10 décembre 2025

les aventures de Kline, workout

 





L'auberge qui hébergeait Kline et Jude, même si elle était plutôt simple, douches communes, chambrées à deux lits et plus, disposait quand même d'une salle de gym, plutôt pas mal équipée; et nous avons vu que Dave en était le préposé au ménage.

- salut Jude, je vas faire un petit tour à la salle de gym, histoire de faire un peu d'exercice et de gonflette. tu viens avec?

- Non merci, je me suis assez dépensé au boulot ces jours-ci. Au fait quand est-ce que tu vas chez les Quinn, pour le remplacement du jardinier?

- demain! Bon j'y vais, c'est la bonne heure c'est rare qu'il y ait du monde à cette heure-ci....

Kline s'est rapidement mis en tenue dans le vestiaire et a rejoint la salle d'entrainement qui effectivement était désertée hormis un gars qui faisait des pecs. 

Kline l'a salué et a débuté sa routine en commençant par le vélo elliptique suivi de quelques abdos au sol. fatigué de sa journée, il est retourné au vestiaire avant de remonter dans sa chambre. pas la peine de prendre une douche, il fera hurler Jude qui diras encore " tu pues!".

En sortant des toilettes il n'était plus seul, le gars qui s'entrainait venait d'entrer sans le voir dans les vestiaires.

Après avoir bu quelques gorgées d'eau il a ôté son tee-shirt et son short. Ouah ou! s'est dit Kline, plutôt beau gosse le mec! il restait là un peu en retrait, complètement nu en se séchant la sueur avec sa serviette trop courte pour cacher quoi que ce soit.

Le mec,  qui ne l'avait toujours pas vu, ne portait plus maintenant que son jockstrap rouge qui soulignait magnifiquement son cul.

Kline, n'essayant même pas de cacher ses parties avec sa serviette,  s'est enfin approché, son casier étant proche du sien. 

- oh! salut! dis le gars, je ne t'avais pas entendu entrer Et son regard s'est immédiatement porté du visage de Kline à son entrejambe

- hmmm! plutôt bien doté, mec! moi c'est Andrew...

Et puis sans chichi, Andrew s'est approché de Kline, l'a enlacé immédiatement tout en caressant sa pine. 

Après ça, il a parcouru doucement le torse puis le bas-ventre de Kline avec ses lèvres avant de s'agenouiller et de prendre sa verge en bouche. Sa langue passe le long de son gros morceau et elle arrive à son gland qu'il se met directement à téter. Puis, ses lèvres se mettent à descendre le long du chibre de Kline..... qui tressaille. Sa queue lui ouvre bien la mâchoire en grand. Andrew prend son engin en main, il n’arrive pas à en faire le tour. Il le branle tout en suçant la moitié du morceau. Kline pousse des gémissements. Andrew le suce ainsi pendant quelques minutes. Kline toujours plus excite donne de petits coups de reins qui enfonce la teub encore un peu plus... Les deux tiers y rentrent... mais le réflexe vomitif la fait ressortir. Andrew après une courte pose,  fais petit à petit descendre le gland dans sa bouche jusqu’à ce qu’il touche sa gorge et  finit par avoir la totalité de la bite dans le gosier et le nez dans les poils pubiens...Une bonne odeur de mâle s'exhale et l’enivre. Les grosses couilles cognent contre son menton. 

Enfin après un long moment, Andrew murmure,

- Retourne-toi !

Kline obéit et Andrew se retrouve avec ses fesses musclées devant les yeux. Il les écarte ce qui offre une belle vue sur la raie recouverte de poils courts et blonds, encore humides. 

Il approche son visage, hume l’odeur de sueur qui s’en dégage ! J’adore l’odeur de forte de mâle de mon pote.

- Hummm... ça sent fort le mec ! t'as pas pris de douche mon salaud! !
- Désolé...
- Ah non, mais je crois que j'adore ça, en fait !
- Ok ! Renifle bien mon trou si t’aimes tant ça !

Docilement. Andrew sniffe à fond cette bonne odeur. Son excitation augmente...  Kline  cambre son cul, ce qui n’échappe pas à Andrews. Il enfonce alors la tête dans la raie offerte et approche la langue de son trou. Il se met à laper sa rosette avant d’enfoncer la langue dans son anus. Kline couine quand jcette langue experte  commence à  tournoyer dans ses entrailles. Andrew lui bouffe le cul à fond pendant de longues minutes.

- A moi maintenant, donne-moi ta queue;

Andrew s'assoit sur le petit banc, Kline s'agenouille, extrait la longue tige de son carcan rouget et l'engouffre immédiatement; par de petits coups de reins, il frotte sa propre queue contre le mollet d'Andrew . c'est un régal , la verge d4andrew dégouline de mouille et Kline s'en délecte avant de la fourrer entièrement dans sa gorge en le tenant fermement par les couilles.

