31 décembre 2020
29 décembre 2020
troubles **
Nous étions copains, copains comme cochons. les meilleurs amis du monde. fusionnels. Sans toi, je n'étais rien et je pense que c'était la même chose pour toi. Nous avancions dans la vie d'un même pas, d'un même rire. Nos yeux rivés vers la même direction, comme un seul corps. Ensemble, plus rien n'importait; ensemble et cela suffisait. Un seul corps. chaque atome de nos êtres en fusion: un seul être. toi absent et le monde semblait creux, vide, surpeuplés, fantomatique.
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19 décembre 2020
cruising et exhibition
Il fut un temps ou les penchants exhibitionnistes ne pouvaient se développer que de façons limitées et dangereuses : le fameux imperméable en est un parfait exemple.
Beaucoup le font sur les sites de chat (voir ma série sous le libellé CAM), mais aussi maintenant sur les aires d'autoroutes, les dunes de plages, les toilettes, les parcs, allées ou sous-bois, bref tous les endroits publics où la discrétion était de mise. Mais les caméras sont partout et les gars sont nombreux à se filmer en train de baiser et à se laisser filmer dans toutes les positions sans craindre de se voir parcourir mondialement la toile et les sites pornos à visage et corps découverts.
Celui-ci drague sur les parkings et se laisse photographier dans les voitures des mecs qu'il suce
17 décembre 2020
frisquet ce matin **
Pas trop de monde en ce frais matin, quelques têtes connues, habitués du jardin le dimanche matin. Je cours à contresens, j’aime croiser… plutôt que de me faire doubler !
Au cinquième tour, je croise un grand gaillard, blond, la trentaine ; son regard ne trompe pas, en quelques millièmes de secondes il est passé de mes yeux vers mon short. Une sonnerie d’alarme hurle soudain dans ma tête. Cette première rencontre me motive pour faire un nouveau tour et le croiser de nouveau, puis de nouveau, de nouveau. A chaque passage, je sens le regard plus affirmatif, plus demandeur, plus insistant. La question est maintenant de comment arrêter cette course infernale avant d’être totalement épuisés ! Je décide donc de prendre les devants et de m’arrêter là et de l’attendre assis sur ce banc. Va-t-il s’arrêter ou passer son chemin ; je vais bientôt en avoir le cœur net. Le voilà, tout d’abord étonné, il passe son chemin, mais, déjà son rythme faiblit et il me rejoint en petite foulée arrière. Avec un grand sourire sur un visage baigné de sueur, il me salue et nous commençons le blabla habituel des présentations
On décide d’aller chez moi, rien qu’à cette idée, ma queue pointe déjà sous mon short, je voudrais qu’il s’en rende compte, l’allumer un peu plus encore. Je lui griffonne mon adresse sur la paume de sa main et je rentre chez moi en courant, le laissant derrière car il avait une course rapide à faire avant de me rejoindre.
A peine entré chez moi, je me suis déshabillé nerveusement en jetant mes vêtements le long du couloir menant vers la salle de bain. La douche brûlante ne réussit pas à apaiser mon envie de sexe. Je l’attends avec impatience sans même prendre le temps, ni vouloir d’ailleurs me rhabiller. J’ai envie de rester nu, à peine séché, rester avec les dernières gouttelettes de ma douche éparpillées sur mon corps. Je ne débande pas, je suis complètement dingue, je cherche la mise en scène qui sera la plus bandante pour éviter les préliminaires inutiles et je décide de laisser la porte de mon appartement entrouverte et de l’attendre là, au milieu de l’appartement à poil, assis sur le parquet.
Je n’ai pas eu à attendre longtemps, il est apparu dans le chambranle de la porte, m’a aperçu. Il était encore en tenue de sport et couvert de sueur. Il aurait bien voulu se doucher, mais je l’en ai dissuadé en l’attirant vers moi, fermement du regard. Il s’est déshabillé rapidement, je voyais son short gonflé par un sexe prometteur.
Nu devant moi, le corps luisant, la queue dressée à l’extrême, il m’a dévisagé quelques instants, j’ai alors ouvert mes cuisses en signe de bienvenue, lui offrant ma bite toute droite battant mon ventre.
