Nous sommes entrés tous les deux, pratiquement en même temps
dans le vestiaire du gymnase.
A ce moment-là, j’avoue n’avoir pas vraiment fait attention
lui, j'ai juste remarqué l'anneau dans le nez qui me semblait, je ne saurais
dire pourquoi, incongru avec son look et surtout sa physionomie. C’était en
effet un gars "avec des formes", un "bien foutu" quoi! il
remplissait très généreusement un t-shirt orange des "Boston
patriots" et un jean usé qui semblait avoir été cousu sur lui.
Après un bref regard et un rapide merci pour lui avoir tenu
la porte, sympa car plutôt rare dans les vestiaires, Il a posé ses
affaires sur le même banc que moi, sorti ses affaires bien pliées de son sac de
sport (pas comme moi, qui mets tout en vrac...) et commencé lui
aussi à se préparer.
Étant moins méticuleux que lui et donc plus rapide, j'avais
déjà enfilé mon collant, mon t-shirt et lacé mes chaussures alors
qu'il s’était à peine dessapé ! Ses souliers ôtés, il avait
juste enlevé son t-shirt et déboutonnait son pantalon ; Bon,
j'avoue m'être attardé un peu, .. juste pour voir... baraqué le bougre
pensai-je de façon fugace en découvrant un dos finement musclé .
Peu de temps après, alors que je suais sur mon tapis de
course, je le vis passer, un marcel échancré genre culturiste et un collant 3/4
bleu.
Ouahou! une vraie bête! un torse super musclé, trop à mon
goût mais qui dégageait néanmoins une certaine volupté, des rondeurs; ce
mec grossira dès qu'il arrêtera la muscu me dis-je en le suivant du regard.
Mais ce qui étonnait surtout c'était son fessier très rebondi et fabuleusement
musclé du moins en apparence, magnifié par le collant de compression Nike; sans
parler du reste, des cuisses superbement galbées sans parler de son entrejambe
bien mis en valeur par le tissu de compression. Un vrai plaisir du regard de le
voir se mouvoir dans ses différents exercices d'entrainement.
A la fin de ma séance, je rejoignis le vestiaire
pour prendre une bonne douche voire, pourquoi pas, un petit passage
au sauna. Je venais juste de me déshabiller et j'avais à peine refermé mon
casier et lacé ma serviette autour de mes hanches, qu'il entrait à son tour.
je pris, après un bref passage au sauna, une longue
douche. Quand je sortis de ma cabine pour me sécher, j'étais juste derrière lui,
dans la petite salle de repos à côté du sauna.
il était là, devant la glace, nu, se regardant tout en
passant sa serviette très soigneusement sur son corps. Tout en me séchant
moi aussi, je le regardais discrètement, en fin je crois; c'était cool de le
voir s’essuyer méticuleusement l'entrejambe, de le voir passer la
serviette entre ses fesses et bien essuyer sa raie ; ses fesses ultra
rebondies et visiblement hyper musclées, surtout qu'il semblait avoir une peau
de bébé, d'une blancheur laiteuse de roux. C’était très excitant de voir
sa serviette soulever ses parties génitales. Bon, il faut dire aussi que
son sexe était des plus sympathiques ; une verge un peu épaisse couronné
d’une légère toison châtain clair, délicatement posé sur de belles couilles
légèrement tombantes ; comme une statue antique .
Il était plutôt du genre « lent » car, j'eus beau
moi aussi prolonger ma propre séance d'essuyage, j'étais bien sec, tandis qu'il
continuait à passer et repasser la serviette sur son corps, les yeux rivés sur
le miroir cherchant à mesurer sans doute, les progrès réalisés par la séance du
jour. Il finit, comme souvent, sans doute satisfait des efforts de la matinée, à se prendre en photo. Mais finalement rien de vraiment étonnant, il suffit de penser à
la quantité de "selfies" que l'on trouve sur la toile
montrant des mecs qui se matent après l'entrainement. *la seule différence
notable, c'est que la plupart du temps, les "selfies" se font en
veillant à ce qu'il n'y ait pas trop de monde dans le vestiaire et se font
rarement à poil.
Franchement ce mec ne me m’attirait pas vraiment de prime
abord mais il dégageait quelque chose de sexuel, quelque chose d'hormonal... Par
contre j'appréciais le naturel voire l'insouciance dont il faisait preuve
en restant si longtemps nu sans se soucier du regard réprobateur voire
moralisateur de certains; Depuis quelque temps, en effet, les mecs
ont plutôt tendance à s'habiller et à se déshabiller en se cachant derrière
leur serviette. Quand je pense qu'adolescent, dans les vestiaires du lycée, on
se moquait plutôt des garçons qui avaient honte de se dévêtir ; on les
soupçonnaient "d'en avoir une petite"!
Bref, cela devenait très chaud dans ma tête subitement
envahie d’images bien crues !
