15 novembre 2019

même eux... **


On pense qu'ils passent leur temps à 
cela. qu'ils sont toujours chauds, excités, dilatés. Toujours prêt à donner des coups de butoir, toujours prêts à en recevoir.
Ben, voilà, des fois cela ne marche pas. On a pas envie, c'est tout. C''est comme au boulot! Il y a des jours où on serait mieux chez soi à traîner ou mater la télé!

03 novembre 2019

jeux de mecs



On voit au hasard de la toile des images voire des films de soirées entre mecs qui dégénèrent en parties que je qualifierais de "cochonnes". 
Soirées de fin d'études, de fins de match ou de tous autres événements bien virils ou soi-disant bien virils qui deviennent des prétextes à sorties entre mecs, exclusivement entre mecs. Ces soirées sont bien entendu bien voire très bien arrosées! d'ailleurs je pense que c'est l'objectif principal voire unique que de boire le plus possible pour déjanter le plus possible et se désinhiber à fond. Et c'est là que mystérieusement cela tourne aux gages, aux paris stupides et quasiment tous à connotations sexuelles. On se défringue par paliers, on montre son cul, on fait des concours de qui a la plus longue, on se tripote.... J'en passe et sans doute des meilleures car je dois dire que je n'ai aucune expérience de ces soirées là. Jamais de ma vie, je n'ai eu l'occasion ni l'idée de ce genre de trucs. Et c'est cela qui me mène au raisonnement presque intuitif: ces soirées là, ces débordements là, sont essentiellement hétéros.

Je dis essentiellement car je veux rester prudent et ne pas affirmer "tous".

Enfin, ce raisonnement m'amène à la conclusion, triste conclusion pour le gay fanstameur qui a une fâcheuse tendance à s'emballer vite fait que ces parties entre mecs ne finissent jamais bien.. dans aucun sens du terme! pas d'orgie salvatrice, pas de joyeuse enculade! non le sperme ne coulera pas à flots, les fesses resteront serrées et tout ce beau monde finira sous les tables ronds comme des barriques, partageant dans le vomis et surtout une vague honte au réveil. Ils oublieront très très vite car ce sont de vrais mecs!





16 octobre 2019

Circuits Hormonaux



je passe trop de temps sur mon Pc. trop de temps à parcourir la toile à la recherche de "je ne sais quoi". Voir, lire, c'est une fenêtre sur un monde anonyme, où nous pouvons les uns et les autres insatisfaits combler durant quelques heures nos manques, nos insatisfactions.
quelle drôle de façon de communiquer finalement. Bien à l'abri de sa chambre ou de son bureau. Juste la lumière de la lampe, un peu de musique sans doute et tout est possible. Certains se photographient et livrent leur corps dénudé au monde entier. D'autre et j'en suis dévoilent à l'abri des regards de ceux qui les entourent vraiment, leurs faces cachée, inconnue.
Alors tout ce beau monde échange sans échanger, se parle et se raconte sans se connaître. combien d'entre nous, ont ainsi provoqué des orgasmes solitaires, à combien de mecs, dans combien de pays. Et moi, combien de fois me suis-je branlé à la lecture de tel ou tel blog? Combien de fois,  combien de temps passé en des "échanges" avec des inconnus aux quatre coins du monde ?

nul ne le sais, juste chacun de nous.


