22 juillet 2025

Housekeeper surprise




Je travaille depuis quelques semaines dans un fast food pas trop loin de la fac. Cela me permet de payer mon loyer et une partie de mes frais scolaires.
Je suis un fan de lutte et j'ai été super content en apprenant que le vieux hangar proche de mon boulot allait devenir un club d'entraînement pour la lutte. 
J'ai eu l'occasion d'en faire un peu au collège et l'idée de reprendre l'entraînement était séduisante. 
Les nouveaux propriétaires, avaient collé un peu partout des affiches pour annoncer l'ouverture par un concours.  Les sélectionnés auraient un abonnement de 3 mois offert. 
Quelques jours avant l'ouverture,  je m'y suis rendu par curiosité.  Un concierge  était là et m'a laissé entrer. 
Il y avait encore du boulot pour rendre les lieux utilisables mais le tapis était déjà là. 
- je suis très intéressé,  ça vous dérangerai si je passe le soir pour faire quelques exercices avant l'ouverture et le concours ? Je vous donnerais un coup de main si vous voulez. 
- pas besoin, je vous mettrai une  clé derrière la boîte aux lettres et vous n'aurez qu'à refermer derrière vous. 
Le lendemain donc, après mon boulot je me suis rendu à la salle.  Personne bien sûr.  J'étais ravi de passer une heure ou deux à me préparer pour le concours et j'avais pris avec moi ma combinaison de lutte du collège.  
En la revêtant, j'avais oublié comme elle était moulante... et c'était plutôt agréable à porter. 
En faisant mes exercices au sol,  je ne me suis pas aperçu tout de suite que je n'étais plus seul. Un homme en tenue de travail était là et me regardait.  Depuis combien de temps? Il avait un air bizarre et je me suis senti soudain vulnérable dans ma tenue moulante.  J'avais l'impression que l'on ne voyait - qu'il ne voyait- que la protubérance formée par mon sexe.. 
Le gars était là pour faire un peu de ménage. Après lui avoir donné quelques explications sur ma présence. Il m'a indiqué qu'il avait été lutteur lui aussi. 

- super ta tenue ! Ça te va bien dit-il En regardant de manière insistante mon entrejambe, mais elle est un peu usée,  tiens essaie celle-ci et il me tend une tenue de combat en lycra bleu. 
J'ai un peu hésité ; d'abord j'aime bien ma combinaison et puis surtout je ne voyais pas où j'allais bien pouvoir me changer..ni pourquoi.. mais il y avait dans le regard du gars quelque chose de sensuel voire plus.. je le suis exécuté 
- soit pas timide,  pas besoin de faire de chichi..
A ces mots,  j'ai commencé à sentir des papillons dans le bas-ventre et en me déshabillant je savais que j'allais montrer une gaule bien raide. 
je suis resté comme ça devant lui à poil,  la queue dressée. 
Admiratif,  il a attendu quelques secondes sans faire de commentaire avant de me tendre la combat bleue, 
Évidemment,  ma queue faisait une barre bien droite sous le lycra. 
- si tu veux,  je te montre quelques mouvements qui t'aideront pour le concours. J'ai trouvé ça bizarre et plutôt malsain mais malgré tout excitant.. je sentais bien que la situation au complet était plutôt incongrue et malsaine...
Sans attendre ma réponse,  il a  dézippé sa tenue de travail.  Il était nu dessous et il bandait aussi. 
- si tu permets,  je vais mettre ta combinaison,  finalement elle n'est pas si mal. Comme fait exprès,  il est resté quelques instants nu face à moi,  le temps de retourner ma combinaison et de l'enfiler ; le temps surtout de me laisser entrevoir une belle tige demi-molle certes mais déjà de belle taille et très épaisse. 
C'est revêtu de ma tenue moulante déformée par son érection qu'il s'est positionné devant moi. 
On a fait quelques mouvements frôlant à chaque fois nos queues respectives.  À  un moment il a glissé sa main dans ma combinaison pour en sortir par mon vit et j'ai fait de même.  C'était marrant de voir nos verges balloter ainsi !
Rapidement le jeu a consisté à " celui qui déshabille l'autre gagne". 
On s'est très vite retrouvés l'un et l'autre nus, sexes érigés et nous avons continué un moment à lutter dans un corps à corps endiablé et de plus en plus sexuel.  Le désir était là,  plutôt de raison pour le nier.  La suite serait un jeu... On s'est regardés dressés l'un face à l'autre, corps en sueur.  Il s'est approché de moi,  nous nous sommes enlacé,  embrassé,  caressé puis,  par une prise surprise,  il m'a basculé sur le sol. On a lutté quelques minutes comme pour retarder l'inévitable dans un corps à corps endiablé etvde plus en plus sexuel

Enfin, après m'avoir maîtrisé dos au sol,  jambes écartées,  il s'est emparé fermement de ma teub. Dans un dernier effort pour me dégager, nous nous sommes retrouvés tête bêche et moi aussi je me suis emparé de sa bite.
Voilà ça y est,  il n'est plus question de coaching ou de lutte mais de sexe. Ce mec même plus vieux que moi me fait envie. Sa peau,  son sexe,  sin cul, je le veux. 

