20 avril 2020

sur la route (suite et fin)

Au bord de la nationale, nous choisissons un hôtel restaurant "de charme " avec piscine. 
La chambre est vaste et ensoleillée bien que l'après-midi soit bien entamée . La porte à peine close,  les sacs jetés dans un coin,  je le prends dans mes bras,  le serre très fort  
- je suis sincèrement heureux de t'avoir rencontré et très heureux que l'on puisse passer un peu de temps ensemble avant que nos routes se séparent. Allez,  une bonne douche chaude avant tout !
On se déshabille vite, facile, pas grand chose à enlever! et on file sous la douche; cool, il y a assez de place pour deux.




on se savonne mutuellement, on se bécote un peu, finalement la douche n'est pas si large et à deux on est un peu serrés mais c'est bien comme ça. je savonne ton torse, ton pubis, je décalotte ton nœud et te nettoie délicatement ainsi que tes couilles; je passe une main dessous et atteint ta raie; 

- allez tourne-toi! je savonne alors ton dos et m'attarde sur tes fesses que finalement je découvre bine fermes et bien bombées; je glisse ma main entre elles, frotte bien et glisse un doigt délicat dans ton anus, je pose enfin un baiser sur ton épaule: 
- A toi maintenant!
Après la douche, on s'est habillés pour dîner au restaurant de l'hôtel; on a bu et mangé comme quatre; faut dire que nous avions dépensé beaucoup d’énergie !



 Ballade digestive autour du parc de l'hôtel avant de remonter dans la chambre, des silences, des

regards qui se croisent, intimidés? Des mains qui se frôlent, oui qui se cherchent?    



Flash 1
Dans la chambre je t'ai déshabillé, doucement, vêtement après vêtement puis tu as fait de même avec moi.

Nous voilà nus dans cette chambre d’hôtel , l'un face à l'autre admirant, désirant nos corps peut-être pour la première fois. On se frôle, on se caresse, on se bise, on se hume. Bien sûr, il y a du désir, bien sûr  nos verges se durcissent , bien sûr nous frissonnons et nos tétons que nous mordillons chacun à notre tour se durcissent. C'est comme une danse, une danse électrique, les poils se hérissent, s'attirent d'un corps l'autre. Mes mains te caressent les fesses, frôlent devrais-je dire ton duvet hérissé, je perçois le grain de ta peau ; chair de poule, frissons encore.

Nous ferons l'amour, nous le savons mais nous voulons que cela soit bien, vrai. Nos corps se meuvent l'un contre l'autre, contre  le mur  de la chambre ; éternité, silence hormis le bruissement de la peau contre peau. Je, tu regardons nos sexes arcs de cercles tendant l'un vers l'autre; je,tu caressons cette chair de plaisir qui se tend et appelle. Je,tu nous sourions.
Flash 2
Je te prends par la main et te mène vers le lit et je me fais douceur pour ton corps qui me réclame. Ma bouche parcoure ton visage, je baise tes yeux clos, ta bouche entrouverte. Ton torse glabre, tes tétons se tendent vers mes lèvres. Je sens ton cœur battre sous chacun des muscles de ton ventre qui se contracte au rythme de ton désir et de mes baisers. Ta verge si dure, si belle se soulève comme à la recherche de mes lèvres si proches et pourtant, cruel, je l’écarte de mes lèvres pour me perdre dans la douce toison qui la couronne
Je soulève alors tes cuisses, hume tes couilles, ton entrecuisse, ce vallon humide qui mène à ton intimité la plus secrète.  Tandis que j'écarte tes plus délicates chairs, ta respiration se fait plus dense et , de toi même, tu facilite ma découverte de ton antre ; j'y glisse la langue, ta rosette s'entrouvre...

un doigt alors se glisse, fouille puis caresse, masse; tu respires de plus en plus fort ; les yeux fermés, tu ondules sur le lit, tes mains par moment agrippent les draps, par moment veulent prendre ta verge, mais je t’en empêche ; l’orgasme ne doit venir que de là, le point que je cajole au fond de toi ; tu soulèves tes hanches, tu gémis ; par moments tu es au bord, tout au bord, alors je m’arrête quelques secondes, tu reprends souffle et je reprends de plus belle ; maintenant agrippé aux draps, tu redresse le torse, tes yeux exorbités par tant de plaisir, m’interrogent ; tu bascule à nouveau, sans voix et enfin, enfin, l’indicible, arque bouté, tous tes muscles bandés, ta verge veines saillantes, se dresse, se dresse et dans un spasme, tu jouis dans une violente et généreuse giclée de foutre.