12 octobre 2019

El pais **




Tu prenais un café à la terrasse du sancerre, rue des abbesses. Tu lisais El Pais. Moi aussi, alors bien entendu cela nous a rapprochés. Nous avons commenté l’actualité espagnole, les élections, Zapatero, Barcelone, ma ville, Séville, ta ville. Nous avons bu notre café, puis deux, puis je t’ai proposé de venir bruncher chez moi 
–tu comprends, j’habite à deux pas-
Tu es venu. J’ai mis de la musique, du jazz, je crois. Tu as fouillé dans ma discothèque tandis que je préparais le repas et tu as changé le disque. Une cantate de JS Bach. Normal, as-tu dit, c'est dimanche. J'ai aimé, beaucoup. Je mets toujours du Bach, le dimanche. C'est ma messe à moi, ma manière à moi de communier avec Dieu.
Tandis que tu mettais la table, je m'affairais à la cuisine, piochant dans mon pauvre frigo, de quoi faire un brunch digne de ce nom. C'était bien. On continuait de se parler, de blaguer, à travers l'appartement inondé d'un soleil déjà printanier. C'était bien. C'était comme si .....
Tu m’as rejoins dans la cuisine et, sans un mot, tandis que je coupais quelques tomates, tu as passé tes mains sous mon tee-shirt, contre ma peau et tu t’es serré contre moi. Nous sommes longuement restés ainsi sans bouger. Ton menton posé contre mon épaules tes bras enlacés autour de mes hanches et moi une … tomate à la main.
Nous n’avons pas pris le temps de manger. Je t’ai emmené vers ma chambre. Devant le lit, sans un mot nous nous sommes dévêtus. Face à face. Les yeux dans les yeux. Sérieux, trop sérieux. Regards intense, trop intense. Déjà en attente. on n'avait encore rien découvert l'un de l'autre que déjà nos regards cherchaient plus loin. Derrière cet instant..

Ensemble, nos tee-shirts ont valsé à l’autre bout de la pièce. Ensemble, nos pantalons, nos chaussettes, nos slips ont valsé. Puis de nouveau face à face, nus, nos bras ballant, nos sexes durcissant doucement, laissant venir à nous le désir. Alors tu t’es approché, sans quitter un instant mes yeux. Ta main s’est posé sur mon ventre, ta main lentement est allée à la découverte de mon sexe, de mes couilles. Puis les caresses sont venues. Puis, nous nous sommes jetés sur le lit. Puis les baisers, le goût salé de ta peau sur ma langue. Enfin, les halètements, les râles. La douleur aussi, un peu; tandis que ta longue queue me pénètre enfin, tandis que je me donne.
La sueur de nos corps, tes ongles qui s’enfoncent au creux de mon épaule tandis que tu me baise. Ta main pour étouffer mes râles, mes cris, tandis que tu t’enfonces si profond en moi. Ton spasme, presque des pleurs tandis que tu jouis, tout ton corps arqué, tout tes muscles tendus par le plaisir.
Mon spermes enfin que je répands tandis que je me branle, tout mon corps posé sur ta queue encore dure au fond de mon cul. Tandis que tu me caresses, tandis que tes lèvres, ta langue, parcourent mon oreille.
Nous avons longuement dormi cet après midi là. Redoutant le réveil, redoutant ce qu'il faudra se dire.
Tu t’appelles Juan José.





25 septembre 2019

urgence absolue **


 

rude journée! réunions interminables, discussions stériles, 230 courriels à lire, jeter, répondre,.... bref une journée en stress absolu.
Enfin à la maison, je me jette su le canapé, me défalze et je me branche sur CAM4.
Urgence absolue de décharger en ligne avec tant d’inconnus. je n'ai même pas pris le temps de me changer; chemise portée toute la journée à peine déboutonnée, cravate juste défaite, ma queue bien raide comme une nécessité. Une bonne giclée , le calme enfin.




