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Il s'y rendit en fin d'après-midi, sous un ciel lourd et triste.
Le vieux stade n'est pratiquement plus utilisé. La piste se dégrade doucement, les mauvaises herbes envahissent les bords du terrain et les quelques gradins auraient bien besoin d'un coup de peinture.
À part les scolaires en semaine et les coureurs, il n'y jamais personne. On dit qu'il y a un peu de drague le soir, mais il n'a jamais eu l'occasion de constater quoique ce soit ; il faut dire qu'il ne court que le matin.
Son tour habituel inclut la boucle autour du terrain de football qu'il rallonge avec un peu de sentiers dans le parc.
Lors de son premier tour, arrivé sur le petit pont qui permet d'accéder à la piste de course, il remarqua un mec en short noir qui semblait attendre quelqu'un .
Pensant à un coureur arrêté pour reprendre son souffle, il le salua et lui lança quelque chose comme :
- allez, courage, c'est bon pour la santé !
Puis je continuai mon circuit.
Troublé, il passa son chemin sans rien dire... était-ce un dragueur ? Cet endroit était-il réellement un lieu de drague? Allait-il en déranger d'autres ? Cette idée l'amusait, l'intriguait et commençait à l'exciter un peu et des picotements caractéristiques au bas-ventre venaient le lui prouver.
Au troisième tour, arrivé à quelques mètres du petit pont, il le vit, toujours à la même place avec dans la main quelque chose de long... Il ne rêvait pas! En s'approchant il vit que c'était sa queue sortie de son pantalon qu'il tenait bien raide dans sa main!
Il continua sans oser regarder, sans doute rouge comme une pivoine...
- Mon Dieu, quel engin ! Se dit-il, Il était passé vite et avait juste regardé en coin mais ce qu'il avait vu était plutôt de belle taille..de très belle taille. Il en bandait presque sous le pantalon...
À son quatrième passage, intrigué et sans doute tenté il s'arrêta un peu avant le petit pont et continua en marchant.
Le gars était là et en le voyant il lui fit face, son braquemart dressé dans la main.
Il s'approcha de lui comme attiré irrésistiblement et sans un mot pris la verge du mec en mains.
Elle était magnifique, courbée, terriblement dure, bien veinée et couronnée d'un gros gland pyramidal. De grosses et lourdes gonades bien pendues valsaient entre ses cuisses.
Sans hésiter, sans réfléchir une seconde, il se pencha pour la goûter. Après quelques instants, le gars le releva et vint fouiller dans son boxer et sortit sa bite qui se dressa.
- hmmm, appétissant tout ça ! Dit-il tout en reniflant ses doigts tout juste sortis de son boxer.. ça fleure bon le mec..
Il s'affola soudain prenant conscience qu'ils étaient tous les deux sur un lieu de passage, les sexes à l'air et bandant comme des ânes.
Il voulait foutre le camp mais ce mandrin le rendait dingue.. Il ne s'écoutait plus où plutôt il n'écoutait plus que la petite voix qui le poussait à continuer..
Il se retourna, baissa son froc et colla son cul contre ce vit qui l'appelait.
- ah! C'est ça que tu veux mon cochon, tu veux goûter à mon gourdin, tu veux que je te défonce la rondelle, c'est ça ?
Dit-il en frottant son gland le long de sa raie.
Il ne releva pas, pas besoin ; il se cambra, écarta ses fesses des deux mains et offrit son cul.
La courbure de sa verge, son gland saillant remplissait tout l’espace, il vibrait à chaque millimètre de peau frotté par ce membre.
Soudain des pas, il fallu se séparer...
- viens allons sur les gradins,
Il n'avait qu'une hâte, sentir cette grosse queue le labourer de nouveau.
À peine arrivés, il baissa de nouveau son froc et laissa ce vit le ramoner..
Il s'assit alors, le gars se positionna derrière et l'empala de nouveau. Dans cette position, cette verge courbée à chacun de ses coups de reins, le projetait au milieu d’un maelstrom de plaisir/douleur, sa tête explosait ! Il souhaitait le sentir encore plus profond en lui et il aurait hurlé de plaisir s'il n'avait fallu donner le bonjour aux passants qui ne se doutaient de rien.
Dès qu'ils furent loin, il sorti lui aussi sa queue endolorie et à l'étroit dans son boxer. Bientôt, une vague de chaleur monta en lui, il se cambra davantage et dans un terrible orgasme, il jouit sans même se toucher, envoyant dans les airs de belles et copieuses giclées de foutre. Suivi bientôt par son partenaire qui dans un long spasme éjacula en lui.
- reste ainsi un moment, je veux voir mon sperme tomber, dit-il en me retenant
Le mec glissa la main contre son œillet, recueillit son foutre, le lécha et lui offrit.
L'inconnu se rhabilla prestement et lui dit en partant.
- allez salut, je te laisse, t'as encore des tours à faire..
Et s'éloignant,
- J'ai bien aimé ton cul, mec et j'ai top adoré te voir jouir !
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