20 septembre 2017

juste avant



A quoi on pense juste avant ? Avant le premier contact, avant que les yeux explorent les yeux, les mains explorent la peau, découvrent sa granularité. Aquoi pense-t’on.
Ce mec rencontré peu importe où. Ce mec qui nous a suffisamment excité juste du regard ou par un frôlement ou encore quelques mots échangés. Juste assez pour nous mettre les hormones en ébullition, juste assez pour le suivre chez lui ou chez soi peu importe, le suivre.

Et puis on est là près d’un lit ou d’un canapé, les vêtements sont de trop, une gêne à la fusion. On se demande alors si on eu raison, raison de suivre ce regard bleu, ce sourire plein de promesses. Bien sûr, là au fond du jean, le désir est là prêt à se durcir, mais tellement fragile, tellement tributaire du premier contact, d’une texture de peau, d’une granularité, du mot qui va tout foutre en l’air.






Alors oui on se concentre sur ce désir naissant, pour le faire durer ; on se remémore les quelques secondes qui ont suffi pour nous amener là où on est maintenant. Comment est il, en vrai ? Quels sont ses fantasme
J’ai envie qu’il me triture les seins, qu’il me les mordille longtemps, qu’il me pousse aux limites de la douleur. J’ai envie que cela soit long, lui lécher les couilles, le cul ; est-il propre ? Et puis, le slip est enlevé et ce n’est plus le moment d’avoir le trac.

Déjà sa main s’approche, ses yeux sont là et ce que je voulais y voir s’y trouve bel et bien. Sa queue est ce qu’elle est et on fera avec, sa peau n’a sans doute pas la texture que mes doigts attendaient mais qu’importe ! Sa langue rencontre la mienne, mes mains sont dans ses cheveux ; tout bascule. Nous y sommes, le monde est loin derrière, les bruits de la rue s’estompent, l’univers est concentré autour de nous et de ces deux corps qui se cherchent.
Tout est bien.

09 septembre 2017

La rondelle **


Le couloir est plongé dans une douce pénombre. Les fenêtres donnant sans doute sur la rue ont été consciencieusement occultées afin de ne laisser passer aucune lumière de l’extérieur. Pour ne rien laisser paraître "aux autres", à ceux du dehors, de ce qui se passe ici, mais aussi, pour permettre "à ceux du dedans" de pas être distraits, livrés tout entiers à leurs fantasmes et désirs.
Les hommes simplement vêtus d’une serviette autour des reins déambulent, se croisent, se jaugent. Des portes ouvertes sur de minuscules cabines laissent entrevoir des corps en attente, offerts. Des queues distraitement entretenues dans une légère érection, des culs tendus comme prêts à recevoir le vît jubilatoire.
Comme eux, je tourne et retourne cherchant le détail qui mettra mes hormones à l’envers et me poussera à faire le pas. J’aime voir ces corps alanguis, cambrés, tendant leurs fesses, quémandant une caresse. Poses félines. Et enfin, la voilà,  cette cambrure de dos, cette colonne vertébrale creusant profondément ces hanches, ces fesses tendues … 
Je m’approche, laisse courir mes doigts lentement le long de cette tranchée. A ce contact, le corps se cambre encore un peu plus, comme électrisé. La tendre courbure est à portée de main. Je sens ma queue se tendre sous la serviette, je dois continuer mon exploration, mon lent effleurement, sans précipitation, en plein contrôle de mon excitation grandissante. Je caresse enfin ses fesses : elles sont fermes et délicieusement couverte d’un mœlleux duvet. Ostensiblement elle se tendent encore. Il ne m'a pas regardé, cela n’a pas d’importance, nous sommes tout deux concentrés sur cet instant: moment de découverte, plein de promesses. J’imagine sa queue se tendant, cherchant la liberté comprimée sur le froid plastique de la couchette. Mes caresses se font plus fermes, de la tranche de ma main, j’explore sa raie et m’imprègne de cette moiteur si intime, si précieuse ; je porte ma main à mon visage : je veux le humer comme pour mieux le connaître. Mes mains maintenant lui écartent fermement les fesses, je veux découvrir sa rondelle, son trou du cul. J’approche mon visage que je plaque entre ses fesses fermement écartées par mes mains, ma langue avide recueille l’humidité un peu acide des lieux, léchant chaque poil. De petits gémissements, les mouvements du corps qui se soulève pour s’offrir davantage m’encouragent à continuer.
Je regarde ce trou du cul, je souffle sur cette rondelle offerte qui se contracte et se dilate sous mes yeux. Je la caresse d’un doigt, d’un coup de langue. Il est maintenant, les fesses tendues, comme en prière sur sa couche. Sa queue parfaitement tendue bat régulièrement sur son ventre. Je saisis à pleine main ses couilles pendantes tandis que ma langue s’aventure de plus en plus profondément en lui. D’un geste brusque, il a fait tomber ma serviette et s’est emparé de ma bite qu’il branle maintenant énergiquement.
J’enfonce mon visage entre ses fesses, je m’enfonce à en étouffer, je le caresse avec mon nez, mon menton et ma barbe de deux jours. Je jouis, je jouis et mon râle de plaisir se perd au fond de son cul.





07 septembre 2017

des fois..

Des fois, souvent, j'aime à te regarder , quand tu es au lit avec un livre; tranquille, juste comme ça, avec le temps qui passe, simplement le temps qui passe.

 




des fois, souvent, j'aime bien te regarder prendre ton plaisir; comme ça , sans façon, parce tu as envie, juste par envie.


En passant, comme ça. ?. **

Rien de mieux à faire cet après midi que d'aller flemmarder et lézarder au parc. Berlin a ceci de sympathique, de disposer de grandes et belles prairies ensoleillées dans le tiergarten et ailleurs aussi.
Berlin a aussi la particularité de disposer de prairies verdoyantes ouvertes au naturisme. 
Nous avons trouvé notre petit coin de verdure. Une couverture sur l'herbe, la glacière à côté de nous,  de bons bouquins,  bref de quoi passer un bon moment. Nous nous sommes dessapés ne gardant que nos shorts.
J'aime bien dans ces moments là,  me reposer la tête contre ton ventre et regarder longuement le ciel et les nuages passer.  Quelques fois aussi,  il m'arrive de m'assoupir aussi.  Et c'est ce qui m'arriva cette fois là. Je ne dormis pas longtemps et  je me réveillai le nez dans ton short; là tout contre. Je posai alors délicatement une bise sur ton sexe qui reposait là tout près tandis que tu lisais.  Puis j'eu subitement envie de te la mordiller un peu!  Bien entendu tu ne restais pas insensible et bien que gardant le nez collé dans ton bouquin,  ta queue durcissait sous mes sollicitations. 
Nous étions plutôt isolés ce jour là et les autres personnes présentes assez éloignées de nous. Je sortis ta verge de sa gaine de nylon et entrepris de nous donner un peu de plaisir;  juste comme ça,  au naturel.  Comme un hommage à la nature, au plaisir d'être là en ce jour ensoleillé, dans cette ville que nous aimons.




01 septembre 2017

rayon de soleil



Hmm,.. il fait froid en cette fin d'été; profitons bien de ce rayon de soleil matinal qui illumine et réchauffe a chambre.