Après presque 2 semaines d'un boulot de dingue en déplacement dans cette ville, après deux semaines logé dans un hôtel , je peux enfin rentrer à la maison. Comme j’ai fini un jour plutôt que prévu je profite de ma dernière nuit d’hôtel pour bien me reposer.
Après 10 heures de sommeil et un gros petit déjeuner. Je me mets à l'aise pour conduire durant ce qui s'annonce comme une belle journée: Un simple t-shirt et un short ample sans rien dessous, "freeballing" comme disent les anglo-saxons, tenue idéale par ailleurs pour ce que j'ai terriblement envie de faire.. comme j’aime le faire, quand j’ai le temps, m’arrêter sur toutes les aires d’autoroutes à la recherche de bons plans sexe avec des inconnus.
je prends la route. J'ai environ 600 km à faire et toute la journée devant moi et les hormones à l'envers.
Malheureusement pour moi les plans culs sont de moins en moins fréquents sur les bords de l’autoroute. Déjà 3 fois que je m’arrête et bien que je sois resté un moment dans les toilettes et que j’ai parcouru les petits bois qui bordent les aires de repos je suis toujours retourné dans ma voiture bredouille, la queue entre les jambes. D'ailleurs, je suis tellement excité, que lors de la dernière halte, j'ai carrément descendu le short, et j'ai continuer à conduire d'une main tout en me tripotant la queue de l'autre. Si à la prochaine aire, je ne trouve rien, je me branle à fond quitte à inonder le tableau de bord de foutre !
Après ma dernière halte sur une aire de repos, je retourne en roulant au pas vers l’autoroute et je surveille dans le rétroviseur au cas ou un camion s’arrêterait mais rien; par contre devant moi un jeune homme fait du stop.
J’hésite un moment, je le dépasse mais juste avant de retourner sur la 3 voies, je décide de m’arrêter. Je remonte bien évidemment mon short et lui fait signe. Au moins j'aurais un peu de compagnie.
L’auto-stoppeur attrape son sac et court vers moi, il porte un short en jean et un t-shirt blanc. Plus il s’approche plus je devine son corps. Bien bâti, le mec! Cool! Et si en plus il a de conversation, la route passera plus vite.
Quand il arrive à ma hauteur je baisse la vitre, il me dit qu’il doit aller sur Dijon et me demande si je peux l’avancer. C’est sur ma route alors je lui ouvre le coffre pour qu’il y mette son sac à dos puis il vient me rejoindre dans la voiture.
Une fois assis à côté de moi et attaché il me tend la main en me disant:
« Olivier », je la sers en lui répondant « Romain » et je démarre.
Nous discutons de nos vies respectives et je ne peux m’empêcher de regarder régulièrement ses jambes finement musclées et légèrement poilues et son short déchiré.
Olivier a 25 ans, il vient de finir ses études de kiné et prend un peu de vacances avant de commencer à travailler le mois prochain. Il habite encore avec ses parents à Dunkerque et a pris la route hier, après un stop à Paris chez de la famille, il a repris la route ce matin. Un routier l’a déposé sur l’aire où je l’ai récupéré. Il me dit qu’il aime beaucoup faire du stop parce que ça lui permet de faire de belles rencontres. Après un moment de silence il me dit sur un ton un peu gêné:
« Surtout que j’aime les hommes. ». Je me tourne vers lui étonné;
- tu veux dire quoi par là ?
- vous avez bien compris, je crois.
Il me sourit et me dit: « Et vous? »
- plutôt direct comme mec! Je lui rétorque; t'arrive et paf tu annonces la couleur ! T'as du avoir des problèmes quelques fois.
Je lui propose alors qu’on se tutoie, et je lui dit que moi aussi , j'aime les mecs et il enchaîne en me demandant s’il me plait. Je suis surpris de sa question mais je lui dit que oui.
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Du coup il pose sa main sur ma cuisse et commence à me caresser, pour l’encourager à continuer je m’enfonce bien dans mon siège et j’écarte les jambes. Il continue en me massant l’intérieur de la cuisse et il remonte petit à petit vers mon entrejambe et me masse le sexe, qui gonfle de plus en plus, à travers le tissu de mon short . Il se baisse, gêné quand même par sa ceinture et me mordille la bosse à travers le tissu du short. D'une main je dégage ma verge du short; très vite, elle prend ses aises le long de ma cuisse.
-ouah! Ça c'est de la bite! Purée ! C'est trop balaise, 21, plus ? Tu dois en faire des heureux!
