27 juillet 2025

borderline le retour

- laisse moi tomber,  tu vas t'éclater. 







Me voilà de nouveau à Frisco ! Pour le boulot cette fois.  

Je me suis installé sur les hauteurs de Berkeley , un petit appartement dans un condominium avec piscine,  salle de gym et vue sur la baie ; c'est hors de prix mais c'est la boîte qui paie. 

Il ne m'a pas fallu longtemps avant que je ne reprenne contact avec la bande "borderline ". C'était une façon pour moi de renouer avec mon passé pas si lointain d'étudiant et aussi d'expérimentateur.

C'est grâce ou à cause d'eux que j'ai découvert mes multiples facettes de ma personnalité et de ma sexualité.  Et, même si depuis mon départ de Frisco,  je n'ai jamais vraiment développé ces penchants, ils font partie de moi et ne demandent qu'à être ravivés....

J'ai passé le week-end dernier chez Dylan . C'était super,  barbecue,  piscine,  beaux mecs.. "Bordeline" est toujours aussi florissante.  Le concept a un peu évolué mais reste peu ou prou le même : des soirées à thème pour clientèle avertie et "models" comme ils disent volontaires et motivés. 

Seule nouveauté,  un service personnalisé privé pour clients  spéciaux.  Le principe,  le client nous précise ses goûts et on lui organise un trip sur mesure en mode surprise...

Bien sûr,  il m'a proposé de reprendre du service et j'avais beau lui dire que maintenant je gagnais bien ma vie,  il a continué d'insister..

- tu sais bien que ce n'était pas que pour l'argent.. d'ailleurs,  la plupart des "models" le font par goût et pour l'expérience.. et c'était ton cas ! 

- et la clientèle alors ?

- Comme toujours,  on fonctionne en mode club avec abonnement.  Statut membre,  on reçoit les invitations,  on paye son entrée,  sa boisson ou son accès au web.  On participe pas,  on peut éventuellement toucher si l'occasion est donnée par l'équipe.  Et puis le Statut VIP,  qui permet sous contrôle de l'équipe de participer au spectacle.  Mais comme tu t'en doutes,  on est très vigilants et ils signent une charte de bonne conduite.  Tu t'en rappelle,  c'est toujours un peu bondage mais sans risque ni réelle violence.  Au moindre écart, l'équipe intervient et le client est viré.  

- Quant au "model",  ça n'a pas changé,  le contrat stipule ce qu'il accepte de faire,  ce qui est exclu et il y a toujours l'interview filmée ou il dit clairement qu'il est parfaitement au courant de ce qu'il peut lui arriver et donne ainsi son consentement.  Sans oublier l'interview après performance ou il donne son opinion sur ce qu'il s'est passé.. pour les sous,  pourcentage sur les billets,  les boissons,  les accès au web. 

- D'ailleurs on prépare un super événement,  un week-end entier ! On a réservé un resort avec piscine,  club, gym, jacuzzi et tout le tralala.  Pendant la journée,  les clients ont  quartier libre et profitent des installations. Le soir après dîner,  on organise le show. ...et je suis sûr que tu seras le bon "model". On va te concocter un truc vraiment à ton goût....

- qui te dit que je vais accepter ?

- tu as déjà accepté,  je le vois dans tes yeux !

- pour "subir " quoi?

- tout de suite les grands mots ! Uniquement ce que tu aimes,  une belle à poil pour exhiber ton beau corps si bien entretenu... quelques touche pipi par les clients,  un peu de liens,  un peu de fouet,  léger le fouet,  comme d'hab,  pas de fist ni de pisse sauf si tu le souhaite et bien sûr,  tu vas en sucer un max et en recevoir à fond devant les voyeurs qui ont payé cher pour te voir en prendre un max... mais on sait tous que tu adore ça ! Et puis le contrat est prêt,  tu le trouveras dans ta chambre. 

- hmmm, tu sais, j'ai vieilli,  je suis pas sûr que ça m'excite autant,  je voudrais pas gâcher ta soirée.... 

- je te dis que tu as ça en toi et que tu vas jouir un max. 

Bien entendu,  j'ai signé..

Le jour dit, je suis arrivé au resort en fin d'après-midi.  Je devais retrouver Dylan l'équipe pour préparer l'événement et pour dîner légèrement.  

Mon chemin vers ma chambre,  m'a permis de constater qu'il y avait pas mal de monde. Il n'y avait plus un transat de disponible autour de la piscine,  une belle affluence au bar et dans l'eau.  Comme souvent dans ces resorts exclusivement gays, il n'y avait aucune "tenue exigée " et on pouvait admirer toutes sortes de maillots de bains et de corps nus.. la soirée promettait !

J'ai pris possession de ma chambre, je me suis douché longuement et complètement et j'ai attendu Dylan et l'équipe. Il y avait déjà une caméra et des projecteurs installés,  sûrement pour enregistrer la déclaration préalable et postérieure. 

Ils sont arrivés peu après.  Nous avons débriefé rapidement et nous avons enregistré l'interview préalable juste avant de dîner avant les invités.  La soirée débutant à la nuit tombée,  nous avions un peu de temps et nous avons rejoint ma chambre. J'étais hyper stressé avec un trac monumental.  David m'a tendu un cocktail, 

- tu verras, ça va te détendre...

Le scénario était comme d'habitude assez simple.  Tout est effectivement filmé. Il y a des écrans un peu partout dans l'établissement qui diffuseront en direct y compris dans les chambres.  On commencera par une déambulation pour nous rendre dans des chambres de clients VIP. Les clients autres pourront mater par les baies vitrées des chambres ou les écrans. Ensuite, c'est surprise. 

