14 février 2018

la gloire des undies


Déception quotidienne! De plus en plus les mecs  vos sous-vêtements me déçoivent. dans les vestiaires, on ne voit pratiquement que des boxers noirs! Passons sur le constat presque hégémonique de Calvin Klein, je n'ai pas d'action chez DIM ou Eminence mais un petit effort, mettez de la couleur! heureusement le caleçon a presque disparu, et c'est tant mieux, je n'ai jamais aimé ni les porter ni les regarder. Les porter, je trouve cela inconfortable, regarder: rien à voir finalement. 
Les slips ont également peu à peu disparu mais bon je n'en ferai pas une affaire ! Mais finalement ce qui me chagrine le plus, c'est que les marques aient abandonné le 100% coton qui donnait très vite ce coté difforme au vêtement, ce coté "vintage". Les formes moins marquées se laissaient deviner et surtout on pouvait bander à l'aise!
    









it smells good

MMM, j'adore les odeurs! j'ai du nez faut dire. Sans en être un, j'avoue déceler les subtilités odoriférantes de la nature. Et bien que comme tous, je sois souvent incommodé par les remugles de la promiscuité - promiscuité des transports en commun, des salles de sports; vêtements trop portés, odeurs de tabac ou odeurs intimes féminines- j'ai un vrai tropisme pour les odeurs intimes de l'intime. rien ne m'emporte plus que des aisselles vinaigrées et humides, qu'un cul dont je recueille avidement les sucs les plus secrets, qu'un viet de fin de journée, subtil et délicat mélange d'urine, de sueur et de liquide séminal. Goûts acres et douceâtre de la vie qui rapproche de l'autre.