16 décembre 2024

5 À 7 AU SAUNA

 


Il y a de ces journées qui ne tournent pas exactement comme on le désirerait et tel fut le cas mercredi passé. Contravention pour excès de vitesse le matin en me rendant au travail, rendez-vous chez le dentiste à onze heures qui m’annonce que j’aurai le grand plaisir d’avoir un traitement de canal et pour terminer le tout, un super dégât d’eau dans la salle de bain du bureau. Tout pour me rendre heureux quoi…
J’avais besoin de décompresser et ce n’était certes pas en me retrouvant seul chez moi que j’y parviendrais. Il n’y avait qu’un lieu où je trouverais ce dont il me fallait.

Dix-sept heures quinze… J’entre dans ce sauna de Montréal où je sais qu’en fin d’après-midi, des mecs supposément hétéro s’y retrouvent pour un gros fun noir avant de rentrer chez eux pour rejoindre leurs familles. Je rejoins ma chambrette, me déshabille et saute sous la douche avant d’entreprendre ma quête de queues bien dures et qui sauront certes satisfaire cette envie folle de me faire labourer le cul.



Serviette autour des hanches, je déambule dans les corridors, quelque peu déçu des quelques mecs que je rencontre. N’étant pas un habitué des saunas, j’aurais cru y trouver des dizaines de mâles en chaleur mais non, seulement quelques spécimens qui ne parviendraient même pas à me faire bander. Mais bon, sans doute est-il trop de bonne heure et que d’ici quelque temps le sauna se remplira pour satisfaire mon appétit. Je décide donc de retourner à ma chambrette et je m’étends sur la couchette, laissant ma porte entrouverte, me débarrassant de ma serviette avant de m’étendre sur le ventre. Quelques minutes de repos me feront le plus grand bien.

Je sais que quelques mecs s’arrêtent devant ma porte, sans doute pour me regarder le cul mais je ne réagis point, préférant attendre que le sauna se remplisse. Je ne suis nullement pressé par le temps et ce petit moment de repos me fera le plus grand bien. Je ferme donc les yeux, espérant même dormir quelques minutes lorsque je sens une main se glisser sur mes fesses. Demeurant inerte, je préfère ne pas voir qui se plaît à me caresser mais j’avoue que c’est plutôt agréable. J’écarte donc les cuisses et soulève quelque peu le bassin, juste assez pour inviter le mec à poursuivre ses caresses. Ses doigts tâtent ma rosette et je sais que son visage est tout prêt, sentant la chaleur de son souffle. C’est alors qu’il glisse sa langue, me léchant l’œil de bronze. C’est bon et j’en profite au max sans toutefois m’ouvrir les yeux. Je ne veux pas le voir, trouvant même excitant d’ignorer qui se tient là, humectant mon cul de sa salive chaude. L’excitation s’empare de tout mon corps, espérant qu’il prenne la décision de me cartonner le cul de sa queue dure mais non, il s’arrête et poursuit son chemin. Il me laisse en plan, le trou de balle humide.

Je me lève donc, bien décidé à trouver un popaul apte à me bourrer le pot bien à fond. Serviette autour des hanches, je marche dans les corridors, bien heureux de constater de nouveaux visages. Je descends l’escalier qui me mène au gloryholes. J’y trouve un vieillard suçant un jeune. Je passe mon chemin, lentement, très lentement, regardant les quelques mecs qui s’y trouvent. J’ouvre une porte et pénètre dans une case, laissant tomber ma serviette à mes pieds. Déjà, une queue se présente à moi et sans me faire prier, je la prends en bouche, la suçant tranquillement avant d’accélérer mes mouvements de va et vient. Maintenant qu’elle est bien dure, je me tourne et dirige la queue directement contre mon trou de lune, exerçant une pression pour que le mec comprenne bien que je veux me faire planter bien à fond mais il la retire. Sans doute un bottom lui aussi. Pas grave, il n’est pas le seul mec dans les lieux. Je reprends donc ma serviette, sachant où me rendre pour obtenir ce que je veux.



Il est là et libre alors, je prends place sur le sling, les jambes bien écartées de sorte à offrir à qui le veut ma fleur de Sodome. Je suis si excité que je ne regarde même plus sur la qualité, préférant la quantité, laissant alors un mec potable mais sans plus s’approcher, me regardant en souriant, pas trop sûr de lui. Je dirige donc ma main vers mon cul, glissant mon index sur ma rosette pour lui signifier qu’il peut en profiter s’il le désire bien. Sans se faire prier, il se débarrasse de sa serviette et me planque son argument entre les fesses, exerçant une pression sur mon troufignon et lentement, il l’insère dans mon panier. Je sens sa queue glisser en moi et dieu que c’est bon mais ses mouvements n’accélérant point, je le regarde de sorte à ce qu’il comprenne que je suis en mesure d’en prendre davantage. Je veux qu’il me laboure à grands coups et non comme une mauviette mais il ne comprend pas, persistant dans sa lenteur.