Je ne sais pas ce qu'il y avait dans le cocktail mais j'étais de plus en plus excité et désinhibé

- c'est l'heure Bastien, enlève ta chemise.  On va te bander les yeux et t'attacher les mains. 

David et Sean vont t'accompagner et te guider et.... te motiver avec la petite tapette en cuir... mais avant on va  offrir à nos invités un peu de teasing; Sean m'a alors déboutonné le jean,  sorti ma verge et l'a sucé avec science.  Quelques instants après, j'avais une trique de malade et des sensations décuplées. 

- Dylan,  y'avait quoi dans le cocktail ?

Sean et David m'ont guidés.  Bien sûr je ne pouvais pas voir mais je sentais des présences,  des murmures à mon passage : les invités.  Bientôt,  ils m'ont introduit dans une chambre,  celle d'un VIP sans aucun doute. 

- hello  Sir, regardez ce cadeau pour vous, ... et Dean de me tapoter le torse avec sa tapette tandis que David fait miroiter ma queue au VIP .

Une main me caresse le torse, caresse mes boules,  ma hampe avant qu'une bouche vienne la lécher, la gober.... je ne sais pas ce que j'ai ingéré mais ces caresses me font un effet bœuf, tous les sens semblent réagir sous chacun de mes pores, ma bite est au bord de l'implosion,  je voudrais hurler de plaisir. 

On sort,  toujours guidé par mes compères... ce VIP avait juste payé pour une petite pipe... il faut que je pense à demander à Dylan,  son menu avec tarif.

- tu vois rien mais je peux te dire qu'ils sont bien là... ils nous suivent ou nous précédent et tout à l'heure,  certains se seraient battus pour être au premier rang devant la baie vitrée.  On arrive dans la seconde chambre. 

J'entends des gémissements,  des  frottements de corps..

- hello,  messieurs, voici votre bonus ; Sean me jette sur le lit,  ôte mes chaussures et mon jean.  Un bouche s'empare de ma queue et de mes couilles,  une autre m'embrasse goulument,  des mains me caressent fermement,; on me soulève les cuisses et une bouche fouille mon sillon avec force borborygmes,  une grosse bite force ma bouche et me baise a grands coups de reins. 

 

Un doigt,  deux me pénètrent,  fouillent, tournent et retourne, tandis qu'une bouche englouti ma teub.

Les mecs semblent insatiables et très chauds. Et j'avoue qu'ils sont expérimentés ou est-ce le breuvage bu? 

L'un  d'eux arrête subitement de me baiser la gorge et je comprend à ses gémissements et au bruit caractéristique d'une queue secouée fermement,  qu'il va bientôt jouir au dessus de mon visage, 

- ouvre bien la gueule,  oui maintenant,  tout de suite et dans gémissement venu du plus profond de son corps,  il me balance de belles salves de foutre.. et sa verge à nettoyer.  Il en va bientôt de même sur mon sexe que le second VIP me couvre bientôt de son sperme. Après de multiples et tendres marques de gratitude,  David m'a aidé à enfiler mon pantalon,  la braguette restant toujours largement ouverte pour laisser ma verge se dresser fièrement... je n'avais toujours pas débandé ne serait-ce qu'un instant....

Autre chambre,  de nouveau Sean ôte mon pantalon et me bascule sur un lit  et m'offre à un nouveau VIP.

Des mains un peu rêches parcoure mon torse, s'attardent sur mon bas-ventre,  caressent mes boules et ma verge dressée,.

L'inconnu me complimente et gémis d'avance.  Sa bouche parcoure mon torse tandis que Sean me tient bien droit et bientôt ma queue est gobée,  léchée,  mon méat pénétré.  C'est trop bon et je couine un max surtout que Sean me caresse d'un doigt mon sillon et ma rondelle puis la force. 

Sean me bascule sur le lit,  le gars se jette goulûment sur ma rosace et la flatte de la langue,  Sean me fourre sa bite dans la gorge et me baise.  

Le VIP après  s'être  vivement excité sur ma rondelle avec force borborygmes,  est venu coller sa queue contre elle et s'est enfoncé d'un coup.  J'ai hurlé de surprise, malgré le vit de Sean qui me baisait la gorge,  car c'était  un sacré bout de viande qui se forçait le passage Le bougre grognait comme un animal tout en me donnant de puissants coups de boutoir.  Ça devait être un balaise! 

Il devait être très excité car il a joui très vite dans un énorme grognement.  

 
Après m'avoir aidé à remettre mon jean,  nouveau périple vers ce qui semblait être une estrade. J'entendais un brouhaha de voix et de verres,  la partie publique allait sans doute commencer. 

Tandis que Dylan m'attachait a ce qui semblait être une pylône,  Sean s'occupait de maintenir ma queue dressée en me suçant.  Ils m'ont ensuite ôté mon jean et fait écarter les jambes,  voilà j'étais entièrement nu,  queue dressée,  toujours les yeux bandés devant un public de voyeurs...

Puis ça a été le défilé,  ils sont venus les uns après les autres mecs toucher,  caresser,  sucer quelques instants ; à  chacun je devais mes remercier d'un, 

- merci de me toucher monsieur....Ou merci de me sucer la bite 

J'ai oublié de dire que Dylan l'avait entièrement enserrée de liens très fermes accentuant ainsi sa fermeté et sa courbe.

Un mec un peu brutal est venu derrière moi,  je sentais sa bite me caresser les fesses.  Mais il s'est emparé de mes couilles enserrées dans les liens et s'est mis à les tapoter et à tirer dessus, m'arrachant quelques couinements de douleur.  J'ai  pris sa queue en main elle aussi enserrée dans un cockring d'acier et je l'ai branlé.