Ma queue rentre facilement dans sa gorge, son nez est plaqué contre mon pubis alors que je sens sa langue s’agiter. Il me recrache que pour reprendre de l’air et me masturbe en attendant. Je le laisse me faire quelques gorges profondes puis je plaque ma tige recouverte de salive contre mon ventre.
Ses mains quittent mes couilles mais sont vite remplacées par ses lèvres. Il me lèche, les prend en bouche, les lèche de nouveau puis les aspire l’une après l’autre. Je lui demande de les mordiller mais il a un peu peur d’y aller comme j’aime. Il abandonne mes boules pour me reprendre en bouche. Il me suce à différentes cadences, ses mains l’aident toujours dans son travail.

Sans plus hésiter, je me mets moi aussi à lécher ses couilles qui ont l’air bien pleine ! J’approche ma bouche de sa queue et je commence à le branler en lui donnant des petits coups de langue sur son gland. Puis, j’enfourne son mandrin dans ma bouche, jusqu’aux couilles. Son gland va vite toucher ma gorge. Il me faut quelques secondes pour me faire à sa teub... mais j’arrive à tout prendre en bouche. Hm... je me sens enivré par l’odeur de mâle qui se dégage de ses poils de son pubis.

Je le suce lentement, mais il donne des coups de reins, ce qui me fait comprendre qu’il faut que j’accélère... Ce que je fais, bien évidemment. Je le suce avidement et il se laisse faire. Puis, il se retire de ma bouche et nous enlaçons sauvagement; j’admire alors son corps. Un fin duvet recouvre son torse ainsi que le milieu de son ventre. Ses bras et ses jambes sont un peu poilus. Il a un pubis recouvert de poils denses mais un peu taillé. Sa queue de 20 cm, est très épaisse : ma main arrive à peine à en faire le tour. Il a des boules pendantes et rasées qui ont l’air bien remplies.
Soudain, il me fait me relever.
- j'ai envie de jouir de ton cul,  descendons.  Tu vas t'appuyer contre le ring,  cuisses écartées et tu vas me montrer ta rosace. 
Je me suis exécuté, bien cambré et cul à découvert en écartant mes fesses des deux mains. 
Lui était assis juste devant, admirant ma rondelle tout en se caressant la hampe. 
Il se lève écarte mes fesses... et il enfonce directement sa langue dans mon anus. Il se met alors à me brouter le cul de façon démente. Je gueule directement de plaisir ! Puis, il enfonce un doigt dans mon anus et il va me titiller la prostate. Je crie encore plus fort.
Il s'éloigne ensuite quelques instants 
- ne bouge surtout pas ! Me dit-il en farfouillant dans son sac ouvert.  Il en sort une sorte de gode qu'il glisse sur...son balai ! 
- hey ! Ça va pas non ?! 
- t'inquiète,  c'est pour te préparer à ma queue ; tu vois pas que ce truc est moins épais 

Et après avoir craché abondamment sur mon œillet,  il commence à l'introduire doucement...  je suis le premier étonné de voir que je l'accepte assez facilement..
- c'était pas la peine de prendre le balai,  ...dis-je entre deux halètements 
- ça permet juste de faire entrer le gode entièrement,  dit-il en poussant d'un coup,  l'engin en moi,  me faisant hurler. 
- voilà,  un beau trou prêt à m'accueillir,  dit-il après l'avoir entièrement retiré...
Et voilà qu'il m'écarte les sphincters avec les doigts 
Avant de cracher dedans ainsi que sur sa queue. Puis, il positionne son gland contre mon anus et il s’enfonce en moi, lentement, mais sans faire d’arrêts. Quand je sens ses poils de pubis contre mon cul, je pousse un soupir sachant qu’il est au fond de moi. Il marque une pause, le temps que je m'habitue à sa queue dans mon cul. Il me saisit les hanches et il entame de lents mouvements qui se transforment vite en un pilonnage en règle. Sa queue est vraiment bien épaisse mais je suis tellement excité par la situation que je mouille à fond. Ensuite, il me fait retourner, je me retrouve sur le ring, je passe mes jambes autour de ses hanches et il me porte tout en s’enfonçant en moi. Il recommence sa baise. 
Le mec me défonce bien. Je gémis fort. Parfois, il s'arrête, sa queue enfoncée en moi. Puis, il recommence à me labourer. Il me pilonne l'anus à fond dans une cadence régulière et hyper profonde. Il me tient bien, appuyé contre le mur et je suis vraiment bien empalé sur sa teub. Je sens ses couilles contre mon cul sur lequel elles claquent car ses mouvements de va-et-vient sont de plus en plus rapides.
- Joue avec mes tétons !
Je me mets à malaxer et à pincer ses tétons.

- Tu veux mon jus ?
- Oui !
- serre ton cul à fond contre ma teub.  
Je sens sa queue durcir  et ses veines gonflées de sang frotter contre mes muqueuses; très vite, il pousse un cri de jouissance. Je sens alors les soubresauts de sa teub qui décharge dans mon cul. Ce sont de longues et puissantes giclées. J’ai l'impression qu'il ne va pas s’arrêter de gicler. Il libère bien une dizaine de jets dans mon cul. Putain ! Il ne s’était pas vidangé depuis un moment. Il redonne des coups de bite, tassant son jus.