Et je le vois, cette bête qui s’approche de nous. Il doit bien mesurer six pieds trois, de larges épaules, un torse musclé et poilu et des cuisses… Je lui souris, l’incitant à s’approcher encore plus. Sans vouloir l’insulter, je pousse lentement celui qui m’encule pour laisser place à ce mec qui accepte aussitôt de prendre la relève, me transperçant de son gros manche d’un seul coup avant d’y aller de mouvements forts et rapides. Je ne peux m’empêcher de laisser entendre ma respiration entrecoupée de petits cris, ce qui avisent d’autres mecs d’une action qui les incite à nous rejoindre. En quelques minutes, la petite salle est pleine de gars qui me regardent me faire embrocher, leurs queues bien en main, se disant sans nul doute qu’ils pourraient, eux aussi, me défoncer le cul. La bête n’en pouvant plus se laisse aller, me remplissant de son foutre chaud et visqueux, laissant ainsi la place libre qui se trouve vite occupée par un autre, sans doute super excité de constater qu’il peut me fourrer sans condom. En quelques minutes, je reçois la semence de neuf mecs, heureux de voir qu’il en reste encore quelques uns attendant leur tour pour m’enfoncer leurs cigares dans le bol rempli de crème. Certains en sucent d’autres mais personne ne fourre personne, préférant sans doute attendre que ma comète soit libre tandis que moi, de mon côté, je fixe un mec, ou plutôt sa virilité. Jamais encore je n’ai vu une queue aussi grosse et longue, pas même chez un black, ne sachant nullement si je pourrai la prendre au complet. Le mec se masturbe en me regardant droit dans les yeux, petit sourire en coin comme pour me dire que j’en prendrai pour mon compte.



Un, deux, trois et quatre types se plaisent à venir en moi avant que le gaillard place son énorme bite entre mes fesses, exerçant une petite pression contre ma rosette en me regardant toujours comme pour me dire qu’il est temps pour moi de voir le grand Canyon. Lentement, il pousse et sans misère, son déchire-cul entre bien à fond, se plaquant contre ma prostate. Je lui souris, heureux de lui faire voir que son gros concombre ne m’importune pas, loin de là. Tout ce que je veux, c’est qu’il me défonce et me défonce encore et il le comprend assez vite, accélérant ses mouvements de va et vient. Je ne peux cacher le plaisir qu’il me procure, respirant presque avec difficulté tant mon cocotier se voit enflammé et mes cris, que je ne peux retenir, attirent encore plus de mecs qui nous entourent, excités par mes réactions. L’un d’eux se penche et se met à me sucer avidement. Je n’en peux plus et je lui gicle mon écume dans la bouche tandis que je sens encore très bien le membre glissant en moi et j’entends bien le mec sur le point de me remplir. Encore quelques coups contre ma prostate et il vient d’un grand cri avant de se retirer, laissant sa place à un autre et un autre et un autre. Par chance, même après avoir joui, mon cul possède cette capacité d’en prendre encore alors, pourquoi refuser à d’autres ce qu’ont obtenu les autres?

Une fois dans ma voiture, en direction de chez nous, je me plais à compter combien de mecs ont enfoncé leurs queues dans mon pont-arrière et je me surprends à en arriver à vingt-sept. Wow… Il avait longtemps que je n’avais pas autant décompressé.






10 décembre 2024

le fils des voisins (de passage )