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- Le naturel de ce mec était effarant, je n'avais jamais rencontré de ma vie, un tel culot ! J'étais du coup à la fois complètement désarçonné et terriblement excité par la perspective de ce qui pourrait suivre.
Il caresse ma queue tellement raide qu'elle en est douloureuse.,
- prend le volant une minute, lui dis-je et aussitôt fait, je baisse mon short et libère mon sexe qui peut enfin se redresser à moitié décalotté et se coller contre mon ventre.
Olivier déboucle sa ceinture de sécurité et se penche pour faire entièrement disparaître ma queue entre ses lèvres. Sa bouche est vraiment experte et j’ai de plus en plus de mal à me concentrer sur la route alors je lui demande d’arrêter. Un peu vexé, après s’être essuyé la bouche, il me demande:
« Tu n’aimes pas? »
Je lui dit que j’adore mais que je préfère ne pas risquer un accident et je lui propose que l’on s’arrête à la prochaine aire de repos pour encore mieux continuer, je la connais bien.
- ok, cool j'ai vraiment hâte, mec, j'ai une putain envie de toi, mec, chaud bouillant !
Je le regarde un instant ; sa verge épaisse, turgescente , un gros gland bien visible, dépasse de son short.
Et, puis surprise ! Il enlève son t-shirt, déboutonne son short, le baisse, le voilà à poil !
J'ai un mec à poil sur le siège passager, j'ai un braquemart dressé qui m'appelle !
Quelques kilomètres à patienter.. que nous parcourons en silence, chacun caressant la queue et les couilles de l'autre. Un avant-goût délicieux.
En arrivant à l'aire de repos, Il me demande si elle est fréquentée pour la drague, je lui dit qu’avant oui mais maintenant de moins en moins.
Une bonne douzaine de voiture est garée autour des toilettes et je dirige la voiture vers un coin éloigné, au bord d'un petit bosquet à l'abri des regards et du passage et nous nous garons.
Nous restons quelques instants dans l'habitacle, regardant à l'extérieur, mais tout est calme et solitaire.
L'aire et son petit bosquet semblent vide bien que j’ai la drôle d'impression que nous ne sommes pas seuls; où sont passés les propriétaires des voitures arrêtées? sans doute aux toilettes ou en pique-nique de l'autre coté; je balaie mes impressions d'un revers, trop chaud, je suis trop chaud pour penser "danger".
- peut être que nous serons pas les seuls à vouloir nous amuser, me dit-il une étincelle dans le regard.
- Décidément t'es chaud bouillant mon gars! et je pose ma main sur sa cuisse en lui demandant s’il a fait quelque chose avec le routier qui l’a déposé. Il rougit un peu et me dit qu’ils se sont sucés pendant une pause.
-Et ben! pas de commentaire, mon cochon et je lui pose un baiser sur le gland...
- Viens, sortons;
Et aussitôt dit, il ouvre la portière et, descend de la voiture, viens ouvrir ma portière, et se positionne devant moi, la verge dressée.
- allez , sort de ta caisse, vient , on baise !
Je ne puis qu’obéir et sans la moindre élémentaire prudence, nous nous retrouvons enlacés et nus prés d'une table de pique-nique, à la merci du premier passant.
La première étreinte passée je retrouve un peu de lucidité et entre deux baisers fougueux, je lui propose d'aller un peu plus loin dans le bosquet " on sera quand même un peu à l'abri des regards "
Non, tant mieux si on nous matte, plus on est de fous plus on se marre, me répond t-il tout en tentant de me bouffer la bite..
J'avais garé la voiture, coffre vers le bosquet un peu à l'abri quand même et je trouve un compromis; je l’entraîne "de force" par la queue, ouvre le coffre du break , dégage un peu de place pose une couverture sur le sol du break.
- qu'en dis-tu? chaudement bucolique! n'est-ce pas!»
Pour toute réponse il s'agenouille, prend ma gaule dans sa bouche et commence à me pomper immédiatement. Sa main me malaxe les couilles alors que sa langue s’occupe de mon gland et mon frein, puis il s’emballe de plus en plus sur ma queue jusqu’à me faire rentrer dans sa gorge. Il me suce en gorge profonde pendant plusieurs longues minutes puis sans me faire sortir de sa bouche, me fourre un doigt dans le cul. Je le vois, là, devant moi, à genoux, le chauve raide comme une baguette contre son ventre battant la chamade au rythme ses mouvements. Je suis complètement retourné, les sens à l'envers, j'ai une envie de dingue de ce mec, je me retiens pour ne pas jouir très vite, trop vite!