11 septembre 2019

tu cherches quoi? 3711

Tu cherches quoi dans cette ville inconnu, le long de ces avenues désertes. La pluie frappe aux vitres de la vieille Plymouth Fury III. les lumières de la ville se jettent comme des bombes multicolores sur ton pare brise. explosions de lumières. Tu cherches quoi? âmes perdues courant sous la pluie. cris étouffés. Toute l'insolente et glaciale cruauté de la ville, de la cité se brise sur les vitres de la Fury. l'autoradio hors d'âge te hurle une musique désespérée. Et puis là bas sous ce lampadaire, trempé comme un chien abandonné, ne cherchant même plus à s'abriter de cette pluie diluvienne. ce long corps inconnu montrant du doigt la route, le lointain, l'horizon. Alors tu t'arrêtes, tu l'accueille. ses vêtements trempés ruissellent sur le cuir de la Plymouth. ses cheveux collent à son visage. Il ne dit rien, tu ne lui laisse pas le temps -j'y vais- lui dis-tu. La longue route commence, les phares maintenant éclairent une destinée. La voiture trace, traverse la ville vers là bas. tandis qu'il ôte peu à peu ses hardes trempées, découvrant sous l’intermittence des lampadaires, un corps maigre et glabre, enfin, tu sais où tu vas. Au moins pour quelque temps.


      

Quelques fois,..




Quelques fois, quelques rares fois, on atteint la félicité même dans le recoin le plus obscur d'une backroom, même dans le plus hard des sex-club. Même quand les sueurs, miasmes mêlés assaillent vos narines, même quand le sol jonché de sperme et de capotes usagées est une insulte à vos jeans baissés.
Ces corps trempés de sueur, ces multiples mains qui se tiennent, vous effleurent, vous explorent même en dedans. Ces bouches, ces haleines qui se mêlent, ces sexes tendus qui s'entrechoquent, ces culs triturés, pénétrés.
Rien ne peut laisser croire à un peu de félicité dans ces lieux maudits par beaucoup.. Et pourtant, pourtant je vous le dis, j'ai trouvé quelques fois, quelques moments d'apaisement.



09 septembre 2019

Séminaire -envoi d'un lecteur

Je m’appelle Robin, j’ai 25 ans, je mesure 1m80 et pèse 70kg. Je suis plutôt bien foutu, de beaux abdos et des petits pectoraux assez sexy. Je suis plutôt beau gosse et extraverti. Je suis bi et je travaille dans une grosse entreprise de communication, ce genre d’entreprise qui adore organiser des séminaires où l’on ne fait rien…

Cette fois-ci, mon patron m’indique que nous allons faire un séminaire d’une semaine dans un bel hôtel en Ardèche. Content de cette petite semaine de vacances gratuites, j’accepte immédiatement mais je n’aurais jamais pensé avoir une semaine aussi chargée…

Deux semaines plus tard, je quitte Paris à bord de ma voiture direction l’Ardèche. Après deux bonnes heures de route je m’arrête sur une aire d’autoroute déserte. Je vais au toilettes, m’installe dans une cabine et remarque un trou dans le mur entre les deux cabines.


Curieux, je regarde, personne dans la cabine voisine. Je fais mon affaire tranquillement et au moment de sortir, quelqu’un rentre dans la cabine d’à côté. Je jette alors un œil dans le trou pour apercevoir un jeune d’à peu près mon âge en train d’uriner sans se rendre compte que je l’observe. Je ne vois pas son visage mais uniquement sa bite. De taille moyenne  et  circoncise. Rasée, elle est très excitante. Je matte quelques instants ce bel objet depuis mon trou. Soudain, l’inconnu se rend compte de ma présence. Il doit connaître les lieux car il fait passer son engin à travers le trou en me disant «vas-y ». Excité par la situation, je m’exécute. Je prends alors sa bite en main et commence à le branler doucement.
 


