Les rêves de confort envahissent l’esprit
Sans le moindre remords, nous pensons au repos !
De la peine au travail nous aimons le répit,
Divaguant, évasifs, allongés sur le dos.
Et la mer berce ici notre corps détendu,
Octroie par les vagues la douceur infinie
Qui mécontente en vain l’ouragan éperdu !
Sa puissance obsédée, le vent absent la nie.
L’écume nous salue en ornant l’océan.
Dans le calme et la paix, Neptune est fainéant !
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