14 décembre 2020
petits bonheurs de l'été (3) **
Le freebaling, c'est bien! certo! mais il faut quand même être prudent si on n'est pas un peu exhib car il peut arriver et il arrive que l'on offre par mégarde aux regards étrangers alors choqués ou concupiscents, une vue sur notre intimité. why not après tout.
coloc de vacances
Voilà ce que c'est quand on loue à plusieurs une maison de vacances. Le soir, une envie subite vous prend et, sur le chemin de la salle de bain, vous entendez des bruits plutôt caractéristiques... Vos potes ont laissé la porte de leur chambre entrouverte et s'adonnent à leurs jeu favori...
envie de s'associer? l'histoire de dira pas la suite!
aventure ferrovière (reçue;) **
L'intrus était un homme d'âge mûr, la cinquantaine environ. Il portait des cheveux poivre et sel, encadrant un visage pas désagréable. Il semblait plutôt bien charpenté.
Il sortit rapidement une tablette tactile et commença à l'utiliser. Je regardais le paysage défilant maintenant à belle vitesse.
Nous nous trouvions au bout du wagon de tête, là où tout le fond du wagon est occupé par une rangée de sièges en face de laquelle, de chaque coté de l'allée centrale, se trouvent deux sièges à une distance suffisante pour qu'en cas d'affluence les passagers face à face ne se gênent pas dans leurs mouvements de jambes.
J'étais assis sur le duo de siège de gauche, près de la fenêtre, et l'individu se plaça sur la rangée de siège en face, au milieu. Au-dessus de cette rangée de sièges terminant le wagon, un grand miroir fumé me permettait de voir que le reste du wagon, derrière moi, était vide. Je fus sorti de ma torpeur au bout d'un moment: provenant de la tablette de mon intrus, des sons de gémissements trahissaient sans équivoque son activité. Il regardait une vidéo x.
Je jetai rapidement un œil dans sa direction, l'homme croisa mon regard
- " Pardon", fit-il en coupant le son de sa tablette.
me fendis d'un léger sourire un peu gêné, et m'en retournai à ma contemplation de la campagne défilant par la fenêtre.
- Le son vous dérange ?" me demanda alors l'homme.
- Non, non, je vous en prie, fis-je un peu/beaucoup hypocrite voire faux-cul.
- Vous voulez peut-être en profiter ? C'est une excellente vidéo!
Et joignant le geste à la parole, il vint s'asseoir à coté de moi.
Sur sa tablette, une jolie blonde se faisait copieusement démonter la chatte en levrette par un bel étalon brun et bronzé, dans un concert de cris et de gémissements... Tout s'était passé si vite que je n'avais rien eu le temps de voir venir, mais très vite je commençais à me sentir très excité par cette situation inattendue...
Pendant que nous regardions tous deux le film, je commençais à bander...
Mon intrus écarta légèrement les jambes et sa jambe gauche vient alors s'appuyer sur ma propre jambe, l'effleurant d'abord, puis plus fortement. Il mis alors sa main droite sur son entrejambe, et se caressa très doucement. Mon excitation monta d'un cran. Étais-je en train de rêver ? Ou ce type était bien ce qu'il semblait être : un mec bien disposé envers les autres hommes ? Je me décidai alors à poser ma main gauche sur sa cuisse, toujours appuyée sur ma jambe, pour voir ce qui allait se passer... Pour seule réaction, je sentis sa jambe appuyer plus fort encore contre la mienne... Alors je m'enhardis à caresser sa cuisse, remontant tranquillement vers son paquet. Mon cœur battait fort dans ma poitrine, et j'avais du mal à dissimuler ma respiration excitée...
L'homme, avec des gestes lents, éteignit alors la tablette, et la posa à coté de lui. Il pris ma main et la plaça directement sur sa braguette.
- tu es du genre à préférer la réalité aux films pornos, toi, hein ?, me demanda-t-il.
- En effet, on peut rien te cacher, répondis-je sans pouvoir retenir un soupir d'excitation.
Je tâtais son entrejambe et sentis qu'une belle érection se déroulait sous le tissu de son pantalon. Il me dit :
- vas-y, sors la, ça ne craint rien, il n'y a personne dans le wagon.
Je m’exécutai sans délai.
Je passai ma main entre l'élastique et son ventre, sentant de suite sous mes doigts les poils de son pubis. Poursuivant plus loin sans attendre je saisis la tige de sa verge, douce, chaude et raide, et la sortis au jour; c'est un moment dont je raffole!
Souvent, de douces-amères effluves s'échappent, enfermées depuis le matin dans la chaleur moite d'un sous-vêtement de coton; je m’enivrai avant même de commencer à la branler.
- Qu'est-ce que ça m'excite ! Fit-il.