 L’homme bande vite et je me retrouve avec un beau morceau.  Je le  prends en bouche. Il pousse  alors un léger soupir de plaisir. Tout en tenant ses belles couilles en mains, je le suce vigoureusement pendant une bonne dizaine de minutes, alternant entre va-et-vient sur sa hampe et tours de langue sur son gland bien humide. Je le sens venir doucement. Sans même m’avoir prévenu, il crache cinq grosses giclées de sperme dans ma bouche. Son sperme a un goût délicieux, j’avale tout et nettoie ensuite sa bite jusqu’à ce qu’elle soit débandée totalement. L’inconnu me remercie et s’en va en sifflotant. J’attends quelques instants, m’essuie la bouche, entend sa voiture partir et sors enfin des toilettes. Je reprends la route avec le goût de ce bon sperme dans la bouche et une envie irrépressible de baiser. J’arrive assez tard à l’hôtel ce qui n’est pas grave car mes collègues n’arrivent pas avant demain matin pour la plupart. Étant un des premiers, je choisis une des meilleures chambres, avec terrasse, grand lit et baignoire balnéo. Je me rends dans ma chambre et m’affale dans le lit.


N’ayant eu pour seul repas de la journée qu’une bonne giclée de sperme, je décide de faire appel au room-service. Je commande et pars me doucher le temps que mon repas soit préparé. On sonne à ma porte alors que je sors à peine de la douche.


Je sors de la salle de bain, serviette autour de la taille, les cheveux mouillés, le corps ruisselant.
J’ouvre la porte. Un jeune homme dans la vingtaine attend avec un chariot devant ma porte. Il lève la tête lorsque j’ouvre et semble perturbé à la vue de mon corps. Je le laisse entrer avec le chariot. Il porte une chemise noire bien serrée qui fait ressortir ses pectoraux assez développés. Son pantalon moule son cul à la perfection, joli et rond. Il est plutôt mignon. Alors qu’il me fait signer le reçu, je remarque une grosseur au niveau de son pantalon. Le coquin n’est pas insensible à mon charme ! Je signe, pose le stylo et mets ma main sur son entre-jambe.


Il comprend tout de suite ce qui va se passer. Il court fermer la porte à clé et se rue sur moi pour m’embrasser. Je lui rends longuement son baiser langoureux.


Il quitte ma bouche pour m’embrasser le cou et fait tomber ma serviette à mes pieds. Je sens une joie dans son regard quand il voit mon engin, 20 cm bien droits, pubis et couilles rasés, avec un gland un peu plus gros que la moyenne. Il me pousse sur le lit et se positionne la tête face à ma bite. Il descend mon torse en m’embrassant tendrement les tétons, les abdos puis tire doucement les poils qui remontent jusqu’à mon nombril avec les lèvres. Il prend ensuite ma bite en main, effectue un aller-retour et enfourne ma tige dans sa bouche. Il a du mal à l’avaler en entier mais fait tournoyer sa langue sur mon gland à une vitesse qui m’arrache des gémissements de plaisir. Je lui tiens la tête pour lui imposer mon rythme puis, sentant que je viens, l’écarte de ma bite et l’embrasse à pleine bouche. N’en n’ayant pas assez, je commence à le déshabiller, j’ôte ses vêtements et le voilà en boxer Calvin Klein avec une gaule apparente et laissant imaginer un bon mandrin . Le serveur est musclé juste comme il faut avec de beaux abdos et des pectoraux saillants, son cul est bien rebondi, à tomber ! Un léger duvet sur le torse, des jambes bien poilues et une large trainée de poils remontant de son pubis.


Je le caresse tout en l’embrassant puis retire son boxer presque sauvagement laissant s’échapper sa longue queue circoncise et de longues  couilles que je prends en bouche tout en caressant sa verge turgescente. 
- j'ai très envie de ton cul,  lui dis-je,  le nez entre ses abricots, veux-tu ?
Son regard me dit oui..
Je prends mon beau serveur et le met à quatre pattes dos à moi. Son cul s’offre à moi avec des fesses bien duvetées et une raie poilue. Je lui embrasse les fesses avant de poser ma langue sur sa rondelle bien humide déjà. Je m’active à lubrifier son orifice avec ma salive pendant de longues minutes. Il pousse des gémissements tout du long. Ensuite, je tente d’introduire un doigt dans son anus. Mon doigt rentre facilement et un deuxième vient s’y ajouter. Je lui ouvre peu à peu le sphincter pour le préparer à l’entrée de mon gland imposant. J’alterne désormais entre trois doigts et ma langue qui s’immisce de plus en plus profondément dans son anus. Il est désormais prêt à m’accueillir.


Il me tend une capote qui se trouvait dans sa poche et je l’enfile rapidement. Je crache sur sa rosace pour la lubrifier encore un peu ainsi que sur ma bite. Je me positionne à l’entrée de son anus et pousse assez fort pour que mon gland passe. Je sens que mon ami n’est pas à l’aise et qu’il souffre de la taille de mon gland à laquelle il n’a sûrement jamais été confronté. Mon gland passe enfin et le sphincter se resserre autour de ma queue et le visage du serveur se desserre. Je m’enfonce ensuite dans les entrailles de mon beau serveur ce qui ne manque pas de lui faire couler quelques larmes de souffrance. Enfin, mes couilles tapent son cul et je commence à aller et venir dans son cul d’abord doucement puis de plus en plus vite. Au bout de dix minutes, je lui pilonne violemment le cul et il adore ça. Il gémit de plaisir à chaque coup de reins. Je retire en entier mon pénis, le temps d'admirer sa rosace désormais béante  et le rentre violemment. Nous changeons de position, il se met sur le dos et je lui tient les jambes  bien hautes et écartées. 

Après dix minutes, je sens son anus se resserrer sur ma bite, il va jouir. Trois longs jets jaillissent de sa belle bite circoncise et atterrissent sur son torse et même sa bouche. Je l’embrasse alors en prenant soin de bien lécher le sperme sur le coin de sa bouche. Son anus resserré sur ma queue me fait venir, je me retire, retire la capote et me déverse sur le torse de mon ami. Nos spermes se mélangent alors, j’en aspire une partie et roule une pelle à mon ami avec ce mélange de semences. Nous léchons entièrement ce qu’il a sur son corps puis il se rhabille me laissant nu, sur le dos sur mon lit. Il m’embrasse, me remercie, pose mon plat qui est désormais froid sur le bureau et part avec son chariot, un grand sourire aux lèvres. Je n’avais même plus faim et je m’endormis très vite, épuisé







01 septembre 2019

un bain brûlant

Un bain, un bon bain chaud.
la salle de bain est plongée dans l'obscurité, seule la lumière froide de cette torche jette sur les carreaux blancs des ombres inquiétantes.
l'eau brûlante coule à flot dans la baignoire, tandis que je me désape lentement, jetant de loin en loin des coups d’œils "allumés" à mon reflet dans le miroir
qui déjà se couvre de buée, tandis que mes vêtements les uns après les autres se dispersent sur le sol. Je me désape lentement, fébrilement, sentant ma queue se durcir dans mon boxer, sentant le coton l'emprisonne, gênant la manœuvre mais la libérant enfin.
mon corps se couvre de chair de poule au fur et à mesure qu'il rentre en contact avec l'eau brûlante, disparait presque sous la brume chaleureuse, accueillante.
la paix, le silence juste rompu par les clapotis de l'eau agitée par ma main qui va et qui vient le long de mon sexe dressé, gonflé de sang.
je rêve, de ton corps adoré et superbe, je rêve de ta queue si proche de ma bouche, je rêve de tes couilles délicieusement agitées par le mouvement frénétique maintenant de ta main, je rêve de ce gland tuméfié effleurant mes lèvres , je rêve enfin de te recevoir, d'être béni, nourri, sanctifié par ta semence précieuse.

31 août 2019

petit plaisir de la vie **

j'ai ce qu'on l'on pourrait définir comme un "gros membre", une "grosse queue", a "big dick" comme ils disent.
je dois dire aussi que je suis un latin et que comme beaucoup de latins voire tous, j'aime à me tripoter le sexe. comme si j'avais peur qu'il se détache me disait sans cesse ma mère!
quelques années de vie parisienne font que dans la rue je prend garde à ne pas trop me laisser aller à ce "toc" bien innocent quoique pas très élégant.