J'habite en appartement  et mes voisins du dessous sont assez âgés, environ 65/70 ans. On discute régulièrement, ils sont très gentils, bref du bon voisinage. Ils ont des enfants, dont un garçon un peu plus jeune que moi, dans les 25 ans sans doute. 
Un jour de RTT, on sonne chez moi, c'est le fils des voisins. Sachant que je me débrouille en informatique, il est venu me demander conseil car son pc est devenu très lent. Je le fais entrer, on discute et je lui donne quelques conseils mais lui précise que ce serait mieux que je puisse le faire avec son appareil, et lui montrer.
 5 minutes après le revoilà, nous nous installons sur la table et je regarde son pc. Je nettoie tout, redémarre et le pc semble être un peu moins malade. Un petit tour sur internet pour télécharger un logiciel de nettoyage plus performant et là petite surprise, je commence à entrer une adresse et l'historique apparaît, 2 sites d'histoires érotiques gay !!!
Je ralentis volontairement la frappe et le regarde. Il est rouge :
— J'aime bien ces sites aussi, j'y vais régulièrement, lui dis-je
— Ah bon ? T'es pas marié ?
— Si mais j'ai toujours aimé les histoires entre mecs.
Un petit silence s'est installé, mais j'ai vite senti que la glace était rompue.
— T'as déjà eu des aventures avec des hommes ?
— Oui, surtout un pote au lycée que je suçais régulièrement.
— Moi aussi ça a commencé avec un copain de lycée, on se branlait ensemble devant les pornos de canal que j'enregistrais.
— Vous avez été plus loin ?
— Un soir, on était chez moi, juste en dessous et mes parents étaient partis en weekend, il est venu dormir, on a regardé un porno, on s'est vite retrouvé à poil sur le canapé, c'était bizarre car on n'avait pratiquement pas le son pour éviter d'alerter les voisins, tu sais que c'est pas trop bien insonorisé ici. On se branlait et rapidement, pour la première fois, on a branlé la queue de l'autre. C'était super excitant et j'ai vite joui. Lui a suivi rapidement après. En regardant les filles se faire prendre à l'écran, on s'est nettoyé et on a vite rebandé. Au bout de quelques minutes, on avait à nouveau nos queues en main, il me branlait doucement et ne regardait plus du tout l'écran. Dans le film, un fille suçait une grosse queue. Il m'a demandé si je voulais qu'on me fasse la même chose, j'ai dit oui et il est venu me sucer. Je crois que je n'ai jamais joui aussi fort que cette fois là, me faire sucer en regardant un film porno et branler en même temps une queue, le bonheur !!
Ses yeux brillaient en racontant ce souvenir, on sentait l'excitation encore en lui et surtout le bonheur ressenti cette soirée là.
— Tu l'as sucé aussi ce soir là ?
— Non, mais c'est arrivé ensuite. Et toi ?
— Moi? on regardait souvent des films ensemble, mais on profitait des soirées entre nos parents pour dormir l'un chez l'autre et c'est un soir sous la tente dans ma maison de vacances que je l'ai persuadé de se laisser sucer par un mec, il était assez réticent  mais je lui ai rappelé la fameuse soirée devant le film de cul et j'avais grave envie de goûter une bite. J'étais un peu honteux sur le coup mais ensuite, je le suçais régulièrement, chez des potes, chez lui. J'avoue que ça m'excitait de savoir qu'autour de la tente ou dans les chambres voisines, de amis dormaient ou discutaient pendant que je le suçais. J'ai avalé quelques fois mais il trouvait que c'était trop pour lui. Il ne m'a sucé que 3/4 fois. Depuis j'ai eu 2/3 histoires c'est tout.
Je finis de télécharger le logiciel, je l'installe, nettoie le pc à fond et lui rend l'engin.
— Tu veux lire quelques histoires avec moi? Me demande-t-il.
— Pourquoi pas oui, tu aimes quel style ?
— Les premières fois, ça me rappelle ma propre histoire.
— Moi aussi ce sont mes préférés.
Nous lisons quelques histoires, je bande dur et lui aussi mais une certaine gêne reste. La lecture est terminée, je suis dur comme pas possible. Je lui propose un café :
— Non merci, je préférerai plutôt goûter ton sexe si ça ne te dérange pas, me dit-il souriant.
Une fois la petite seconde de surprise passée, je me lève, lui fais face et ouvre mon jean. Je baisse le pantalon, le caleçon et me retrouve à sa merci. Il joue avec mon vit, le branle doucement en me regardant puis passe sa langue sur mon gland. La sensation est divine après cette frustration et je sens que je ne vais pas tenir longtemps. Il lèche ma queue sur toute sa longueur et finit par emprisonner dans sa bouche ma queue qui n'en peut plus d'attendre. Il est tendre et sa pipe est divine, douce, elle fait monter le plaisir petit à petit, je suis perdu entre plusieurs sensations et sentiments. Il me regarde et me fait une gorge profonde, je sors mon sexe de sa bouche.
— Arrête je vais jouir et je veux te goûter d'abord.
Je l'emmène sur le canapé, l'assoit et me mets à genoux entre ses jambes. Je retire son pantalon, baisse son boxer et me jette littéralement sur sa queue de belle taille et le suce aussi doucement que lui. Je ferme les yeux et me concentre sur les soubresauts de cette bite dure dans ma bouche, j'entends sa respiration forte, je lèche maintenant ses couilles, je le regarde dans les yeux, il a une expression de salope dans les yeux, le regard de celui qui est prêt à se laisser aller totalement. Je reprends son sexe et re-suce plus rapidement tout en le branlant assez activement.
— Je vais jouir, attention
— Vas-y jouis en moi
Je reprends ma pipe et sa queue palpite, tressaute sur ma langue jusqu'à envoyer de nombreux jets de foutre chauds sur ma langue. J'avale tout et nettoie avec application ce sexe qui ramollit petit à petit. Je n'avais pas sucé depuis quelques mois et je me demande encore comment j'avais pu me passer de ce plaisir si longtemps. Je continue à lécher son engin, puis descend sur ses couilles et finalement un peu plus bas, je lèche maintenant l'espace entre ses couilles et son anus. Sans un mot il écarte ses cuisses un peu plus, soulève son bassin et présente à mes yeux pervers son petit trou bien rose, dépourvu du moindre poil. Je descends tranquillement ma langue jusqu'à ce petit oeil plissé et commence à lécher ce trou qui me donne des idées.
— C'est bon, j'ai jamais été léché là.
Je prends ses paroles comme un encouragement et lui bouffe maintenant sans aucune retenue le cul. Je glisse même un doigt en lui et le gémissement qu'il pousse alors me donne la bénédiction pour le baiser doucement avec ce doigt puis un 2ème. Je le doigte franchement et remonte vers sa queue bien raide  que j'enfourne à nouveau. Je remonte en embrassant ses abdos, lèche ensuite ses tétons tendus par le plaisir, mes doigts toujours en lui. Il me passe la main derrière la nuque et m'attire vers lui pour un baiser passionné. Je n'ai jamais réellement aimé embrasser un homme mais cette fois-ci, c'est bon, c'est naturel, nous sommes en harmonie. Je sors mes doigts de son orifice, le tourne sur le canapé et m'allonge sur lui, tout en l'embrassant. Mon sexe glisse sur ses couilles vers son anus et se présente naturellement à l'ouverture. Il tend son bras, prend un préservatif dans son portefeuille et me le tend.
— Doucement d'accord ? C'est ma première fois
J'enfile le condom et me présente pour le pénétrer. Je rentre facilement mon gland, et pousse doucement, en plusieurs pénétrations lentes, pour enfin être entièrement en lui. Son regard de salope est de retour, je peux faire ce que je veux de lui. J'ai juste envie de prendre mon pied et que lui se souvienne de sa première fois comme d'un moment de plaisir intense. Je commence mes va-et-vient, de plus en plus amples, et j'accélère pour bientôt le prendre comme une chienne. Il gémit, se mordille les lèvres
— C'est bon, continue, c'est trop bon.
Je le pilonne maintenant franchement. Je ne vais pas tarder alors pour repousser l'échéance, je le fais changer de position et le prend maintenant à 4 pattes. Mon rythme est à nouveau soutenu, il continue de gémir, se retenant de crier pour ne pas que ses parents en dessous puissent l'entendre. Il se redresse, colle son torse au mien, je prends ses tétons entre mes doigts, les triture, ça le rend dingue apparemment car il me prend la bouche :
— Embrasse moi sinon je vais hurler.
Ma main droite descend vers son sexe et je le masturbe, ma main gauche s'occupant de son téton, ma queue de son anus.
— Moi aussi je veux goûter ton foutre, je veux que tu jouisses dans ma bouche.
Bientôt, je me retire, enlève le préservatif et me présente debout devant lui. Il me branle, me suce et en quelques secondes je me vide en lui, son regard perce le mien et ma jouissance est incroyable, la quantité de foutre qui sort aussi. Il me nettoie mais mes jambes ne me portent plus, je m'allonge, il me suce jusqu'à nettoyer la plus infime trace sur ma queue. Je prends son sexe dur en main :
— Jouis moi dessus, je veux sentir ton foutre sur ma poitrine.
Il se laisse faire et jouit sur moi rapidement.
La suite est un peu floue, je suis resté groggy par cette jouissance, il s'est rhabillé puis est parti quelques minutes après. Nous ne nous sommes pas revu depuis, mais j'ai reçu des mails pour un futur dépannage informatique.