Ils m'ont retourné et deux mecs sont venus se coller à moi,  j'avais leurs bites en mains tandis qu'ils me caressaient et bécotaient ; c'était comme une pose tendre avant,  je ne savais quoi....

Le fouet,  voilà ce qui m'arrivait.  Tandis qu'ils me caressaient,  me couvrant de baisers,  Dylan me fouettait les fesses. Ce n'était finalement pas très douloureux en tous cas moins que lorsqu'ils m'ont retourné et fouetté le ventre et le bas-ventre.  Et même si les coups étaient faibles,  lorsque mes couilles ou mon gland tuméfié par les liens étaient touchés,  je n'ai pas pu m'empêcher de crier.

Le pire c'est qu'à aucun moment je n'ai cessé de bander et comme une récompense,  un mec est venu  gober ma verge et mes boules et c'était carrément bon.

Ils m'ont libéré et ôté mon bandeau je pouvais enfin voir les invités.  Comme imaginé, il y en avait de tous les âges,  couleurs,  physique... d'aucuns bien sûr,  smartphone en main mataient la scène derrière leur écran. Certains ont commencé à s'approcher pour simples me toucher,  caresser les couilles,  la verge.  Des mains se sont hasardées dans mon sillon,  des doigts ont caressé mon œillet et essayé de le pénétrer. 

Après cette nouvelle séance de touche pipi,  ils m'ont libéré non sans m'avoir affublé d'un collier  attaché à  laisse tenue par Sean qui,  entièrement nu bandait autant que moi.  Il me fallait maintenant parcourir quelques mètres à genoux sur la pelouse  autour de la piscine.

In lec , sûrement encore un VIP m'attendait assis sur un fauteuil.  Entièrement nu,  il présentait fièrement un mandrin noueux et entièrement dressé. 

Sean m'a conduit vers lui et j'ai bien sûr englouti l'engin comme un bon gars,  Sean me poussant le crâne pour s'assurer que je n'en laissait  pas un cm dehors.  A moitié étouffé, le nez sur sa toison,  je devais le remercier de me gratifier ainsi. 

Il avait dû se branler préalablement car il n'a pas fallu longtemps pour qu'il m'inonde la gorge de copieuses salves de foutre  me provoquant des hauts le coeur. Il ma embrassé en prenant bien soin de nettoyer mon visage et ma bouche de tout son sperme. 

La déambulation a  continué.  Je savais que ça devait nécessairement aller crescendo comme tout spectacle. 

Sean m'a dirigé vers plusieurs mecs tout au long du périple.  Des queues a sucer  , la mienne à offrir.  Je supposais  que le menu était très précis et que les " invités" payaient pour des prestations précises qui allaient sans doute du voyeur passif, au VIP en passant par,  le touche pipi. On m'a jeté subir dans un grand bain bouillonnant.  Là cinq mecs m'attendaient pour que je m'occupe d'eux ; cinq teub à bouffer, branler quelques fois deux en bouche.  Les bites effleurant l'eau bouillonnante,  l'eau se mêlant à la chair,  j'avais souvent des hauts le coeur. Ça les faisaient rire et à plusieurs reprises,  ils m'ont l'un ou l'autre enfoncé la tête dans l'eau. 

On m'a enfin permis de sortir. Il y avait foule.  La plupart des gars étaient à poil ou la taille recouverte d'une serviette. La plupart bandait et ça fricotait voire plus un peu partout.

Le clou était là devant moi,  une petite dizaine de mecs nus,  queues en mains étaient là réunis . En s'écartant , j'ai vu apparaître un sling et j'ai compris ce qui m'attendait..

Sean et Dylan m'ont installé sur le sling.  Sean s'est baissé au niveau de mon cul et a commencé à y fourrer sa langue puis ses doigts.  Je gémissais bien fort et c'est n'était pas de la comédie.  

Quand il s'est relevé,  teub en main,  il m'a regardé avec son petit sourire et a simplement déclaré, 

- prêt ?

Et sans attendre ma réponse qu'il connaissait déjà s'est enfoncé en moi d'un grand coup de reins.  Ses va-et-vient étaient puissants et préparaient mon cul au défilé des VIP  super VIP !

Quand il s'est extrait,  j'ai senti un grand coup d'air frais dans mon tréfonds ; mon anus devait être bien dilaté.  Dans un dernier spasme il a couvert mon ventre de foutre sous les applaudissements des autres. 

Puis, ça a été le défilé,  les uns après les autres,  des gros, des longs , des courts, des épais, des courbes sont venus s'empaler à moi.  Certains se vidangeaient en moi d'autres  sur mon ventre.

J'avais par moment une queue à branler dans chaque main.  Enfin que j'ai compris que c'était le dernier,  j'ai commencé à me branler au rythme effréné de l'inconnu.

Nous avons joui pratiquement en même temps sous les applaudissements des invités .

Sean m'a ramené dans ma chambre.  Curieusement après tout ça,  j'avais très envie de baiser avec lui,  de faire l'amour,  tranquille dans mon lit... je lui ai dit ; il a souri et m'a dit, 

- le travail n'est pas fini,  on va enregistrer le debrief de fin après on est libres !



