Quand Andrew se redresse, Kline trouve un appui contre le petit banc et se met à quatre pattes, le cul bien cambré. .Le message est clair pas besoin de mots ! 

Andrew lui écarte de nouveau les fesses; il se régale quelques instants  à la vue de cette rosace qu'il a déjà bien préparée, crache sur sa queue, sur ses doigts, lui badigeonner le troufignon, puis il le doigte avec deux doigts. 

- T’as le trou sacrément dilaté ! Je t’ai à peine doigté ! 

Kline se tourne vers lui, vois sa queue tendue et quand il ressort ses doigts de son anus et qu'il approche  son gland contre son trou... Kline l'attrape d'une main par les fesses et se l’enfonce en lui. 

Andrew n'a plus qu'à pousser  Elle descend lentement dans les entrailles. Le cul de Kline se fait écarteler comme rarement. Centimètre après centimètre, il sent son cul s'ouvrir sous la poussée de l’énorme queue. J’adore son gros calibre. Il ressort et il enfonce de nouveau son engin en moi. Puis il ressort et il re-rentre. Il répète ce manège plusieurs fois.

- Putain mec, j'adore voir ton trou béant palpiter devant moi comme s'il désirait avaler ma teub entièrement. 

- vas-y mec , je veux sentir tes couilles battre contre mon cul!

Il pousse un soupir profond quand il a sa bite entièrement dans le cul de Kline qui sent enfin ses poils de pubis contre les fesses. Il pousse des cris de plaisir quand il commence à donner des coups de reins. Sa grosse bite entre et sort de son trou qui se fait bien dilater.

Il se met à lui imposer son désir, tellement fort à chaque coup que sa grosse paire de couilles rebondit et retentit sur ses petites fesses tendues. Il appuie sur sa prostate. Il se cramponne au petit banc et se met à hurler son plaisir, me soutant des personnes qui pourraient l’entendre.

Très vite, tout son corps se démène au-dessus de lui. Il le pilonne littéralement, puissamment, retirant presque sa queue à chaque fois, et laissant retomber son bassin pour mieux le démonter. Sa teub percute sa prostate à chaque fois qu'il le pénètre... Il entoure ensuite ses bras autour de son corps et il entame de petits va-et-vient ... Son gland triture l’intérieur de son trou, tout en massant sa prostate. Kline sent son jus monter. Mais Andrew s’arrête et  se retire 

- il prend la place de ́Kline,  s'assoit et demande à Kline de venir s'empaler sur sa teub dressée. 

Kline va immédiatement s’empaler sur son morceau. Il lui dit de mettre une jambe par terre et l’autre sur le canapé. Kline obéit. Andrew pose une main sous ses fesses et il le fait alors monter et descendre sur sa queue tout en donnant des coups de reins. Kline sent encore mieux sa  bite en  lui ! 

Ensuite, il le fait mettre sur le dos sur le banc. Il se renfonce en lui d’un trait. Il se met lentement à faire des allers-retours, sortant la moitié de sa queue et la renfonçant jusqu’à la garde. Le cul ouvert de Kline est rempli par son engin. Après quelques minutes, il lui saisit les chevilles et il se met vraiment à le défoncer. Ses grosses couilles lui fouettent le cul. Parfois, il ralentit, il sort sa teub hors de du trou et il tapote son gland contre la rosette avant de renfoncer son monstre violement en faisant  des flops  et ses couilles frappent bruyamment les cuisses. Kline gueule fort son plaisir tout en regardant son énorme teub qui entre et sort, qui ouvre en grand son trou, comme s'il avait  un tronc d’arbre qui le pénétrait. Ma prostate se fait masser de plus en plus rapidement.

Il redouble la violence de ses coups de reins. Sa respiration commence à s’accélérer, sa teub commence à vraiment bien durcir. Soudain, sa prostate est si mise à mal qu'il gicle de gros jets sur son corps sans se branler !  A ce moment-là, Kline sent comme une explosion en lui... Un gros jet puissant gicle dans son cul. Puis un deuxième et un troisième. Sa queue se contracte à chaque fois dans son anus pour expulser son sperme. Une douzaine de jets viennent le remplir. C’est une véritable fontaine ! Kline se prend une énorme quantité de jus qui lui mitraille les fesses. Un sperme liquide, chaud.  Il ressort de son cul et il lui donne sa teub à bouffer. Kline récupère le sperme qui y est, tandis que son cul dégouline de sa semence.

 Ils vont se doucher.  Kline mate sa queue au repos. Elle pend lourdement entre ses jambes. Elle reste massive, plutôt droite, veinée. La moitié de son gland est enfermé dans son prépuce. Même au repos, elle reste bien grosse, pas aussi longue que son avant-bras mais presque.

Remonté dans sa chambre,  il voit Jude qui immédiatement comprend que quelque chose s'est passé... 