drole d'endroit pour une rencontre

Il flotte un drôle de parfum sur ce Paris que je connais si bien maintenant. En ce soirée automnale, le brouillard m'enveloppe, comme une douce couche de coton humide. On n'y voit pas à cinq mètres, et j'ai l'impression que cela s'épaissit. J'aperçois du coin de l'œil des silhouettes à quelques mètres de moi, brusques fantômes peu engageants. Je respire à grands traits cette atmosphère aqueuse, me sentant poisson. Je bats des nageoires et commence ma traversée, délaissant le métro pour mes pieds, une fois n'est pas coutume. Il est si rare de pouvoir ainsi traverser les nuages ! Je descends les boulevards, croisant toujours des silhouettes sans visage, aux traits stylisés. Les bruits sont également étouffés, j'ai un peu peur de me perdre. Mais je n'ai rien de prévu, et je prends ça comme un jeu. D'ailleurs, ça y est, je ne sais plus trop où je suis. Je parcours des rues de plus en plus étroites, alors que la brume se referme de plus en plus sur moi. Une vraie purée de pois, on n'y voit plus à deux mètres, maintenant. Je longe les murs, croisant des regards étonnés de l'autre côté des vitrines.


Soudain, alors que je suis tout concentré sur mes pieds et les obstacles au sol, je rentre violemment dans quelque chose, qui s'avère en fait être un homme. Quelque peu choqué, il s'excuse d'une voix très agréable, au timbre de baryton. Il est si proche que je peux voir ses traits. Il me plaît, avec son menton dur mal rasé, ses cheveux bruns et sa gueule de bon père de famille un peu fatigué.
Il pose sa main sur mon épaule, un peu inquiet, et me demande répétitivement si ça va, s'il ne m'a pas fait mal. Je souris un peu et le rassure, en posant ma main sur la sienne... Il rougit un peu, je peux le voir malgré le froid ambiant. Sa main gauche ne porte pas d'alliance. Sa main sur mon épaule est brûlante. Il la retire, à mon grand désarroi, et me salue avant de continuer son chemin. Je me retourne pour le regarder s'éloigner ; avant que la brume ne l'engloutisse à nouveau, il me semble le voir hésiter et se retourner à son tour. Mais bientôt s'élève de nouveau devant moi le mur blanc aux fins tentacules évanescents. Je soupire un peu, amusé du caractère onirique d'une rencontre si fortuite, et reprends ma route. C'est définitif, je ne sais plus où je suis. Peut-être par là, à gauche ? Oui, je débouche quelque part. Ah, flûte, l'impasse. Je ne vais pas passer ma journée à chercher mon chemin, tout de même ! Voilà où me mènent mes lubies. Le portable me sauvera et m'indiquera où je suis. Je cherche dans mes poches, et ne vois ni ne sens arriver dans la brume, dans mon dos, une silhouette large d'épaules.


Avant que j'aie le temps de me retourner, l'homme me prit dans ses bras par derrière et plaqua une main sur ma bouche. Pris de panique, je me débattis, mais sa force était de loin supérieure à la mienne. Je pouvais sentir, mêlée aux senteurs humides du macadam et de la rue, sa fine odeur musquée, mélange de sueur et d'eau de toilette. Me tenant toujours dans sa puissante étreinte, il se pencha à mon oreille et me murmura de ne pas avoir peur, qu'il ne voulait pas me faire de mal, bien au contraire. Sa voix de baryton me fit immédiatement reconnaître l'homme que j'avais heurté quelques minutes auparavant. Je me détendis quelque peu, ma respiration se fit plus calme. Gardant la main sur ma bouche, il descendit l'autre petit à petit le long de mon torse, devenant de plus en plus doux. Je me sentais diminuer de taille, devenir tout petit entre ses bras.

Il me dit qu'il va maintenant me lâcher, et que si je voulais partir, je n'avais qu'à le faire, il ne me suivrait pas. Mon sang ne fait qu'un tour, je n'ai aucune envie de bouger. Il relâche son étreinte, laisse ma bouche libre. Je tente de me retourner pour le regarder, mais il m'en empêche. Il souffle un petit "chut" et me caresse, moi toujours dans ses bras. Je me relâche et me laisse faire. Il me dit qu'il s'appelle Didier, ne me demande pas mon prénom. Il me caresse maintenant ouvertement, saisissant le bas de mon pull et du t-shirt en dessous et passant sa grosse main poilue à l'intérieur. Il caresse mon ventre, appréciant les poils qui le parsèment.
Didier m'embrasse le cou, ses lèvres sont froides et dures, mais très douces contre ma peau frissonnante. Je ferme les yeux, ne cherchant qu'à ressentir les divines sensations qu'il fait naître. Il pose sa main sur mes yeux, et me fait pencher et retourner la tête, qu'il pose sur son épaule, et vient m'embrasser. Sa langue me parcourt les lèvres, puis s'insinue doucement entre les miennes, cherchant ma langue. Le baiser s'intensifie, nos appendices buccaux s'affrontent dans un duel érotique. Puis je me redresse, mais il ne veut toujours pas que je me retourne. D'ailleurs, il défait son écharpe et me la noue autour des yeux, s'assurant ainsi de mon obéissance visuelle. Je m'appuie contre son torse, ma joue frottant contre la sienne, un peu rugueuse. Je soupire d'aise. Ses mains descendent le long de mon corps, atteignent ma ceinture et commence à la dégrafer. Je le laisse faire, je sais que nous sommes invisibles dans cette impasse couverte de brume.


Malgré le froid, il descend mon pantalon - le voici sur mes chevilles. Il me caresse l'intérieur des cuisses et les fesses à travers le boxer. Je sais qu'il n'attendra pas longtemps avant de le baisser à son tour. Mais le voilà qui s'arrête. Il me remet debout, se recule un peu, me dit de ne pas bouger. J'entends un bruit métallique - sa propre ceinture. Puis Didier se colle de nouveau à moi, dans mon dos, m'enlaçant. Je sens son érection de bonne taille contre mes fesses. Il ne porte rien en dessous. Je descends d'autorité mon boxer, pour sentir les poils de son pubis et son gland contre le bas de mon dos. La sensation est électrisante. Il me fait avancer un peu -
plutôt trottiner, vu que j'ai le pantalon qui m'enserre les chevilles - pour que j'atteigne le mur le plus proche, qui ferme l'impasse. Il m'appuie un peu sur le dos, pour que je me cambre, et me caresse les fesses. Il joue avec les poils sur mes parties charnues, glissant peu à peu vers leur intérieur. Je m'appuie contre le mur, et enlève mon pantalon totalement, le mettant de côté d'un petit coup de pied, puis me cambre totalement, lui laissant l'accès complet à ma rosace, encore ouverte de la nuit de débauche de la veille. Didier passe un doigt contre le sphincter et la chaleur qui s'en dégage et le degré d'ouverture le rendent fou d'excitation. Sans perdre une seconde, il se baisse, pose ses mains des deux côtés de mes fesses pour les écarter, et plonge sa langue contre ma rosace. Je gémis de bonheur - c'est une pratique que j'apprécie particulièrement, car elle est à la fois très intime, très douce et en même temps terriblement excitante, car on le sait bien qu'elle prépare à la pénétration d'un membre à la suite de la langue...
Il me mange tout cru, introduisant sa langue en pointe profondément dans mon anus qui se dilate rapidement, en alternant avec de grands coups du plat de langue, de la base de mes couilles au bas de mon dos. C'est délicieux et je frissonne du contraste entre l'humidité froide qui nous recouvre et la douce chaleur montante de mon intérieur. Il se rapproche encore plus de moi, toujours accomplissant des merveilles linguales, et passe ses mains sous mon pull, pinçant doucement mes tétons raidis par le froid et l'excitation combinés. Le gémissement accentué que je pousse ne le trompe pas et il accentue la pression, allant jusqu'à y mettre les ongles, tout en me léchant l'anus à pleine bouche. Il s'arrête soudain, me retourne violemment, et m'embrasse profondément, me faisant goûter les arômes de mes tréfonds, mélanges subtils de sueur, de sucs corporels, de parfum et de son haleine poivrée. Il me fait bander comme un beau diable.


