04 avril 2020

l'autobus, récit transmis par DIMOSQWERTZ

Ce récit se déroule il y a 4 ou 5 ans, au début de l'été.
Ce jour là, j'avais un rendez-vous  à l'autre bout de la ville. A vrai dire, ce quartier est tellement éloigné qu'il n'est même plus considéré comme faisant partie du centre ville, mais d'ores et déjà de la banlieue. Manque de pot ma voiture était en révision… Putain ! J'allais devoir me taper presque une heure de bus pour un rendez-vous à la con et rebelote pour le retour. Merde !
Sans autre alternative malheureusement, je pars  donc en début d'après-midi en direction de ma destination paumée. Au fur et à mesure que défilent les arrêts, le bus se vide peu à peu. Quant à moi, je n'ai que mon mal à prendre en patience, , il faut que je descende au terminus.
N'ayant pas grand-chose pour me distraire durant ce trajet qui me semble n'en plus finir, j'observe le va-et-vient d'un jeune mec qui, dans le véhicule, réclame quelques pièces aux passagers.
le mec en question est plutôt mignon et je ne sais pas pourquoi, je croche sur lui. En fait, il est carrément sexy dans ses habits complètement débraillés. On remarque distinctement que le mec est bien foutu, plutôt musclé.
Il doit avoir dans la trentaine et sa belle gueule mate bien dessinée, et surtout ses beau yeux verts qui ressortent lui procurent un charme fou.
Lorsqu'il passe vers moi, je n'hésite pas une seconde et lui tends plusieurs pièces avant même qu'il en ait fait la demande, le tout accompagné d'un large sourire.
Surpris par ma générosité, il me regarde intensément et me gratifie d'un remerciement avec un accent latin. 


Il continue son avancée dans le bus et je ne le quitte pas du regard. A maintes reprises, je remarque qu'il se retourne afin de me regarder furtivement, ce qui instille le doute dans mon esprit : serait-il attiré par moi, comme moi je le suis par lui ?
Je n'ose y croire, mais cette simple pensée raidit déjà ma queue dans mon calbut. Alors, je me décide… Après tout, qui tente rien n'a rien !
Je continue donc à le fixer sans discontinuer, en me léchant et mordillant discrètement les lèvres, lui signifiant clairement que de mon côté les signaux sont au vert.
Ce petit jeu dure quelques minutes et je constate enfin que j'ai capté pleinement son attention, alors qu'il s'est assis à quelques rangées face à moi. Lui aussi ne me quitte plus du regard et me fixe profondément. Toutefois, je ne saurais dire s'il est dans le même état d'esprit que moi… Je doute. Il me semble remarquer une grosseur sous l'entrejambe de son jeans, ce qui termine de me faire bander complètement. Mais je doute carrément.
Les arrêts continuent de défiler et le bus se vide toujours de plus en plus. Mon petit jeu continue et le gars lui aussi me regarde presque sans s'arrêter.
Nous arrivons enfin au terminus, je descends et entame mon chemin en direction de mon rendez-vous, persuadé que cette histoire s'arrêterait là. Au bout de quelques mètres, lorsque j'ai atteint un chemin plus discret, une main attrape fermement mon bras gauche et me fait faire volte-face.
Je me retrouve nez à nez avec le beau mec qui me lance, toujours de son bel accent chantant et plein d'assurance :
- Tu veux sexe avec moi ?
Envieux, mais méfiant je lui répond :
- Ouais, mais je paye pas pour ça !
Pas de problème, me rétorque-t-il.
Je lui explique que je dois avant tout honorer mon rendez-vous et que je le rejoins dès que j'ai fini. Apparemment vraiment chaud, il accepte sans broncher et me m'assure qu'il m'attendra derrière un bosquet situé à quelques pas.
Je confirme mon accord et me rends donc à ce putain de rendez-vous. Pendant tout l'entretien, je ne pense qu'à une chose : abréger au plus vite pour pouvoir le rejoindre  dans les buissons.
Lorsque enfin le rendez-vous se termine, je fonce au lieu-dit, la queue déjà mouillée et dure et la rondelle tremblante d'envie. Sur place, je trouve rapidement mon plan. Il est là caché dans les arbustes. Ouf ! Il m'a attendu ! Il me veut vraiment !
L'endroit est vraiment discret. On est réellement caché du trafic et bien qu'on soit en plein après-midi, je n'ai aucune appréhension à me faire baiser  ici. 

