Vers 10h, j’étais assis
sur le muret devant la maison en train de profiter du soleil, lisant distraitement
un roman policier tout en gardant un œil sur ce qui se passait autour de moi, Je
vis au loin arriver un nouveau coureur et plus il se rapprochait, plus il
semblait beau et sexy, torse nu juste vêtu d’un
short de compression gris clair qui mettait bien en valeur ses formes généreuses ..
Blond, les cheveux
ébouriffés, dans les 1m80, plutôt sec comme beaucoup de grands coureurs de
fonds. Arrivé devant moi, il me jeta un coup d’œil et me salua tout en continuant
sa course ; je répondis par un simple bonjour et tandis qu’il s’éloignait,
je ne pus m’empêcher de regarder son cul parfaitement musclé.
Tandis que je le regardais s’éloigner, je le
vis trébucher contre un morceau de trottoir quelques cent mètres plus loin, et
s’étaler de tout son long par terre en criant un grand « Aïe » de douleur. Ni
une ni deux, je me rapprochai de lui et lui proposai mon aide. Il me répondit
qu’il avait très mal à la cuisse et me remerciait de bien vouloir que je le
soutienne pour se relever.
Voyant cela, il me fit
remarquer que j’étais bien équipé et qu’il avait finalement de la chance d’être
tombé près de chez moi. Je souris et après avoir déplié la table,
- En
fait voit-tu c’est mon métier ; j’habites à la campagne mais j’exerce sur
rendez-vous en ville
Je l’aidai à s’installer sur le ventre. Je lui
proposai, pour me faciliter la tâche, d’enlever son short pour pouvoir mieux
masser sa cuisse endolorie et il accepta sans soucis.
Le short ôté, je fus déçu de découvrir ainsi un boxer qui galbait en effet un superbe fessier bien musclé
tel que je l’avais imaginé. Je croyais naïvement que l'on ne mettait rien sous un short de compression...
Je fis couler le gel dans ma main et commençai délicatement
à masser la zone où il avait mal. Je l’entendis, par de petits gémissements,
exprimer sa douleur et tentai de faire ça au mieux.
Il s’excusa de faire « la chochote »
et me garantit que cela lui faisait réellement du bien et m’encourageait à continuer.
Pendant le massage, nous discutâmes et nous fîmes plus amples
connaissance ; j’appris qu’il s’appelait Marco, qu’il avait 28 ans et qu’il vivait seul dans un village à
quelques kilomètres du mien. Il me
félicita pour mes talents de masseur en soulignant combien c’était
agréable ;
- Un
super moment de détente, ajouta t’il
Il accepta
immédiatement et cela m’étonna avec enthousiasme.
- Je
crois que cela va vraiment me détendre et me faire du bien, j’avoue être très
stressé en ce moment par le boulot notamment
Je me saisis de mon huile de massage observant un instant son dos parfaitement dessiné que j’allais
« masser/caresser » pendant de longues minutes.
- Tu
fais de la muscu pour avoir un dos musclé comme cela ? d’ailleurs, si je
puis me permettre, tu es super bien bâti
- En
effet, je vais dans une salle en ville m’entraîner après le boulot, c’est
indispensable à mon équilibre.
Je fis couler mon huile
de massage tout au long de son dos et entamai de fermes mouvements de
massage ; au fur et à à mesure, je le sentais de plus en plus détendu
appréciant les sensations que mes mains lui prodiguaient.
- Je
sens que tu commences vraiment à te détendre, ça me fait plaisir je vais continuer
par un massage crânien.
- Tu
ne t’inquiètes pas pour l’huile, tu pourras prendre une douche après !
- C’est
super mec, quelle détente, je m’endormirais presque !
Après sa tête, j’allais alors vers ses jambes en
insistant tout d’abord sur ses pieds en appliquant les quelques connaissances
que je possédais en matière de réflexologie plantaire puis progressivement remontais
sur ses jambe en insistant de nouveau sur ses cuisses qui ne semblaient encore douloureuses
après sa chute.
C’était un vrai bonheur
de malaxer ces membres fermes, aux muscles parfaitement dessinés qui roulaient
sous mes doigts ; j’étais sur un petit nuage, heureux de ce moment inattendu
et partagé.