Je tenais dans ma main sa queue bien bandée, la branlant doucement, et je me laissai glisser du siège pour me retrouver à genoux à coté de lui, mon visage bien plus près de sa belle bite appétissante.
- Allez, vas-y, suce moi cette belle queue ! Le ton était autoritaire, bien qu'il parlait bas. Sans discuter, je lui obéis de nouveau.
L'odeur de son sexe pénétra mes narines, et son goût flatta ma langue qui s'activa sur son frein aussitôt.
- t'aimes la queue, toi, hein ? Je l'aurais parié, dès que je t'ai vu. Je repère vite les salopes.
Il s'exprimait toujours très bas, et je devinais son état d’excitation à sa respiration courte, perceptible dans sa voix.
Continuant de le sucer j'émis un gémissement d’acquiescement même si ce langage un peu convenu me déplaisait.
- allez, bouffe-moi bien goulûment ! Tu m'as bien fait bander, faut assurer maintenant.
Il plaça une main derrière ma tête, et me la fit bouger de droite à gauche, légèrement. Je n'opposai aucune résistance.
- Sers bien avec tes doigts, et continue à sucer comme ça, oui. Mmm c'est bon là ! Vas-y salope, suce, suce.
Aux anges, j’accélérais mon va-et-vient, branlant doucement la base de sa queue. Il saisit mes cheveux dans sa main, et serra, m'en tirant un peu une poignée. Je gémis a nouveau.
- c'est bon, mon cochon! t'es au top! Continue comme ça et je vais vider mes couilles dans ta bouche affamée.
Sa main me tenait toujours fermement la tête, il me laissait descendre ma bouche sur sa bite, m'accompagnant dans le mouvement, mais forçait un peu pour gêner mes mouvements inverses. Il commençait à respirer de plus en plus fort. Alors il me saisit la tête de ses deux mains, me la tenant par les cheveux, fermement. Seul son gland était dans ma bouche, et je ne pouvais plus bouger. J'avais un peu peur qu'il me fasse vraiment mal. Je lui tétais le gland plus fort.
- Tu vas me faire jouir, mec. Ah t'aime ça, le foutre, tu vas t'en prendre ! Il appuya sur ma tête avec ses mains pour forcer ma bouche à enfourner sa bite plus loin.
Je gémis assez fort en résistant un peu. Mais il étais fort, et me fis descendre jusqu'où il voulait.
- allez faut me finir, maintenant.
Une bonne partie de sa queue dans ma bouche, ma tête immobilisée, il remplaça alors mes mouvements par de petits coups de reins, pas trop amples mais bien secs. Je compris ce qu'il voulait : me baiser par la bouche. je le laissai faire. Il desserra son étreinte, ne laissant qu'une seule de ses main derrière ma tête sur ma nuque, et je ne bougeai plus la tête, me délectant de sentir cette queue aller et venir dans ma bouche, contre ma langue, mon palais.
Il ponctua alors chacune de ses respirations d'un soufflement étouffé. "Hhhhhh... Hhhhhh... Hhhhhh..." Qui se mêlèrent rapidement de quelques gémissements : "Hooohhhhh, Gnnhhhh, Ouiihhhhhh..."
Je l'entendis respirer soudain très fort, et profondément. Je sentis alors avec un grand bonheur son gland gonfler encore, sa tige grossir un peu et devenir soudain encore plus raide.
- Putain je vais gicler.
Sa main serra mes cheveux, il cessa ses coups de reins, je sentis son bassin s'enfoncer encore dans le siège, l'entendis haleter...
- put... haaaan ! fit-il de manière étouffée. Je sentis les prémices de son éjaculation s'écouler de son meat sur ma langue. Il haleta alors pendant qu'il jouissait dans ma bouche, son bassin animé de petits soubresauts. Une première giclée longue et puissante de sperme chaud jaillit dans ma bouche, comme le jus épais d'un fruit mur. Dans ma bouche de nouveau immobilisée par ses mains puissantes. Je n'aurais pu me dégager de son étreinte si je l'avais voulu, et je ne le voulais pas ! A genoux sur la moquette de ce tgv, la bouche plaquée sur une belle bite d'un mec comme j'aime, en train de jouir de moi, en moi. J'avais ce que je voulais. Je me délectais de chaque lampée de sperme salé que je sentais inonder ma bouche. Son sexe était trop enfoncé pour que je puisse avaler. Je serrai bien les lèvres pour n'en perdre aucune goutte. Deux autres belles giclées un peu moins fortes que la première lui succédèrent, suivies de trois petites, plus espacées.
