15 mai 2020

Barcelone (16) a big one



C'était une de ces boîtes qui fleurissent un peu partout dans nos capitales occidentales. Un mix de bar,  boîte de nuit et de sex club.  On vient ici à condition de respecter un certain dress code.  Toujours le même hors les soirées à thème - underwear, naked, golden shower, bear,.. - Jeans et basket, tee-shirt si possible un peu crade et surtout éviter les parfums et les déodorants. Pour ceux qui le souhaitent, il est possible de se changer et arborer l'un des dress-code en déambulant en slip, Jockstrap ou même à poil.  Malgré cette standardisation sans réelle surprise, cet établissement avait un petit plus, le charme particulier et méditerranéen de la nuit barcelonaise et la faconde entreprenante de ses habitants. Pour ma part, ce soir-là,  j'avais choisi la tenue kangourou; je veux dire par là, le bon vieux CK ouvert et 100% coton; celui qui en fin de journée présente mal , devient tout "lâche" et sans forme ; question d'être à l'aise et jouer sur  coté "sexe pas sexy" , je me comprends! 


C’est toujours un peu bizarre, ce genre d’entrée en matière ; on paye son entrée, on dépose ses fringues (ou pas) dans un sac poubelle avec une étiquette dessus et on pénètre dans l’arène, toujours avec un peu d’appréhension : il y a-t-il du monde, en vais-je pas me retrouver tout seul comme un con en slibard, et tout un tas de questions qui vous assaillent avant de rentrer justement dans l’arène.
Ce soir-là donc pas mal de monde dans tous les âges et tenues ; quelques mecs nus, quelques jockstraps mais surtout des torses-nus ; l’heure pas très tardive sans doute car c’était bien calme. Je sentais les regards se poser sur moi tandis que je traversai  l’espace qui me séparais du bar.
Je m’assis sur un tabouret libre et commandai une bière.  Il ne se passa pas beaucoup de temps après mon entrée pour faire connaissance avec mon voisin de bar. Un espagnol plutôt mince d'une trentaine d'années, qui lui était torse nu et jeans délavés. Ma première bière finie, il me proposa une tournée, façon simple et habituelle d'entrer en relation pour un mec seul qui est à côté d'un mec seul dans un lieu de rencontre. Après la seconde bière, toujours assis sur nos tabourets, il réussit à amener la conversation sur le sexe des anges ou plutôt entrepris de me commenter les entrejambes de tous les mecs qui passaient près de nous; qu'ils soient en jeans, en slip ou à poil. Tout ça en se rapprochant de moi tout en frottant  ostensiblement  son entrejambe comme pour me montrer "qu'il en avait sous le capot"....

Puisque je ne faisais rien pour le repousser, j'étais en effet un peu déçu par cette façon de faire un peu cucul et finalement pas assez ou trop directe, il me prit soudainement la main qu'il colla sur le renflement de son sexe   


- tu vois ça c'est du matos! -

Effectivement cela semblait intéressant mais je ne pus m'empêcher de plaisanter en le soupçonnant d'avoir mis "une paire de chaussette dans son calbut".
Piqué au vif ou simple prétexte, il se leva alors de son siège, défit la ceinture de son jeans, déboutonna sa braguette bouton après bouton et baissa son froc et son slip ce qui fit jaillir devant moi et les spectateurs présents éberlués, un sexe effectivement "pas mal".  Long, vraiment long. Une masse de chair lourde, épaisse qu’il me proposait de soupeser ; que dis-je, proposait !  Il guidait déjà ma main vers son gourdin.
 C'était chaud, brûlant presque. Je parcourrai, encore malgré moi, cet instrument qui bien qu'encore flasque, ne demandait qu'à se développer sous mes caresses.  J'avais une envie folle de la goûter ainsi que  ses belles et longues  couilles bien pendues derrière,  mais elle  devenait à chaque instant plus énorme et je craignais de ne pas savoir gérer la suite des événements.  Satisfait de son petit effet et après s'être assuré en me pressant l'entrejambe que je n'étais pas insensible à ses.... charmes ; effectivement ma queue avait le plus grand mal à rester confinée dans ce vieux slibard aux élastiques usés et lâches.
-          -   Viens chez moi, on va s’amuser, on peut y aller à pied, c'est tout près -

J'ai hésité un moment, la taille d'une queue n'a jamais été un élément décisif pour moi et ce n'était pas vraiment le type de mec que j'avais envie de rencontrer ce soir-là… Mais, la perspective d’une bonne baise et aussi quand même de tâter du gourdin, me tentai.
 -Ok! let's go; le temps de récupérer mes fringues et de me rhabiller et je te suis.