22 juillet 2025

Housekeeper surprise




Je travaille depuis quelques semaines dans un fast food pas trop loin de la fac. Cela me permet de payer mon loyer et une partie de mes frais scolaires.
Je suis un fan de lutte et j'ai été super content en apprenant que le vieux hangar proche de mon boulot allait devenir un club d'entraînement pour la lutte. 
J'ai eu l'occasion d'en faire un peu au collège et l'idée de reprendre l'entraînement était séduisante. 
Les nouveaux propriétaires, avaient collé un peu partout des affiches pour annoncer l'ouverture par un concours.  Les sélectionnés auraient un abonnement de 3 mois offert. 
Quelques jours avant l'ouverture,  je m'y suis rendu par curiosité.  Un concierge  était là et m'a laissé entrer. 
Il y avait encore du boulot pour rendre les lieux utilisables mais le tapis était déjà là. 
- je suis très intéressé,  ça vous dérangerai si je passe le soir pour faire quelques exercices avant l'ouverture et le concours ? Je vous donnerais un coup de main si vous voulez. 
- pas besoin, je vous mettrai une  clé derrière la boîte aux lettres et vous n'aurez qu'à refermer derrière vous. 
Le lendemain donc, après mon boulot je me suis rendu à la salle.  Personne bien sûr.  J'étais ravi de passer une heure ou deux à me préparer pour le concours et j'avais pris avec moi ma combinaison de lutte du collège.  
En la revêtant, j'avais oublié comme elle était moulante... et c'était plutôt agréable à porter. 
En faisant mes exercices au sol,  je ne me suis pas aperçu tout de suite que je n'étais plus seul. Un homme en tenue de travail était là et me regardait.  Depuis combien de temps? Il avait un air bizarre et je me suis senti soudain vulnérable dans ma tenue moulante.  J'avais l'impression que l'on ne voyait - qu'il ne voyait- que la protubérance formée par mon sexe.. 
Le gars était là pour faire un peu de ménage. Après lui avoir donné quelques explications sur ma présence. Il m'a indiqué qu'il avait été lutteur lui aussi. 

- super ta tenue ! Ça te va bien dit-il En regardant de manière insistante mon entrejambe, mais elle est un peu usée,  tiens essaie celle-ci et il me tend une tenue de combat en lycra bleu. 
J'ai un peu hésité ; d'abord j'aime bien ma combinaison et puis surtout je ne voyais pas où j'allais bien pouvoir me changer..ni pourquoi.. mais il y avait dans le regard du gars quelque chose de sensuel voire plus.. je le suis exécuté 
- soit pas timide,  pas besoin de faire de chichi..
A ces mots,  j'ai commencé à sentir des papillons dans le bas-ventre et en me déshabillant je savais que j'allais montrer une gaule bien raide. 
je suis resté comme ça devant lui à poil,  la queue dressée. 
Admiratif,  il a attendu quelques secondes sans faire de commentaire avant de me tendre la combat bleue, 
Évidemment,  ma queue faisait une barre bien droite sous le lycra. 
- si tu veux,  je te montre quelques mouvements qui t'aideront pour le concours. J'ai trouvé ça bizarre et plutôt malsain mais malgré tout excitant.. je sentais bien que la situation au complet était plutôt incongrue et malsaine...
Sans attendre ma réponse,  il a  dézippé sa tenue de travail.  Il était nu dessous et il bandait aussi. 
- si tu permets,  je vais mettre ta combinaison,  finalement elle n'est pas si mal. Comme fait exprès,  il est resté quelques instants nu face à moi,  le temps de retourner ma combinaison et de l'enfiler ; le temps surtout de me laisser entrevoir une belle tige demi-molle certes mais déjà de belle taille et très épaisse. 
C'est revêtu de ma tenue moulante déformée par son érection qu'il s'est positionné devant moi. 
On a fait quelques mouvements frôlant à chaque fois nos queues respectives.  À  un moment il a glissé sa main dans ma combinaison pour en sortir par mon vit et j'ai fait de même.  C'était marrant de voir nos verges balloter ainsi !
Rapidement le jeu a consisté à " celui qui déshabille l'autre gagne". 
On s'est très vite retrouvés l'un et l'autre nus, sexes érigés et nous avons continué un moment à lutter dans un corps à corps endiablé et de plus en plus sexuel.  Le désir était là,  plutôt de raison pour le nier.  La suite serait un jeu... On s'est regardés dressés l'un face à l'autre, corps en sueur.  Il s'est approché de moi,  nous nous sommes enlacé,  embrassé,  caressé puis,  par une prise surprise,  il m'a basculé sur le sol. On a lutté quelques minutes comme pour retarder l'inévitable dans un corps à corps endiablé etvde plus en plus sexuel

Enfin, après m'avoir maîtrisé dos au sol,  jambes écartées,  il s'est emparé fermement de ma teub. Dans un dernier effort pour me dégager, nous nous sommes retrouvés tête bêche et moi aussi je me suis emparé de sa bite.
Voilà ça y est,  il n'est plus question de coaching ou de lutte mais de sexe. Ce mec même plus vieux que moi me fait envie. Sa peau,  son sexe,  sin cul, je le veux. 

Ma queue rentre facilement dans sa gorge, son nez est plaqué contre mon pubis alors que je sens sa langue s’agiter. Il me recrache que pour reprendre de l’air et me masturbe en attendant. Je le laisse me faire quelques gorges profondes puis je plaque ma tige recouverte de salive contre mon ventre.
Ses mains quittent mes couilles mais sont vite remplacées par ses lèvres. Il me lèche, les prend en bouche, les lèche de nouveau puis les aspire l’une après l’autre. Je lui demande de les mordiller mais il a un peu peur d’y aller comme j’aime. Il abandonne mes boules pour me reprendre en bouche. Il me suce à différentes cadences, ses mains l’aident toujours dans son travail.