-Un moment, pitié! tu me rends fou, je vais gicler si tu continue comme ça!
Alors, Il sort de sa chaussure des préservatifs, " toujours prêt !" et il en ouvre un qu’il met dans sa bouche et le déroule le long de mon braquemart.
Une fois que mon sexe est plastifié il se relève, se couche sur le sol du break, lève les jambes bien écartées et me dit:
« Viens vite me la mettre, j’en ai trop envie. »
Je viens au devant de lui et lui caresse le petit trou avec mon gland, il est déjà sacrement ouvert le bougre! Il doit se faire enculer régulièrement le salaud.
Je lui colle un doigt puis deux , fouille écarte, ouvre; je m'agenouille pour lui lécher le trèfle; trop bon! puis, relevé, approche de nouveau mon gland tout humide de précum ,
- putain, ne me fait pas languir, fourre la moi!
Ma bite est littéralement avalée par son cul et je le pénètre complètement sans aucun soucis.
Une fois bien au fond je ne lui laisse même pas le temps de s’habituer, il n’en a pas besoin et je commence à le limer furieusement en lui tenant les jambes.
A chaque fois que je m’enfonce en lui je m’arrête qu’une fois que mon pubis tape ses fesses puis je m’immobilise pendant quelques secondes et je décule juste pour la vue qui est superbe: son dé à coudre est béant et ses sphincters m'appellent affamés; je viens mes loulous, et le foudroie de nouveau.
- j'aime ça, mec, j'aime ta big trique ! j'aime tes boules qui me cognent, mec! j'aime sentir les courants d'air dans mon cul! c'est trop bon! Enlève la capote, j'ai envie de sentir ton foutre m'inonder le cul.
- t'es sûr ? Dis-je haletant et sans y réfléchir plus, je m'exécute.
Ses gémissements se font de plus en plus fort à chaque fois que je remplis son cul.
Et c'est ainsi que ses cris attirent un grand mec qui se rapproche de nous, en jogging et torse poil et la queue qui dépasse de sa ceinture, il a un sexe plus long que le mien mais plus fin.
Olivier, pas inquiet pour deux sous, lui fait signe de se rapprocher, nous nous décalons un peu et lorsque cette nouvelle bite est à portée de main il la branle un peu avant de la sucer alors que je continue à ramoner ses entrailles.
Il le suce au rythme de mes coups de reins, de plus en plus violents; je sens les sphincters d'Olivier se resserrer autour de mon viet et c'est tellement étroit maintenant, la pression sur mes veines gonflées de sang est si forte, que je sens la jouissance monter et je le sodomise tellement fort qu’il n’arrive plus à sucer l’autre gars, du coup il le branle.
Au bout de 2 ou 3 minutes à ce rythme je me vide entièrement tenant ainsi ma promesse. Quand mes mouvements se calment il reprend sa pipe jusqu’à ce que je me retire totalement de ses entrailles. Une fois que je suis sorti, Olivier prend un autre préservatif sur la table et habille la bite devant lui, se retourne pour offrir son cul à l’inconnu. Pendant qu’il commence à se faire ramoner, toujours couché sur le sol du break, les jambes relevées et écartées par l'inconnu, Olivier me nettoie de la langue pour récupérer le plus possible de mon sperme. Une fois mon sexe luisant comme s’il n’avait pas du tout servi, Olivier se penche encore plus en s'accrochant sur le rebord et ferme les yeux pour profiter au maximum de la queue qui le sodomise. Je m'assois à leurs pieds sous ses fesses pour voir coulisser cette longue bite dans son cul, que j’ai bien élargi.
Je pose une main sur les couilles de l’inconnu, lui fourre un doigt dans le cul pour encore plus le stimuler et régulièrement lèche sa bite qui ramone; elle a mon goût, le goût de ma semence qui s'écoule. Olivier gémit sans retenue encourageant le grand mec qui accélère sa cadence et se plante une dernière fois tout au fond d’Olivier pour se vider à son tour et reste un moment au fond de ses entrailles sans bouger.
Quand il se retire enfin, il enlève la capote y fait un nœud et la balance dans un buisson, enfile rapidement son jogging et disparaît aussi vite qu’il est venu. Olivier reste un moment les jambes en l'air , son corps est encore parcouru de spasmes et pour accompagner sa "descente", je fais rentrer 3 doigts dans son petit trou.
Il écarte un peu plus les jambes; du coup je le branle puis engouffre sa verge jusqu'à la glotte jusqu’à ce qu’il jouisse dans ma bouche. D'un long et profond baiser, nous dégustons sa semence.