Petit appartement, gros bordel !  Du linge sale partout, le lit encore défait - Sans doute depuis plusieurs jours - mais je n'eus pas le temps de penser à tout cela.  La porte à peine refermée,
Il m’attira sur le canapé et sans même me proposer quelque chose à boire, commença à me bécoter. Il embrassait bien et je ne tardai pas à avoir mes hormones à l’envers et à vraiment avoir envie de baiser. Nous fîmes valser nos t-shirts ajoutant un peu plus de bordel à l’existant, je découvrais ainsi son torse sec et musclé, je baisai sa peau douce et glabre et nos baisers se faisaient plus brûlants, plus pressants. Fébrilement, je déboutonnai sa braguette, impatient de retrouver son magnifique mandrin et l’aidai à se débarrasser de son pantalon mais je l’empêchai d’ôter son slip et je l’attirai vers moi pour coller mon visage sur le tissu ; Je caressais son sexe à travers le tissu du slip, qui, mes doigts et ma bouche le percevait avec délectation, durcissait doucement. Il me fallait le voir, le prendre, le baiser ; je l’extrayais de sa gangue pour l’admirer et le caresser de mes lèvres.
Je lui ôtai son slip pour jouir pleinement de son sexe et je regardais médusé cet engin prendre rapidement de l'ampleur sensible à mes caresses et baisers. Les veines se gonflaient de sang, un gland rougeoyant, se décalottait ; quelle beauté ! Ma langue sillonnant les veines chargées de sang jusqu'à ce gland immense et proéminent que je gobai tant bien que mal malgré ses encouragements et ses petits gémissements.
-        

                  - Viens, déshabille-toi, je te veux nu, je veux moi aussi ta queue

Debout sur le canapé et avec son aide, j’ôtai mon jean, mon slip lui offrant ainsi la découverte de ma queue raide et offerte qu’il s’empressa de baiser et de goûter.
J’étais aux anges, ce mec qui il y a peu me m’inspirait pas vraiment se révélait outre un corps délicieux, doux, attentionné ; j’aimais son odeur douce et amère, j’aimais la douceur de sa peau tremblante sous les caresses et les baisers et bien sûr sa merveilleuse bite que j’avais de plus en vie de sentir au plus profond de moi. Il avait sans doute compris mon désir car tout doucement, tandis qu’il me suçait voluptueusement, il m’incitait à écarter les cuisses et à me pencher contre le dossier du canapé et je ne fis pas prier
-          Hmmm ! je suis attendu on dirait !
 

Admiratif, il caressa quelques instant mon troufignon avant de venir le lécher et me pénétrer avec sa langue, il était tellement excité que sa queue se dressait sans cesse contre son ventre ! je tentai de le calmer un peu en gobant le mieux possible son mandrin, accompagnant ainsi son plaisir tandis que tantôt sa langue  tantôt ses doigts dilataient mon œillet qui ne demandait par ailleurs que cela ;
Je me retournai, les cuisses et les fesses bien écartées
-viens, bouffe-moi le cul, baise-moi, j’ai une putain d’envie de me faire ramoner par ta queue en moi



Ses mains m’écartaient les fesses, mon anus devait être bien prêt car je sentais son souffle me rafraîchir le tréfonds ! Et sa langue devait être à l’image de sa verge car elle me pénétrait bien profond m’arrachant de doux gémissements. Il nous fallait un peu de place, nous migrâmes sur le lit et pendant que je mettais en position sur le lit, il se mit une capote sur la verge puis me chevaucha en me pénétrant ; j’accueillis sa verge avec un plaisir inouï et
l’acceptai d’un coup toute entière. Accroché à moi, ses coups de bassin enfonçaient son mandrin au plus profond et m’arrachaient des hurlements de jouissance ; il s’avait si prendre le bougre et je lui rendais bien car je serais mes sphincters à fond autour de sa queue. Maintenant, que le plaisir était entier, j’avais besoin, envie de le voir, de voir les muscles de son corps unis dans l’effort, de voir la jouissance monter dans son regard plein de désir, de voir aussi bien sûr cette queue me pourfendre à chaque coup de reins.
La sueur dégoulinait sur nos visages et nos torses, bientôt la fatigue le fit désarçonner juste le temps pour moi de me retourner sur le dos et de lever les jambes pour de nouveau l’accueillir. Tandis qu’il me défonçait le cul ses mains agrippaient mes pecs, ses yeux rivés aux mieux cherchaient l’orgasme proche, la sueur couvrait nos corps épuisés. Il ne fallait pas conclure , pas tout de suite et pour nous donner un peu de répit, un peu de repos, nous retournâmes sur le fauteuil, lui assis son braquemart dressé comme une trique et je m’empalais sur lui ; un choc car cette fois-ci le poids de tout mon corps me poussait contre sa queue qui m’embrochait à fond ; cette fois-ci je me devais de faire le boulot et soulevait mon corps et le reposait lourdement mes fesses contre son aine tandis qu’il me branlait ; le plaisir montait et n’y tenant plus je jouis longuement d’un long jet de sperme sur mon torse et sa main et après quelques instants pour redescendre, je me retirai pour le branler à son tour, je voulais voir son foutre, je voulais le goûter et le partager avec lui. Bientôt tout son corps, tous les muscles tendus, dans  long spasme il jouit rependant un sperme épais sur son torse et sur ma main, je le gouttai bien sûr léchant ma main, son torse, sa verge et nous le partageâmes dans un long et ultime baiser. 




Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire