Nous sommes seuls dans la grande maison. Lui, mon grand brun, est resté seul ici, longtemps, trop longtemps, trop..... Seul, jusqu'à ce que je le rejoigne.
Un bruit mat presque claquant, un grognement sourd, un gémissement voilà les bruits qui se répètent et emplissent la pièce depuis une dizaine de minutes.
Ses doigts fins et longs glissent
sur mon dos, du creux de celui-ci jusqu'à mes épaules en passant par le
long de mes flancs, sur mes omoplates. Là, sur mes épaules, ses doigts
se crispent, s'agrippent à moi et avec toute sa force me tirent en
arrière alors que son corps se cabre, que ses hanches se jettent en
avant, propulsant en moi ses dix-huit centimètres de chairs bandées.
Résonne alors ce bruit mat, claquant, de son bassin entrant en
collision avec mon postérieur, de ses bourses se frappant à la raie des
mes fesses, se tapant contre les miennes. Il pousse un long râle de
plaisir, je gémis de bien être. Ses mains glissent à nouveau dans mon
dos, ses doigts se pressent le long de ma colonne vertébrale alors qu'il
reste au fond de moi de longues et délicieuses secondes avant de se
retirer lentement, presque entièrement et de se cabrer à nouveau.
Un bruit mat presque claquant, un grognement sourd, un gémissement voilà les bruits qui se répètent et emplissent la pièce depuis une dizaine de minutes.
Comment en étions nous arrivé là ? J'étais à peine arrivé chez lui
qu'il me tirait vers sa chambre, nos vêtements tombant les uns après les
autres. Nu, il me plaqua contre le mur, m'embrassant dans le cou, cinq
semaines, cinq semaines qu'il ne m'avait touché, qu'il ne s'était
touché, qu'il n'avait éjaculé, me murmura-t-il.
Pas vraiment romantique, mais tellement prenant de savoir qu'il me désirait ainsi. Il n'y avait pas de romance entre nous, juste une amitié indéfectible et un partage de nos corps, offrant l'un à l'autre ce dont nos corps de jeunes adultes avaient besoin sexuellement. Ses mains se crispèrent sur mes épaules, poussant légèrement, me guidant sur mes genoux et son entrejambe vint épouser mon visage, son sexe dur se frotter à ma peau.
Pas vraiment romantique, mais tellement prenant de savoir qu'il me désirait ainsi. Il n'y avait pas de romance entre nous, juste une amitié indéfectible et un partage de nos corps, offrant l'un à l'autre ce dont nos corps de jeunes adultes avaient besoin sexuellement. Ses mains se crispèrent sur mes épaules, poussant légèrement, me guidant sur mes genoux et son entrejambe vint épouser mon visage, son sexe dur se frotter à ma peau.
Mes narines s'emplirent de son essence, de son parfum, de cette odeur si
unique, si affriolante. Mes lèvres posèrent mille et un baisers sur ce
chibre tendu et ses bourses bien gonflées. Ma langue glissa dessus,
humidifiant chaque centimètre carré de ce membre dressé. Ce gland
décalotté glissa dans l'antre de ma bouche, poussa au fond et se fraya
un chemin dans ma gorge, un râle de bien-être vint de ses poumons,
résonant à mes oreilles alors que je tétais son sexe bandé, mes mains
courant le long de ses jambes.
Il me laissa faire deux ou trois minutes avant de presser une main sur
mon front et de faire un pas en arrière, laissant son sexe glisser à
l'air libre. "A moi." dit-il en me souriant, "A toi" lui répondis-je.
Vincent s'éloigna et prit dans sa commode un pot de gel lubrifiant, son regard désignait le lit, je ne me fis pas prier et en quelques instants j’étais sur le matelas, à quatre pattes, les cuisses bien écartées , les pieds dans le vide au dessus du bord du lit, et mon troufignon qui déjà n'attendait que lui .
Je pouvais le voir se masturber tout en recouvrant son sexe de gel. Il me sourit et s'approcha de moi, ses mains me caressèrent, il se plaqua contre moi, son sexe dur reposant dans le sillon de mon fessier, doucement il le fit glisser, quelques va et vient avant de s'écarter.
Vincent s'éloigna et prit dans sa commode un pot de gel lubrifiant, son regard désignait le lit, je ne me fis pas prier et en quelques instants j’étais sur le matelas, à quatre pattes, les cuisses bien écartées , les pieds dans le vide au dessus du bord du lit, et mon troufignon qui déjà n'attendait que lui .
Je pouvais le voir se masturber tout en recouvrant son sexe de gel. Il me sourit et s'approcha de moi, ses mains me caressèrent, il se plaqua contre moi, son sexe dur reposant dans le sillon de mon fessier, doucement il le fit glisser, quelques va et vient avant de s'écarter.
Un râle de surprise et de bonheur résonna
autour de nous alors qu'il me doigtait, un puis deux et enfin trois de
ses longs doigts traversaient mon anus, écartaient mes sphincters tout
en les enduisant de gel. Il ne fallut pas longtemps pour qu'ils cèdent
la place à sa verge gorgée de sang, pas longtemps pour que les poils
bruns de son pubis ne se pressent contre ma rondelle. Il poussa un
long soupir et resta ainsi presque une minute entière, savourant les
sensations parcourant son corps alors que mes parois anales se
contractaient, ondulaient, vibraient autour de son sexe.
Alors qu'il jetait ses hanches en avant pour la énième fois, ses bras se
glissèrent sous mon torse et agrippèrent mes épaules, il me tira vers
lui avec force, plus encore qu'il n'en avait déployé jusque là. Il tira
si fort qu'il me fit me redresser sur mes genoux, mon dos plaqué à son
torse et la il pistonna purement et simplement mon rectum avec toute la
bestialité d'un animal en rut.
En quelques secondes il me poussa au delà de tout bonheur et sans même me toucher, mon sperme vola devant nous en de longues courbes blanchâtres. L'orgasme traversant poussa mes chairs à se contracter encore plus autour de son madrier. Un, deux, trois, quatre grognement puissants résonnèrent à nos oreilles alors qu'il donnait ses ultimes coups de butoir et jouit au fond de moi. Je pus ressentir les spasmes de son sexe bandé trahissant ses jets de sperme. Vincent me poussa en avant et se plaqua à mon dos, me maintenant à plat sur le matelas alors qu'il était toujours en moi, il haletait, respirait profondément, son corps m'irradiait de sa chaleur corporelle. Nous sommes restés ainsi de longues minutes, nous remettant d'un orgasme intense et pour lui d'une délivrance.
"Merci." me souffla-t-il à l'oreille, m'embrassant sur la nuque,
imprimant de son bassin de petit mouvements circulaires, me laissant
sentir qu'il était encore raide et bien bandé.
"Toujours d'humeur jouasse?" le titillai-je en poussant mon postérieur vers le haut, contre son entrejambe, m'empalant un peu plus sur son sexe.
"Cinq semaines... que je me languis de toi."
"C'est vrai?"
En quelques secondes il me poussa au delà de tout bonheur et sans même me toucher, mon sperme vola devant nous en de longues courbes blanchâtres. L'orgasme traversant poussa mes chairs à se contracter encore plus autour de son madrier. Un, deux, trois, quatre grognement puissants résonnèrent à nos oreilles alors qu'il donnait ses ultimes coups de butoir et jouit au fond de moi. Je pus ressentir les spasmes de son sexe bandé trahissant ses jets de sperme. Vincent me poussa en avant et se plaqua à mon dos, me maintenant à plat sur le matelas alors qu'il était toujours en moi, il haletait, respirait profondément, son corps m'irradiait de sa chaleur corporelle. Nous sommes restés ainsi de longues minutes, nous remettant d'un orgasme intense et pour lui d'une délivrance.
"Toujours d'humeur jouasse?" le titillai-je en poussant mon postérieur vers le haut, contre son entrejambe, m'empalant un peu plus sur son sexe.
"Cinq semaines... que je me languis de toi."
"C'est vrai?"
"Pas une fois je ne me suis touché et pourtant j'avais la gaule tout les matins."
Cela me fit rire et comme pour insister sur son état, sur son désir de mon corps il donna quelques coups de reins .
"Et toi?" me demanda-t-il, prenant appui sur ses bras tendus, son bassin roulant, ondulant d'avant en arrière, son sexe encore dur glissant en moi dans un rythme lent et constant. Après sa fougue, il me prenait avec tendresse, laissant son second orgasme s'accumuler, se construire lentement.
- "Un peu..." lui dis-je et il rit, stoppant ses mouvement "Johan?" je ne pus m'empêcher de rougir un peu et d'acquiescer de la tête. "Raconte." et il reprit son rythme lent et tendre, générant en moi des sensations des plus plaisantes. Je fermai les yeux et lui racontai....
Cela me fit rire et comme pour insister sur son état, sur son désir de mon corps il donna quelques coups de reins .
"Et toi?" me demanda-t-il, prenant appui sur ses bras tendus, son bassin roulant, ondulant d'avant en arrière, son sexe encore dur glissant en moi dans un rythme lent et constant. Après sa fougue, il me prenait avec tendresse, laissant son second orgasme s'accumuler, se construire lentement.
- "Un peu..." lui dis-je et il rit, stoppant ses mouvement "Johan?" je ne pus m'empêcher de rougir un peu et d'acquiescer de la tête. "Raconte." et il reprit son rythme lent et tendre, générant en moi des sensations des plus plaisantes. Je fermai les yeux et lui racontai....
Vincent était parti chez ses parents depuis quelques jours lorsque Johan me contacta, il me demanda si j'étais ok pour partir avec lui et deux ou trois amis de fac le lendemain à la piscine d'un des villages voisins, celle-ci ayant quelques attractions nautiques, toboggans, bains à remous et même vagues. Je ne pus qu'accepter car cet été était des plus ensoleillé et chaud. Ce jour là nous avons passé plusieurs heures aux glissades puis à nous prélasser au bord de l'eau et dans un des jacuzzi. Après une douche, toujours portant nos shorts de natation nous avons rejoins les cabines et c'est la que je me suis glissé sans trop réfléchir dans celle de Johan en même temps que lui. A sa surprise, je lui ai répondu que les cabines étaient suffisamment grandes pour deux.
J'avais commencé à m'essuyer quand j'entendis le rouquin grommeler, pester, je me suis alors retourné pour le voir se battre avec le nœud de son short, il en avait fait un double bien serré .
Bref cela me fit rire mais je lui proposa de l'aider, je me suis donc mis à genoux devant lui et me suis attaqué à cette cordelette. Il me fallut une minute ou deux pour en venir à bout et je poussai donc son short à ses pieds.
Je ne pus retenir un petit sourire à la vue de son joli service trois
pièces, cette touffe de poils roux détrempée, ces bourses pendant bas
dont on voyait sous la fine couche de peau les formes ovoïdes de ses
testicules et cette verge flaccide mais un peu gonflée surement stimulée
par la proximité de mes mains alors que je tentais de défaire ses
shorts. "Merci", "De rien" et avant qu'il ne puisse réagir je déposai un
baiser sur son sexe. "Iwao..." murmura-t-il de surprise mais personne
ne put l'entendre dans le bruit ambiant du bâtiment. Mon visage se
pressa sur son entrejambe, je respirai profondément, captant un résidu
d'eau chlorée mais la douche l'avait bien diminué, dominait déjà sa propre odeur, une odeur acre de roux...
Quelques baisers, quelques coups de langue et je pouvais sentir son
corps se tendre, le sang affluant dans ses muscles, tendant sa peau,
dans les extrémités de son corps, gorgeant cette verge quelques instant
auparavant flaccide, son prépuce se tendit et le méat du gland apparu.
Mes lèvres se refermèrent dessus comme celles d'un enfant sur une friandise, mes doigts tirèrent sur la peau, exposant la chair à vif de son pénis à la moiteur de ma bouche. Johan eut juste le temps d'agripper une serviette de bain et de mordre dedans pour retenir un cri de plaisir. Mon ami d'enfance plaqua ses mains contre la paroi et gémit à nouveau, me laissant aduler son sexe, me laissant lui offrir l'extase d'une fellation, un plaisir incomparable ...