Puis, une dernière goutte s'écoula sur un dernier "haaahh" étouffé.
Son bassin se détendit, ses mains laissèrent ma tête reculer un peu, assez pour que je puisse avaler tout son foutre, au goût âcre,
- tu m'as bien sucé, mec".
avec un petit "hommage" à Cadinot en prime!
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08 décembre 2020
doux réveil
Alors, pas de problème " tu peux dormir sur le canapé, demain c'est dimanche, fait comme chez toi!".
Et puis voilà, après une bonne nuit de sommeil où l'on a dormi "like a rock", voilà que tout s'agit autour de soi. Les mais sont levés, le petit déjeuner se prépare mais qu'il est doux de ne rien faire quand tout s'agite autour de soi!
Alors on paresse encore un peu, on ouvre un œil et on se laisse aller à la douceur des choses. La caresse de la couverture sur la peau, la bonne odeur de café et du pain grillé, un "morning wood" qui dure délicieusement... bonheur matinal.
Et puis voilà que les potes viennent te souhaiter un bon réveil .....
07 décembre 2020
la déchirure **
06 décembre 2020
confiné tu fais quoi? -9
Quand tu oublies de mettre le masque sur ton visage! pas très utile sur le menton et accessoirement, tu oublie de mettre un slip, ce qui vaut un beau clin d'œil au passant!
01 décembre 2020
Mon pote Cyril onaniste compulsif **
Tout cela m'était arrivé quand j'étais jeune, j'allais avoir mes 18 ans. Il n'était pas trop beau, pas moche non plus. Il était très sec, ce que je lui enviait beaucoup, typé "sud", normal pour un andalou. C'était un vrai casse-cou, toujours en quête d'un défi à relever. Par contre, s'il était physique, il n'était pas cérébral. Mais ce qui m'intéressait vraiment le plus en fait chez lui, je l'avoue, c'était la taille de sa bite.
C'est pas vrai. De fait c'était vraiment un super pote, un complice, un compagnon de tous les jours; l'inséparable, le vrai pote, L'Ami. Mais quand même, ....
Et au fur et à mesure qu'on dormait l'un chez l'autre et que les années passaient, il le montrait. C'est vrai qu'il était un peu exhib sur les bords, surtout dans ses 17 ans. S'il avait su à quel point j'aimais qu'il le montre... Et il y a de quoi : son pénis faisait 23 cm de longueur, large et dur, dominant ses deux grosses couilles remplies de sperme, son gland était épais, son urètre n'était pas une fente mais un trou béant qui expulsait de grosses giclées de foutre chaud. Je dis ça, pas par fantasme, mais parce que je l'ai déjà vu se branler. Et oui, on faisait ça souvent, très souvent! Le weekend quand les parents de l'un ou de l'autre étaient couchés et que l'on papotait au lit. Il arrivait toujours un moment où l'un ou l'autre disait:
- allez! on se paluche! le dernier à gicler a gagné
Mais cela pouvait être au bord de l'eau pendant une ballade, ou à la plage,.. Bref dès que l'on pouvait se palucher on le faisait.
J'étais tellement dingue la première fois, en le voyant astiquer son manche en rigolant et tout en me disant :
- Ben oui, j'ai trop envie de me branler ! T'as qu'à faire pareil, je vois bien que tu bandes!
Les autres fois, c'était facile pour moi; il me suffisait de le regarder astiquer son braquemart, pour m'exciter vraiment.
Des fois, en pleine nuit, il le sortait carrément, et je pouvais le regarder dans la pénombre, caressant ses burnes et sa bite qui se dressait de plus en plus.
Alors, en riant, je soulevai le drap
- Salaud, tu pensais jouer tout seul! et hop, je me lançais moi aussi dans une bonne séance de branlette.
Une fois, une seule, alors que dans la pénombre, il se caressait l'entrejambe à travers le tissu de son pyjama, j'ai osé avancer la main et caresser sa verge. Il ne dit rien, il enleva juste sa main et me laissa continuer. C'est ainsi que je sortis son mandrin par la braguette du pantalon de pyjama; enfin je le tenais dans ma main; chaud brûlant, congestionné et raide comme un piquet. Je le branlai, doucement d'abord, timidement puis de plus en plus vite ensuite. Il jouit très vite laissant couler son sperme sur ma main.
