14 septembre 2018

Working out **




C'est bon pour le moral, c'est bon pour le corps, c'est bon pour l'équilibre général et j'aurais du mal à m'en passer.  Tant bien que mal, j'essaie de m'entraîner plusieurs fois par semaine.  Même si je suis crevé, même si je ne suis pas in the mood. 
En ce moment, et depuis le confinement, c'est plutôt entrainement à la maison, mais, il faut dire qu'il y a des compensations, c'est si bon, ,et stimulant de se retrouver dans des ambiances d'hommes, des senteurs d'hommes.



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03 septembre 2018

UNDERWEAR PARTY**


J’avais depuis longtemps envie d’expérimenter ces soirées spéciales dress code des sex clubs. Etant un peu fétichiste des sous-vêtements, je me suis dit qu’une soirée slip serais sans doute la meilleure expérience.
Dès l’entrée, on vous tend un sac poubelle où il faut déposer ses affaires personnelles; pas de vestiaire, on se déshabille sous le regard des autres qui n’ont rien d’autre à faire qu’à regarder les nouveaux venus se dévêtir, en sirotant tranquillement un verre. Le sac rempli, ses initiales inscrites au feutre dessus, on fait partie du clan, avec le slip que l’on a consciencieusement choisi; assez sexy pour convenir à la circonstance, pas trop quand même pour ne pas faire « salope ». Mais surtout un slip mettant bien en valeur ses attributs.
De fait, ainsi déshabillé on doit avoir l’air con, rien qui permette de se donner une contenance face à tous ces regards rivés sur soi. Alors on va au bar avec un air négligé voire blasé, on commande une bière au moins pour ne pas avoir les bras ballants et enfin pouvoir faire partie du clan de ceux qui regardent, attendent les prochains et finalement s’emmerdent à dix sous de l’heure. Alors il ne reste plus qu’a rejoindre le sous-sol, et ceux qui « cruisent », inlassablement, avant de s’envoyer en l’air. On se sent vite décomplexés en croisant tous ces mecs en string ficelle, slips transparents, Calvin Klein et autres jock straps.
Evidemment l’excitation vient assez vite, voir ces sexes plus ou moins comprimés, distinguer dans les coins sombres, des mains en explorations dans des slips kangourous…. Le jock strap choisi avant de venir, se tend de partout.
Je me glisse dans un coin où un grand chauve en Calvin Klein blanc attend. Nos regards se croisent et assez vite, nous nous trouvons l’un et l’autre à caresser le slip de l’autre. Nos slips ne contenant plus qu’avec peine nos queues dures et comprimées, nous nous sommes résolus à les arracher provoquant immédiatement l’attroupement habituel. J’adore baiser en public, les regards des autres, les mains qui essaient de participer au festin, tout cela m’excite énormément.
Ce mec a les fesses bien fermes, une queue bien droite, veineuse, rasée, un gland décalotté qui mouille un peu. Je m’amuse à lui caresser le crâne rasé de frais tout en frottant mes lèvres sur son bas-ventre tout lisse. ça pique un peu quand même!...
Baiser en public le gêne visiblement ; déconcentré, sa bite commence à légèrement débander, je lui propose alors d’aller chez moi.
Ces moments d’intermède sont souvent délicats, la tenson retombe très vite, il faut se rhabiller, payer son verre, sortir et aller à la recherche d’un taxi Pendant cette attente qui peut être longue, il faut tout faire pour maintenir la tension sexuelle vive. Dehors, devant la boîte, pendant qu’il guette un taxi libre, je m’amuse à lui mordiller le cou, à glisser ma main dans son jean et faire mine de lui sortir la queue hors de son jean, je sens qu’il bande un peu, je l’embrasse à la volée, l’excite. Enfin, un taxi s’arrête auprès de nous, nous nous engouffrons sur la banquette arrière, et nous caressons la braguette tout au long du trajet.

La porte de mon appartement à peine refermée, il se rue sur moi et nous enlevons nos fringues mutuellement, là au milieu du couloir. Une chaussure ici, un pantalon par là, un slip sur la commode, le chemin qui mène à mon lit est semé de vêtements hâtivement jetés.
Le lit nous attend, j’engouffre sa superbe queue jusqu’au fond de ma gorge, il fait de même. Son gland tape au fond de ma gorge, je lui caresse la fesse, parcours sa raie légèrement poilue avec mes doigts ; tandis que sa queue continue de remplir ma bouche et ma gorge, mes doigts écartent ses fesses. Je lâche alors sa bite pour laisser ma langue explorer sa rondelle et commencer à forcer l’entrée de son corps. Il fait de même, j’écarte un peu mes fesses pour permettre à ses doigts de se frayer un passage. Un puis deux ; je râle, j’écarte un peu plus les cuisses pour bien lui montrer que je n’attends plus que lui. Il se tourne, se dresse devant, passe mes jambes par-dessus ses épaules et entreprend de me pénétrer. Ses yeux sont rivés aux miens, ils brillent de désir. Je n’oppose aucune résistance et sa queue m’empale directement et profondément. Il s’active tandis que je me branle. La sueur envahit nos corps, au dessus de moi, son torse brille de fines gouttelettes, je le caresse, l'essuie, m'en lèche les doigts. Le sentant venir, je lui demande de jouir sur mon ventre ; alors, un peu à contre cœur, comme dans les films pornos, il s’extraie de mon cul; je lui prend la bite et la branle avec la mienne des deux mains. Il me travaille les seins de plus en plus fortement au fur et à mesure qu’il se retient de jouir ; alors, soudain, un râle longtemps retenu monte de sa gorge, ses doigts serrent brusquement à me faire hurler de douleur et de plaisir les tétons, nous giclons pratiquement en même temps sur mon ventre. Il aura bien mérité de finir la nuit avec moi.