Les minutes passèrent et le plaisir, la jouissance grandirent en lui, il luttait contre lui même pour repousser ce moment ultime, ses hanches poussant parfois en avant, son corps réclamant d'enfouir son organe reproducteur au plus profond de cette source de plaisir qu'était ma bouche et ma gorge. Son corps le trahi, ses instincts aussi, m'annonçant sa jouissance proche. J'enlaçai alors son bassin de mes bras et plaquai mes lèvres à la racine de sa verge, son gland gonflant légèrement ma gorge. Le roux grogna de plus belle et de long jets de sa sève chaude jaillirent dans ma gorge, glissant directement vers mon estomac.
Je restai là devant lui sur mes genoux a téter son sexe alors que le
flot de son orgasme se tarissait, Johan respirait lourdement, il avait
laissé tombé la serviette. Lorsque ma tête s'éloigna de son entrejambe
c'est un sexe tout luisant de salive que je laissa glisser hors de ma
bouche. Lentement je me suis redressé, amenant mon visage en face du
sien et j'ai
déposé un baiser sur son menton. Ses joues étaient rouge et son corps
irradiait sa chaleur, son sexe était
encore bandé.
"Merci" dit le roux en me souriant, je décidai donc de la titiller un peu plus et murmurai à son oreille "
Tu as aimé?" "Qui ne pourrait aimer?" me répondit-il avec un large sourire. "Alors il faudra recommencer." lui dis-je et il me sourit de nouveau, bombant un peu le torse de fierté "Oui, assurément." Alors je lui donnai une petite tape sur la hanche lui rappelant que nous n'étions pas seuls et que nos amis devaient nous attendre. Il laissa s'échapper un petit soupir, nous savions tous les deux que j'avais raison et qu'il nous fallait nous rhabiller même si nous étions tout deux partant pour un second round.
"Merci" dit le roux en me souriant, je décidai donc de la titiller un peu plus et murmurai à son oreille "
Tu as aimé?" "Qui ne pourrait aimer?" me répondit-il avec un large sourire. "Alors il faudra recommencer." lui dis-je et il me sourit de nouveau, bombant un peu le torse de fierté "Oui, assurément." Alors je lui donnai une petite tape sur la hanche lui rappelant que nous n'étions pas seuls et que nos amis devaient nous attendre. Il laissa s'échapper un petit soupir, nous savions tous les deux que j'avais raison et qu'il nous fallait nous rhabiller même si nous étions tout deux partant pour un second round.
Quelques minutes plus tard J'étais dehors, dans le couloir et je
rejoignis nos amis, Johan arriva juste après, heureusement que son short
de basket était large et dissimulait plus ou moins une érection qui
avait du mal à s'estomper. Nous primes tous ensemble à verre à la
terrasse avant de remonter sur nos vélos et de rentrer chez nous.
Vincent m'avait écouté tout de long, me prenant avec tendresse dans de
lent mouvements et là il glissa hors de moi avant de me pénétrer à
nouveau avec force. Une, deux, trois, quatre, cinq fois, chacune nous
arrachant une grognement,
un gémissement de plaisir. Puis sans un mot
il se retira et roula sur le côté, sur son dos. "T'as pas honte, le
tenter ainsi le pauvre... En tout cas moi... Je ne t'aurais pas laissé
partir aussi vite." dit-il alors qu'il me regardait, sa main jouant sur
son sexe, le tenant bien droit, s'amusant à le calotter et décalotter.
"C'était il y a quatre semaines." lui répondis-je en me glissant moi
aussi sur le côté mais en chevauchant ses hanches alors qu'avec un large
sourire il guidait son sexe turgescent vers mon petit orifice, me
laissant m'empaler dessus. Mes mains se posèrent sur son torse, les
siennes sur mes hanches "Raconte moi tout!" dit il avec un sourire
narquois, son corps se cabrant un peu, donnant un petit coup de rein
pour me faire sentir son sexe gonflé au fond de mes entrailles.
Joli récit, bien d'accord sur les charmes du roux : https://drawingwithmyfrienddick.blogspot.fr/2016/12/penis-world-la-queue-du-roux-la-houppe.html
RépondreSupprimer