Didier me retourne de nouveau et fait glisser son érection de plus en plus dure dans ma raie poilue. Je passe une main sur son gland que j'imagine violacé, puis parcourt sa hampe du bout de mes doigts, appréciant chaque veine saillante et la savourant à l'avance. Il continue à sa manière si particulière, mélange de câlin, de grande tendresse, et de sexualité exacerbée, à la manière d'un satyre. Je m'attends presque à lui trouver des sabots et deux longues cornes, mise à part celle qu'il a entre les jambes, bien entendu. Je me cambre encore plus, branlant son magnifique sexe entre mes deux fesses. Son gland vient se planter contre mon anus, qui se contracte de surprise, comme voulant l'aspirer. Le coquin a bien fait son affaire, et sa salive, étalée en grande quantité et répandue dans mes entrailles fait un parfait lubrifiant. Je sens avec soulagement les contours de son gland passer mon sphincter boursouflé, qui se referme sur sa couronne. Je savoure -
c'est gros. Il pousse un long gémissement de bonheur et je sens son sexe tressauter : il jouit ! Il n'a pas même pas entré un centimètre de plus que son gland. Je vais pour protester, déçu, mais il se penche à mon oreille, haletant : "Patience." Il ne se retire pas, et incroyablement, il ne débande pas, bien au contraire. Soudain, d'une seule poussée, il introduit l'intégralité de son pénis d'une dureté sans égale dans mon conduit parfaitement lubrifié par sa jouissance précédente. Je glapis de surprise et une vague de plaisir se répand dans mon corps comme la foudre alors qu'il racle contre ma prostate. Le voilà lancé dans un doux mouvement de balancier, d'une très large amplitude. Je crie silencieusement, les yeux fermés sous l'écharpe, et le ressac de ma marée intime se fait de plus en plus fort, allant jusqu'à déborder en dehors des digues au contact de ma main sur mon gland gonflé. Je déverse des rasades épaisses de sperme sur le mur de l'impasse et ne peux m'empêcher de lâcher un long gémissement rauque lorsqu'il jouit de concert avec moi, appuyant à fond ma prostate et inondant mon intérieur. Je me redresse, lui toujours en moi, et il s'appuie haletant contre ma joue, bredouillant quelques mots incompréhensibles en une langue que je ne connais pas.

Il me caresse le visage tendrement, passant ses doigts sur mes pommettes, sur mes sourcils, puis sur mes lèvres. Je happe son index au passage et le suçote tendrement. Il rit doucement, toujours dans les basses. Je le sens se retirer petit à petit, sans douleur, et mon muscle détendu le laisse sortir. Toujours doucement, il me caresse les fesses, me masse les muscles du dos à travers le pull, puis s'agenouille et replonge subitement sa langue dans mon anus, caresse inattendue qui me fait délirer tant la chaleur qui se dégage de cette partie intime de mon anatomie est insoutenable. Tout en longs mouvements amples, il masse de sa langue mon intérieur enflammé. Lorsque je suis parfaitement détendu, il se redresse et me rajuste, remontant mon pantalon et ma ceinture, se rajustant lui-même rapidement. Sans plus de cérémonie, il me prend sans ses bras, me serre très fort en m'embrassant. Je retrouve cette impression magnifique d'être tout petit, soumis à sa virilité. Sa salive, au goût fort de semence, de mes entrailles, de menthe et de poivre, me donne l'impression d'être de l'ambroisie. Si j'en avale suffisamment, je deviendrai immortel... Il m'enlève l'écharpe des yeux, je peux enfin le regarder en l'embrassant. De près, ses traits sont plus marqués que lorsque je l'avais aperçu dans le brouillard. Il est aussi plus viril, et ses yeux brillent d'une étincelle de désir et de domination calme qui me brûle l'intérieur.

Didier s'arrête et me demande mon prénom. Je lui donne et il me caresse le visage doucement, alors que la brume se fait plus insistante.

- Crois-tu aux coïncidences ?

- Parfois.

- Moi pas. T'avoir rencontré comme ça dans cette brume... je ne pouvais pas te laisser partir sans au moins te suivre un peu...

- Tu as eu raison.

- Viens.