Sans plus hésiter, je me mets moi aussi à lécher ses couilles qui ont l’air bien pleine ! J’approche ma bouche de sa queue et je commence à le branler en lui donnant des petits coups de langue sur son gland. Puis, j’enfourne son mandrin dans ma bouche, jusqu’aux couilles. Son gland va vite toucher ma gorge. Il me faut quelques secondes pour me faire à sa teub... mais j’arrive à tout prendre en bouche. Hm... je me sens enivré par l’odeur de mâle qui se dégage de ses poils de son pubis.

Je le suce lentement, mais il donne des coups de reins, ce qui me fait comprendre qu’il faut que j’accélère... Ce que je fais, bien évidemment. Je le suce avidement et il se laisse faire. Puis, il se retire de ma bouche et nous enlaçons sauvagement; j’admire alors son corps. Un fin duvet recouvre son torse ainsi que le milieu de son ventre. Ses bras et ses jambes sont un peu poilus. Il a un pubis recouvert de poils denses mais un peu taillé. Sa queue de 20 cm, est très épaisse : ma main arrive à peine à en faire le tour. Il a des boules pendantes et rasées qui ont l’air bien remplies.
Soudain, il me fait me relever.
- j'ai envie de jouir de ton cul,  descendons.  Tu vas t'appuyer contre le ring,  cuisses écartées et tu vas me montrer ta rosace. 
Je me suis exécuté, bien cambré et cul à découvert en écartant mes fesses des deux mains. 
Lui était assis juste devant, admirant ma rondelle tout en se caressant la hampe. 
Il se lève écarte mes fesses... et il enfonce directement sa langue dans mon anus. Il se met alors à me brouter le cul de façon démente. Je gueule directement de plaisir ! Puis, il enfonce un doigt dans mon anus et il va me titiller la prostate. Je crie encore plus fort.
Il s'éloigne ensuite quelques instants 
- ne bouge surtout pas ! Me dit-il en farfouillant dans son sac ouvert.  Il en sort une sorte de gode qu'il glisse sur...son balai ! 
- hey ! Ça va pas non ?! 
- t'inquiète,  c'est pour te préparer à ma queue ; tu vois pas que ce truc est moins épais 

Et après avoir craché abondamment sur mon œillet,  il commence à l'introduire doucement...  je suis le premier étonné de voir que je l'accepte assez facilement..
- c'était pas la peine de prendre le balai,  ...dis-je entre deux halètements 
- ça permet juste de faire entrer le gode entièrement,  dit-il en poussant d'un coup,  l'engin en moi,  me faisant hurler. 
- voilà,  un beau trou prêt à m'accueillir,  dit-il après l'avoir entièrement retiré...
Et voilà qu'il m'écarte les sphincters avec les doigts 
Avant de cracher dedans ainsi que sur sa queue. Puis, il positionne son gland contre mon anus et il s’enfonce en moi, lentement, mais sans faire d’arrêts. Quand je sens ses poils de pubis contre mon cul, je pousse un soupir sachant qu’il est au fond de moi. Il marque une pause, le temps que je m'habitue à sa queue dans mon cul. Il me saisit les hanches et il entame de lents mouvements qui se transforment vite en un pilonnage en règle. Sa queue est vraiment bien épaisse mais je suis tellement excité par la situation que je mouille à fond. Ensuite, il me fait retourner, je me retrouve sur le ring, je passe mes jambes autour de ses hanches et il me porte tout en s’enfonçant en moi. Il recommence sa baise. 
Le mec me défonce bien. Je gémis fort. Parfois, il s'arrête, sa queue enfoncée en moi. Puis, il recommence à me labourer. Il me pilonne l'anus à fond dans une cadence régulière et hyper profonde. Il me tient bien, appuyé contre le mur et je suis vraiment bien empalé sur sa teub. Je sens ses couilles contre mon cul sur lequel elles claquent car ses mouvements de va-et-vient sont de plus en plus rapides.
- Joue avec mes tétons !
Je me mets à malaxer et à pincer ses tétons.

- Tu veux mon jus ?
- Oui !
- serre ton cul à fond contre ma teub.  
Je sens sa queue durcir  et ses veines gonflées de sang frotter contre mes muqueuses; très vite, il pousse un cri de jouissance. Je sens alors les soubresauts de sa teub qui décharge dans mon cul. Ce sont de longues et puissantes giclées. J’ai l'impression qu'il ne va pas s’arrêter de gicler. Il libère bien une dizaine de jets dans mon cul. Putain ! Il ne s’était pas vidangé depuis un moment. Il redonne des coups de bite, tassant son jus.

Quand il ressort, sa semence dégouline hors de mon anus. Il saisit ma bite et il la branle. Je suis tellement chaud que je jouis une grosse quantité de sperme un peu partout, sur mon ventre, sur mon torse et même sur mon visage. Il se penche sur moi et il m’embrasse, prenant par la même occasion un peu de mon sperme dans sa bouche.
Je me penche sur lui et je lui nettoie sa queue qui est devenue molle. Son gland est humide, encore recouvert de sperme. J’avale bien sûr tout avidement.
-c'était ta première fois? 
Je fais oui de la tête, 
- et ben on peut dire que tu t'es bien débrouillé,  t'aurais dû commencer avant ! Allez, 
On a bien mérité une douche,  reviens demain,  peut être qu'on aura envie de s'entraîner...ou pas....