-tu sais, je risque de
tâcher ton boxer avec toute cette huile, ça te dérange de l’enlever ?
d’ailleurs ça me permettra d’être plus efficace car les fessiers sont
importants aussi. Il hésita un peu puis accepta finalement sans rechigner.
-soulève un peu ton
bassin, je vais te débarrasser de ton boxer
J’attrapai alors le
bord de son caleçon par l’avant et sentis furtivement que son sexe semblait bien… en forme.
Tandis que je lui ôtais le sous-vêtement, il sentit ma main contre son sexe et
s’excusa de bander comme ça mais mon massage lui faisait vraiment du bien. J’étais bien sûr de plus en plus excité mais
je me contentai de lui répondre qu’il ne devait pas s’inquiéter,
-je suis gay et j’en ai
vu d’autres ; d’ailleurs c’est normal le but du massage c’est aussi de se
détendre et de « lâcher prise ».
Je le sentis se raidir
en m’entendant lui dire que j’étais gay
- ça
t’ennuie que je sois gay ? je te rassure , il ne t’arriveras rien … que tu
ne veuilles pas !... dis-je en tendant malgré moi une perche
- je
suis hétéro mais j’avoue qu’il m’est arrivé de mater des mecs dans les
vestiaires, comme tout le monde, bien sûr ! mais je n’ai jamais rien
tenté..
Je dois reconnaître que
cette information me donna à mon tour une érection dans le slip ! tout
cela devenait bien troublant … surtout en découvrant deux superbes fesses,
diablement galbées et délicieusement entrouvertes maintenant qu’il avait les
cuisses légèrement écartées.
Après avoir bien malaxé
ses cuisses, je versai quelques gouttes d’huile sur ses fesses que je massai avec
envie et une érection de tous les diables, je ne savais plus comment placer ma
queue dans mon slibard. Comme elles étaient fermes ! je les massais
énergiquement en cercles concentriques, les écartant régulièrement m’offrant le
spectacle de son sillon délicieusement velu et humide et de son oeillet ! quel supplice, je résistais tant bien que mal à
l’envie de coller mon visage dans ce sillon et ma langue dans sa rondelle. Cela
ne devait pas le laisser indifférent car à chaque fois que ses fesses
s’écartaient, il soupirait tout en soulevant légèrement son bassin.
- Ça
te va ? lui demandais-je ? j’ai l’impression que tu te détends ?
Si tu veux, je peux t’aider à mieux lâcher prise, à disons, découvrir de
« nouvelles sensation » qu’en dis-tu ? bien entendu, si tu
trouvais que je vais trop loin, tu m’arrête à tout moment ! mais je suis
sûr que tu n’as jamais expérimenté ce type de massage
- Bon,
dit-il en riant, encore un truc de Pd… vas-y , jusqu’à présent tu m’as vraiment
fait du bien.
J’ôtai sans qu’il s’en
aperçu mon pantalon , m’assis à califourchon sur la table de massage, lui
écartai et soulevai les cuisses afin qu’elles reposent sur les miennes et de
rehausser son cul ; je fis couler quelques gouttes d’huile dans son
sillon, m’en enduisis les mains et commençai à lui caresser son petit trou puis
à le tapoter par de toutes petites mais énergiques pressions ; de petits
soupirs mais aussi de petites
contractions de son anus, m’assuraient qu’il y était sensible ; il se
laissait faire sans aucun problème.
Par moment, j’approchai
ma bouche et soufflai provoquant une sensation de chaud-froid avec l’huile de
massage.
Je n’eus droit qu’à un
hmmmmm qu’il murmura en soulevant un peu plus les fesses ; comme un appel
à aller plus loin….
D’un doigt je fis une
lente pression sur son troufignon, pour tout doucement, tout doucement
m’introduire en lui délicatement. Ce fut assez facile même si je lui arrachai
alors un petit cri presque un gémissement.
Je commençai alors à titiller
sa prostate ce qui le fit rapidement gémir.
- C’est
super bon, mec continue, je t’en prie ! J'ai jamais ressenti ça !
Je continuai ainsi le massage anal ; le
plaisir montait en lui, ses gémissements se faisaient plus intenses, plus
assumés. Il me tendait son cul et je sentais ses sphincters se détendre
autour de mon doigt, puis il eut comme un long spasme, tout son corps se
tendit, mon doigt se retrouva un instant prisonnier, enserré et il gémit, presque une lamentation.
Nous restâmes un moment
ainsi sans bouger ; il desserra naturellement l’étreinte sur mon doigt que
j’ôtai doucement.
- C’était
quoi ça, mec ? j’ai joui comme jamais ! sans même me toucher, je
crois bien que j’ai éjaculé ; c’est ça que vous faites ? je vais
virer ma cuti, moi !
Retourne-toi maintenant
il me reste à masser devant !
- Je
te préviens, dit-il en s’exécutant, je bande comme un taureau et je crois bien
que j’ai mouillé ton drap… t’as d’autres surprises comme celle-là ? parce
que maintenant je suis chaud bouillant....et en plus t’es en calbut!
- Oui
c’était plus pratique pour m’asseoir à califourchon sur la table
- Et
en plus, j’ai bien l’impression que tu bandes….
- Ben,
entre ton corps superbe et tes réactions que je qualifierais de chaleureuses à
mon massage, c’eut été une insulte envers toi de rester insensible ! allez
mets-toi sur le dos !
Quel corps ! des
pecs impeccables et parfaitement dessinés, des abdos je vous raconte-pas, une
légère ligne de poils qui descendait vers une petite couronne dorée et sur son
sexe fin mais assez long bien bandé.
Je me positionnai
derrière lui , fis couler l’huile de massage sur son torse et sur mes mains ; mon slip était collé à son crâne et tandis que
j’entamai un profond massage du visage, du cou, des épaules et , quand il
fallut, après avoir versé quelques gouttes d’huile sur son torse, masser ses
pecs, ma bosse se retrouva sur son front, il ne pouvait douter que je bandais
comme un âne ; il y posa une main en disant
- Bel
engin, j’ai l’impression...
- S i tu veux j’enlève mon slip, je bande tellement qu’il me gêne..
- S i tu veux j’enlève mon slip, je bande tellement qu’il me gêne..
Sans attendre sa
réponse, je m’exécutai, libérai enfin mon mandrin et repris mon massage des
pecs avec cette fois-ci mes attributs contre son oreille.
Pendant ce temps je
voyais que sa queue battait frénétiquement contre son ventre et qu’il
commençait à se branler.
- Quand
je tu m’as massé la prostate, j’ai vraiment aimé et … je dirais, j’ai très envie de recommencer … mais pas
forcément avec ton doigt.. ; j’ai un peu peur mais je crois que j’ai très
envie de me faire enculer..
- Ne
t’inquiètes pas, on va y aller doucement et tranquillement
Je plaçai ses fesses au
bord de la table, relevai ses jambes sur mes deux épaules. D’une main, je le branlai
un peu et de l’autre je commençai à lui doigter l’entrée pour ensuite
introduire un doigt. Tout doucement après avoir de nouveau caressé sa prostate,
il se détendit et je pus introduire un second doigt ; lentement son œillet
se dilatait et bientôt il me signala qu’il se sentait prêt et m’invita à le pénétrer.
-vas-y doucement quand
même ajouta t’il inquiet.
je lubrifiai ma queue d'huile de massage et doucement posai mon
gland contre sa rondelle et commençai à m’introduire en lui tout en continuant
à le masturber.
Son visage se crispait
et j’essayai d’y aller le plus doucement possible. Il sourit en me disant que
j’avais un fameux morceau quand même, ce qui me fit sourire à mon tour. Quand enfin, le passage se libéra lui
arrachant un cri de douleur, Une fois bien en lui, je lui laissai quelques instants
pour s’habituer et laisser la douleur du premier passage s’estomper puis commençai
à faire quelques petits allers-retours qui semblèrent le décontracter au fur et
à mesure. Au bout de trois minutes de ce traitement, il me dit que c’est
vraiment trop bon et m’encouragea à y aller plus fort.
Je ne fis pas prier et me
mis alors à le pénétrer de plus en plus vite ce qui entraîna chez lui des
petits cris de plaisir.
Je m’amusai même par
moments à me retirer pour rentrer tout aussi vite ce que j’adore faire afin de
me régaler de voir un oigne bien ouvert et ce qui semblait lui procurer
beaucoup de bien.
Il saisit son sexe avec sa main et tout en se
faisant baiser, se masturba au rythme de mes coups de butoir. Je vis ensuite sa
main accélérer le rythme et compris qu’il allait bientôt jouir.
Je tentai alors
d’accompagner sa masturbation et de suivre son propre rythme dans ma
pénétration jusqu’à ce que je voie mon bonhomme lâcher quatre gros jets de
sperme sur son ventre et ses pectoraux tout en contractant son anus sur mon
sexe ce qui me fit monter la sauce rapidement.
- C’est
trop bon Marco, ton cul bien serré me rend dingue, je vais décharger !
Je me retirai, enlevai
le préservatif et envoyai de longues giclées de foutre sur son sexe et son
ventre.
Épuisé, je me couchai
sur lui quelques instants. Épuisé mais inquiet, maintenant que la tension
sexuelle était calmée, la honte de l’hétéro revienne et gâche le moment…
- Et
ben, pour une première fois, c’était grandiose ! je ne savais pas que
c’était comme ça de se faire mettre !
Dit-il finalement, épuisé mais très heureux d’avoir vécu cette « expérience »
- C’est
à refaire, lui demandai-je un peu provocateur, je crains que ta copine ne
puisse te donner ce type de plaisirs !
- Pas
de commentaire…. Je ne suis pas près de virer de bord.
Une petite tape sur les
fesses et je lui proposai de prendre une bonne douche
-viens, c’est par ici,
je vais te donner une serviette dis-je en le laissant passer devant, juste pour
admirer un peu plus sa plastique ; nu comme un ver, son corps d’athlète me
faisait un effet monstre ; et ce cul, ce cul que j’avais possédé il y a
peu, ce cul !
- je ne sais pas si ta
copine te le dis, mais tu as un cul superbe, rien que de le voir bouger, j’en
bandes de nouveau ; je crois que je l‘envie vraiment !
Et moi donc, regarde,
me dit-il en se retournant et en souriant, ma queue est toute raide ;
viens, je crois que ta leçon n’est pas terminée, j’ai encore beaucoup à
apprendre !!
- Je
croyais que c’était moi qui donnait des leçons ; tu es zélé comme
élève ! Voilà que tu prends des initiatives ; mais je te donne un B+,
c’est trop cool, dis-je en agrippant ses fesses
C'était bon comme sensation de sentir à la
fois le sexe dur d'un homme contre le sien et le mouvement de masturbation qui
est le même. Il me regarde dans les yeux, avec un petit sourire.
- J’ai
une super envie de t’embrasser, osai-je dans un murmure ; et toi ?
sans même répondre, il prit mon visage dans sa main et m’embrassa profondément,
longuement tout en continuant ses caresses masturbatoires.
- Et
si tu me savonnais dit-il en se tournant !
Je ne me fis pas prier,
je parcourais avec délice son superbe dos, ses fesses en insistant là où ma
queue avait pris et donné autant de plaisir et j’y glissai de nouveau un doigt
ce qui le fit sourire ; puis je le priai de se retourner et savonnai
chaque parcelle de son corps sans oublier sa verge dressée et ses suaves et exquises
bourses.
-
J’ai
très envie de te sucer, viens on sera plus à l’aise dehors !
Je cessai de le sucer
pour admirer son chibre turgescent contre mon visage, pour prendre ses couilles,
les aspirer et les lécher. Je descendis, après lui avoir demandé d’écarter un
peu les cuisses, lécher la partie entre son anus et ses couilles, en recueillir
l’intime humidité.
- c'est bon continue
Je remontai, aidé par Marco
qui des deux mains s’écartait les fesses pour me faciliter le passage et arrivé
sur son petit trou tout rose, je le léchai doucement, presque amoureusement. Je
restai un long moment sur son anus, forçant par moments le passage du bout de
la langue. Seuls se faisaient entendre ses gémissements.
J’éloignais par moment
mon visage de son sillon, admirant sa rosette qui s’entrouvrait, la titillait
par de petits tapotis de l’index pour enfin l’y introduire et l’enfonce
doucement ainsi que le majeur. Tout en continuant de le doigter, je revins vers
sa verge pour la gober entièrement. Il appuyait ses mains sur mes épaules, et
ses coups de bassin enfonçait sa bite bien profond au fond de ma gorge et
accentuait la pénétration. Il ne fallut plus de cinq minutes à mon athlète pour
à nouveau avoir un orgasme et sans prévenir décharger son sperme en bouche !
un vrai délice, un goût délicieux après avoir méticuleusement nettoyé tout
son sexe avec ma bouche.