Kline sans un mot mais souriant heureux,  se tourne,  montre son cul à Jude et s'enfonce 3 doigts dans le  cul toujours béant, toujours rempli de sperme. Il en récupère et tend ses doigts à Jude,

- tu veux goûter ?!...

Sans attendre,  il rebande et se branle devant Jude tout en repensant à ce moment de pur bonheur qu'il vient de vivre. ...

Jude lui bouffe le cul et très vite,  ils jouissent presque ensemble. 

- bon maintenant raconte....



09 décembre 2025

le cabanon de lutte










 je suis depuis toujours passionné de lutte, sport que je pratique depuis mes années de collège. 

outre les combats  et les entrainements dans mon club de lutte. il m'est arrivé grâce aux réseaux sociaux et au web, de me brancher sur des cercles qui pratiquent la lutte nue, des concours de lutte allant jusqu'à la relation sexuelle y compris en public( j'adore ça) . 

Depuis que j'habite à la campagne, je dispose d'un grand jardin dans lequel j'ai construit un cabanon qui me sert de salle d'entrainement. Le sol est entièrement recouvert d'un tapis de sol spécial et rien d'autre , juste un petit radiateur pour les séances en hiver. S'il m'arrive de m'y entrainer avec des copains du club, le plus souvent avant les compétitions, il m'arrive aussi de m'en servir pour des combats plus spéciaux que je diffuse en direct sur les sites spécialisés. outre le plaisir que ça apporte, ces séances sont regardées dans tous les pays du monde et ça rapporte un peu.

j'organise deux sortes de combats, suivant l'adversaire déclaré que je recrute sur le web. Soit c'est un lutteur entrainé et nous luttons selon les règles établies en ajoutant simplement nos règles spéciales sexe qui consistent essentiellement à mettre à poil l''adversaire. Le dernier round se joue à poil et le gagnant peut faire ce qu'il souhaite au perdant. 

Certains adversaires ne souhaitant pas aller jusque là, certains combats se déroulent plus simplement, plus érotiquement. j'aime bien aussi car tout est dans la retenue même si on s'accorde d'être plus tactiles dans ce cas de figure. On commence bien entendu en singlet et on se lance d'un corps à corps violent. j'adore sentir mon corps collé à celui de l'adversaire, le frottement du lycra, sentir dans certaines prises, le sexe de l'autre glissant et mouvant sous le tissu, glisser ma main dans le sillon fessier, effleurer un bref instant sa rosace sous le nylon. On se jauge et même si toute notre attention se concentre sur le combat, on ne peut s'empêcher de regarder et d'en jouir, le corps sublimé par le costume de combat; le tissu glissé dans le sillon fessier , déformé par son sexe, des boules bien marquées,  une verge peut-être un peu raide, un gland et une petite goutte de mouille. celui qui perd le premier round doit baisser son singlet jusquà la taille. ce second round permet le corps à corps, peau contre peau. Les sueurs se mêles, les muscles se cognent, se malaxent. Celui qui gagne le second round doit quitter son singlet et combattre en jockstrap. A partir de ce troisième round on allège les règles, tous les coups sont permis, car le perdant sera celui qui se retrouvera entièrement nu. Le corps à corps est maintenant sublimé, certaines prises vous offrent un appui direct sur les fesses de l'adversaire; on s'agrippe à son sillon et on en effleure l'oeillet,  à son sexe à peine protégé par le coton du jock et qui souvent s'en libère car le tissu est trop lâche ou plus souvent parce que l'on bande;  les mains glissent sur les corps trempés de sueur et de mouille. 

quand enfin l'un des deux est nu, l'autre triomphant emporte en trophée le singlet et le jockstrap du vaincu.





08 décembre 2025

en télétravail

 




Aujourd’hui, je me retrouve, comme trois fois par semaine, chez moi en télétravail. Je vis dans un petit appartement de la banlieue parisienne. Je bosse dans une boîte où je gère le parc informatique.

J’ai une réunion avec le grand chef à 13h30. Je n’ai donc pas beaucoup de temps pour me préparer à manger. Voyant qu’il est déjà presque midi, je me commande une pizza chez un pizzaiolo de la ville. J’ai de la chance, on me dit au téléphone que le livreur devrait sonner chez moi dans une demi-heure. Et en effet, 25 minutes plus tard, la sonnette retentit. Je vais ouvrir et je fais monter le livreur. Il me tend ma pizza et je lui donne son argent plus un petit pourboire.

Le livreur est mignon. Il n’est pas très grand. Il doit avoir 25 ans. Il a des cheveux bruns, mi-longs, une barbe hirsute et des yeux noisette. Il semble un corps fin et mince.