Quand il ressort, sa semence dégouline hors de mon anus. Il saisit ma bite et il la branle. Je suis tellement chaud que je jouis une grosse quantité de sperme un peu partout, sur mon ventre, sur mon torse et même sur mon visage. Il se penche sur moi et il m’embrasse, prenant par la même occasion un peu de mon sperme dans sa bouche.
Je me penche sur lui et je lui nettoie sa queue qui est devenue molle. Son gland est humide, encore recouvert de sperme. J’avale bien sûr tout avidement.
-c'était ta première fois? 
Je fais oui de la tête, 
- et ben on peut dire que tu t'es bien débrouillé,  t'aurais dû commencer avant ! Allez, 
On a bien mérité une douche,  reviens demain,  peut être qu'on aura envie de s'entraîner...ou pas....



20 juillet 2025

le peepshow de la 8 eme av , contact à trois









Rentré chez moi. J'ai commencé à regretter ma décision, lors de ma visite au peepshow,  de ne flatter que mon désir d'exhibition.  Je me suis rappelé que des mecs étaient là,  chauds et disponibles et surtout je  n’avais pas  "expérimenté " les gloryholes.. bien sûr au delà du regret c'est le fantasme qui a pris le dessus ; j'ai commencé à me faire des films et l'envie est venue d'y retourner rapidement. 
Et effectivement,  j'y suis retourné pas plus tard qu'hier. 
Je n'ai pas eu la même cabine que la première fois et celle-ci, tout en profondeur avait une seule paroi percée mais de deux trous donnant sur deux cabines attenantes. 
Elles étaient vides. L'écran diffusait comme la dernière fois, un film de boules,  peut-être le même... je me suis assis sur le petit banc,  j'ai dégrafé mon jean,  libéré ma queue et maté distraitement le film tout en flattant doucement ma verge. 
J'avais mis le film en sourdine ne voulant entendre que les bruits ambiants; bruits de pas dans les couloirs,  râles,  gémissements étouffés,  succion,  frottements,  c'est cela qui participait à la montée de mon excitation,  au fantasme.
Au bout de quelques minutes,  j'ai entendu une porte se refermer à côté et des bruits  comme une ceinture que l'on défait,  un pantalon que l'on baisse. .
Pantalon baissé,  queue  en main, je me suis approché du premier gloryhole. Très vite une beau braquemart s'est introduit. Un sacré morceau de chair décalottée surplombant une  grosse paire de boules bien fermes. Sans hésiter un instant,  j'ai pris ses couilles en main et j'ai poussé l'engin dans ma bouche.  Une odeur acre d'intimité est venu chatouiller mes narines. En tirant légèrement sur ses boules,  je l'ai incité à me baiser la gueule à coup de va-et-vient.   Je la prenais toute entière et mes borborygmes de déglutition sont venus s'ajouter aux bruit ambiant.  
Bientôt,  une second vit s'est invité par le second gloryhole.
J'étais chanceux,  c'était là aussi un sacré braquemart.  Long, courbe,  veineux,  un gland protubérant, de ceux qui te labourent le tréfond à t'arracher des cris de bonheur. 
Je l'ai pris en main tout en continuant à gober l'autre bien profond. 
Il le fallait contenter tout le monde et donc alterner. 
Le second vit, tout aussi épais était trop long pour me permettre de le gober entièrement Mes mains le saisissent tout en soupesant ses grosses couilles. Puis, j’approche ma bouche de sa teub ... et je l’y enfonce. Putain, elle est bien épaisse ! Elle m'ouvre la bouche au max !  Après quelques va-et-vient,  je léchouille son gland comme pour reprendre ma respiration. 
J’enfonce la teub encore un peu plus... Les deux tiers y rentrent... mais le réflexe vomitif me la fait ressortir. Je reprends après une petite pause. Je fais petit à petit descendre son gland dans ma bouche jusqu’à ce qu’il touche ma gorge. Je finis par avoir la totalité de sa bite dans mon gosier et je me retrouve avec le nez dans ses poils pubiens...Je sens alors une bonne odeur de mâle qui m’enivre. Ses grosses couilles cognent contre mon menton. Je la suce avec envie.
Je n'ai plus besoin de m'occuper de la première teub,  le gars s'est retiré... peut-être même voulait il pour lui tout seul !
Alors que j'ai les lèvres collées au pubis du mec,  la teub toute entière gobée,  j'entends la porte de la cabine s'ouvrir et un mec entrer,  braguette et slip ouverts, une queue massive à l'air... a défaut de reconnaître le mec, je reconnais l'engin.. le gars a quitté sa cabine pour me rejoindre. 
J'avais de nouveau deux braquemart à honorer et je m'y suis donné à fond. 
Gêné par mon falze je m'en suis débarrassé et c'est à poil que j'ai offert ma verge au gars dans un acrobatique 69 et tout en branlant l'autre à travers le gloryhole.

Puis le gars s'est lui aussi débarrassé de ses vêtements.
 Il voulait sans doute goûter à mon fondement. Il l me fait mettre à quatre pattes sur la banquette et il se met à malaxer mon cul, avant d'écarter mes fesses et de coller sa bouche contre ma rondelle 
-Putain ! Il est trop beau, ton petit cul ! Il me fait trop envie.
Il commence à le mordiller tout en l’écartant... puis il enfonce sa langue dans mon trou. Il me bouffe le cul avec passion et ce pendant, le second gars est entré et debout devant moi, m'a de nouveau offert sa teub à pomper. 
Je savais bien entendu ce qu'il allait m'arriver et ayant goûté aux deux queues, je savais aussi que j'allais déguster !

pendant que le blond m’enfonce sa bite dans la bouche. C’est tellement bon ! Le mec me fait un anulingus de dingue. Je gémis fort. Sa barbe de 3 jours me chatouille la raie... J’adore.
Il se relève après 5 minutes et il me pénètre d’un coup, m’embrochant entièrement sur ses 20 cm. Je gueule fort... mais mes cris sont retenus par la grosse queue dans ma bouche. Le mec pose sa main sur mon ventre qu’il caresse et il se met à faire de lents allers-retours. Il me murmure à l’oreille :
- Tu as un trop beau cul ... et un corps splendide !

Je ne réponds rien, parce que le blond a entamé une baise en règle de ma bouche sur toute la longueur de sa queue. Mon enculeur accélère la cadence, ne cessant de répéter fort que j’ai un trop bon cul ... ce qui ne manque pas d’attirer d’autres personnes qui s’approchent.

Je me fais maintenant bien défoncer. Il faut entre 5 et 10 minutes au mec pour m’ensemencer. Il se bloque dans mon cul et il lâche 6 jets qui giclent hors de sa bite que je sens bien pomper le sperme dans mon anus. Il ressort et le blond prend immédiatement la suite. Il se penche devant mon cul qu’il écarte et il admire le jus qui en sort. Il plonge sa tête dans ma raie et il se met à se délecter du sperme de son pote. Sa langue ramasse tout, elle va même dans mon anus qu’elle broute pour récupérer le délicieux nectar.

Puis, le mec se redresse et il enfonce sa queue qui glisse dans mon anus. Il pose ses mains dans mon dos et il entame une baise régulière et plutôt lente. Mais très vite, il augmente la cadence. Sa queue me fait bien gueuler. Ainsi que l'autre qu'il m'est donné de nettoyer et qui reprend très vite une forme olympique emplissant de nouveau ma bouche 

Très vite, je me retrouve à plat ventre sur la banquette sous le poids du blond. Il se met à faire des va-et-vient puissants qui me font gueuler fort. Il se colle contre moi et il me murmure à l’oreille :

- Alors, ça te plait toujours autant ?
- Oh oui !
-

Ma réponse bien qu'étouffée par l'autre mandrin,  semble bien le faire kiffer car ses coups de bite deviennent de plus en plus violents. Au bout de 10 minutes, je sens sa queue déverser une bonne dose de sperme dans mon anus. Le blond se relève, en sueur et fixe l'autre gars,
- Vas-y, fais-toi plaisir ! Le cul est à toi ! il a goût de "reviens-y"!

Sa grosse queue me fait bien gémir.
Il redouble la violence de ses coups de reins. Sa respiration commence à s’accélérer, sa teub commence à vraiment bien durcir. Soudain, ma prostate est si mise à mal que je gicle de gros jets sans me branler ! Une dizaine de giclées jaillissent , preuve de cette formidable baise !  Au bout de 5 minutes, je sens son gland prendre du volume pour m’ensemencer tandis qu’il continue de me baiser. Quand il se retire, son jus dégouline lentement hors de mon anus. Et mes deux compagnons se relaient pour ne pas en perdre une goutte et, après avoir recueilli mon foutre, nous l'avons partagé tous ensemble.  Après ça,  j'ai fait un truc dingue,
- donnez-moi vos slibards, les gars , je voudrais garder un souvenir de cet après-midi......




19 juillet 2025

Le peepshow de la 8eme av nyc




Je traînais sans trop réfléchir  comme j'aime à le faire quand je suis à nyc. Juste parcourir la ville un peu au hasard ; juste pour les ambiances, les scènes de rue,  les regards croisés. 
Le quartier était plutôt glauque,  des échafaudages un peu partout,  des mecs pas très nets, des peepshow et des sex-shop.  Je ne sais pas pourquoi mais cette atmosphère particulière  bien que zarbi a réveillé en moi, comme une envie de sexe. Une envie trouble. 
Je suis passé devant un sex-shop,  dvd, revues,  toys et cabines. Celui-ci annonçait en lettres rouges "peepshow male ".
Je n'e sais pas ce qui m'a pris,  sans hésiter je suis rentré. J'ai passé quelques minutes à regarder vaguement les marchandises et j'ai payé l'accès à la backroom.
 Ambiance de semi pénombre sous une lumière blafarde rouge.  Quelques mecs de tous âges et physiques déambulant.  J'ai pris possession de la cabine.  La même lumière glauque,  parois percées par des gloryholes et un écran tv passant un film de boules. Regrettant subitement ce coup de tête, je me demandais déjà ce que je faisais là.  je n'avais pas envie de faire la moindre rencontre mais il restait quand même en moi une sorte d'envie sexuelle...
Je me suis déshabillé mécaniquement.. entièrement.  Je savais les autres cabines attenantes occupées et je me savais observé et peut-être désiré.  Ma queue s'est,  à cette idée,  rapidement dressée et j'ai commencé à me caresser et à me branler. 
Des mains, des bouches s'offraient par les trous des parois mais je suis resté concentré sur mon plaisir.. plaisir d'être observé,  désiré, inaccessible mais peut-être pas.  Plaisir de savoir ma verge turgescente désirée.  Plaisir de sentir le plaisir monter doucement.  Plaisir d'être en communion avec des inconnus tremblant de désir sachant mon orgasme monter.....
Des mains fébriles se tendent,  prient pour recevoir ma semence. Je m'approche pas trop près, pas trop loin. 
Un ultime spasme et de copieux jets vont s'écraser sur la paume de la main inconnue. 
Je me rhabille calmement, quitte la cabine,  frôlant des corps en attente et je retrouve la frénésie de la rue.








17 juillet 2025

vestiaire avec vue









Avec mon pote Tony, on fréquente régulièrement une salle de gym. On l'aime bien cette salle.  D'abord on peut s'entraîner jusqu'à tard dans la soirée et on se bouscule pas,  en tous cas pas dans nos horaires.  Enfin, c'est l'annexe d'un sauna ce qui ouvre plein de possibilités supplémentaires de réconfort avant ou après l'effort. On peut même s'entraîner à poil si on veut mais Tony et moi on aime bien les tenues de gym surtout quand elles sont moulantes et on se prive pas pour exhiber nos leggings les plus sexe. Bon il m'arrive quand même quelques fois de m'entraîner uniquement vêtu d'un vieux jockstrap fatigué ; mais ça c'est quand je suis très chaud bouillant ou quand le sauna organise des soirées à thème. 
Ce soir là, Tony et moi on avait vraiment bossé nos pecs et on avait hâte de passer sous la douche mais on n'était pas encore décidés pour la suite de la soirée.  C'était une soirée à poil et j'avais une petite envie d'aller y voir de plus près et d'y balader popaul.. on est exhib ou on l'est pas !
Le vestiaire était désert hormis un jeune mec  en train de ranger ses affaires assis à poil sur un banc.
Pas mal, pas mal du tout.  Il était penché en avant, farfouillant dans son sac ouvert entre ses jambes.  Dans cette position, son cul qu'il avait large, reposait à moitié sur le banc et son sillon légèrement écarté laissait entrevoir une délicieuse rosace.
D'un coup de coude,  je demande à Tony de mater..
- joli dit-il discrètement. 
J'étais debout à poil et ni une ni deux voilà popaul qui s'excite et vient chatouiller le menton de Tony qui se marre en douce, assis à poil lui aussi, sans quitter des yeux l'objet de nos ressentiments... sans vraiment réfléchir,  je me lance :
- beau  cul, mec... une vraie promesse de bonheur !
Le gars se retourne, l'air étonné quelques secondes mais qui très vite se fait coquin. 
Il se cambre alors encore un peu plus, sa raie s'écarte et s'offre alors à nos yeux gourmands,  une  vue imprenable sur une rondelle toute rose.  Tout en nous aguichant du regard,  il écarte un peu plus ses fesses puis glisse un doigt qu'il a humecté de salive.  Sa rosace vibre de plaisir et nous  voilà bouches béantes et queues dressées.  Tony s'empare de ma queue et la gobe totalement,  tandis que je ne quitte pas des yeux le gars et son œillet qui s'entrouvre comme un appel à assouvir un désir qui grandit, excité par ma queue gobée avidement par Tony.  Je lis dans le regard du gars qu'il a très envie de goûter à mon mandrin et j'avoue que voir son œillet frétiller me rend dingue mais je veux en donner la primeur à Tony..
- hey, Tony,  t'entend pas l'appel du cul,  là ?! T'as pas envie d'y goûter ? Moi je crois que ce mec a très envie de me pomper sauvagement...
Je me suis  libéré de la gorge de Tony et la bite dressée je me suis fièrement approché du gars.  Ce petit salaud avait déjà la bouche grande ouverte prête à pomper mon vit turgescent ,décalotté.  J'étais fier de sa  tortuosité qui allait forcément lui laminer la gorge et le cul si affinité...
Il s'est précipité dessus et j'avoue qu'il savait s'y prendre flattant de la langue chaque veine,  chaque centimètre de ma teub. 
Pendant ce temps Tony s'occupait de sa rondelle et semblait y prendre beaucoup de plaisir,  commentant régulièrement entre deux gargouillis.
J'avais moi aussi très envie d'y goûter et tout en restant solidement empalé dans la gorge du gars je me suis penché vers Tony et cet appétissant arrière train.  J'ai commencé par en  écarter les fesses permettant à Tony de ramoner bien profond puis on sest bécoté  mêlant nos langues pour en partager les saveurs.
Mais très vite Tony s'est intéressé à la teub du gars la tirant à fond vers lui et sa langue experte me laissant l'exclusivité du trou du cul.
Le gars couinait intensément tandis que sa verge se faisait pomper par Tony et que ma langue préparait sa rondelle à une communion qui promettait d'être épique. 
Ses gémissements malheureusement ou heureusement ont attiré un coach qui nous a pris en flag. 
Une sacrée bête tout en muscles qui n'avait pas l'air d'être choquée  bien au contraire !
- sympa les mecs ! Vous savez que c'est un vestiaire ici et qu'il y a plein d'endroit ici pour s'amuser. 
Tony s'est levé face à lui,  sa queue frôlant son falze puis,  sans dire un mot il a frôlé d'une main l'entrejambe du coach qui n'a pas réagi.  Alors on l'a entouré,  le gars lui a enlevé son tee-shirt, Tony son jogging et ses chaussures. Il portait un jockstrap qui semblait bien rempli dévoilant des fesses rebondies et musclées que je me suis empressé de caresser.
Il n'a pas fallu longtemps pour que Tony grand amateur de teubs devant l'éternel,  fasse jaillir une belle verge épaisse et qu'il la gobe illico.  Le coach avait ma queue et celle du gars dans chaque main tandis qu'on le couvrait de caresses.  Toujours un peu jaloux de Tony,  j'ai voulu moi aussi goûter à cette bite qui maintenant avait pris la taille du plaisir.  
Pas de jaloux,  le coach a fait coulisser sa verge entre nos deux bouches et ce va-et-vient en sandwich le faisait couiner grave. 
Nos bites passaient de bouche en bouche,  une vraie bataille; aucun de nous voulant être en reste et dans la mêlée j'ai même réussi pendant quelques instants à en prendre deux en bouche.  
- tous à terre,  a ordonné le coach  à notre grand étonnement.   Vous allez me bouffer le cul chacun votre tour. 
Et ni une ni deux,  on a étalé nos serviettes sur le sol,  on s'est couchés sur le dos et chacun à notre tour il s'est accroupi sur nos visages , nous offrant une large rosace bien ouverte à limer.  
Puis il s'est relevé et s'est branlé au dessus de nous.  
C'était son trip,  nous voir nous branler et nous couvrir de sa semence.  On devait tous brailler comme des bêtes car quand on s'est relevés,  des applaudissements ont fusé. Plusieurs gars attirés par nos gémissements étaient venus mater. 
C'était sympa cette grosse séance de touche pipi mais moi je fantasmais grave sur le fondement du gars dont on ne connaissait pas encore le nom.  Je l'ai pris par la main, 
nos bites encore humides de foutre, 
- viens, on se trouve une cabine et on s'embroche , qu'en dis-tu ? 
- et moi,  s'est écrié Tony !
- ben tu viens avec, je suis sûr que,  tiens au fait comment tu t'appelle ?
- Yoan 
- enchanté Yoan,  je suis sûr que t'as bon appétit pour nous deux ! Lui c'est Tony et moi Bastien. 