Il me prit par la main, et nous repartîmes à travers cet océan froid d'eau blanche. Il semblait se repérer parfaitement malgré l'absence de repères. Nous marchâmes une dizaine de minutes, sa main ne lâchant pas la mienne. Il s'arrêtait parfois pour me plaquer un petit bisou au coin des lèvres. Bientôt, nous arrivâmes devant une haute porte. Nous prîmes les escaliers et pénétrâmes dans son appartement, doucement chauffé. Il me surprit encore en me soulevant de terre, malgré mon poids conséquent, et en me portant à travers les pièces, refermant la porte d'entrée d'un petit coup de pied, et me déposa doucement sur le lit parmi les coussins. Il me retira un par un mes vêtements, en me disant de me laisser faire. Une fois que je fus nu sous son regard, il se recula, et s'assit dans un fauteuil sur le côté. Je l'interrogeai du regard et il me dit de ne pas bouger. Puis il m'observa durant de longues minutes. Je me sentais m'endormir. Soudain, je sentis comme dans un rêve un corps d'homme, poilu et nu se blottir contre moi et me prendre dans ses bras. Je me retournai quelques centimètres pour voir qu'il s'était déshabillé et s'était faufilé contre moi, sur le lit... il rabattit la couette sur nos corps froids et nous sombrâmes dans un sommeil plein de rêves jumeaux.




09 décembre 2024

accoudé au bar...

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25 novembre 2024

Dans le foin

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09 novembre 2024

Good morning





Thibault était super content à l'idée de passer ce week-end avec son pote Maxime.
Ils se connaissent depuis la première année de fac. Très vite une belle amitié les a réunis.  Une amitié simple, sans chichi. Thibault sait depuis le début que Maxime est gay. Cela n'a jamais posé de problème.  Ils sortent souvent ensemble avec copain et/ou copine s'ils en ont ou simplement tous les deux dans les périodes de disette. 
 Ils s'entraînent ensemble et sans jamais s'être posé la question, ils sont persuadés tout savoir l'un de l'autre.  Souvent d'ailleurs,  ils aiment à se raconter leurs ébats sexuels dans le détail. 
Ce week-end " bronze cul" dans un hôtel all inclusive est partie d'une proposition de Thibault. Au départ, il avait prévu ce week-end comme une surprise pour sa copine du moment.  Mais voilà, ils s'étaient embrouillés pour les raisons habituelles ; Thibault avait manqué de discrétion en draguant une copine de sa meuf,  ce qui était arrivé à ses oreilles. Et voilà Thibault avec deux billets sur les bras. 
C'est ainsi qu'il avait embringué Maxime.  
Maxime n'a pas hésité une seconde.  D'abord,  c'était cadeau,  ensuite passer un gros week-end avec Thibault,  l'enchantait.  Maxime, aimait beaucoup son "pote Thibault, non seulement il le trouvait très beau mais il se sentait bien avec lui.  Ils étaient souvent raccord et ne s'ennuyaient jamais. 
Bien que Thibault soit hétéros, et même si Maxime éprouvait toujours une petite émotion à le voir tout nu, l'idée d'une relation autre ne lui avait jamais traversé l'esprit. Thibault de son côté était toujours très à l'aise avec lui, partageant ensemble une très grande intimité. Une intimité fraternelle, très tactile,  très tendre. 
L'hôtel choisi était super. Une très belle piscine, plein d'activités sans compter sur les bars et restaurants variés.  Il avait de plus réservé une suite composée d'une grande chambre, une belle salle de bains et un salon très agréable. La chambre et le salon, tous deux équipés d'écrans géant.
Curieusement,  alors qu'il leur arrivait souvent de dormir ensemble après une longue soirée de révision, Thibault a souhaité garder le grand lit pour lui tout seul,  proposant à Maxime de prendre le canapé lit du salon.  Maxime en fut un peu surpris mais accepta de bonne grâce. 
Thibault se réveilla de très bonne humeur.  Il n'avait pas baissé les stores ni tiré les rideaux et le soleil inondait la pièce d'une belle et douce lumière. 
Il avait un très impressionnant " morning wood " il pris sa longue queue en main pour la tenir bien droite devant lui.  Il avait une grosse envie de se branler et offrir à la journée sa semence telle une offrande au soleil et à la journée commençant.
Ses pensées allaient vers sa copine; il s'imaginait en train de caresser ses seins,  sa chatte.  Ça ne suffisait pas,  il manquait l'odeur,  le frémissement de la peau,  les couinements.  Ses pensées glissèrent doucement vers Maxime qui dormait encore à côté.. cette pensée l'étonna tout d'abord  Mais à près tout,  il le connaissais par cœur son Maxime.  Son odeur,  la texture de sa peau et plus d'une fois il l'avait vu bander le matin au réveil... et réciproquement et même qu'une fois...ou deux,  ils avaient regardé un film de boules et s'étaient branlés non sans avoir comparé et mesuré leurs engins en rigolant comme des ados..
Curieusement ces souvenirs commençaient à supplanter les charmes de sa copine et éveillaient ses sens. Se surprenant à s'imaginer caresser le ventre puis la queue massive de son pote,....
Subitement,  il se leva et sans se soucier de sa verge en érection battant contre son ventre,  il se dirigea vers la porte qui séparait la chambre du salon, l'ouvrir et entra.  
- allez Max il fait super beau, la piscine nous attends... lève-toi.!
- et ben mon salaud, c'est une tenue pour venir me réveiller ?! Tu bandes comme un âne.  Tu ferai mieux de te finir , répliqua Maxime rigolard. 
-  je suis chaud bouillant,  tiens tâte-moi cette queue,  
Maxime fut quelques instants troublé par cette "proposition " et puis sais trop réfléchir, sans doute guidé par un désir ancien et profond, il s'en saisit. Effectivement elle était brûlante. Et.... même s'il l'avait déjà vu en érection, il n'avait pas vraiment réalisé sa taille.  Elle était d'une belle épaisseur tenant toute sa place dans sa main. 
Sans quitter des yeux son ami,  Maxime commença à caresser doucement cette verge offerte puis à la branler doucement. Il avait très envie d'aller plus loin, caresser les délicieux abricots bien fermes à portée de doigts,  cueillir les premières gouttes de mouille qui perlaient du méat, lécher enfin ce membre désiré, mais toujours les yeux rivés sur ceux de Thibault, il se souciait de ses réactions et des éventuelles limites à ne pas dépasser.  Son amitié était le plus important. 
Puis Thibault s'est approché, a chevauché Maxime encore sous le drap et s'est mis à le caresser doucement, tranquillement, sereinement. Il avait sauté le pas.  Maxime ne sachant pas où tout cela allait les mener, se laissait faire. 
C'était très tendre, émouvant. Ils ne se quittaient pas des yeux, prenant conscience qu'ils étaient en train de passer un cap.  Que serait-il d'eux après ça, qu'en serait-il de leur amitié, de leur  complicité... mais pour le moment l'heure était à la découverte l'un de l'autre et pour Thibault,  à la découverte d'un monde inconnu. Tandis que Maxime caressait son dos, ses fesses, il caressait les deux verges ensemble. 
Ils atteignirent un nouveau cap quand Thibault,  le regard troublé,  se baissa pour s'emparer de la teub dressée de Maxime. 
Maxime, submergé par l'émotion de voir son meilleur ami lui donner du plaisir, était presque au bord des larmes.
- baise-moi ,
Maxime n'a pas attendu la réponse, il fallait éviter de trop réfléchir, il savait que c'était ça qu'il fallait faire, ça devait être l'accomplissement. 