C’est pour cela, je pense, que je lui donne un très bon pourboire agrémenter de mon plus beau sourire. Il me remercie et au moment où je veux refermer la porte, il me demande :

- J’ai une autre livraison à faire dans la ville d’à côté... Ça vous dérange si j’utilise vos toilettes ?
- Non, pas du tout... Allez-y, entrez.

Je montre le chemin et je le laisse seul. Je m’installe à mon ordi et je mange une part de pizza. Puis deux. Intrigué, je regarde ma montre. Le livreur doit être dans la salle de bains depuis au moins 3 minutes. Soudain, une pensée traverse mon esprit : hier soir, j’étais bien chaud et j’ai utilisé un gode pour me baiser, car je n’avais pas trouvé de mecs pour un plan, et j’avais mis un petit string... Et mon gode, le string et d’autres objets doivent encore traîner dans la salle de bains !

Je vais alors vers la porte de la pièce en question et je veux frapper quand le mec ouvre la porte et sort. Il est surpris de se retrouvez nez à nez avec moi. Je lui demande :

- Tout va bien ?
- Euh, oui ... merci.

Je jette un coup d’œil vite fait dans la salle de bains. Je vois mon gode dans le lavabo. Je dis précipitamment :

- Désolé, je ne pensais pas avoir de visite.
- Pas de soucis.

Je me souviens alors d’avoir jeté mon string devant le lavabo... et il ne s’y trouve plus. Mon regard se dirige vers le livreur qui traverse déjà le couloir vers la porte d’entrée... et je remarque que sa poche de pantalon est bombée... Je l’interpelle alors :

- Un moment !
- Oui ?

Il a déjà ouvert la porte et il s’apprête à partir.

- Vous pouvez vider votre poche, là !
- Comment ça ? Non ! Je...

Sans attendre sa réponse, j’engouffre ma main dans la poche et j’en tire mon string.

- C’est à moi ça...

Le mec ne dit rien. Il ne semble même pas gêné. Il a un regard blasé. Je m’imagine alors le mec découvrant mon string il y a quelques minutes de cela. Il a dû le prendre dans ses mains, et même le porter à son nez pour le sniffer. Sa bite est devenue dure et il a commencé à se branler avant d’arrêter en m’entendant arriver.

Rapide comme l’éclair, il me saisit la main et il l’enfonce dans sa poche. Je commence à prendre peur. Mais mes doigts tâtent alors un truc mou qui semble bien gros.

- Tu m’as bien excité, tu sais ?

Et en effet, ce que mes doigts palpent se met à prendre du volume et à durcir. C’est sa bite ! je ne peux me résoudre à enlever ma main de sa poche. Voyant ma réaction, ou plutôt mon manque de réaction, le mec me dit :

- A genoux !

J’enlève ma main de son pantalon, je le regarde dans les yeux... je suis comme pétrifié.

- Allez, magne ! Je sais que t’en as envie ! 

Ne pouvant résister, je m’agenouille. Il ouvre son pantalon et il en sort un beau morceau. J’approche timidement ma main de son engin et je le caresse. Puis, je passe à ses couilles. Je tâte ses cuisses qui sont bien musclées et je remonte envers vers sa teub.


Sans plus hésiter, je me mets à lécher ses couilles qui ont l’air bien pleine ! J’approche ma bouche de sa queue et je commence à le branler en lui donnant des petits coups de langue sur son gland. Puis, j’enfourne ses 20 cm dans ma bouche, jusqu’aux couilles. Son gland va vite toucher ma gorge. Il me faut quelques secondes pour me faire à sa teub... mais j’arrive à tout prendre en bouche. Hm... je me sens enivré par l’odeur de mâle qui se dégage de ses poils de son pubis.

Je le suce lentement, mais il donne des coups de reins, ce qui me fait comprendre qu’il faut que j’accélère... Ce que je fais, bien évidemment. Je le suce avidement et il se laisse faire, tout en caressant mes cheveux. Puis, il se retire de ma bouche et il remonte son polo : j’admire alors son corps. Un fin duvet recouvre son torse ainsi que le milieu de son ventre. Ses bras et ses jambes sont un peu poilus. Il a un pubis recouvert de poils denses mais un peu taillé. Sa queue de 20 cm, est très épaisse : ma main arrive à peine à en faire le tour. Il a des boules pendantes et rasées qui ont l’air bien remplies.

Il a toujours son pantalon sur les chevilles pendant que je le suce. Soudain, il me fait me relever et me retourner, il écarte mes fesses... et il enfonce directement sa langue dans mon anus. Il se met à me brouter le cul de façon démente. Je gueule directement de plaisir ! Puis, il enfonce un doigt dans mon anus et il va me titiller la prostate. Je crie encore plus fort.