Mais à la maison, c'est un vrai festival! Je passe littéralement mon temps la main dans le sac; que cela soit devant la télé, en lisant ou en téléphonant.
C'est un vrai plaisir, c'est comme un doudou ou la tétine de notre petite enfance. Cela calme, rassure, apaise. C'est si bon de jouer avec cette chair chaude, douce, malléable.


Et, quand les caresses se font un peu trop précise, c'est si bon de sentir le sang la gonfler tout subrepticement. Elle devient à chaque instant plus lourde, plus ferme. Alors j'arrête quelques instants afin que cela ne dégénère pas. Nombre de mes amis sont parfaitement au fait de cela et en rient. Quelques uns quand la conversation au téléphone s'éternise, me posent la question tout de go
 - t'es encore en train de te tripoter!?-



Avec S. cela prenait quelque fois un tour plus excitant car quelques fois il se prenait au jeu, m'encourageait à des caresses plus précises, et cela finissait en orgasme plus ou moins simultané au téléphone.


Ok, ok cela s'analyse, j'ai sans doute manqué d'affection dans mon enfance, ok. En attendant, c'est bon et ma foi j'en connais qui aimeraient bien jouer avec aussi!


01 mars 2019

Toison


Cela fait partie de ces rencontres à l'improviste qui finalement vous réservent de bonnes surprises et qui quelques fois vous marquent.
Au détour d'une rue, dans un magasin, un café, peu importe, on échange quelques mots;  un renseignement, l'heure et il se passe "un truc"; comme une petite décharge qui vous dit qu'il ne faut pas passer à côté de. ..on ne sait pas encore quoi.
C'est ce qui arriva avec lui.  Juste un regard, une petite décharge électrique et nous avons pris le même chemin. Celui qui mène à son appartement.
Il était vraiment très excitant; il fallut peu de temps pour que l'on se retrouve sur un horrible canapé genre dalmatien à se bécoter et se caresser. En ôtant son slip bleu déjà bien distendu, j’eus le plaisir de découvrir une incroyable toison noire entourant une belle queue qui ne demandait qu'à s'épanouir et des couilles perdues dans cette forêt touffue.

Quel régal que partir en exploration dans cette forêt humide et odorante, quelle excitation  que de rechercher dans cette exubérance, son tréfonds et quel bonheur que de le trouver déjà si accueillant pour ma langue avide!  Si accueillant que je tentai d'y glisser un doigt et après en avoir partagé le fumet avec lui, deux puis trois.
 Je farfouillai longuement ses entrailles tout en flattant son long sexe au fond de ma gorge.  Je me voyais déjà l'empaler de toute la longueur de ma queue, je rêvais déjà de mes couilles battant son cul à chacun de mes coups de reins quand il repris l'initiative.  Il m'emmena à la salle de bain ou nous primes ensemble une voluptueuse douche puis nous allâmes dans la chambre où il entreprit de me bouffer le cul avec entrain m'arrachant des petits gémissements de plaisir.


Je me laissai doucement aller au plaisir de ses caresses, au poids de son corps sur le mien tandis qu'il me baisai l'oreille, le visage, le dos; tandis que je sentais son sexe lourd se frotter au bas de mon dos.
Je me cambrai au maximum afin qu'il puisse fourrer sa langue dans mon anus, je poussai sa tête comme un encouragement à creuser plus profond en moi.  Alors il s’écarta un instant et en sentant son gland entre mes fesses, je compris que j'allais être comblé!  Il m'a pénétré sans difficulté car je comprenais que c'était exactement ce que je désirais le plus à ce moment là.  