04 juin 2025

the room 5, le combat

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27 mai 2025

cadeau...

 

un petit show très intime....comme une invitation




cours particulier de lutte

  




Un dimanche matin, Éric m’amène à notre salle d’entrainement. Quand on entre, je suis surpris de voir que l’endroit est vide. Mais dans un coin, j’aperçois Jean, notre entraineur. Il me sourit et il me salue :

- Je suis content de voir que vous vous entendez bien maintenant.
- Ah oui, on a bien enterré la hache de guerre, renchérit Éric.
- Super ! Allez, en position de combat !

Nous avons tous revêtu notre tenue d’entrainement en lycra. Je mate Éric : il a des cheveux châtains, mi-longs. Il a 30 ans, il est assez grand (1,80 m) et il a une barbe de 3 jours. Il porte une combinaison rouge qui laisse apparaitre des bras musclés secs. Ses biceps sont particulièrement impressionnants. Ses pecs sont bien formés, un peu bombés. Son corps est mince, mais sa combinaison moule un ventre plat et musclé. Ses jambes tout aussi musclées. Et surtout... sa combinaison moule un beau matos ! Sa queue forme un arc-de-cercle par-dessus, ce qui lui fait un paquet bien volumineux qui bouge de haut en bas sous ses pas...

Quant à Jean, il est blond et il a dans les 40-45 ans. Il est de petite taille (1,70m) et il a des cheveux courts ainsi qu’une barbe. Son vêtement en lycra laisse deviner un corps svelte, musclé sec. Le vêtement en lycra qu’il porte aujourd’hui met superbement bien en évidence son paquet : on distingue une bite plutôt petite et un gland enfermé dans un long prépuce. Il la remet alors en place et elle se retrouve contre sa cuisse. J’ai alors une vue plongeante sur de petites couilles dont on devine extrêmement bien les formes.

Jean me fait mettre à quatre pattes sur le tapis de lutte et il demande à Éric de se mettre derrière moi. Jean siffle et Éric passe ses mains autour de mon ventre. Je sens son gros paquet posé contre mes fesses. Ma queue se met à frétiller mais aujourd’hui, ce n’est pas un problème. Immédiatement, je me braque, je redresse mon corps mais les bras d’Éric viennent se positionner sous les miens et il me bloque. Jean siffle et on reprend. J’arrive presque à me libérer, mais cette fois encore, Éric est plus rapide. L’entraineur siffle et il engueule Éric car il est trop violent.

Jean passe derrière moi et il m’explique comment me libérer. C’est si étrange de sentir la présence de mon entraineur derrière moi... et surtout de sentir son corps se coller contre le mien. D’habitude, il porte un survêtement. Là, je sens bien son corps dans sa tenue en lycra. Il frotte son paquet contre mes fesses... et je vois ma queue gonfler dans ma tenue... et ça devient bien visible. Et grâce aux explications de Jean, j’arrive à me libérer. Personne ne semble avoir remarqué ma demi-molle.

