Pour suivre les cours de la NYFA à New York, j’avais décidé
cet été de prendre contact avec le bureau des élèves de l’école afin de trouver
une colocation pas trop loin de l’école à un prix acceptable pour la durée de
la formation soit trois mois.
J’avais opté pour un grand appartement à Brooklyn ; pas
vraiment près de l’école bien qu’accessible par métro mai qui qui avait l’avantage
d’être lumineux, d’offrir une superbe vue sur Manhattan. Autre avantage, l’appartement
était déjà partagé par trois élèves de l’école, deux américains et un
norvégien, ce qui allait être excellent pour mon anglais ; impossible donc
de parler français !
Étant le plus âgé de la coloc, j’eus le privilège de pouvoir
habiter la « suite parentale » ; la plus grande chambre de l’appartement
disposant de plus d’une superbe salle de bain qui avait la particularité de
disposer d’une grande douche à l’italienne, ouverte sur l’extérieur, donc très
lumineuse ; on pouvait ainsi se doucher en regardant le skyline de New
York, ce qui n’est pas rien.
Les gars étaient sympas, pas prise de tête. Les discussions tournaient,
ce qui est compréhensible autour des cours, de la technique photo ou cinéma
puisque c’était notre préoccupation essentielle du moment et sachant que la
formation ne nous donnait que très peu de temps libre ; en cours ou en
atelier du matin au soir et bien souvent aussi le soir, sans compter avec le
travail personnel à la maison. En ce premier WE de libre, chacun vaquait à ses
occupations. De fait je pensais être
seul dans l’appartement car je n’entendais aucune discussion, aucun bruit. Même
si l’appartement était relativement bien climatisé, la chaleur étouffante de
cette fin d’été new-yorkais pesait et j’avais du mal à me concentrer sur mon
logiciel de traitement de photos.
Mike est alors passé pour me demander si je voulais bien le
laisser prendre une douche ; l’appartement disposait bien entendu d’une
autre salle de bains, mais il était entendu que nous pouvions tous utiliser LA
salle de douche sauf bien entendu si cela devait me déranger.
Après ce qui m’avait semblé un long moment concentré sur mon
écran, je réalisai que la douche coulait toujours. ; était-il encore là,
avait-il oublié de refermer l’eau, un malaise ? je décidai d’aller voir.
Il était encore là se prélassant sous le jet puissant. Je voyais son dos et ses
jolis fesses ruisselants et hésitais encore à dire quelque chose quand il se retourna.
visiblement il devait être en train de se caresser intimement car son sexe était
légèrement gonflé. Pas vraiment gêné en me voyant là et sans demander d’explications,
il me proposa de le rejoindre
– elle est délicieuse ! cela relaxe ! –
– elle est délicieuse ! cela relaxe ! –
Ce n’est qu’au bout d’un long moment, peut-être se sentait-il
prêt à jouir, qu’il releva doucement ma tête
– tu sais, c’est très bon
mais je ne suis sas gay, j’ai une copine,…
- mais je suis très excité et si tu
veux, allons sur le lit et branlons-nous mais rien de plus-.
Je ne pouvais qu’accepter, il fallait garder à cette coloc
son caractère amical. Nous nous sommes sommairement séchés, très tendrement il
m’a aidé en me séchant le dos avec sa serviette et tout cela finit sur mon
grand lit, dans une bonne branlette adolescente et de longs jets de sperme, des
gémissements un peu étouffés et de grands rires en s’essuyant mutuellement le foutre sur nos
ventres.
après en se rhabillant. Il a posé une bise sur ma bouche
–on dîne ensemble ce soir, le mexicain au coin de la rue est excellent-.
–on dîne ensemble ce soir, le mexicain au coin de la rue est excellent-.
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