08 février 2019

rencontre argentine


Le jour était déjà levé quand enfin, nous passâmes le pas de la porte de cette boite de nuit. Il faut dire qu’à Buenos aires, les soirées commencent très tard et finissent très tôt ou très tard, c’est selon. Un garçon rencontré dans un bar m’accompagnait. Nous avions échangé quelques mots, dansé beaucoup et  de fil en aiguille, voilà que l’on se retrouvait sous la lumière du petit matin à chercher un taxi. J’allais aller chez lui ; je ne connaissais pas encore son nom mais j’allais chez lui… Putain d’hormones. Il n’était pas spécialement dans mon genre, pas spécialement beau, non. Mais un beau sourire et une drague bien latine avait suffit pour emporter le morceau (moi). Il s'était collé lascivement contre moi durant nos séances de danse. Et j’avais aimé ça ; pas besoin de le convaincre donc, il lui avait suffit de se frotter contre mon bas-ventre « les hommes ne mentent jamais » disait Cocteau !


Il n’a pas arrêté de me palper, caresser partout durant tout le trajet en taxi. J’étais pas très à l’aise, ne connaissant pas l’état des mœurs ici en Argentine. Mais le chauffeur ne disait rien, ne semblait pas regarder et je me laissai donc aller à la douceur de ses caresses.

Il habitait un petit appartement quelque part dans Palermo  Holywood. Il disait travailler dans un studio d’enregistrement dans le quartier.

L’appartement, un joyeux boxon comme souvent chez les mecs seuls. A peine la porte refermée, il commença à se déshabiller tout en se dirigeant vers la salle de bains ;
- je vais prendre une douche, on pue la sueur après avoir dansé toute la nuit ! tu pourras en prendre une aussi !
Je le suivis dans la salle de bains ; Nu devant moi, je fixai le mouvement de ses belles fesses musclés et la cambrure de son dos. Sa peau était d’un beau brun mat.

Tandis que je me dévêtais à mon tour, il entra sous la douche, se tourna et me fit un grand et beau sourire ; Mon Dieu, je découvris alors sa queue, longue monumentale, massive, bien que ne bandant pas !

J’étais sous le charme, c’est certain mais un peu effrayé aussi ; il allait falloir jouer avec ça ! bien entendu ce n’étais pas mon premier TTBM ; moi-même je dois dire, suis assez bien monté ; mais, je ne sais pas pourquoi ce matin là, j’étais comme tétanisé par son membre..


Il m’attira sous la douche et se mit à me laver avec délicatesse. Il me savonna partout, insistant bien sûr sur mon sexe qui était maintenant bien raide contre mon ventre et entre mes fesses qu’il caressa longuement. Nous nous essuyâmes conjointement et c’est ainsi que j’eus mon « premier contact avec la chose » qui était maintenant « opérationnelle », majestueuse.  
Nous passâmes dans la chambre.  Je compris assez vite, qu’il n’avait qu’une seule chose en tête me baiser ! il m’écarta gentiment les jambes, toujours avec son merveilleux sourire et disparu entre mes fesses qu’il entreprit de découvrir intimement à coups de langue ; Bientôt  remplacée par ses doigts. De mon coté, je me préparais à le recevoir et accueillais ses explorations digitales avec joie et force gémissements.

Quand enfin son membre fut tout entier en moi, ce fut comme une explosion de douleur/plaisir et ses premiers mouvements furent doux et bienveillants. Mais très vite il accéléra ; j’entendais ses couilles cogner mes fesses et le bruit caractéristique de l’empalement me rendit bientôt complètement dingue de plaisir. Je gémissais, je hurlais plutôt et il aimait cela, redoublant d’effort pour me baiser.
Il m’arracha presque sans caresses, un orgasme dément et je jouis, versant à jets puissants ma semence contre mon ventre.
Me voir éjaculer ainsi sans même me branler, l’excita tellement qu’il jouit lui aussi peu de temps après.
Enfin, enfin calmé(s) nous échangeâmes nos premiers baisers et nos premières caresses. Nous allions enfin, maintenant faire l’amour !