23 mai 2020

Le coloc


Pour suivre les cours de la NYFA à New York, j’avais décidé cet été de prendre contact avec le bureau des élèves de l’école afin de trouver une colocation pas trop loin de l’école à un prix acceptable pour la durée de la formation soit trois mois.

J’avais opté pour un grand appartement à Brooklyn ; pas vraiment près de l’école bien qu’accessible par métro mai qui qui avait l’avantage d’être lumineux, d’offrir une superbe vue sur Manhattan. Autre avantage, l’appartement était déjà partagé par trois élèves de l’école, deux américains et un norvégien, ce qui allait être excellent pour mon anglais ; impossible donc de parler français !

Étant le plus âgé de la coloc, j’eus le privilège de pouvoir habiter la « suite parentale » ; la plus grande chambre de l’appartement disposant de plus d’une superbe salle de bain qui avait la particularité de disposer d’une grande douche à l’italienne, ouverte sur l’extérieur, donc très lumineuse ; on pouvait ainsi se doucher en regardant le skyline de New York, ce qui n’est pas rien.


Les gars étaient sympas, pas prise de tête. Les discussions tournaient, ce qui est compréhensible autour des cours, de la technique photo ou cinéma puisque c’était notre préoccupation essentielle du moment et sachant que la formation ne nous donnait que très peu de temps libre ; en cours ou en atelier du matin au soir et bien souvent aussi le soir, sans compter avec le travail personnel à la maison. En ce premier WE de libre, chacun vaquait à ses occupations. De fait je pensais  être seul dans l’appartement car je n’entendais aucune discussion, aucun bruit. Même si l’appartement était relativement bien climatisé, la chaleur étouffante de cette fin d’été new-yorkais pesait et j’avais du mal à me concentrer sur mon logiciel de traitement de photos.

Mike est alors passé pour me demander si je voulais bien le laisser prendre une douche ; l’appartement disposait bien entendu d’une autre salle de bains, mais il était entendu que nous pouvions tous utiliser LA salle de douche sauf bien entendu si cela devait me déranger.

Il travaillait aussi à sa maquette et la chaleur l’indisposait, une bonne douche lui ferait du bien disait-il.

Tout à mon travail, j’acquiesçai  d’un simple mouvement de la tête. Bientôt, j’entendis le cliquetis de l’eau sur le carrelage et, rien que cela me donna l’impression de me rafraîchir un peu.  

Après ce qui m’avait semblé un long moment concentré sur mon écran, je réalisai que la douche coulait toujours. ; était-il encore là, avait-il oublié de refermer l’eau, un malaise ? je décidai d’aller voir. Il était encore là se prélassant sous le jet puissant. Je voyais son dos et ses jolis fesses ruisselants et hésitais encore à dire quelque chose quand il se retourna. visiblement il devait être en train de se caresser intimement car son sexe était légèrement gonflé. Pas vraiment gêné en me voyant là et sans demander d’explications, il me proposa de le rejoindre
 – elle est délicieuse ! cela relaxe ! – 
Sans trop savoir ce qu’il allait advenir ou plutôt sans trop vouloir penser à ce qu’il pouvait advenir, je me suis dévêtu et glissé dans la spacieuse salle de douche.  C’était un vrai bonheur de sentir cette eau fraîche ruisseler sur tout mon corps et même si je restais pudiquement face à la paroi, lui tournant le dos, je sentais sa présence masculine tout près de moi ; je bandais, bordel de merde, voilà que je bandais. Impossible de me tourner,
 je restai ainsi de longues minutes à me masser maladroitement les épaules endolories par ces heures passées à ma table de travail.
Il rompit le silence en me proposant de me masser le dos – qui
 visiblement en avait bien besoin -  Les bras levés et les mains posées sur le carrelage du mur, les jambes légèrement écartées, je le laissai ainsi me maser  les épaules et le dos, ce qui n’était pas la meilleure façon de baisser la garde. Surtout que je sentais par moment son sexe frotter mes fesses et l’image de son gland décalotté remplissait de plus en plus mon esprit. N’y tenant plus, sans vraiment réfléchir à ce que je faisais, je me suis retourné et sans lui laisser de temps de dire ouf, je me suis emparé de sa queue et me suis mis à l’engloutir goulûment. Une belle queue américaine, pas trop longue mais épaisse à souhait avec son gland bien marqué, le tout couronné par une pilosité savamment travaillée.



Il se laissa faire sans s’offusquer ; d’ailleurs il bandait vraiment et mes mouvements ainsi que mes caresses sur ses fesses sans compter mes tentatives d’exploration de son tréfonds, lui arrachaient de petits cris qui m’excitaient encore plus.

Ce n’est qu’au bout d’un long moment, peut-être  se sentait-il  prêt à jouir, qu’il releva doucement ma tête 

– tu sais, c’est très bon mais je ne suis sas gay, j’ai une copine,… 
- mais je suis très excité et si tu veux, allons sur le lit et branlons-nous mais rien de plus-.

Je ne pouvais qu’accepter, il fallait garder à cette coloc son caractère amical. Nous nous sommes sommairement séchés, très tendrement il m’a aidé en me séchant le dos avec sa serviette et tout cela finit sur mon grand lit, dans une bonne branlette adolescente et de longs jets de sperme, des gémissements un peu étouffés et de grands rires  en s’essuyant mutuellement le foutre sur nos ventres.

après en se rhabillant. Il a posé une bise sur ma bouche


 –on dîne ensemble ce soir, le mexicain au coin de la rue est excellent-. 










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