22 avril 2020

Mister muscle (revu et corrigé)




Nous sommes entrés tous les deux, pratiquement en même temps dans le vestiaire du gymnase. 
A ce moment-là, j’avoue n’avoir pas vraiment fait attention lui, j'ai juste remarqué l'anneau dans le nez qui me semblait, je ne saurais dire pourquoi, incongru avec son look et surtout sa physionomie. C’était en effet un gars "avec des formes", un "bien foutu" quoi! il remplissait très généreusement un t-shirt orange des "Boston patriots" et un jean usé qui semblait avoir été cousu sur lui.
Après un bref regard et un rapide merci pour lui avoir tenu la porte, sympa car plutôt rare dans les vestiaires, Il a posé ses affaires sur le même banc que moi, sorti ses affaires bien pliées de son sac de sport  (pas comme moi, qui mets tout en vrac...) et commencé lui aussi à se préparer. 
Étant moins méticuleux que lui et donc plus rapide, j'avais déjà enfilé mon collant, mon t-shirt et lacé mes chaussures alors qu'il s’était à peine dessapé ! Ses souliers ôtés, il avait juste enlevé son t-shirt et déboutonnait son pantalon ; Bon,  j'avoue m'être attardé un peu, .. juste pour voir... baraqué le bougre pensai-je de façon fugace en découvrant un dos finement  musclé .

Peu de temps après, alors que je suais sur mon tapis de course, je le vis passer, un marcel échancré genre culturiste et un collant 3/4 bleu.
Ouahou! une vraie bête! un torse super musclé, trop à mon goût mais qui dégageait  néanmoins une certaine volupté, des rondeurs; ce mec grossira dès qu'il arrêtera la muscu me dis-je en le suivant du regard. Mais ce qui étonnait surtout c'était son fessier très rebondi et fabuleusement musclé du moins en apparence, magnifié par le collant de compression Nike; sans parler du reste, des cuisses superbement galbées sans parler de son entrejambe bien mis en valeur par le tissu de compression. Un vrai plaisir du regard de le voir se mouvoir dans ses différents exercices d'entrainement.

A la fin de ma séance, je rejoignis le vestiaire pour prendre une bonne douche voire, pourquoi pas, un petit passage au sauna. Je venais juste de me déshabiller et j'avais à peine refermé mon casier et lacé ma serviette autour de mes hanches, qu'il entrait à son tour.
je pris, après un bref passage au sauna,  une longue douche. Quand je sortis de ma cabine pour me sécher, j'étais juste derrière lui, dans la petite salle de repos à côté du sauna.

 
il était là, devant la glace, nu, se regardant tout en passant sa serviette très soigneusement sur son corps.  Tout en me séchant moi aussi, je le regardais discrètement, en fin je crois; c'était cool de le voir s’essuyer méticuleusement l'entrejambe, de le voir passer la serviette entre ses fesses et bien essuyer sa raie ; ses fesses ultra rebondies et visiblement hyper musclées, surtout qu'il semblait avoir une peau de bébé, d'une blancheur laiteuse de roux. C’était très excitant de voir sa serviette soulever ses parties génitales. Bon, il faut dire aussi que son sexe était des plus sympathiques ; une verge un peu épaisse couronné d’une légère toison châtain clair, délicatement posé sur de belles couilles légèrement tombantes ; comme une statue antique .
Il était plutôt du genre « lent » car, j'eus beau moi aussi prolonger ma propre séance d'essuyage, j'étais bien sec, tandis qu'il continuait à passer et repasser la serviette sur son corps, les yeux rivés sur le miroir cherchant à mesurer sans doute, les progrès réalisés par la séance du jour. Il finit, comme souvent, sans doute satisfait des efforts de la matinée, à se prendre en photo. Mais finalement rien de vraiment étonnant, il suffit de penser à la quantité de "selfies" que l'on trouve sur la toile montrant des mecs qui se matent après l'entrainement. *la seule différence notable, c'est que la plupart du temps, les "selfies" se font en veillant à ce qu'il n'y ait pas trop de monde dans le vestiaire et se font rarement à poil.