De retour au vestiaire, là encore, il prit son temps, déambulant
nu; Sortir ses affaires du casier, les poser sur le banc, là tout près de
moi.. prendre son téléphone, consulter ses messages, appuyé contre les casiers,
sans se soucier des allers et venues des autres mecs ni, surtout du fait que sa
position légèrement cambrée, mettait son sexe à moins d’un mètre de moi !
Après de longues minutes à consulter son Smartphone, il dut
se rappeler que, peut-être, il avait autre chose à faire que de rester là, à
poil, à tchater avec les potes, et qu’il fallait, peut-être, se décider à
s’habiller et partir.
A plusieurs reprises, il se trouva à quelques centimètres de moi alors que j'étais assis en train de finir de me rhabiller et de mettre mes chaussettes. Sa peau était comme translucide, pas un poil sur le corps hormis sa petite couronne châtain autour de la verge, une vraie merveille de zizi de statue, pensai-je de nouveau!
C’est alors que pendant quelques instants il me tourna le
dos, j'eus du coup ses belles fesses comme paysage et une envie
irrépressible de fourrer mon visage dans ce continent de muscles me vint.
Surtout quand il se baissa pour ramasser sur le sol son collant et son
jockstrap Bike, plutôt rare sous nos latitudes qu’il avait laissé sur ses
baskets en se déshabillant avant de prendre sa douche. Ses fesses s’entrouvrirent
légèrement, et j’entraperçus une délicieuse rosette ; Le rouge me montait
aux joues et, effet instantané, ma queue durcissait déjà dans mon froc. Au
secours! Fuyons!
Il me fallait partir!
Le lendemain, nos horaires coïncidèrent de nouveau et, étant
arrivé légèrement après lui, je choisis un casier ailleurs mais sans le perdre
de vue néanmoins... Pas question pour moi de subir une fois de plus un tel
émoi, une telle tentation ! Je le matais néanmoins tout en me
préparant : aujourd’hui encore, même cérémonial, affaires nickel pliées
sorties du sac de sport, vêtements ôtés et pliés avant de les poser dans le
casier, slip en coton blanc genre CK, ôté lui aussi et rangé avant de mettre un
jockstrap et enfin un nouveau leggings de compression enfilé en prenant bien
soin de bien positionner son bel engin.
Nous ne sommes pas croisés durant l’entrainement ce matin-là.
Il avait sans doute voulu s’entraîner dans la salle des poids libres. Je ne le
revis que lorsqu’il remonta après sa séance de muscu pour rejoindre les
vestiaires et je le suivis de peu.
Il était devant son casier en train d’ôter posément
son marcel bien trempé de sueur et aussi enlever son legging tout en gardant le
discret jockstrap bike qu'il portait dessous et là encore passer un
moment à déambuler, téléphone à la main , avant de l'ôter enfin.
Après sa longue séance de séchage, de nouveau il m'offrit le
spectacle de son corps déambulant innocemment, nu, du casier au
sèche-cheveux, du miroir au casier. Et moi avec mon envie de poser ma main et
plus sur cette peau délicieusement glabre !
Ce n'est que la semaine d'après que nos séances coïncidèrent
de nouveau.
Cette fois, ses voluptueuses formes étaient toutes de vert vêtues, marcel gold gym vert éclatant et pour changer un short ample vert itou.
Il était sans doute arrivé peu avant moi car je ne le vis
dans la salle qu'après m'être changé et bien sûr j'avais repris mes habitudes,
les casiers proches de l'entrée de la salle de douches ; et bien entendu, je ne
le découvris après, lui aussi.
J'aimais bien finalement qu'il revête un short.
J'aimais bien par exemple, quand il travaillait à califourchon sur le
banc, cuisses bien écartées, entrevoir son entrecuisse et bien malgré moi,
imaginer ….
Quand, peu de temps après lui, je rejoignis le vestiaire,
je le trouvais déballant ses affaires sur "mon" banc et je me trouvai
donc une nouvelle fois côte à côte avec lui. Un petit bonjour poli, un
"bonne séance ?" sympa de ne pas faire comme si les autres
n'existaient pas..
J’étais déjà à poil depuis un moment, faisant mine de
consulter mes messages, ce que je déteste faire par ailleurs, ma serviette,
posée sur les hanches, prêt à me lever et aller à la douche mais clairement je
bandais déjà un peu et.. de plus en plus.. Que faire ? il me fallait
passer près de lui pour me rendre à la salle de douche ; il fallait se décider,
y aller ou renoncer et comme toujours il prenait le temps ; était-ce ou
pas fortuit?;
Après tout, il était en train de ranger ses affaires, il ne
me regardait sûrement pas ; je me levai donc, et, je ne sais pas ce qui me
prit, le frôlai intentionnellement - sa peau était effectivement très
douce - et me dirigeai vers la porte de la salle de douche, ma serviette contre
mon bas-ventre cachant à peine mon érection.
A peine sorti de ma douche, je me séchai comme d'habitude,
lorsqu'il sortit lui aussi et vint se sécher à mes cotés face au grand miroir.