20 juillet 2025

le peepshow de la 8 eme av , contact à trois









Rentré chez moi. J'ai commencé à regretter ma décision, lors de ma visite au peepshow,  de ne flatter que mon désir d'exhibition.  Je me suis rappelé que des mecs étaient là,  chauds et disponibles et surtout je  n’avais pas  "expérimenté " les gloryholes.. bien sûr au delà du regret c'est le fantasme qui a pris le dessus ; j'ai commencé à me faire des films et l'envie est venue d'y retourner rapidement. 
Et effectivement,  j'y suis retourné pas plus tard qu'hier. 
Je n'ai pas eu la même cabine que la première fois et celle-ci, tout en profondeur avait une seule paroi percée mais de deux trous donnant sur deux cabines attenantes. 
Elles étaient vides. L'écran diffusait comme la dernière fois, un film de boules,  peut-être le même... je me suis assis sur le petit banc,  j'ai dégrafé mon jean,  libéré ma queue et maté distraitement le film tout en flattant doucement ma verge. 
J'avais mis le film en sourdine ne voulant entendre que les bruits ambiants; bruits de pas dans les couloirs,  râles,  gémissements étouffés,  succion,  frottements,  c'est cela qui participait à la montée de mon excitation,  au fantasme.
Au bout de quelques minutes,  j'ai entendu une porte se refermer à côté et des bruits  comme une ceinture que l'on défait,  un pantalon que l'on baisse. .
Pantalon baissé,  queue  en main, je me suis approché du premier gloryhole. Très vite une beau braquemart s'est introduit. Un sacré morceau de chair décalottée surplombant une  grosse paire de boules bien fermes. Sans hésiter un instant,  j'ai pris ses couilles en main et j'ai poussé l'engin dans ma bouche.  Une odeur acre d'intimité est venu chatouiller mes narines. En tirant légèrement sur ses boules,  je l'ai incité à me baiser la gueule à coup de va-et-vient.   Je la prenais toute entière et mes borborygmes de déglutition sont venus s'ajouter aux bruit ambiant.  
Bientôt,  une second vit s'est invité par le second gloryhole.
J'étais chanceux,  c'était là aussi un sacré braquemart.  Long, courbe,  veineux,  un gland protubérant, de ceux qui te labourent le tréfond à t'arracher des cris de bonheur. 
Je l'ai pris en main tout en continuant à gober l'autre bien profond. 
Il le fallait contenter tout le monde et donc alterner. 
Le second vit, tout aussi épais était trop long pour me permettre de le gober entièrement Mes mains le saisissent tout en soupesant ses grosses couilles. Puis, j’approche ma bouche de sa teub ... et je l’y enfonce. Putain, elle est bien épaisse ! Elle m'ouvre la bouche au max !  Après quelques va-et-vient,  je léchouille son gland comme pour reprendre ma respiration. 
J’enfonce la teub encore un peu plus... Les deux tiers y rentrent... mais le réflexe vomitif me la fait ressortir. Je reprends après une petite pause. Je fais petit à petit descendre son gland dans ma bouche jusqu’à ce qu’il touche ma gorge. Je finis par avoir la totalité de sa bite dans mon gosier et je me retrouve avec le nez dans ses poils pubiens...Je sens alors une bonne odeur de mâle qui m’enivre. Ses grosses couilles cognent contre mon menton. Je la suce avec envie.
Je n'ai plus besoin de m'occuper de la première teub,  le gars s'est retiré... peut-être même voulait il pour lui tout seul !
Alors que j'ai les lèvres collées au pubis du mec,  la teub toute entière gobée,  j'entends la porte de la cabine s'ouvrir et un mec entrer,  braguette et slip ouverts, une queue massive à l'air... a défaut de reconnaître le mec, je reconnais l'engin.. le gars a quitté sa cabine pour me rejoindre. 
J'avais de nouveau deux braquemart à honorer et je m'y suis donné à fond. 
Gêné par mon falze je m'en suis débarrassé et c'est à poil que j'ai offert ma verge au gars dans un acrobatique 69 et tout en branlant l'autre à travers le gloryhole.

Puis le gars s'est lui aussi débarrassé de ses vêtements.
 Il voulait sans doute goûter à mon fondement. Il l me fait mettre à quatre pattes sur la banquette et il se met à malaxer mon cul, avant d'écarter mes fesses et de coller sa bouche contre ma rondelle 
-Putain ! Il est trop beau, ton petit cul ! Il me fait trop envie.
Il commence à le mordiller tout en l’écartant... puis il enfonce sa langue dans mon trou. Il me bouffe le cul avec passion et ce pendant, le second gars est entré et debout devant moi, m'a de nouveau offert sa teub à pomper. 
Je savais bien entendu ce qu'il allait m'arriver et ayant goûté aux deux queues, je savais aussi que j'allais déguster !

pendant que le blond m’enfonce sa bite dans la bouche. C’est tellement bon ! Le mec me fait un anulingus de dingue. Je gémis fort. Sa barbe de 3 jours me chatouille la raie... J’adore.
Il se relève après 5 minutes et il me pénètre d’un coup, m’embrochant entièrement sur ses 20 cm. Je gueule fort... mais mes cris sont retenus par la grosse queue dans ma bouche. Le mec pose sa main sur mon ventre qu’il caresse et il se met à faire de lents allers-retours. Il me murmure à l’oreille :
- Tu as un trop beau cul ... et un corps splendide !

Je ne réponds rien, parce que le blond a entamé une baise en règle de ma bouche sur toute la longueur de sa queue. Mon enculeur accélère la cadence, ne cessant de répéter fort que j’ai un trop bon cul ... ce qui ne manque pas d’attirer d’autres personnes qui s’approchent.

Je me fais maintenant bien défoncer. Il faut entre 5 et 10 minutes au mec pour m’ensemencer. Il se bloque dans mon cul et il lâche 6 jets qui giclent hors de sa bite que je sens bien pomper le sperme dans mon anus. Il ressort et le blond prend immédiatement la suite. Il se penche devant mon cul qu’il écarte et il admire le jus qui en sort. Il plonge sa tête dans ma raie et il se met à se délecter du sperme de son pote. Sa langue ramasse tout, elle va même dans mon anus qu’elle broute pour récupérer le délicieux nectar.

Puis, le mec se redresse et il enfonce sa queue qui glisse dans mon anus. Il pose ses mains dans mon dos et il entame une baise régulière et plutôt lente. Mais très vite, il augmente la cadence. Sa queue me fait bien gueuler. Ainsi que l'autre qu'il m'est donné de nettoyer et qui reprend très vite une forme olympique emplissant de nouveau ma bouche 

Très vite, je me retrouve à plat ventre sur la banquette sous le poids du blond. Il se met à faire des va-et-vient puissants qui me font gueuler fort. Il se colle contre moi et il me murmure à l’oreille :

- Alors, ça te plait toujours autant ?
- Oh oui !
-

Ma réponse bien qu'étouffée par l'autre mandrin,  semble bien le faire kiffer car ses coups de bite deviennent de plus en plus violents. Au bout de 10 minutes, je sens sa queue déverser une bonne dose de sperme dans mon anus. Le blond se relève, en sueur et fixe l'autre gars,
- Vas-y, fais-toi plaisir ! Le cul est à toi ! il a goût de "reviens-y"!

Sa grosse queue me fait bien gémir.
Il redouble la violence de ses coups de reins. Sa respiration commence à s’accélérer, sa teub commence à vraiment bien durcir. Soudain, ma prostate est si mise à mal que je gicle de gros jets sans me branler ! Une dizaine de giclées jaillissent , preuve de cette formidable baise !  Au bout de 5 minutes, je sens son gland prendre du volume pour m’ensemencer tandis qu’il continue de me baiser. Quand il se retire, son jus dégouline lentement hors de mon anus. Et mes deux compagnons se relaient pour ne pas en perdre une goutte et, après avoir recueilli mon foutre, nous l'avons partagé tous ensemble.  Après ça,  j'ai fait un truc dingue,
- donnez-moi vos slibards, les gars , je voudrais garder un souvenir de cet après-midi......




19 juillet 2025

Le peepshow de la 8eme av nyc




Je traînais sans trop réfléchir  comme j'aime à le faire quand je suis à nyc. Juste parcourir la ville un peu au hasard ; juste pour les ambiances, les scènes de rue,  les regards croisés. 
Le quartier était plutôt glauque,  des échafaudages un peu partout,  des mecs pas très nets, des peepshow et des sex-shop.  Je ne sais pas pourquoi mais cette atmosphère particulière  bien que zarbi a réveillé en moi, comme une envie de sexe. Une envie trouble. 
Je suis passé devant un sex-shop,  dvd, revues,  toys et cabines. Celui-ci annonçait en lettres rouges "peepshow male ".
Je n'e sais pas ce qui m'a pris,  sans hésiter je suis rentré. J'ai passé quelques minutes à regarder vaguement les marchandises et j'ai payé l'accès à la backroom.
 Ambiance de semi pénombre sous une lumière blafarde rouge.  Quelques mecs de tous âges et physiques déambulant.  J'ai pris possession de la cabine.  La même lumière glauque,  parois percées par des gloryholes et un écran tv passant un film de boules. Regrettant subitement ce coup de tête, je me demandais déjà ce que je faisais là.  je n'avais pas envie de faire la moindre rencontre mais il restait quand même en moi une sorte d'envie sexuelle...
Je me suis déshabillé mécaniquement.. entièrement.  Je savais les autres cabines attenantes occupées et je me savais observé et peut-être désiré.  Ma queue s'est,  à cette idée,  rapidement dressée et j'ai commencé à me caresser et à me branler. 
Des mains, des bouches s'offraient par les trous des parois mais je suis resté concentré sur mon plaisir.. plaisir d'être observé,  désiré, inaccessible mais peut-être pas.  Plaisir de savoir ma verge turgescente désirée.  Plaisir de sentir le plaisir monter doucement.  Plaisir d'être en communion avec des inconnus tremblant de désir sachant mon orgasme monter.....
Des mains fébriles se tendent,  prient pour recevoir ma semence. Je m'approche pas trop près, pas trop loin. 
Un ultime spasme et de copieux jets vont s'écraser sur la paume de la main inconnue. 
Je me rhabille calmement, quitte la cabine,  frôlant des corps en attente et je retrouve la frénésie de la rue.