- Tu
sais, il manque quelque chose à ton « apprentissage », tu ne crois
pas ? dis-je en lui montrant ma
verge bien raide, que dirais-tu d’y goûter ? je te guiderais si jamais tu
manques d’imagination !
Il n’hésita pas une
seconde, nous échangeâmes nos places, s’agenouilla devant sa première bite,
décalotta et me regarda un instant, il semblait heureux simplement, de toucher
pour une première fois un autre sexe que le sien. La chaleur, la moiteur d'une
bouche sur ma bite, toutes ces sensations magnifiées par le fait qu’il restait
hétéro. Sa langue allait et venait sur mon gland, il aspirait ma queue et la suçait
tendrement. Je posai mes mains sur sa tête et lui donnais le rythme.
Au bout d’un moment et
après qu’il eut introduit un doigt dans mon cul, j’eus une irrépressible envie
qu’il me baise ; qu’un hétéro me baise !
- Baise-moi
maintenant, baise-moi comme tu baise ta cop ;
J’attrapai une capote
dans le tiroir de la commode et m’accrochai fermement au lavabo de la salle de
bains, cuisses bien écartées
il s'approcha, caressa
tendrement mon dos, présenta son vit et me pénétra doucement, puis rapidement
me pilonna sans retenue tout en m’attirant le visage vers lui pour me galocher
violemment ;je ne voyais plus rien, je ressentais juste tout le plaisir
que me procurais sa pénétration. Au bout de quelques minutes, il me susurra à l’oreille
:
— Ah ce cul, j'adore te
défoncer. Tu sens comme je bande pour toi, comme je suis dur en toi. J'vais te
baiser, te faire crier, te remplir de foutre. Vas-y, fais-moi jouir avec ton
cul, tu me rends dingue.
Je m'enfonçai
totalement son sexe l’enserrant fort et dessinai de petits ronds dessus, les
yeux fermés, il gémit, prit mon sexe en main et me branla ; tant de
plaisirs accumulés firent que je ne tardai pas à jouir et je jouis comme
jamais, envoyant de grandes salves de foutre, en hurlant.
Chancelant alors qu’il accélérait
en gémissant ses coups de reins pour jouir en hurlant lui aussi, remplissant la
capote de sperme tandis que je sentais les palpitations de son sexe en moi
quand il déchargeait. Je me relevai, retirai la capote et nettoyait de nouveau
son sexe mollissant, effaçant toute trace de jouissance, me délectant de son
sperme salé.
— Tu m'a épuisé, me
dit-il, c'était génial.
— Pour moi aussi, un
pied incroyable. Je crois qu’on est bon pour une nouvelle douche !
Nous prîmes, sagement
cette fois une bonne douche, non sans nous savonner et essuyer tendrement
mutuellement. Il était hélas temps de nous quitter, il avait pris beaucoup de
retard, le temps d’enfiler son boxer, son short et ses baskets et moi un
t-shirt et un vieux survêt et je le raccompagnai chez lui en voiture et ce fut rapide car il habitait pas très loin de chez moi... ce qui pouvait offrir d'intéressantes perspectives..
- -
tu sais tu m’as ouvert de nouveaux horizons ; je ne pensais pas que l’on pouvait
prendre autant de plaisir entre mecs
- Si
c’est arrivé, c’est aussi parce que tu es ouvert d’esprit, un autre n’aurait
jamais tenté quoique ce soit et d’ailleurs, je n’aurais moi-même rien
tenté ; j’aurais eu trop peur ! j’ai du sentir en te massant que tu
était sans doute réceptif…
- Je
te remercie en tous cas de cette matinée, et si tu en es d’accord, si tu le
souhaites, peut-être pourra t’on se revoir ?
- C’est
avec plaisir que je te reverrai et pas seulement, forcément pour baiser !
mais réfléchis-bien, il ne faut pas rendre les gens autour de toi
malheureux ; les vies parallèles ne sont pas toujours faciles à gérer mais
je serais heureux de te revoir !
Nous nous embrassâmes
longuement et reprîmes chacun notre route.
C'est où chez toi ? Que je vienne faire mon footing ce Weekend ?
RépondreSupprimerJimy.