Tu te redresse et nous nous enlaçons ; tu prends ma tête dans tes mains, les yeux comme fous, fous de plaisir et tu baise mes yeux, mon nez, ma bouche ; nous restons ainsi, collés l’un à l’autre. Moment d’éternité ; je lèche ta semence généreuse qui sèche sur ton nez, sur tes joues et nous dégustons, ensemble dans un long baiser. Étendus l'un contre l'autre sur le lit; un peu de calme dans la tempête;nos corps lovés; une seule et même ondulation.

Flash 3

Mon corps est à toi ;  Tu laisses tes lèvres parcourir mon torse,  mes aisselles, mon ventre, ma queue, mes couilles. Tu m’écarte et caresse les cuisses tandis que ta langue parcoure cette ligne médiane que j’adore, séparation des deux hémisphères puis tu remontes pour décalotter ma verge, te régaler de mon précum, parcourir de la langue les pourtours de mon gland , longer les veines gonflées de sang, gober mes couilles pour enfin engouffre toute entier mon sexe dans ta bouche. 
Je caresse ta tête qui va et vient, je t’encourage de mes soupirs ; j’aime sentir tes lèvres sur ma toison, j’aime entendre le bruit de la succion, j’aime ce doigt qui s’immisce en moi au rythme de ton aspiration.
Flash 4
Puis, tu te redresse, te positionne à califourchon sur moi et guide ma verge en toi ; tu pèses de tout ton poids sur mes hanches, tes couilles reposent sur mon ventre, ta bite dressée bat contre ton ventre ; tu serres si fort mon mandrin que les veines de mon sexe sentent ton corps battre. Après quelques instants ainsi, tu te penche sur moi. Nous sommes visage contre visage, enlacés, caressants
- Ta queue, je la veux simplement en moi ; faisons un ; et tu m’embrasse fougueusement. Nous restons un moment ainsi, presque immobiles,
seuls quelques mouvements de tes hanches nous rappellent que mon sexe nous assemble. Puis, tu te redresse et me regarde ; je prends ta queue dans mes mains, elle ne tarde pas à se redresser de nouveau ; mes doigts se recouvrent de ton précum que je porte à mes lèvres .
Flash 5
-          Baise-moi maintenant ! dis-je me noyant dans ses yeux 
Nous nous séparons et de nouveau entre mes cuisses, tu tiens ma queue encore humide de ton cul ; tu la hume, tu la gobe et pose un baiser sur mon gland avant de me relever et écarter les cuisses ;
Tu lèches à grands coups de langue ma rondelle, tu craches et tu aventures un doigt puis deux dans mes entrailles ;
-viens !
Doucement, puis fermement tu me pourfends ; le bruit de ton bassin tapant violemment sur mes fesses, me met les sens en folie ; je rie de bonheur et tu redouble d’énergie ; je te prends par le cou pour t’embrasser et te glisser des mots d’encouragements à l’oreille.
J'écarte haut les jambes,  mes mains s'agrippent à tes fesses musclées et te poussent si tant est que cela soit encore possible à aller plus profond.  
Flash 6 
 À genoux sur le lit,  les cuisses bien écartées,  je te tends mon cul que tu t'empresse de pénétrer à nouveau.  Corps en sueur.  Nous nous étreignons  nous nous contorsionnons pour mieux nous voir, nous embrasser,  nous dire des choses. Tes coups de butoir dans mon fourreau serré me mènent dans des contrées inconnues; à chaque coup de reins, de ma verge tendue, de petites giclées viennent tâcher les draps. Ce n'est pas encore l'orgasme,  non mais j'en suis très proche. 

Nous  changeons de nouveau de position ; moi sur le dos,  tu reviens me pilonner  car nous savons que le dénouement est proche. 
Enlacés l'un a l'autre,  nous guettons le regard qui le premier va  chavirer. 
- je viens, mec , je viens ! Je vais remplir de foutre ton petit  cul  et dans un dernier spasme,  les yeux révulsés, le bassin collé à mes fesses,  mes sphincters serrés sentent les ondulations de ta queue qui décharge ta semence .


Puis toujours empalés l'un à l'autre , tu prend mon Braquemart à pleine bouche et me suce goulûment  ; jusqu'à que je me cambre   tous les muscles tendus ; une longue et puissante giclée  suivie de plusieurs autres envoie mon foutre dans ta bouche et sur ton visage. Tu rie aux éclats,  tentant d'avaler  ce que tu peux en léchant de la langue tes joues !




Toujours l'un dans l'autre,   Nous nous embrassons, partageons mon sperme en riant. 
Puis tu te dégage et approchant ton  visage de mon  cul, tu recueilles ton foutre qui coule le long de mon entrecuisse. 

Nous  partageons de nouveau  dans un long et profond baiser et nos corps enlacés,  nous nous endormons  peu à peu.




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