Une fois qu’Olivier a repris ses esprits, nous rejoignons la voiture, nous buvons un peu d'eau, heureux de ce moment partagé. Et c'est à ce moment que nous nous apercevons que nous étions loin d'être seuls ; quelques mecs occupent le petit bosquet ; sans doute s'étaient-ils cachés à notre arrivée. Mais maintenant, l'animation était intense. Un drôle de mec à quelques mètres de nous se branle en reniflant ce qui semblait être le slip d'Olivier! il avait du le ramasser durant nos ébats; deux ou trois couples, baisaient dans les fourrés, pantalons sur les mollets, un mec en jockstrap, s'était couché sur la table de pique-nique et attendait; c'était surréel!
Olivier, toujours à poil est sorti du véhicule pour pisser face au bosquet et à sa faune, je le rejoins amusé et nous pissons longuement tous les deux en riant. Entre-temps, une voiture s'était garée à coté de la notre; la portière ouverte un beau barbu déculotté,couché sur les sièges de sa voiture, les cuisses ouvertes offrant un beau cul poilu et une queue dressée. Ses yeux m'appellent, me prient presque,
Olivier me pousse et m'encourage mais j’hésite un peu car la "passion" passée, je ne suis pas tranquille de me retrouver si longtemps à poil et à découvert au milieu d'une partouze dans une aire d'autoroute...Mais je dois dire que j'ai un gros faible pour les culs bien poilus et leurs promesses musquées ... Je me lance, je fourre mon visage entre ses fesses; hmm, c'est encore humide, je lèche, je hume, quel fumet! je regarde ce cul qui s'ouvre à moi, je glisse ma langue dans sa rosette, profondément, le plus profondément possible et lui arrache un doux gémissement de plaisir; c'est un peu acre, j'aime. Je me relève enfin, lui demande de se retourner et tente de le fourrer mais surprise, cela résiste un peu.. Doucement je pousse mon gland contre sa rondelle, enfin j'y suis;
- Tu dois pas souvent le faire, c'est pas une première tout de même?
- j'ai pas l'habitude mais j'en meurs d'envie...
Je le taraude en faisant bien attention à ce que qu'il éprouve du plaisir , cela donne une autre dimension à ce que nous faisons; j'ai envie de faire l'amour avec ce beau barbu et je lui caresse le torse, lui titille les tétons, le prend par le cou l'attire vers moi et l'embrasse goulûment.
Sa queue est là aussi bien dressée sur son ventre, je la caresse, je la branle tout en le ramonant doucement; elle est belle, épaisse, pas trop longue, veineuse avec un gland "champignonesque" ; tout d'un coup, je lui glisse à l'oreille
- j'ai très envie de ta queue, je voudrais que tu me baise, mais si tu préfère je peux continuer... j'aime bien aussi ramoner ton petit cul bien étroit!
Avec plaisir mec me dit-il avec un beau sourire craquant.
je me dégage, me tartine le troufignon avec le gel qui se trouvait au sol de la voiture viens, lui dis-je, allons sur le banc, là dans le bosquet.
A peine est-il assis, qu'à califourchon sur lui, je m'empale. Son "champignon" n'est pas si facile que ça à ingurgiter, mais quand c'est fait c'est un vrai bonheur! je pèse de tout mon poids contre son bassin, pas un millimètre ne dépasse ; il est aux anges! je serre sa verge au maximum et commence à me mouvoir et à le travailler et au bout de quelques minutes seulement, de trop courtes minutes, entre deux gémissements " je vais jouir mec, c'est trop bon, ton cul est trop bon" et, dans un dernier spasme, la tête en arrière les yeux révulsés, sa queue en moi se gonfle encore un peu et il jouit.
Nous nous reposons quelques instants, moi sur son ventre sa queue toujours en moi, je me branle et très vite, mon foutre vient s'écraser sur son visage; nous rions de bon coeur en nous léchant. instants d'harmonie troublés par Olivier que j'avais oublié :
- Trop cool mec! vous m'avez donné un bon spectacle! Je vais me mettre dans la mêlée pour me calmer! et le voilà la queue dressée, qui s'enfonce dans le bosquet à la recherche "d'un coup".
Nous nous séparons, un peu à regret;
- Je m'appelle Nicolas,
- moi c'est Romain et je le prends dans mes bras et l'embrasse tendrement tandis que ses mains me caressent les fesses ce qui me rappelle que je suis toujours à poil ...
Après l'avoir regardé s'habiller, comme à regret, Je jette un dernier coup d’œil à sa voiture qui quitte le stationnement et s'éloigne.
