03 janvier 2009

New year celebration



Le soleil est déjà bien haut dans le ciel. Au travers des vitres embuées de la fenêtre, une lumière blafarde, ciel d'hiver, éclaire timidement notre grande chambre. Enlacés au fond de notre couette, nous ouvrons les yeux sur cette première journée de l'année. La nuit, bien courte, les alcools, le bruit de la fête, pèsent sur nos paupières et notre haleine. Mais c'est le premier matin et nous avons pas pris le temps dans le tumulte de la nuit de nous souhaiter vraiment, pleinement une bonne et heureuse année. Nos yeux embrumés, mi-clos se sourient, nos mains déjà caressent nos corps. Je jette par dessus bord les draps, la couette, et, tendrement attrape ta queue déjà bien dressée. Je te veux en moi, je veux que cette première journée commence par l'affirmation déjà maintes fois exprimée que cette année encore, nous serons NOUS, nous serons.
Rapide comme l'éclair, je fouille dans le tiroir de la table de nuit le lubrifiant, monte à califourchon sur toi, te tartine et enfin, t'enfourche. Quel bonheur! Ta queue doucement me transperce. Je pèse de tout mon poids, je ne veux rien perdre. Nous ne devons faire qu'un. Maintenant je t'enserre, de tous mes muscles intimes, je malaxe ta bite si durement, si profondément ancrée en moi. J'agrippe tes couilles tandis que ma queue dressée à rompre, bat contre mon ventre. Cela ne va pas durer longtemps, je suis tellement excité que je pourrais jouir sans même me toucher. Je sens ma semence prête à jaillir, je résiste, je lutte contre cette force qui monte en moi, ce plaisir que je veux immense. Toi, tu me regardes, tu fixes mes yeux remplis de désir tandis que tu titilles fermement mes tétons durcis, m'arrachant mes premiers cris de plaisir. Ta queue en moi frémit, je sens chacune de ses veines gonflées à rompre; je sers plus fort, je pèse de tout mon poids, gagner quelques millimètres encore? Je ne tiens plus, je prends ma queue et me branle sauvagement; quelques secondes suffisent pour que d'un cri, douleur, plaisir, larmes, un long jet de semence, trop longtemps, trop violemment retenu , inonde ta poitrine et ton visage.
Alors, je nous sépare, je prend dans ma main ce sexe tuméfié, prêt à jouir. Quelques caresses suffiront. Tes mains se sont soudainement agrippées à mes hanches, tu as retenu quelques instants ton souffle et enfin, dans un long et profond gémissement, tu exploses . Ma bouche est là pour recueillir ta semence, Rien, pas une goutte se perdra.
Nous nous embrassons, nos salives se mêlent à ton sperme, puis au mien léché sur ta poitrine et tes joues. Première communion, bonne année, mon amour, bonne année avec moi; toi et moi.
Pourtant, le sais-tu? Ce week-end, tandis que tu iras visiter ta mère, je baiserai, je baiserai avec des inconnus. Peut-être, je raconterai.





3 commentaires:

  1. Anonyme5:38 PM

    j'avoue...j'aimerais être cet inconnu que tu baisera ce week end...

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  2. ou qui me baisera car contrairement à toi j'aime me faire mettre; et surtout par des inconnu! ce we direct au sauna!
    biz

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  3. Anonyme7:53 PM

    je sais pas encore si j'aime ou pas...jamais essayer...je compte bien le faire en 2009. J'ai mis du temps a accepter qu'un mec me jouisse en bouche, et pourtant maintenant...je demande que ça. !
    j'en sort du sauna...un après midi très bon, très chaud, très humide...

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