Il me regardait, je le regardais ;
" c'est bon une douche chaude après
l'entraînement, n'est-ce pas ?; tu viens souvent ici? J’ai l’impression
que nous nous entraînons à peu près aux mêmes heures"
J'étais trop troublé pour répondre, et forcément cela ne
devait pas lui échapper. Du coup, je fis un pas en arrière ; je pouvais
respirer un peu tout en le regardant.
Ses gestes étaient maintenant sans équivoque, ; il avait du remarquer mon intérêt pour son arrière-train et s’attardait entre ses
fesses dans une pose cambrée, comme s’il tendait son cul vers moi. Sa queue se
soulevait à chaque passage de la serviette et commençait à se durcir très nettement.
Je voyais bien aussi qu’il ne se regardait pas dans le miroir mais m’observait,
cherchant surement à épier mes réactions
à travers le miroir. Les hormones à l’envers Pour ma part, je ne cherchais même
plus, tout en veillant à ne pas être vu par d'éventuels autres mecs, à cacher
un début d’érection et soudain, me surprenant moi-même, alors que nous nous
scrutions par miroir interposé, je déclarai, tout en ne le quittant pas des
yeux :
- j'ai grave envie de te bouffer le cul
Ce qui provoqua une descente de sang immédiate dans mon sexe
qui se dressa violemment, d'un coup contre mon ventre.
- rouge comme une pivoine, je me repris :
"-heu, désolé, je ne voulais pas dire
ça, je... ça m'a échappé.."
- et moi de ta grosse queue, viens vite, c'est l'heure creuse, fut la réponse. A cette heure-ci , heureusement ces vestiaires sont assez peu fréquentés...
-hmmm, continue bouffe-moi le cul, murmurât ‘il, en se
cambrant, jambes bien écartées .
Calé profond entre ses demi-lunes, ma langue se frayait
facilement un chemin dans son anus lui arrachant de petits soupirs qui
ajoutaient à mon émoi.
- Ta queue, je veux ta queue ;
je me couchai alors sur le carrelage humide et froid et, à
califourchon sur moi, assis sur mon visage, me bouffe la toison, tire mes
couilles les gobe et les malaxe et enfin,
gobe ma queue toute entière et me suce.
J’étais fou de désir ! Je me régalais de son cul, de cet
iris qui sous la pression de ma langue, s’entrouvrait ; de cette langue
experte qui jouait avec mon gland et mon méat.
Puis il s'arracha à moi toujours couché sur le carrelage, et,
toujours à califourchon sur moi, prit ma queue et l'introduisit recta en lui;
Bon Dieu que c'était bon!
Il savait s'y prendre le bougre, déjà ses va et vient
décuplaient mon plaisir, le sang affluait dans ma bite que j’imaginais tel un
pal au plus profond de lui. Il m'offrait la vue de son dos superbe, avec
mon dard, les veines saillantes, disparaissant à intervalles réguliers dans
ses fesses écartelées.
Ce n'était pas
l'envie qui nous manquait de hurler notre plaisir, mais nous ne pouvions que
nous contenir de peur d'être découverts. Je caressais ce dos, je m'accrochais à
ses hanches pour renforcer ses mouvements.
Après quelques minutes de cet intense
« exercice », Il se retira et, après avoir jeté un coup d’œil sur la
salle de douche, il se coucha sur le sol, mis ses cuisses sur son ventre,
m’offrant ainsi son cul ouvert ; lui tenant les jambes bien soulevées et
écartées, je l‘empalai de nouveau.
Je me retenais de plus en plus difficilement, je sentais l'orgasme monter inexorablement en moi. Tout en le pilonnant, je caressai, agrippai ses pectoraux saillants, ses abdos si bien marqués et branlai sa verge dressée.
.
Alors que je lui titillais énergiquement les tétons, je
sentis une vague de plaisir m'envahir:
- je vais jouir, mec, oooohhhh! dis-je .
Parcouru de multiples et terribles spasmes, je me mordais le
poing pour ne pas hurler tandis que mon viet envoyait en lui, je n'en doutais
pas, de longues et copieuses giclées de semence.
Il se retira, se leva et se tourna, m'offrant de
nouveau son cul à honorer. Mon sperme s'écoula doucement et je n’en perdis pas
une goutte. De son coté, il nettoya avec gourmandise la verge qui lui avait
donné autant de plaisir. Enfin, me faisant face, il se branla et il jouit
bientôt couvrant mon torse de longues traînées de semence qu'il lécha
consciencieusement avant de m'embrasser pour la première fois mêlant nos
semences goûteuses dans nos bouches.
-c'était bien! moi c'est Adrien
- Nicolas, c'était dément mais maintenant il faut sortir!
Il commençait à y avoir un peu de mouvement dans le
vestiaire
-ouf! pas de surprise me fit-il avec un clin d'œil mais il
était moins une ! il est 12h15, cela va bientôt être l’heure d’affluence.
Nous nous rhabillâmes tranquillement et nous quittâmes en
nous disant à la prochaine ; tout en sachant que nous ne renouvellerions pas
l’expérience.
On se croisera en salle ou dans le vestiaire mais un moment
comme celui n'arrive pas deux fois, nous le savions.
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