Je cherche alors Olivier des yeux et je le vois un peu plus loin en train de prendre son pied avec un mec qui le pilonne debout contre une barrière. J'enfile mon short, enfin et pars le rejoindre:
je t'attends?
- non, je vais bien trouver quelqu'un ici pour me conduire, dit-il entre deux gémissements; je m'approche, lui pose un baiser sur la bouche sans que cela arrête outre mesure son compagnon;
- ça a été super! j'aimerais bien t'attendre et faire un bout de chemin encore; je serai dans la caisse. Et puis de toutes les façons je te rappelle que ton slibard, ton short et ton t-shirt sont dans ma caisse!
Quand il revient, toujours nu, il s'écroule épuisé sur le siège. Je le regarde se reposer les yeux fermés ; comme il est beau ! Je m'aperçois que je n'avais pas pris la peine de le regarder vraiment.. Ému, je caresse son ventre, sa légère toison pubienne, sa verge reposée.
Il me sourit
- tu es pressé ? Tu es attendu ? Moi de mon côté personne ne m'attends ; que dirais-tu si on passait un peu de temps ensemble ?
- pourquoi pas ! Allez démarre, on est bien...
- tu ne t'habilles pas?
- non, j'aime bien rester à poil, j'ai encore ton odeur sur la peau et la mémoire de toutes ces mains sur moi.. C'est bon.
Nous quittons l'aire de repos qui porte si mal son nom et reprenons la route.
Tout en conduisant, je garde une main sur sa cuisse ; on est bien.
- on sort à la prochaine ? On trouvera sûrement un petit hôtel sympa , qu'en dis-tu ?
Après le péage et tandis qu'il enfile tant bien que mal, son slip et son short, je cherche un endroit cool pour prendre une douche, nous reposer et prendre un peu de temps pour nous..
Après 10 heures de sommeil et un gros petit déjeuner. Je me mets à l'aise pour conduire durant ce qui s'annonce comme une belle journée: Un simple t-shirt et un short ample sans rien dessous, "freeballing" comme disent les anglo-saxons, tenue idéale par ailleurs pour ce que j'ai terriblement envie de faire.. comme j’aime le faire, quand j’ai le temps, m’arrêter sur toutes les aires d’autoroutes à la recherche de bons plans sexe avec des inconnus.
je prends la route. J'ai environ 600 km à faire et toute la journée devant moi et les hormones à l'envers.
Malheureusement pour moi les plans culs sont de moins en moins fréquents sur les bords de l’autoroute. Déjà 3 fois que je m’arrête et bien que je sois resté un moment dans les toilettes et que j’ai parcouru les petits bois qui bordent les aires de repos je suis toujours retourné dans ma voiture bredouille, la queue entre les jambes. D'ailleurs, je suis tellement excité, que lors de la dernière halte, j'ai carrément descendu le short, et j'ai continuer à conduire d'une main tout en me tripotant la queue de l'autre. Si à la prochaine aire, je ne trouve rien, je me branle à fond quitte à inonder le tableau de bord de foutre !
Après ma dernière halte sur une aire de repos, je retourne en roulant au pas vers l’autoroute et je surveille dans le rétroviseur au cas ou un camion s’arrêterait mais rien; par contre devant moi un jeune homme fait du stop.
J’hésite un moment, je le dépasse mais juste avant de retourner sur la 3 voies, je décide de m’arrêter. Je remonte bien évidemment mon short et lui fait signe. Au moins j'aurais un peu de compagnie.
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Quand il arrive à ma hauteur je baisse la vitre, il me dit qu’il doit aller sur Dijon et me demande si je peux l’avancer. C’est sur ma route alors je lui ouvre le coffre pour qu’il y mette son sac à dos puis il vient me rejoindre dans la voiture.
Une fois assis à côté de moi et attaché il me tend la main en me disant:
« Olivier », je la sers en lui répondant « Romain » et je démarre.
Nous discutons de nos vies respectives et je ne peux m’empêcher de regarder régulièrement ses jambes finement musclées et légèrement poilues et son short déchiré.
Olivier a 25 ans, il vient de finir ses études de kiné et prend un peu de vacances avant de commencer à travailler le mois prochain. Il habite encore avec ses parents à Dunkerque et a pris la route hier, après un stop à Paris chez de la famille, il a repris la route ce matin. Un routier l’a déposé sur l’aire où je l’ai récupéré. Il me dit qu’il aime beaucoup faire du stop parce que ça lui permet de faire de belles rencontres. Après un moment de silence il me dit sur un ton un peu gêné:
« Surtout que j’aime les hommes. ». Je me tourne vers lui étonné;
- tu veux dire quoi par là ?