Maxime s'est relevé pour lui offrir , son cul 

- Mais d'abord tu me le bouffe; t'as jamais fait ça mais c'est le pied tu verras 
Et il colla  ses fesses entrouvertes contre son visage. 
Thibault comme emporté par une vague de sensations nouvelles,  n'hésita pas  à y fourrer sa langue et à faire gémir Maxime.  Il s'y prenait bien !
ils changèrent de position, Maxime demanda à Thibault de se mettre sur le dos et pris le leadership. Il s'assit sur son visage 

- bouffe mon cul Thibault,  enfonce bien ta langue dans ma rondelle,  oui  comme ça..

- Prend ma verge,  bien profond dans ta gorge,  lèche moi le gland, murmura Thibault avant de s'enfoncer dans le sillon fessier
Maxime voyait le braquemart bien raide de son ami s'agiter sur son ventre.. et avait très envie de m'y empaler. Mais il obéit à son ami.  il goba la verge brûlante et raide puis, e
n remontant sa langue de la base au gland, lécha les veines gonflées et la hampe durcie. Après s'être attardé  sur son gland pour recueillir les petites gouttes de mouille il donna des coups de langue et des coups de dents. Puis après avoir gobé son gland, il commença à s’empaler dessus  jusqu'à ce que sa toison pubienne lui caresse les lèvres.
Mais plus il enfournait cette teub, plus il l'a voulait en lui.....
Maxime se retourna, faisant face à son ami, prit en main ce vit tendu à rompre et doucement  l'enfonça en lui jusqu'à sentir ses cuisses contre ses fesses.


Tout en se branlant furieusement, ses va-et-vient enfonçait en lui le mandrin de son ami. 
- Putain,  Thibault,  ta queue est énorme ! Elle me ramone bien, c'est si bon 
Et lui de serrer ses sphincters autour de sa tige jusqu'à sentir ses veines rouler contre eux.
- si tu continue comme ça,  je vais jouir ! 
Maxime voulait retarder le moment, l'heure de vérité, il se dégagea pour se donner un peu de répits. Mais Thibault était chaud bouillant,

-T'en veux encore ?

Il plaça alors un coussin sous  le  dos avant de s'empaler à nouveau dans le cul de Maxime. Et là, sans plus aucune retenue, il le pilonna longuement jusqu'à ce que Maxime jouisse sur son ventre. Après cela, ses coups de reins se firent de plus profonds et violents jusqu'à ce qu'il inondé son cul de sa semence. 
- tout ce temps perdu,  furent ses mots susurrés quand épuisé il s'est écroulé sur Maxime..