Au bout de quelques minutes, il crache sur mon trou ainsi que sur sa queue. Puis, il positionne son gland contre mon anus et il s’enfonce en moi, lentement, mais sans faire d’arrêts. Quand je sens ses poils de pubis contre mon cul, je pousse un soupire, sachant qu’il est au fond de moi. Il marque une pause, le temps que je m'habitue à sa queue dans mon cul. Il me saisit les hanches et il entame de lents mouvements qui se transforment vite en un pilonnage en règle. Sa queue est vraiment bien épaisse mais je suis tellement excité par la situation que je mouille à fond.


Ensuite, il me fait retourner, je me retrouve contre le mur, je passe mes jambes autour de ses hanches et il me porte tout en s’enfonçant en moi. Il recommence sa baise. Je l’admire. Quel homme ! Il est à peine déshabillé, le pantalon sur les chevilles, le polo autour de son cou... Ça m’excite encore plus, ça me fait sentir comme un vide-couilles.

Le mec me défonce bien. Je gémis fort. Parfois, il s'arrête, sa queue enfoncée en moi. Puis, il recommence à me labourer. Il me pilonne l'anus à fond dans une cadence régulière et hyper profonde. Il me tient bien, appuyé contre le mur et je suis vraiment bien empalé sur sa teub. Je sens ses couilles contre mon cul sur lequel elles claquent car ses mouvements de va-et-vient sont de plus en plus rapides.

- Joue avec mes tétons !

Je me mets à malaxer et à pincer ses tétons.

- Tu veux mon jus ?
- Oui !

Je sens sa queue durcir et très vite, il pousse un cri de jouissance. Je sens alors les soubresauts de sa teub qui décharge dans mon cul. Ce sont de longues et puissantes giclées. J’ai l'impression qu'il ne va pas s’arrêter de gicler. Il libère bien une dizaine de jets dans mon cul. Putain ! Il ne s’était pas vidangé depuis un moment. Il redonne des coups de bite, tassant son jus.


Quand il ressort, sa semence dégouline hors de mon anus. Il saisit ma bite et il la branle. Je suis tellement chaud que je jouis une grosse quantité de sperme un peu partout, sur mon ventre, sur mon torse et même sur mon visage. Le livreur se penche sur moi et il m’embrasse, prenant par la même occasion un peu de mon sperme dans sa bouche.

Je me penche sur lui et je lui nettoie sa queue qui est devenue molle. Son gland est humide, encore recouvert de sperme. J’avale bien sûr tout avidement. Puis, je me redresse et je vois avec effroi l’heure de ma montre : 13h25 !

- Putain ! J’ai une réunion importante !
- Ok. Pas de soucis.


Il se rhabille vite et il se casse en me lançant un « salut » sonore.

Moi, je vais prendre une douche en quatrième vitesse, sentant sa semence dégouliner le long de mes jambes, avant la vidéo-conférence car je dégouline de sperme et de sueur. Quand je m’installe devant mon ordi, je soupire : je me sens bien, telle une pute qui vient de servir de vide-couilles...      


  




quelques selfies en cam




 ils sont beaux et ils le savent et ils
le font savoir.....




 
 
 
 
 












06 décembre 2025

les aventures de Kline, escort avec frères


Alors cette première expérience d'escort, comment ça s'est passé ? fut la première question posée quand Kline rentra à l'auberge. 
- attends, tu veux bien ?! D'abord j'ai besoin d'une bonne douche ! 
Kline se déshabilla rapidement, jetant ses vêtements sur son lit au-dessus de celui de Jude. 
- T'as raison mec ! Tu pue le sexe.... et ta bite empeste le sperme... mais dépêche toi, je veux tous les détails. 
Kline colla subitement sa verge sur le visage de son pote, 
- alors elle pue le foutre, ma queue ?! t'as qu'à la lécher ça m'évitera peut-être la douche ! 
Et en retournant, en s'écartant les fesses, 
- et mon cul il sent quoi ?!
- je ne sais ce qu'il sent mais il a visiblement bien servi, mon salaud. 
Sans répondre, Kline se noua une serviette autour des reins et fila à la salle de douches. 
Quand il revint, Jude était toujours aussi impatient de tout savoir..
- alors?
- alors, le client étaient en fait deux frères...plutôt "bizarres" qui se sont fait un film ...
Tout d'abord, je devais me rendre chez eux, soi-disant " comme un voleur ". Forcer la porte d'une sorte de cabanon de jardin et fouiller. C'est alors que le premier frère, Alvin, vient me surprendre me menace avec un flingue, m'attache avec une corde à une chaise puis s'en va en me disant qu'il "va appeler la police et revenir avec son frère pour s'occuper de moi".
Je suis resté comme ça, attaché à la chaise quelques minutes puis la porte s'est ouverte et l'autre frère est arrivé lui aussi armé d'un flingue. 
Il a d'abord hurlé, des insultes genre, voleur, saloperie,... puis tu vas déguster, on va te faire regretter d'avoir voulu nous dévaliser, tout ça avec le pistolet sur la tempe ou dans ma bouche..

Puis, toujours sous la menace de l'arme, il a défait sa chemise, offrant à ma vue un beau torse musclé et fin puis il a déboutonné son jean; il ne portait pas de slip et une belle queue imposante, nerveuse et veineuse en est sorti surplombant de belles couilles pendantes. Un régal.  Pas besoin qu'il m'ordonne quoi que ce soit, le pistolet sur la tempe, j'ai ouvert la bouche et enfoncé son gland dans ma bouche et lui d'un coup sec, il y pousse sa verge entièrement; heureusement je sais y faire et malgré un haut le coeur causé par la surprise, je sais l'avaler jusqu'à la garde. Il me baise ainsi longuement la gorge sans vraiment me donner l'occasion de bien m'occuper de lui ; j'aurais aimé lui bouffer et lécher les boules, jouer avec son méat, mais il reste dans un jeu plutôt basique!
Au bout d'un moment, il a défait mes liens puis après m'avoir demandé de me lever, j'ai dû me foutre à poil..
- maintenant je vais te punir, t'embrocher, te défoncer le cul, sale voleur! tourne-toi et écarte bien les cuisses
je me suis exécuté en prenant appui sur un vieux fauteuil.
 Il s'est alors débarrassé de son jean s'est approché braquemart bien dressé et  pendant un instant écarté mes fesses,
- putain, je vais te défoncer ta jolie petite rondelle et t'as intérêt à bien serrer les fesses!
il a craché sur sa verge, à peine humecté mon œillet puis son gland est venu forcer mon anus en poussant sans ménagement. j'ai hurlé, à la fois parce que c'est ce qu'il voulait mais aussi parce son engin était finalement d'un sacré calibre! Ce n’était que le gland mais j’avais l’impression que mon cul allait exploser. Puis Il a commencé à donner de petits coups de reins. En me retournant, je vois alors sa queue enfoncée à moitié dans mon trou qui s’y adapte bien. Il arrive vite au fond de mon cul et reste ainsi sans bouger. Quand je me suis adapté à sa bite, il entame des mouvements de reins, puis, petit à petit, il augmente un peu le rythme. 
- Ton cul est bien serré, mec ! C'est bon!
Il pose ses mains sur mes fesses et il adopte une cadence assez rapide et régulière. Ça y est, sa grosse bite prend possession de moi. Ses cuisses cognent contre mon cul et ses boules rebondissent contre mon périnée. Putain ! Sa grosse teub m’ouvre en grand et elle s’enfonce loin dans mes entrailles ! Je sens aussi les poils de son pubis me caresser le cul. Je couine de plaisir, incapable de faire semblant d'être forcé,  terrorisé comme un voleur surpris.
- t'aime ça, hein?! te faire défoncer! tu l'aime ma queue , elle et assez grosse pour toi?! je vais te déchirer les entrailles, voleur!

-Sur ces mots, il me défonce à fond, sans aucune pitié. Sa grosse bite coulisse de plus en plus vite dans mon anus. Je gémis de plaisir. Ses couilles cognent bruyamment contre mes fesses. C’est quand je sens son gland doubler de volume que je comprends qu’il va jouir. Alors subitement il se retire, regarde un moment satisfait ma rosace béante et me demande de me mettre sur le dos, il se cale entre mes cuisses , fait entrer son gland dans mon trou et je me mets à respirer fort. Il descend lentement. Puis, il ressort et entre de nouveau. Je me sens transpercer par son pieu que j’arrive finalement à bien encaisser. Quand il a les trois-quarts de sa queue en moi, il commence de petits va-et-vient, tout en enfonçant sa queue toujours plus loin dans mon cul. Et je pousse un cri de victoire quand je sens ses boules collées contre mon périnée : il a réussi à embrocher sa bite entièrement dans mon trou ! Il se remet à faire de lents allers-retours. Seule la base de sa bite sort de mon anus avant d'y replonger doucement, dans une cadence régulière. Puis, il accélère un peu, ressortant presque entièrement sa teub de mon trou, ne laissant que son gland à l'intérieur de moi avant de me réembrocher complètement. C’est vraiment trop bon !


Voyant que j’encaisse bien, il entame rapidement une baise puissante. Il me baise de plus en plus vite, de plus en plus fort. Il me lime brutalement. Moi, je râle de plaisir. Il me pilonne le cul. Je ne ressens que du plaisir. Parfois, il ressort et je sens que mon trou est vraiment bien élargi ! Puis, il se renfonce et il reprend sa baise sauvage. Ses couilles claquent sur mes fesses à chaque mouvement. Je me cramponne au fauteuil pour résister à ses coups de butoir. J’essaie de ne pas crier trop fort mais c’est difficile ! 
Il me défonce sur toute la longueur de sa bite. Il est très sauvage, très bestial... ce qui me fait bander encore plus dur ! Il me démonte comme on ne m’a jamais démonté. Il est très endurant. Il martèle mon cul de plus en plus vite. Je gémis de plus en plus fort. Ses coups de bite deviennent toujours plus rapides et brutaux et ses grosses couilles frappent bruyamment mon cul. Il est très rapide et très brutal. Avec ses mains, il écarte bien mes cuisses pour pouvoir s’enfoncer le plus loin possible en moi. Il me baise avec énergie. Je suis tellement en extase. 

il hurle des insultes d'une voix éraillée par le plaisir, il est en sueur.