- vous avez bien compris, je crois.
Il me sourit et me dit: « Et vous? »
Je lui propose alors qu’on se tutoie, et je lui dit que moi aussi , j'aime les mecs et il enchaîne en me demandant s’il me plait. Je suis surpris de sa question mais je lui dit que oui.
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Du coup il pose sa main sur ma cuisse et commence à me caresser, pour l’encourager à continuer je m’enfonce bien dans mon siège et j’écarte les jambes. Il continue en me massant l’intérieur de la cuisse et il remonte petit à petit vers mon entrejambe et me masse le sexe, qui gonfle de plus en plus, à travers le tissu de mon short . Il se baisse, gêné quand même par sa ceinture et me mordille la bosse à travers le tissu du short. D'une main je dégage ma verge du short; très vite, elle prend ses aises le long de ma cuisse.
-ouah! Ça c'est de la bite! Purée ! C'est trop balaise, 21, plus ? Tu dois en faire des heureux!
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- Le naturel de ce mec était effarant, je n'avais jamais rencontré de ma vie, un tel culot ! J'étais du coup à la fois complètement désarçonné et terriblement excité par la perspective de ce qui pourrait suivre.
Il caresse ma queue tellement raide qu'elle en est douloureuse.,
- prend le volant une minute, lui dis-je et aussitôt fait, je baisse mon short et libère mon sexe qui peut enfin se redresser à moitié décalotté et se coller contre mon ventre.
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« Tu n’aimes pas? »
Je lui dit que j’adore mais que je préfère ne pas risquer un accident et je lui propose que l’on s’arrête à la prochaine aire de repos pour encore mieux continuer, je la connais bien.
- ok, cool j'ai vraiment hâte, mec, j'ai une putain envie de toi, mec, chaud bouillant !
Je le regarde un instant ; sa verge épaisse, turgescente , un gros gland bien visible, dépasse de son short.
Et, puis surprise ! Il enlève son t-shirt, déboutonne son short, le baisse, le voilà à poil !
J'ai un mec à poil sur le siège passager, j'ai un braquemart dressé qui m'appelle !
Quelques kilomètres à patienter.. que nous parcourons en silence, chacun caressant la queue et les couilles de l'autre. Un avant-goût délicieux.
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Une bonne douzaine de voiture est garée autour des toilettes et je dirige la voiture vers un coin éloigné, au bord d'un petit bosquet à l'abri des regards et du passage et nous nous garons.
Nous restons quelques instants dans l'habitacle, regardant à l'extérieur, mais tout est calme et solitaire.
L'aire et son petit bosquet semblent vide bien que j’ai la drôle d'impression que nous ne sommes pas seuls; où sont passés les propriétaires des voitures arrêtées? sans doute aux toilettes ou en pique-nique de l'autre coté; je balaie mes impressions d'un revers, trop chaud, je suis trop chaud pour penser "danger".
- peut être que nous serons pas les seuls à vouloir nous amuser, me dit-il une étincelle dans le regard.
- Décidément t'es chaud bouillant mon gars! et je pose ma main sur sa cuisse en lui demandant s’il a fait quelque chose avec le routier qui l’a déposé. Il rougit un peu et me dit qu’ils se sont sucés pendant une pause.
-Et ben! pas de commentaire, mon cochon et je lui pose un baiser sur le gland...
- Viens, sortons;
Et aussitôt dit, il ouvre la portière et, descend de la voiture, viens ouvrir ma portière, et se positionne devant moi, la verge dressée.
- allez , sort de ta caisse, vient , on baise !
Je ne puis qu’obéir et sans la moindre élémentaire prudence, nous nous retrouvons enlacés et nus prés d'une table de pique-nique, à la merci du premier passant.
La première étreinte passée je retrouve un peu de lucidité et entre deux baisers fougueux, je lui propose d'aller un peu plus loin dans le bosquet " on sera quand même un peu à l'abri des regards "
Non, tant mieux si on nous matte, plus on est de fous plus on se marre, me répond t-il tout en tentant de me bouffer la bite..
J'avais garé la voiture, coffre vers le bosquet un peu à l'abri quand même et je trouve un compromis; je l’entraîne "de force" par la queue, ouvre le coffre du break , dégage un peu de place pose une couverture sur le sol du break.
- qu'en dis-tu? chaudement bucolique! n'est-ce pas!»
Pour toute réponse il s'agenouille, prend ma gaule dans sa bouche et commence à me pomper immédiatement. Sa main me malaxe les couilles alors que sa langue s’occupe de mon gland et mon frein, puis il s’emballe de plus en plus sur ma queue jusqu’à me faire rentrer dans sa gorge. Il me suce en gorge profonde pendant plusieurs longues minutes puis sans me faire sortir de sa bouche, me fourre un doigt dans le cul. Je le vois, là, devant moi, à genoux, le chauve raide comme une baguette contre son ventre battant la chamade au rythme ses mouvements. Je suis complètement retourné, les sens à l'envers, j'ai une envie de dingue de ce mec, je me retiens pour ne pas jouir très vite, trop vite!
-Un moment, pitié! tu me rends fou, je vais gicler si tu continue comme ça!
Alors, Il sort de sa chaussure des préservatifs, " toujours prêt !" et il en ouvre un qu’il met dans sa bouche et le déroule le long de mon braquemart.
Une fois que mon sexe est plastifié il se relève, se couche sur le sol du break, lève les jambes bien écartées et me dit:
« Viens vite me la mettre, j’en ai trop envie. »
Je viens au devant de lui et lui caresse le petit trou avec mon gland, il est déjà sacrement ouvert le bougre! Il doit se faire enculer régulièrement le salaud.
Je lui colle un doigt puis deux , fouille écarte, ouvre; je m'agenouille pour lui lécher le trèfle; trop bon! puis, relevé, approche de nouveau mon gland tout humide de précum ,
- putain, ne me fait pas languir, fourre la moi!
Ma bite est littéralement avalée par son cul et je le pénètre complètement sans aucun soucis.
Une fois bien au fond je ne lui laisse même pas le temps de s’habituer, il n’en a pas besoin et je commence à le limer furieusement en lui tenant les jambes.
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- j'aime ça, mec, j'aime ta big trique ! j'aime tes boules qui me cognent, mec! j'aime sentir les courants d'air dans mon cul! c'est trop bon! Enlève la capote, j'ai envie de sentir ton foutre m'inonder le cul.
- t'es sûr ? Dis-je haletant et sans y réfléchir plus, je m'exécute.
Ses gémissements se font de plus en plus fort à chaque fois que je remplis son cul.
Et c'est ainsi que ses cris attirent un grand mec qui se rapproche de nous, en jogging et torse poil et la queue qui dépasse de sa ceinture, il a un sexe plus long que le mien mais plus fin.
Olivier, pas inquiet pour deux sous, lui fait signe de se rapprocher, nous nous décalons un peu et lorsque cette nouvelle bite est à portée de main il la branle un peu avant de la sucer alors que je continue à ramoner ses entrailles.
Il le suce au rythme de mes coups de reins, de plus en plus violents; je sens les sphincters d'Olivier se resserrer autour de mon viet et c'est tellement étroit maintenant, la pression sur mes veines gonflées de sang est si forte, que je sens la jouissance monter et je le sodomise tellement fort qu’il n’arrive plus à sucer l’autre gars, du coup il le branle.
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Je pose une main sur les couilles de l’inconnu, lui fourre un doigt dans le cul pour encore plus le stimuler et régulièrement lèche sa bite qui ramone; elle a mon goût, le goût de ma semence qui s'écoule. Olivier gémit sans retenue encourageant le grand mec qui accélère sa cadence et se plante une dernière fois tout au fond d’Olivier pour se vider à son tour et reste un moment au fond de ses entrailles sans bouger.
Quand il se retire enfin, il enlève la capote y fait un nœud et la balance dans un buisson, enfile rapidement son jogging et disparaît aussi vite qu’il est venu. Olivier reste un moment les jambes en l'air , son corps est encore parcouru de spasmes et pour accompagner sa "descente", je fais rentrer 3 doigts dans son petit trou.
Il écarte un peu plus les jambes; du coup je le branle puis engouffre sa verge jusqu'à la glotte jusqu’à ce qu’il jouisse dans ma bouche. D'un long et profond baiser, nous dégustons sa semence.