A l'instant où je le rejoins, celui-ci vient de baisser son jogging et tend ses hanches dans ma direction, m'offrant son boxer bleu marine en matière synthétique, unique barrière avant sa teub, laquelle est moulée parfaitement par le sous-vêtement.
Sans hésiter et sans un mot, je m'agenouille et approche mon visage afin d'entreprendre de sucer et travailler sa queue au travers du boxer. Tout de suite, une forte odeur de sueur, assez rance et aigre, emplit mes narines. Je peux également percevoir une note d'urine et je dois admettre que l'ensemble me surprend de prime abord, mais je n'ai pas le temps de réfléchir, car déjà le Rom m'attrape vivement par l'arrière du crâne et m'écrase la face contre son slip odorant.
Au contact de mon visage contre le tissu, je constate que celui-ci est déjà légèrement humide de sueur et prends une profonde inspiration de fumet de bite avant de commencer à bouffer le boxer et masser sa bite avec ma bouche.
Peu à peu, je découvre les formes de sa verge sous mes lèvres et ma langue, lesquelles exercent un mouvement de succion acharné et frénétique. Un goût salé de transpiration et d'urine s'invite en premier lieu dans ma bouche. Puis, au fur et à mesure que je pompe le tissu, celui-ci s'inonde de ma salive et la saveur s'estompe progressivement. Sa queue est très dure et surtout relativement longue et large. Je bave de plaisir sur ce morceau de premier ordre. Le mec marmonne de plaisir et maintient ma tête avec ses larges mains afin de m'obliger à continuer mon vicieux ouvrage.
Bientôt, je n'y tiens plus et m'aventure à descendre le slip détrempé de bave afin de délivrer la pauvre bite emprisonnée.
Elle se dresse dorénavant fièrement devant mes yeux telle un guerrier sanguinaire, prêt à combattre jusqu'au bout.
Le gland, épais et charnu, est encore partiellement recouvert par le prépuce. Ni une ni deux, j'enfourne ce sublime pieu dans ma gueule et entreprends de le décalotter avec ma langue. Puis, je gobe. A fond.

Je bouffe littéralement cette belle queue de haut en bas, l'invitant à explorer ma trachée. Plus je suce comme un toxicomane en manque, plus le Rom gémit et applique un mouvement de va-et-vient brutal sur ma tête. Je bave maintenant abondamment. Ma salive s'échappe en épais filets, alors que je dévore furieusement cette teub et que la bruyante succion s'impose en un rythme diabolique.
Après quelques minutes de bonne suce, le mec attrape ma tête de ses deux mains, la plaque contre ses lourdes burnes et me lance avec un large sourire vicelard :
- Maintenant, suce couilles !
Il ne faut pas me prier longtemps pour que je m'exécute. Lorsque je m'approche de ses bourses légèrement poilues, celles-ci dégagent une nouvelle fois le rance parfum de sueur et d'urine, ce qui active encore plus mon côté chienne. Je lèche premièrement les deux boules qui pendent lourdement afin de me délecter joyeusement de cette merveilleuse saveur de mâle. Puis, progressivement, j'entreprends de les gober entièrement dans ma bouche. D'abord une à la fois, puis toutes les deux.
Après que les burnes ont été lavées et gobées, je me relève, me tourne et commence à frotter mes petites fesses et ma rondelle contre sa queue.

Celui-ci m'attrape fermement par le torse et se serre encore plus fort contre moi en marmonnant des choses dans une langue que je ne comprends pas. Je peux sentir entre mes fesses la douce chaleur de sa matraque qui s'agite dans un mouvement de haut en bas. Je remarque également que l'homme est vraiment musclé et fort, car il me maîtrise sans problème.
Rapidement, il appuie sur mon dos afin de me cambrer et je me retrouve plié en deux, la croupe offerte.
Tout d'abord, je sens son épais gland écarter ma rondelle et faire de légers aller-retour puis, progressivement, il enfonce l'entier de son imposante queue à l'intérieur de mes entrailles. Pendant quelques instants j'ai appréhendé le fait de le recevoir sans capote, mais c'était vraiment trop bon de sentir cette belle bite à l'intérieur de moi. Envie de me faire remplir par cet inconnu.
Très vite, il augmente la cadence et fait de puissants va-et-vient avec son gros dard. Je sens sa large teub coulisser le long de mon délicat rectum jusqu'à cogner fortement, en fin de parcours, dans un claquement sec et sévère.
- Tu aimer sexe,  hein ? me répète-t-il sans cesse pendant qu'il me laboure le trou de balle à grands coups de queue.
- Mmmmmh oui, gémis-je dans un soupir.
Après avoir bien ouvert mon orifice dans cette position, il me précipita sur le sol, sur le ventre, à même l'herbe et s'allongea sur moi.
Là, il enfila à nouveau brusquement sa généreuse bite dans mon anus et commença à me démolir de toutes ses forces. Ses coups de reins étaient puissants et ses grosses burnes dodues claquaient de plus belles contre mes fesses dans un sensuel fracas. Il continuait ainsi et m'enculait maintenant de plus en plus vite tout en me mordant le cou et les oreilles, me léchant fougueusement. Parfois, il me balançait des phrases dans sa langue et, bien que je ne la connaissais pas, je comprenais au ton employé, qu'il disait des choses salaces.
Entre deux gémissements,  je ne manquais pas de lui répéter à maintes reprises :
- Mmmmh, oui c'est bon, continue! Casse moi le cul !
Étant donné les monstrueux coups de bite qu'il m'infligeait, il ne tarda pas à déverser son jus chaud et épais au fin fond de mes entrailles soumises et douloureuses, dans un long râle grave et jouissif.
Il continua de tasser son abondante semence au fond de mon petit cul avide encore quelques instants, puis se retira, ce qui émit un son humide et baveux. Alors, je sentis une chaude cascade de sperme s'échapper de mon trou éclaté et couler entre mes jambes toutes collantes de la sueur de ce sublime inconnu.
Le temps de reprendre nos esprits, nous nous rhabillons rapidement et filons en direction de l'arrêt de bus. Pendant le trajet, nous discutons longuement et il m'apprend qu'il s'appelle Mihai. Nous échangeons également nos numéros de téléphone.
Depuis, j'ai été rempli par Mihai encore de nombreuses fois.


 


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