Franchement ce mec ne me m’attirait pas vraiment de prime abord mais il dégageait quelque chose de sexuel, quelque chose d'hormonal... Par contre j'appréciais le naturel voire l'insouciance dont il faisait preuve en restant si longtemps nu sans se soucier du regard réprobateur voire moralisateur de certains; Depuis quelque temps, en effet,  les mecs ont plutôt tendance à s'habiller et à se déshabiller en se cachant derrière leur serviette. Quand je pense qu'adolescent, dans les vestiaires du lycée, on se moquait plutôt des garçons qui avaient honte de se dévêtir ; on les soupçonnaient "d'en avoir une petite"!


Bref, cela devenait très chaud dans ma tête subitement envahie d’images bien crues !

De retour au vestiaire, là encore, il prit son temps, déambulant nu;  Sortir ses affaires du casier, les poser sur le banc, là tout près de moi.. prendre son téléphone, consulter ses messages, appuyé contre les casiers, sans se soucier des allers et venues des autres mecs ni, surtout du fait que sa position légèrement cambrée, mettait son sexe à moins d’un mètre de moi !
Après de longues minutes à consulter son Smartphone, il dut se rappeler que, peut-être, il avait autre chose à faire que de rester là, à poil, à tchater avec les potes, et qu’il fallait, peut-être, se décider à s’habiller et partir.

A plusieurs reprises, il se trouva à quelques centimètres de moi alors que j'étais assis en train de finir de me rhabiller et de mettre mes chaussettes. Sa peau était comme translucide, pas un poil sur le corps hormis sa petite couronne châtain autour de la verge, une vraie merveille de zizi de statue, pensai-je de nouveau! 

C’est alors que pendant quelques instants il me tourna le dos, j'eus du coup ses belles fesses comme paysage et une envie irrépressible de fourrer mon visage dans ce continent de muscles me vint. Surtout quand il se baissa pour ramasser sur le sol son collant et son jockstrap Bike, plutôt rare sous nos latitudes qu’il avait laissé sur ses baskets en se déshabillant avant de prendre sa douche. Ses fesses s’entrouvrirent légèrement, et j’entraperçus une délicieuse rosette ; Le rouge me montait aux joues et, effet instantané, ma queue durcissait déjà dans mon froc. Au secours! Fuyons!

Il me fallait partir!



Le lendemain, nos horaires coïncidèrent de nouveau et, étant arrivé légèrement après lui, je choisis un casier ailleurs mais sans le perdre de vue néanmoins... Pas question pour moi de subir une fois de plus un tel émoi, une telle tentation ! Je le matais néanmoins tout en me préparant : aujourd’hui encore, même cérémonial, affaires nickel pliées sorties du sac de sport, vêtements ôtés et pliés avant de les poser dans le casier, slip en coton blanc genre CK, ôté lui aussi et rangé avant de mettre un jockstrap et enfin un nouveau leggings de compression enfilé en prenant bien soin de bien positionner son bel engin. 

Nous ne sommes pas croisés durant l’entrainement ce matin-là. Il avait sans doute voulu s’entraîner dans la salle des poids libres. Je ne le revis que lorsqu’il remonta après sa séance de muscu pour rejoindre les vestiaires et je le suivis de peu.
Il était devant son casier en train  d’ôter posément son marcel bien trempé de sueur et aussi enlever son legging tout en gardant le discret  jockstrap bike  qu'il portait dessous et là encore passer un moment à déambuler, téléphone à la main , avant de l'ôter enfin.
Après sa longue séance de séchage, de nouveau il m'offrit le spectacle de son corps déambulant innocemment, nu, du casier au sèche-cheveux, du miroir au casier. Et moi avec mon envie de poser ma main et plus sur cette peau délicieusement glabre !

Ce n'est que la semaine d'après que nos séances coïncidèrent de nouveau.

Cette fois, ses voluptueuses formes étaient toutes de vert vêtues, marcel gold gym vert éclatant et pour changer un short ample vert itou.

Il était sans doute arrivé peu avant moi car je ne le vis dans la salle qu'après m'être changé et bien sûr j'avais repris mes habitudes, les casiers proches de l'entrée de la salle de douches ; et bien entendu, je ne le découvris après, lui aussi.
J'aimais bien finalement qu'il revête un short.  J'aimais bien par exemple, quand il travaillait à califourchon sur le banc, cuisses bien écartées, entrevoir son entrecuisse et bien malgré moi, imaginer ….

