, working out dans ma petite salle de gym perso de ma maison de vacances puis douche glacée au bord de la piscine juste avant un petit plongeon pour faire quelques longueurs; j'ai faim maintenant!


06 août 2017

petit précis d'anatomie..




Plages bondées








Je n'aime pas trop aller sur les plages l'été. De manière générale je vais assez peu à la plage, préférant de loin ma piscine ou celles d'amis. Plus sympa, accueillantes et.. privées.
Je vais quelques fois à la plage mais à Barcelone lors de mes séjours d'automne.

Mais c'est vrai que Je peux quelques fois me priver de petits instants sympathiques comme la proximité de corps magnifiques offerts à mes regards...

15 juillet 2017

Airport men's room

Ah, il s'en passe des choses dans les toilettes des aéroports du monde entier. 
Bon il s'en passait car avec la pandémie, on ne prend plus beaucoup l'avion.. 
Peut-être d'ailleurs que cette situation, ces aéroports presque vides, offrent finalement plus d'opportunités de petites scénettes excitantes...

Mais, généralement , c'est sûr que l'on peut s'y ennuyer ferme! entre les retards d'avions, les correspondances, les attentes peuvent être interminables. Pour ma part, j'ai déjà surpris un mec en train de se branler tranquillement dans les toilettes; porte fermée certes, mais il suffisait d'écouter les bruits qui s’échappaient de sa cabine pour en être sûr; un mec qui se branle  on en connait les bruits caractéristiques, on est des experts!!
Mais attention aux voyeurs car aujourd'hui avec les smartphones qui sont plus des caméras que des téléphones et surtout les perches à selfie on peut se faire rendre facilement et sans s'en rendre compte!




 

 





10 juillet 2017

grands enfants (5)


Y'en a marre de cette autoroute ! de ces heures passées en plein cagnard! Une bonne branlette juste pour décompresser un peu! allez les mecs profitez-en bien!










09 juillet 2017

grands enfants (4)



Fait chaud!! fait trop chaud! envie d'une bonne douche mais aussi d'en faire profiter tout le monde ... bien montrer ma grosse queue bien raide et gratifier la toile d'une bonne éjac et.. tant pis si quelqu'un me voit dans ce camping.

grands enfants (3)

Ah! les chambrées de potes en vacances; il y aura toujours des concours de celui qui a la plus grosse ou de celui que bande le plus dur le matin....
  



grands enfants (2)


Le soleil brille, on est bien et on a une grande envie de se montrer à poil sur la toile en fumant une bonne pipe à eau!! cool!!



grands enfants (1)




Les hommes sont et restent de grands enfants... la preuve par le WEB


  



05 juillet 2017

marre de la pluie!



Personnellement je n'en suis pas vraiment là! mais alors pas du tout!


03 juillet 2017

juste pour le second degré...

J'ai encore rêvé d'elle
C'est bête, elle n'a rien fait pour ça
Elle n'est pas vraiment belle
C'est mieux, elle est faite pour moi
Toute en douceur
Juste pour mon cœur

Je l'ai rêvée si fort
Que les draps s'en souviennent
Je dormais dans son corps
Bercé par ses "Je t'aime".

Si je pouvais me réveiller à  ses côtés
Si je savais où la trouver
Donnez-moi l'espoir
Prêtez-moi un soir
Une nuit, juste, pour elle et moi
Et demain matin, elle s'en ira

J'ai encore rêvé d'elle



Je rêve aussi
Je n'ai rien fait pour ça
J'ai mal dormi
Elle n'est pas vraiment belle
J'ai un peu froid
Elle est faite pour moi
Réveille-toi...

Toute en douceur
Juste pour mon cœur
Si je pouvais me réveiller à  ses côtés
Ouvre tes yeux, tu ne dors pas
Si je savais où la trouver
Regarde-moi
Donnez-moi l'espoir
Je suis à  toi
Prêtez-moi un soir
Je t'aime
Une nuit, juste pour elle et moi
Et demain, enfin je vais me réveiller
Je t'attendais, regarde-moi
A ses côtés, c'est sûr je vais la retrouver
Ouvre tes bras
Donnez-moi un soir
Je suis à  toi
Laissez-moi y croire

Une vie juste pour toi et moi
Et demain, tu seras là