Éric et moi reprenons le combat et cette fois, on est libre de combattre. Nous nous faisons face. Le sifflet retentit, mes mains attrapent les bras d’Éric qui lui me saisit les épaules. Je vacille un peu mais je garde mon équilibre. Son pied droit se retrouve alors entre mes jambes mais j’arrive à attraper son autre jambe. Ses mains passent autour de mon corps. Il arrive à me déséquilibrer et on tombe par terre. A la vitesse de l’éclair, il saisit mes poignets, ce qui m’empêche de bouger. Il enferme ma jambe droite entre ses deux jambes et sa main gauche maintient fermement ma jambe gauche. Je me retrouve alors la tête sur son torse, mon corps par terre... et les jambes bloquées, de telle sorte que je présente mon cul à Jean... qui s’agenouille et qui me caresse les fesses. J’essaie de me débattre mais Éric me tient fermement. Jean passe sa main dans ma raie, imité ensuite par Éric.

Éric se redresse, fier de lui. Jean arrive sur lui et, rapide comme l’éclair, il le met à terre. Il bloque son bras avec les siens tandis que ses jambes sont posées sur le corps d’Éric qui ne peut plus bouger. Les deux se redressent, ils se saluent puis ils reprennent. Jean parvient à se faufiler derrière Éric, il le ceinture et il le fait tomber à terre. Jean se retrouve sur le sol, les bras autour du corps Éric qui est étendu sur lui. Éric se débat et Jean le fait tourner : Éric se retrouve sur le ventre et Jean collé dans son dos. Il bloque ses jambes avec ses pieds et ses bras sont passés autour de son corps. Éric ne peut plus bouger. Je remarque alors que la queue de Jean est au niveau du fessier d’Éric et il bouge en cadence d’avant en arrière. Les deux se redressent et je vois alors que le paquet d’Éric a pris du volume. Celui de Jean a pris un peu plus de volume aussi mais celui de mon pote est bien visible !

Je me retrouve devant Éric qui semble rouge de honte. Je le fais tomber et j’arrive à bloquer sa jambe de mes bras alors qu’il veut se redresser. Il est bloqué par terre. J’ai une vue plongeante sur son énorme paquet... que je me mets à caresser. Éric se laisse faire en souriant. Sa queue devient bien dure. Ses 22 cm sont bien visibles à travers le tissu.

Je le relâche et on se met à combattre. Parfois, je prends le dessus, parfois c’est Éric. Nos corps se frottent l’un contre l’autre, pareil pour nos bites... qui sont bien dures dans notre tenue de lycra. A un moment, Éric se retrouve sur moi et il place son paquet sur mes lèvres tandis qu’il me bloque bien. En un éclair, Jean se précipite sur Éric et je me retrouve libre. Mon pote se retrouve à son tour sur le dos, le cul en l’air. Éric et moi en profitions pour le caresser. Jean se penche alors au-dessus d’Éric... et il lui roule une grosse pelle tout en passant sa main dans sa raie.

Jean relâche sa proie... qui se retourne vers moi qui suis debout. Éric remarque que je bande... Il s’approche de moi et il se met à frotter mon paquet. Il en approche son visage et il se met à lécher ma queue à travers le tissu... Puis, il enlève ma tenue de lycra et il enfonce ma bite dans sa bouche. Jean s’approche, il caresse la tête d’Éric ainsi que mon dos.

Ensuite, Jean prend la tête d’Éric et il la bloque. Il me fait signe et je bifle alors Éric. Puis, j’enfonce ma queue dans sa bouche que je me mets à baiser lentement. Je remarque que Jean bande dur dans sa tenue en lycra... Il a l’air d’avoir un beau morceau ! Jean saisit mes fesses et il les pousse vers la tête d’Éric qu’il bloque et il me fait de bonnes gorges profondes.

Éric finit par se faire libérer et il se précipite sur la queue de Jean qui se fout à poil. Il a de beaux pectoraux et de grosses cuisses. Son corps est couvert de poils frisés et châtain. Le milieu de son torse et de son ventre est recouvert d’une ligne de poils encore plus épaisse que le reste, très dense. Il a un pubis velu, tout comme ses jambes et ses bras. Il a une bite de 18 cm, fine, avec des petites couilles poilues.

Éric se met à sucer Jean qui se laisse faire. Mais très vite, il saisit sa tête et il se met à lui faire des gorges profondes. Je me mets à côté de Jean et Éric revient au bout de quelques minutes vers ma queue qu’il se remet à sucer. Il alterne ainsi nos deux bites. A un moment, Jean me prend par le cou et il me roule une grosse pelle... avant de s’agenouiller devant moi et de me sucer. Éric se relève et Jean alterne nos deux bites. Putain ! Il suce trop bien ! Sa langue joue avec mon gland tandis que ses mains me caressent le ventre ou me tirent les couilles. Éric se penche sur moi et on s’embrasse goulûment. Il se retrouve maintenant lui aussi à poil. J’admire son magnifique corps : il a des tablettes de chocolat de malade, bien dessinés. Son torse ainsi que son ventre sont recouverts de poils fins et clairs. Son pubis est velu. Ses bras et ses jambes sont rasés. Ses couilles sont grosses, pendantes et marron, rasées. Il a une bite veinée et marron de 22 cm, avec un gros gland.