Quand, peu de temps après lui, je rejoignis le vestiaire, je le trouvais déballant ses affaires sur "mon" banc et je me trouvai donc une nouvelle fois côte à côte avec lui. Un petit bonjour poli, un "bonne séance ?" sympa de ne pas faire comme si les autres n'existaient pas..
 Tandis que je me dessapais, le rituel attendu et quelque peu redouté: marcel out et short out et jetés à terre sur ses basquets; et le voilà cette fois-ci en slip gris, trempé de sueur tout au long de la raie du cul, cela à quelques centimètres de moi; Une odeur âcre, entêtante de sueur s’exhalait de tout son corps humide, une odeur de roux. Après avoir consulté ses messages et enlevé son slip,  le voilà qui  fait tomber un t-shirt propre de son casier et qui se baisse pour le ramasser. Bon Dieu, pas de doute, les cuisses largement écartées, sans doute trop, laissaient ses demi-lunes bien ouvertes laissant sa rondelle aux courants d'airs.... quelle vue! Cette peau presque translucide sans la moindre pilosité... je crevais d'envie d'y fourrer ma langue, de goutter cette intimité encore humide de la sueur de l’effort ;

J’étais déjà à poil depuis un moment, faisant mine de consulter mes messages, ce que je déteste faire par ailleurs, ma serviette, posée sur les hanches, prêt à me lever et aller à la douche mais clairement je bandais déjà un peu et.. de plus en plus..  Que faire ? il me fallait passer près de lui pour me rendre à la salle de douche ; il fallait se décider, y aller ou renoncer et comme toujours il prenait le temps ; était-ce ou pas fortuit?;
Après tout, il était en train de ranger ses affaires, il ne me regardait sûrement pas ; je me levai donc, et, je ne sais pas ce qui me prit, le frôlai intentionnellement - sa peau était effectivement très douce - et me dirigeai vers la porte de la salle de douche, ma serviette contre mon bas-ventre cachant à peine mon érection.  
A peine sorti de ma douche, je me séchai comme d'habitude, lorsqu'il sortit lui aussi et vint se sécher à mes cotés face au grand miroir. Il me regardait, je le regardais ; 
" c'est bon une douche chaude après l'entraînement, n'est-ce pas ?; tu viens souvent ici? J’ai l’impression que nous nous entraînons à peu près aux mêmes heures"

J'étais trop troublé pour répondre, et forcément cela ne devait pas lui échapper. Du coup, je fis un pas en arrière ; je pouvais respirer un peu tout en le regardant.
Ses gestes étaient maintenant sans équivoque, ; il avait du remarquer mon intérêt pour son arrière-train et s’attardait entre ses fesses dans une pose cambrée, comme s’il tendait son cul vers moi. Sa queue se soulevait à chaque passage de la serviette et commençait à se durcir très nettement. Je voyais bien aussi qu’il ne se regardait pas dans le miroir mais m’observait, cherchant surement  à épier mes réactions à travers le miroir. Les hormones à l’envers Pour ma part, je ne cherchais même plus, tout en veillant à ne pas être vu par d'éventuels autres mecs, à cacher un début d’érection et soudain, me surprenant moi-même, alors que nous nous scrutions par miroir interposé, je déclarai, tout en ne le quittant pas des yeux :
- j'ai grave envie de te bouffer le cul
Ce qui provoqua une descente de sang immédiate dans mon sexe qui se dressa violemment, d'un coup contre mon ventre.
- rouge comme une pivoine,  je me repris :
"-heu, désolé, je ne voulais pas dire ça, je... ça m'a échappé.."

- et moi de ta grosse queue, viens vite, c'est l'heure creuse, fut la réponse.  A cette heure-ci , heureusement ces vestiaires sont assez peu fréquentés...