17 juillet 2025

vestiaire avec vue









Avec mon pote Tony, on fréquente régulièrement une salle de gym. On l'aime bien cette salle.  D'abord on peut s'entraîner jusqu'à tard dans la soirée et on se bouscule pas,  en tous cas pas dans nos horaires.  Enfin, c'est l'annexe d'un sauna ce qui ouvre plein de possibilités supplémentaires de réconfort avant ou après l'effort. On peut même s'entraîner à poil si on veut mais Tony et moi on aime bien les tenues de gym surtout quand elles sont moulantes et on se prive pas pour exhiber nos leggings les plus sexe. Bon il m'arrive quand même quelques fois de m'entraîner uniquement vêtu d'un vieux jockstrap fatigué ; mais ça c'est quand je suis très chaud bouillant ou quand le sauna organise des soirées à thème. 
Ce soir là, Tony et moi on avait vraiment bossé nos pecs et on avait hâte de passer sous la douche mais on n'était pas encore décidés pour la suite de la soirée.  C'était une soirée à poil et j'avais une petite envie d'aller y voir de plus près et d'y balader popaul.. on est exhib ou on l'est pas !
Le vestiaire était désert hormis un jeune mec  en train de ranger ses affaires assis à poil sur un banc.
Pas mal, pas mal du tout.  Il était penché en avant, farfouillant dans son sac ouvert entre ses jambes.  Dans cette position, son cul qu'il avait large, reposait à moitié sur le banc et son sillon légèrement écarté laissait entrevoir une délicieuse rosace.
D'un coup de coude,  je demande à Tony de mater..
- joli dit-il discrètement. 
J'étais debout à poil et ni une ni deux voilà popaul qui s'excite et vient chatouiller le menton de Tony qui se marre en douce, assis à poil lui aussi, sans quitter des yeux l'objet de nos ressentiments... sans vraiment réfléchir,  je me lance :
- beau  cul, mec... une vraie promesse de bonheur !
Le gars se retourne, l'air étonné quelques secondes mais qui très vite se fait coquin. 
Il se cambre alors encore un peu plus, sa raie s'écarte et s'offre alors à nos yeux gourmands,  une  vue imprenable sur une rondelle toute rose.  Tout en nous aguichant du regard,  il écarte un peu plus ses fesses puis glisse un doigt qu'il a humecté de salive.  Sa rosace vibre de plaisir et nous  voilà bouches béantes et queues dressées.  Tony s'empare de ma queue et la gobe totalement,  tandis que je ne quitte pas des yeux le gars et son œillet qui s'entrouvre comme un appel à assouvir un désir qui grandit, excité par ma queue gobée avidement par Tony.  Je lis dans le regard du gars qu'il a très envie de goûter à mon mandrin et j'avoue que voir son œillet frétiller me rend dingue mais je veux en donner la primeur à Tony..
- hey, Tony,  t'entend pas l'appel du cul,  là ?! T'as pas envie d'y goûter ? Moi je crois que ce mec a très envie de me pomper sauvagement...
Je me suis  libéré de la gorge de Tony et la bite dressée je me suis fièrement approché du gars.  Ce petit salaud avait déjà la bouche grande ouverte prête à pomper mon vit turgescent ,décalotté.  J'étais fier de sa  tortuosité qui allait forcément lui laminer la gorge et le cul si affinité...
Il s'est précipité dessus et j'avoue qu'il savait s'y prendre flattant de la langue chaque veine,  chaque centimètre de ma teub. 
Pendant ce temps Tony s'occupait de sa rondelle et semblait y prendre beaucoup de plaisir,  commentant régulièrement entre deux gargouillis.
J'avais moi aussi très envie d'y goûter et tout en restant solidement empalé dans la gorge du gars je me suis penché vers Tony et cet appétissant arrière train.  J'ai commencé par en  écarter les fesses permettant à Tony de ramoner bien profond puis on sest bécoté  mêlant nos langues pour en partager les saveurs.
Mais très vite Tony s'est intéressé à la teub du gars la tirant à fond vers lui et sa langue experte me laissant l'exclusivité du trou du cul.
Le gars couinait intensément tandis que sa verge se faisait pomper par Tony et que ma langue préparait sa rondelle à une communion qui promettait d'être épique. 
Ses gémissements malheureusement ou heureusement ont attiré un coach qui nous a pris en flag. 
Une sacrée bête tout en muscles qui n'avait pas l'air d'être choquée  bien au contraire !
- sympa les mecs ! Vous savez que c'est un vestiaire ici et qu'il y a plein d'endroit ici pour s'amuser. 
Tony s'est levé face à lui,  sa queue frôlant son falze puis,  sans dire un mot il a frôlé d'une main l'entrejambe du coach qui n'a pas réagi.  Alors on l'a entouré,  le gars lui a enlevé son tee-shirt, Tony son jogging et ses chaussures. Il portait un jockstrap qui semblait bien rempli dévoilant des fesses rebondies et musclées que je me suis empressé de caresser.
Il n'a pas fallu longtemps pour que Tony grand amateur de teubs devant l'éternel,  fasse jaillir une belle verge épaisse et qu'il la gobe illico.  Le coach avait ma queue et celle du gars dans chaque main tandis qu'on le couvrait de caresses.  Toujours un peu jaloux de Tony,  j'ai voulu moi aussi goûter à cette bite qui maintenant avait pris la taille du plaisir.  
Pas de jaloux,  le coach a fait coulisser sa verge entre nos deux bouches et ce va-et-vient en sandwich le faisait couiner grave. 
Nos bites passaient de bouche en bouche,  une vraie bataille; aucun de nous voulant être en reste et dans la mêlée j'ai même réussi pendant quelques instants à en prendre deux en bouche.  
- tous à terre,  a ordonné le coach  à notre grand étonnement.   Vous allez me bouffer le cul chacun votre tour. 
Et ni une ni deux,  on a étalé nos serviettes sur le sol,  on s'est couchés sur le dos et chacun à notre tour il s'est accroupi sur nos visages , nous offrant une large rosace bien ouverte à limer.  
Puis il s'est relevé et s'est branlé au dessus de nous.  
C'était son trip,  nous voir nous branler et nous couvrir de sa semence.  On devait tous brailler comme des bêtes car quand on s'est relevés,  des applaudissements ont fusé. Plusieurs gars attirés par nos gémissements étaient venus mater. 
C'était sympa cette grosse séance de touche pipi mais moi je fantasmais grave sur le fondement du gars dont on ne connaissait pas encore le nom.  Je l'ai pris par la main, 
nos bites encore humides de foutre, 
- viens, on se trouve une cabine et on s'embroche , qu'en dis-tu ? 
- et moi,  s'est écrié Tony !
- ben tu viens avec, je suis sûr que,  tiens au fait comment tu t'appelle ?
- Yoan 
- enchanté Yoan,  je suis sûr que t'as bon appétit pour nous deux ! Lui c'est Tony et moi Bastien.