Il me baise ainsi pendant bien 20 minutes. Puis, à un moment, il augmente encore plus sa cadence sauvage, je sens sa queue gonfler et dans un râle sonore, il me plante son monstre au fond de mon anus. Je sens bien ses couilles contre mes fesses... et il gicle. Je sens les soubresauts de sa bite qui décharge une vague de chaleur intense dans mon cul. Ce sont bien 15 jets abondants qui me remplissent. Il jute vraiment de grandes giclées de sperme. Puis, il se retire. Mon trou béant laisse échapper un tsunami de sperme. Il me donne sa queue à nettoyer. Elle est encore bien dure. Je me régale de son sperme. je me branle frénétiquement et je jouis rapidement un geyser de foutre. Le premier jet jaillit et part sur la vitre derrière nous. Les 6 huit autres sont moins puissants et ils tapissent mon corps, entièrement, en pluie fine.
-Il se rhabille rapidement, sa queue encore bien raide a du mal à rentrer dans son falze. 

- rhabille-toi, mon frère va venir te chercher et t'emmener chez les flics; il ressort et ferme la porte à double tour. Je n'ai plus qu'à attendre.... le petit jeu du frérot!






Je n'ai pas eu à attendre longtemps, le frère est arrivé, toujours armé,
- j'espère que mon frère t'en a fait baver ! je vais t'emmener chez les flics mais avant je vais te faire moi aussi te faire regretter ton vol; allez à poil.

de nouveau, je me suis déshabillé.

- pas mal du tout, dit-il en caressant mon torse avec son flingue et le faisant tout doucement descendre vers mon ventre et mon pubis... 

- belle queue aussi et il l'a caresse avec le canon de son pistolet, soulève ma verge avec, caresse mes couilles...

- c'est du lourd ça ! tourne-toi et écarte bien les fesses que je voie ton trou! et là encore il enfonce le canon du flingue dans mon sillon tout contre mon anus.... mon frère a bien travaillé,  tout est prêt pour moi !

il déboutonne alors sa salopette. Il est nu dessous et il est presque aussi bien fait que son frère et tout aussi bien monté.

- à genou et suce-moi! je m'exécute , il a toujours son flingue en main contre ma tempe. J'aime bien sa teub qui en érection est délicieusement courbe ; ses couilles sont petites et fermes et j'aimerais bien les bouffer.....



comme son frère au bout d'un moment, il m'ordonne de me retourner et de bien écarter les cuisses. il se met à genoux devant mes fesses qu’il écarte et il plonge sa tête entre. Sa langue entre immédiatement dans mon anus encore bien dilaté par le frérot.....et elle se met à tournoyer en moi, m’arrachant de profonds gémissements. Pendant ce temps, il me masse le cul. Parfois, il en profite pour me mordre les fesses. 
- hmm! c'est encore bien humide du foutre de mon frère!....
Moi, je me branle. Il me broute le trou durant de bonnes minutes. Et enfin, il se redresse, et il enfonce délicatement sa queue, sans capote, dans mon oeillet. Je ne bronche pas et il continue. Sa teub se retrouve entièrement en moi. Il pose ses paluches sur mes hanches et il entame de lents va-et-vient... qui s’accélèrent très rapidement. Je gueule bien sous ses bons coups de reins. A un moment, il s’arrête et c’est moi qui me mets à donner le rythme de la baise. Je fais des allers-retours sur son morceau qui m’ouvre bien le trou. Il saisit par la suite mes épaules et il se met à me défoncer en donnant de grands coups de reins. Ses cuisses musclées tapent contre mes fesses. Son ventre caresse mon dos.


Ensuite, il sort de mon trou, il me prend sous les bras et il me dépose sur une table. Il prend ma bite en bouche et il me suce en faisant de grands allers-retours. Puis, il me fait lever les jambes, me faisant par la même occasion coucher sur la table. Il enfonce de nouveau sa langue dans mon anus et il me rebouffe le trou ! Il finit par se redresser et il enfonce sa teub en moi. Il se penche sur moi et il me roule une grosse pelle tout en entamant des coups de reins. Là, je sens bien son gland me pénétrer et me masser la prostate ainsi que ses couilles qui tapent contre mes fesses. Il saisit ma queue, il la branle, puis il se retire et il me suce avant de se renfoncer en moi pour me pilonner à fond. Mes mains passent sur son corps musclé et sec qui se démène devant mes yeux.