Nous nous enfermâmes dans la dernière cabine de douche, la plus spacieuse plutôt destinée aux handicapés et …. « adaptée » car elle était en « L » ,. Je posai ma serviette au-dessus de la porte et à peine celle-ci refermée, je nous collai face au mur, torse contre dos,  ma queue maintenant bien raide contre sa raie, je fis couler la douche et  m’agenouillai pour boire à la petite cascade entre ses fesses ; ma soif assouvie, je le retournai,  m'assis à même le sol, dos au mur, et pus enfin prendre possession de son cul, de cette masse de muscle d'une douceur incroyable. J’écartai ses globes vigoureux et me calai entre ses fesses, admirant cette rondelle parfaite, ses ridules humides ;j’y glissai vigoureusement ma langue. 

-hmmm, continue bouffe-moi le cul, murmurât ‘il, en se cambrant, jambes bien écartées .

Calé profond entre ses demi-lunes, ma langue se frayait facilement un chemin dans son anus lui arrachant de petits soupirs qui ajoutaient à mon émoi. 
-       Ta queue, je veux ta queue ; 

je me couchai alors sur le carrelage humide et froid et, à califourchon sur moi, assis sur mon visage, me bouffe la toison, tire mes couilles les gobe et les malaxe et enfin,  gobe ma queue toute entière et me suce.

J’étais fou de désir ! Je me régalais de son cul, de cet iris qui sous la pression de ma langue, s’entrouvrait ; de cette langue experte qui jouait avec mon gland et mon méat.

Puis il s'arracha à moi toujours couché sur le carrelage, et, toujours à califourchon sur moi, prit ma queue et l'introduisit recta en lui; Bon Dieu que c'était bon!
Il savait s'y prendre le bougre, déjà ses va et vient décuplaient mon plaisir, le sang affluait dans ma bite que j’imaginais tel un pal au plus profond de lui. Il m'offrait la vue de son dos superbe, avec mon dard, les veines saillantes, disparaissant à intervalles réguliers dans ses fesses écartelées.

 Ce n'était pas l'envie qui nous manquait de hurler notre plaisir, mais nous ne pouvions que nous contenir de peur d'être découverts. Je caressais ce dos, je m'accrochais à ses hanches pour renforcer ses mouvements.


Après quelques minutes de cet intense « exercice », Il se retira et, après avoir jeté un coup d’œil sur la salle de douche, il se coucha sur le sol, mis ses cuisses sur son ventre, m’offrant ainsi son cul ouvert ; lui tenant les jambes bien soulevées et écartées, je l‘empalai de nouveau.


Je me retenais de plus en plus difficilement, je sentais l'orgasme monter inexorablement en moi. Tout en le pilonnant, je caressai, agrippai ses pectoraux saillants, ses abdos si bien marqués et branlai sa verge dressée. 

.
Alors que je lui titillais énergiquement les tétons, je sentis une vague de plaisir m'envahir:
- je vais jouir, mec, oooohhhh! dis-je .

Parcouru de multiples et terribles spasmes, je me mordais le poing pour ne pas hurler tandis que mon viet envoyait en lui, je n'en doutais pas, de longues et copieuses giclées de semence.
Il se retira, se leva et se tourna, m'offrant de nouveau son cul à honorer. Mon sperme s'écoula doucement et je n’en perdis pas une goutte. De son coté, il nettoya avec gourmandise la verge qui lui avait donné autant de plaisir. Enfin, me faisant face, il se branla et il jouit bientôt couvrant mon torse de longues traînées de semence qu'il lécha consciencieusement avant de m'embrasser pour la première fois mêlant nos semences goûteuses dans nos bouches.
-c'était bien! moi c'est Adrien
- Nicolas, c'était dément mais maintenant il faut sortir!



Nous nous levâmes et après avoir ceinturé nos hanches de nos serviettes, il déverrouilla la porte; personne, il sortit en premier pour se doucher dans une autre cabine  tandis que je prenais la mienne. Nous nous retrouvâmes peu de temps après devant le fameux miroir, à nous sécher de concert.
Il commençait à y avoir un peu de mouvement dans le vestiaire
-ouf! pas de surprise me fit-il avec un clin d'œil mais il était moins une ! il est 12h15, cela va bientôt être l’heure d’affluence. 


Nous nous rhabillâmes tranquillement et nous quittâmes en nous disant à la prochaine ; tout en sachant que nous ne renouvellerions pas l’expérience. 
On se croisera en salle ou dans le vestiaire mais un moment comme celui n'arrive pas deux fois, nous le savions.



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