Je louais le destin de l'avoir mis sur ma route, car en dormant dans la même chambre que lui, je finissais toujours par me gicler dessus comme jamais, imaginant qu'il m'ordonnait de me mettre à quatre pattes pour m'écarteler le cul de son pieu vigoureux.
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30 novembre 2020
confiné tu fais quoi? -7
Je fais mon jogging tous les matins et maitenant je peux le faire pendant trois heures! Top! je suis si content!!
28 novembre 2020
confiné tu fais quoi? -6
voilà des exercices de yoga pour aider à garder cette souplesse.....
27 novembre 2020
confiné tu fais quoi? -5
Les potes sont un peu exhib.. Pourquoi pas laver la voiture dans la rue en boxer ou à poil? il fait beau,!
Et on film le tout! le pote qui tient la caméra, donne un petit coup de ciseaux au boxer! en seconde partie, il lui fait passer l 'aspiro à poil; tout est bon quand on doit rester at home
24 novembre 2020
23 novembre 2020
au sauna (2) , Frénésie **
Après l’épisode de la douche, je suis allé prendre un bain dan la petite piscine pour me rafraîchir un peu. Finalement j’aurais bien voulu rester un moment de plus avec ce type. Discuter avec lui, avoir l’opportunité de le connaître un peu. C’est souvent comme ça après un bon moment de cul. J’ai un peu traîné autour des cabines, jeté un regard faussement distrait sur les images de baise diffusées par les écrans placés un peu partout dans ce sauna. Je n’étais pas encore rassasié, je le sentais bien !
Je suis rentré dans le hammam. Dans l' obscurité, une grande activité y régnait, beaucoup de monde agglutiné autour de différents spots d’attention sans doute comme d’habitude, un mec qui en suce un autre. Je me suis frayé un chemin, parmi les corps nus ; c’est toujours amusant : on pose doucement sa main sur une épaule, une hanche, on dit « pardon », « excusez-moi » tandis que les bites effleurent les culs!
Je me suis assis ; partout au tour de moi des mains, des bouches s’affairaient. A coté de moi, un mec au physique impressionnant, se faisait sucer par un autre, lui-même sucé par un troisième. J’ai regardé tout en jouant avec ma queue ; un mec s’est approché, me l’a doucement prise des mains et l’a directement engouffré dans sa bouche attirant l’attention du gros bonhomme. Il m’a regardé et m’a caressé le sein en insistant sur mon téton ; il a sans doute très vite compris que c’était mon point sensible. Il m’a pincé de plus en plus fort, m’arrachant de petits râles de plaisir ; il testait ma résistance, je retrouvais ce subtil mélange de plaisir/douleur ; je me retenais pour ne pas lui faire signe de pincer et mordiller moins fort, la tête en arrière les yeux fermés et tandis que je me faisais pomper, je me mordais les lèvres pour ne pas hurler d'un plaisir aux confins de la douleur. N’y pouvant plus, j’ai posé ma main sur la sienne pour lui demander d’arrêter. Il a un peu relâché sa pression tout en continuant à me titiller. Un autre gars s’occupait maintenant de l’autre téton.
Je suis très bruyant quand je baise, je sais que cela excite les mecs dans ce genre d’endroit, je ne simule jamais, c’est toujours « sincère » et ils doivent le sentir !
Mes tétons étaient en feu, ma bite prête à exploser dans la bouche du mec qui l’avalait goulûment, j’ai écarté sa bouche et j’ai joui en me branlant tout seul. La chaleur m’est d’un coup devenue insupportable, la scène aussi. Je me suis frayé un passage dans la foule, je voulais me jeter d’un coup dans l’eau fraîche de la piscine.
Très vite, j’ai retrouvé le soleil de cette journée de novembre et un macdo bien mérité.
Au sauna (1) , La douche **
Cet après midi, j’ai voulu aller à la rencontre de mes congénères, dans les lieux où ils se retrouvent d’habitude pour échange d’expériences et plus si affinité. Je suis retourné dans un sauna proche de la gare du nord ; simplement parce qu’il est assez proche de chez moi et que j’ai pu m’y rendre à pied et profiter ainsi du beau temps de ce dimanche ; avant les vapeur des sous-sols parisiens….