Au bout de quelques minutes, il sort de mes entrailles et il se pose sur la chaise. J’enjambe alors son corps et je m’empale sur son mandrin. Je me mets à le chevaucher tout en me branlant. A un moment, il se met aussi à bouger ses hanches et je me retrouve vraiment bien défoncé par sa teub. Je vois que son regard devient de plus en plus sauvage pendant que je continue de monter et descendre sur sa bite... et là, il donne un grand coup de reins, il se bloque en moi et il éjacule. Je sens alors un tsunami de jus chaud m’envahir les entrailles. Sa semence bouillonne en moi et ne cesse d’être expulsée par sa teub. Je me branle à fond et je jouis alors sur son ventre. Je jute 3 gros jets qui jaillissent telle une fusée sur son ventre, dans ses poils. 
Quand je me retire, son jus sort comme un torrent hors de mon cul et éclabousse sa queue, ses couilles et ses cuisses.

sans un mot il va pour se rhabiller et là je suis sensé prendre mes fringues et fuir de la cabane; ce que je fais. je me cache derrière le mur, me rhabille en vitesse et voilà comment on gagne 1000$

voilà tu sais tout!  Putain,  tu m'as chauffé à blanc !.. regarde j'ai une trique d'enfer...
- Ben compte pas sur moi pour te soulager,  j'ai eu ma dose aujourd'hui !
- donne-moi ton cul Kline,  j'adore bouffer un cul qui a été bien labouré,  je te garantis que ma salive a des propriétés cicatrisantes et comme ça je vide les cales.......







05 décembre 2025

senteurs musquées, fantasmé 12b

 



Suite du premier post "senteurs musquées, autres vidéos sur le même thème


Comme beaucoup sans doute,  j'ai un petit fantasme autour des sous-vêtements.. Par exemple, j'ai toujours trouvé sexy les mecs en kangourous blancs, ceux en coton qui baillent à l'entrejambe, ceux dont la ceinture se détend au fur et à mesure des lavages,  ceux dont la poche se relâche et laisse  quelques fois deviner ce qui s'abrite dessous. 


J'aime bien aussi les jockstraps mais les authentiques,  les bike par exemple.  Depuis mes séjours new-yorkais, j'ai pris l'habitude d'en porter sous le short à la salle de sport et j'aime à les porter souvent et longtemps pour qu'ls gardent en mémoire les "preuves de l'effort". 
Après un beau mec en slip ou en boxer est toujours beau quel que soient les marques ou la forme mais je ne suis pas fan des marques connotée Gay, trop serrées, trop tissus synthétiques; à part les australiens aussiebum qui sont super confortables et qui savent mettre en valeur; ainsi je privilégie le coton blanc pour mes boxers et slips. 
Quand je rencontre un mec avec qui ça se passe bien,  j'espère qu'il oublie, quand il se rhabille,  son slip ou son boxer et quelques fois aussi,  Je l'invite à me le laisser... ça surprend quelques fois... Surtout si je propose le mien en échange!
Si je suis chez lui, au moment du départ,  il m'arrive de lui subtiliser...
Idem au gymnase,  il arrive quelques fois que certains oublient le leur, accroché à une patère ou dans la douche.  Je n'hésite pas à m'en emparer.  
Chez moi, j'adore retrouver dans ces bouts de tissu,  l'odeur , la mémoire de l'intime, de ces heures passées tout contre l'anatomie la plus secrète de l'inconnu ou de l'amant que l'on vient de quitter  .. Je peux aussi le porter tel quel..  mêler mon intimité à la sienne. Je peux aussi me branler tout en imaginant celui qui l'a porté et cela peut amener de nouveaux sommets de plaisir et de sensualité.  ben oui il y a du fétichisme dans tout ça...
Peu de choses  en effet sont plus sexy que l'odeur d'un mec, surtout ces odeurs plus intimes qui diffusent encore des phéromones.   Cela peut être très excitant.   inspirer profondément par le nez.  Peut-être même  le poser  sur le visage.  Continuer à respirer profondément par le nez et en se concentrant sur ce que l'on sent.  Imaginer cette autre personne - même si on ne sait finalement pas à quoi elle ressemble.  Laisser le parfum me taquiner et m'exciter.  Avec ma main, explorer mon corps pendant que je respire à plein nez leurs phéromones.  Imaginer que ma main est guidée par cette autre personne, touchant les endroits de mon corps qui demandent de l'attention.  


 

celui-là, il est top et ça se passe dans la buanderie.....
 

  
avec un dildo c'est mieux


et enfin un dessin animé


vestiaires après match 

solo jockstrap









04 décembre 2025

Les aventures de Kline , l'agence intérimaire

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