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Olivier, toujours à poil est sorti du véhicule pour pisser face au bosquet et à sa faune, je le rejoins amusé et nous pissons longuement tous les deux en riant. Entre-temps, une voiture s'était garée à coté de la notre; la portière ouverte un beau barbu déculotté,couché sur les sièges de sa voiture, les cuisses ouvertes offrant un beau cul poilu et une queue dressée. Ses yeux m'appellent, me prient presque,
Olivier me pousse et m'encourage mais j’hésite un peu car la "passion" passée, je ne suis pas tranquille de me retrouver si longtemps à poil et à découvert au milieu d'une partouze dans une aire d'autoroute...Mais je dois dire que j'ai un gros faible pour les culs bien poilus et leurs promesses musquées ... Je me lance, je fourre mon visage entre ses fesses; hmm, c'est encore humide, je lèche, je hume, quel fumet! je regarde ce cul qui s'ouvre à moi, je glisse ma langue dans sa rosette, profondément, le plus profondément possible et lui arrache un doux gémissement de plaisir; c'est un peu acre, j'aime. Je me relève enfin, lui demande de se retourner et tente de le fourrer mais surprise, cela résiste un peu.. Doucement je pousse mon gland contre sa rondelle, enfin j'y suis;
- Tu dois pas souvent le faire, c'est pas une première tout de même?
- j'ai pas l'habitude mais j'en meurs d'envie...
Sa queue est là aussi bien dressée sur son ventre, je la caresse, je la branle tout en le ramonant doucement; elle est belle, épaisse, pas trop longue, veineuse avec un gland "champignonesque" ; tout d'un coup, je lui glisse à l'oreille
- j'ai très envie de ta queue, je voudrais que tu me baise, mais si tu préfère je peux continuer... j'aime bien aussi ramoner ton petit cul bien étroit!
Avec plaisir mec me dit-il avec un beau sourire craquant.
je me dégage, me tartine le troufignon avec le gel qui se trouvait au sol de la voiture viens, lui dis-je, allons sur le banc, là dans le bosquet.
A peine est-il assis, qu'à califourchon sur lui, je m'empale. Son "champignon" n'est pas si facile que ça à ingurgiter, mais quand c'est fait c'est un vrai bonheur! je pèse de tout mon poids contre son bassin, pas un millimètre ne dépasse ; il est aux anges! je serre sa verge au maximum et commence à me mouvoir et à le travailler et au bout de quelques minutes seulement, de trop courtes minutes, entre deux gémissements " je vais jouir mec, c'est trop bon, ton cul est trop bon" et, dans un dernier spasme, la tête en arrière les yeux révulsés, sa queue en moi se gonfle encore un peu et il jouit.
Nous nous reposons quelques instants, moi sur son ventre sa queue toujours en moi, je me branle et très vite, mon foutre vient s'écraser sur son visage; nous rions de bon coeur en nous léchant. instants d'harmonie troublés par Olivier que j'avais oublié :
- Trop cool mec! vous m'avez donné un bon spectacle! Je vais me mettre dans la mêlée pour me calmer! et le voilà la queue dressée, qui s'enfonce dans le bosquet à la recherche "d'un coup".
Nous nous séparons, un peu à regret;
- Je m'appelle Nicolas,
- moi c'est Romain et je le prends dans mes bras et l'embrasse tendrement tandis que ses mains me caressent les fesses ce qui me rappelle que je suis toujours à poil ...
Après l'avoir regardé s'habiller, comme à regret, Je jette un dernier coup d’œil à sa voiture qui quitte le stationnement et s'éloigne.
Je cherche alors Olivier des yeux et je le vois un peu plus loin en train de prendre son pied avec un mec qui le pilonne debout contre une barrière. J'enfile mon short, enfin et pars le rejoindre:
je t'attends?
- non, je vais bien trouver quelqu'un ici pour me conduire, dit-il entre deux gémissements; je m'approche, lui pose un baiser sur la bouche sans que cela arrête outre mesure son compagnon;
- ça a été super! j'aimerais bien t'attendre et faire un bout de chemin encore; je serai dans la caisse. Et puis de toutes les façons je te rappelle que ton slibard, ton short et ton t-shirt sont dans ma caisse!
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Il me sourit
- tu es pressé ? Tu es attendu ? Moi de mon côté personne ne m'attends ; que dirais-tu si on passait un peu de temps ensemble ?
- pourquoi pas ! Allez démarre, on est bien...
- tu ne t'habilles pas?
- non, j'aime bien rester à poil, j'ai encore ton odeur sur la peau et la mémoire de toutes ces mains sur moi.. C'est bon.
Nous quittons l'aire de repos qui porte si mal son nom et reprenons la route.
Tout en conduisant, je garde une main sur sa cuisse ; on est bien.
- on sort à la prochaine ? On trouvera sûrement un petit hôtel sympa , qu'en dis-tu ?
Après le péage et tandis qu'il enfile tant bien que mal, son slip et son short, je cherche un endroit cool pour prendre une douche, nous reposer et prendre un peu de temps pour nous..
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