Jean a l’air d’apprécier nos couilles. On soulève alors bien notre bite et Jean lèche, masse, gobe nos boules. Ensuite, Éric se couche sur le sol et il glisse sa tête sous le cul de Jean qui est toujours accroupi en train de me sucer. Éric fait entrer la langue dans le trou de notre entraineur et il se met à lui bouffer le cul. Moi, pris par une envie indescriptible, je prends la tête de Jean dans mes mains et j’entame un pilonnage en règle de sa bouche. Il encaisse bien mes 17 cm. Je vois Éric qui est passé aux couilles de Jean qu’il se met à travailler.

Finalement, Éric se redresse et il se met à quatre pattes pour me sucer. Jean en profite pour faire entrer sa bite dans son cul. Il utilise sa salive et il s’y enfonce lentement. Une fois au fond, il agrippe les épaules d’Éric et il se met à le baiser sur toute la longueur de sa teub, rapidement, sauvagement. J’entends ses couilles frapper le cul de mon pote qui me suce. Jean lui saisit la tête et il rythme aussi sa suce. J’admire le cul de mon entraineur : sa raie est une vraie forêt vierge, remplie de poils châtains et frisés, longs qui cachent son petit trou serré

Au bout de 5 minutes, Jean ressort et il fait mettre Éric sur le dos. Il écarte bien les jambes et sans réfléchir, j’enfonce ma teub dans son trou d’un coup. J’entame une baise régulière assez lente. J’admire aussi les 22 cm d’Éric qui sont bien tendus et qui bougent de haut en bas sous mes coups de reins. Jean lui donne sa queue et Éric a de nouveau ses deux trous bien occupés. J’admire aussi son magnifique corps musclé.

N'y tenant plus, je me retire et je m’assois sur son corps. Il enfonce immédiatement sa langue dans mon anus pendant que moi, je suce sa grosse queue. Quand il m’a bien humidifié, je vais m’assoir sur sa bite qui entre lentement en moi. Puis, je m’accroupis et je me mets à faire des allers-retours sur sa grosse teub. Éric pose ses mains sous mes cuisses et il m’aide à le chevaucher. Que sa queue me fait du bien ! Elle m’avait manqué !

Éric se retrouve mon destrier pendant 10 minutes puis je finis par redescendre. Jean se précipite alors sur lui et il le maintient sur le dos, par terre. Il s’avance vers sa bouche et il lui donne sa queue à sucer tout en le bloquant bien. Il commence à lui baiser la bouche et Éric semble bien apprécier ce traitement. Puis, son corps glisse le long de celui d’Éric, il lui bloque ses bras en maintenant ses poignets, et ses jambes avec ses pieds. Sa queue se retrouve devant le trou d’Éric et Jean s’y enfonce. Il se met à le baiser tout en le maintenant toujours fermement. Puis, il le relâche et Éric se laisse pilonner et se faire branler en même temps.

Puis, il le fait mettre à quatre pattes et Jean enfonce de nouveau sa queue dans le trou. Il le relève contre son corps et ils se retrouvent accroupis. Je m’avance et je m’embroche sur la teub d’Éric qui se met à faire des va-et-vient rapides. Après quelques minutes, Jean nous fait coucher sur les tapis et il se met à nous chevaucher à tour de rôle. Son trou est serré et très mouillé. Puis, Jean se pose sur moi et il me dit de me débattre. J’obéis, j’arrive à me redresser mais il me saisit dans le dos, ses bras passent sous les miens. Je sens sa queue. Il appuie de tout son poids sur moi, je me retrouve sur le dos et sa bite entre tout de suite dans mon cul. Il me maintient par terre et il entame des mouvements de reins sauvages et rapides.

Éric rentre alors dans le cul de Jean. Les deux se mettent à faire des allers-retours puissants synchro. Je sens la queue de Jean bien dure me pilonner tandis que celle d’Éric le pilonne lui. Je sais quel effet fait l’énorme bite d’Éric et Jean semble adorer avoir ce monstre en lui pendant qu’il a sa queue enfoncée dans mon trou.

Très vite, Jean se met alors à pousser un râle et je sens que sa queue envoie des giclées au fond de mon cul. Éric sort de son trou et il se penche sur le mien. Jean tasse son jus que je sens déborder hors de mon anus. Éric avale alors tout le sperme qui s’en échappe. Au bout de quelques secondes, Jean ressort et Éric lui nettoie bien sa queue poisseuse de sa semence... avant d’enfoncer ses 22 cm en moi. Il me saisit, il me fait me retourner. Il se retrouve sur le dos et moi je suis coincé contre son corps. Je soulève mon cul et il se met à le pilonner. Le jus de Jean coule le long de son membre pour venir recouvrir ses couilles qui battent de haut en bas sous ses coups de reins. Au bout de 5 minutes, Éric se bloque en moi et il me lâche son sperme au fond de mes entrailles.

Quand sa queue ressort, un long torrent de jus dégouline sur sa queue à demi-molle et sur ses couilles. Éric se redresse, il me présente son cul. Moi, je me branle, je m’enfonce dedans et je lui lâche 6 grosses giclées de sperme. Quand sa bite quitte mon trou, un long filet jaillit hors de son cul et coule sur le tapis. Éric se retourne, lèche et avale ma semence.



On finit par se redresser, souriant, recouvert de sueur. On se roule des pelles.

- Une bonne douche, et on s'entraine pour de bon et à fond.  T'as peut-être un beau cul mais t'es loin d'être au niveau question lutte!
- OK!
Hélas ou tant mieux, sous les douches on a eu une terrible envie de recommencer, l'entrainement attendra.....