Je n’étais pas venu depuis fort longtemps mais l’amabilité réfrigérante du personnel de l’établissement est restée intacte. L’endroit n’a pas changé non plus et ressemble à tous les endroits de ce type sur la planète. J’ai pensé à Ziggy, je voulais aujourd’hui me faire « chouchouter », n’avoir rien à faire, simplement profiter de la gentillesse des clients de l’endroit. J’ai pris une cabine, me suis confortablement installé et ai attendu, le bon copain compréhensif qui accepterait de me câliner un peu. Peine perdue, cela ne doit pas être le style de l’endroit. J’ai donc décidé de combattre ma passivité nonchalante et pris les devants (un peu). Je suis allé là où cela bougeait un peu : sous la vapeur. Effectivement, il y avait là quelques mains dévouées et baladeuses, prêtes à « tâter le terrain et accessoirement la marchandise». Marchandise qui restait étonnamment neutre, pour ne pas dire plus, à toutes ces avances.
Je suis sorti prendre un peu l’air et me rafraîchir. Les douches se trouvent juste à coté du hammam ; une salle ronde dans une semi obscurité, ouverte sur le couloir. Les douches sont regroupées au centre sur un pylône central.
J’ai laissé couler l’eau sur mon corps, longuement, accroché à la pomme de douche, dans une position je l’avoue assez lascive de …décontraction. Les yeux fermés, je ne l’ai pas vu venir.
Ses mains couvertes de savon liquide, ont parcouru mes épaules, mon dos. Je me suis laissé faire. Il a donc entrepris de me laver voluptueusement ; il m’a doucement couvert de savon. Ses mains caressaient tout mon corps, s’attardant de temps en temps sur mes fesses, entre mes fesses, sur mes couilles et ma bite maintenant bien droite. Je ne le voyais pas, je ne voyais pas s’il était bien ou pas, vieux ou jeune ; je m’en foutais, c’était bon, c’était ce que je recherchais, un câlin, un voluptueux câlin ; un câlin public ce qui de plus répondait à mon goût pour l’exhibition !
Je sentais parfois sa queue frôler mon cul,
j’avais envie qu’il se rapproche un peu, le sentir pleinement contre mon corps mais il prenait son temps, et ne semblait pas pressé de passer à un cran supérieur. Quant à moi, même si j’en crevais d’envie, il n’était pas question de prendre une quelconque initiative, ce n’était pas dans l’esprit de la journée.
Mon corps était maintenant couvert de savon, lui aussi sans doute, il s’est alors rapproché, il m’a enlacé, je sentais sa queue dure contre mon cul. .je me frottais contre lui, le savon sur nos peaux facilitait nos mouvements, il m’a pris la queue et a commencé à me branler doucement ; toujours accroché au pommeau de la douche d’une main, je lui caressais le bas du dos et le cul qu’il avait ferme. Je l’incitais à me serrer encore plus fort, j’écartais un peu plus les jambes pour lui faciliter la tâche.
Bien entendu, il est difficile de rester seuls dans ce genre d’endroit ; le plaisir attire irrémédiablement d’autres candidats qu’il faut soit rejeter soit guider afin que leur participation ne déséquilibre pas le jeu en cours. Un gars s’est approché de moi, il m’a pincé les tétons et s’est simplement appliqué à me les travailler laissant mon compagnon seul maître de la situation. D’ailleurs il ne perdait pas de temps, ses doigts déjà exploraient mon cul. Je lui ai tendu une capote, l’idée de me faire prendre en public, comme souvent, m’emportait. Il m’a pénétré, sans difficultés, sa bite allait et venait en moi, elle devait être de bonne taille,
je sentais ses couilles battre contre mon cul ; le troisième gars en a profité pour me sucer tandis que les mecs se faisaient de plus en plus en nombreux autour de nous ; je voyais des corps nus partout autour de moi, des queues dressées branlées en cadence avec nous. Le mec 1 suçait bien, le mec 2 baisait bien, tout deux m’arrachaient de longs soupirs et halètements, je les encourageais verbalement.
Dans un râle profond, le mec 2 m’a subitement agrippé violemment le cou, m’a attiré vers lui et, pour la première fois, tandis qu’il jouissait m’a embrassé, sa langue était puissante et sauvage, sa bite très loin au fond de moi ; j’ai repris alors le contrôle de ma queue, je voulais jouir vite et à mon rythme. J’ai aspergé le visage du mec 1 toujours accroupi ; il se branlait lui aussi comme la dizaine de mecs autour de nous !
Je me suis tourné, je l’ai enfin vu, il n’était ni beau ni moche, une bonne trentaine, un mec que je n’aurais sans doute pas remarqué dans d’autres circonstances. Je lui ai souri, lui ai posé une bise sur la bouche et sur l’épaule, et lui susurré mon prénom ; nous sommes partis chacun de notre coté ; comme il se doit.
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