Il se déshabille ;
Cela ne lui prend pas beaucoup de temps : les tennis enlevés, il suffit de laisser tomber la bretelle qui seule tient sa salopette et de jeter à l’autre bout de la pièce le marcel et le caleçon avec. Mon regard un instant se pose sur ses couilles pendantes ; bientôt peut-être je pourrais les approcher, les sentir, les lécher. Je vacille. J’oublie tout : ma voiture sous la fournaise du dehors, le désert, le vent.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire