18 mai 2020

Marco , coureur.. amateur

J’habite un village assez rural, proche d’une ville moyenne où bon nombre de marcheurs, cyclistes ou autres pratiquants de la course à pied prennent plaisir à parcourir les rues pour s’adonner à leur sport préfér. Ce dimanche là, il faisait particulièrement beau et depuis tôt le matin, j’observais bon nombre de personnes passer devant chez moi en me régalant du spectacle lorsque des mecs bien foutus passaient par là.

Vers 10h, j’étais assis sur le muret devant la maison en train de profiter du soleil, lisant distraitement un roman policier tout en gardant un œil sur ce qui se passait autour de moi, Je vis au loin arriver un nouveau coureur et plus il se rapprochait, plus il semblait beau et sexy, torse nu juste vêtu d’un  short de compression gris clair qui mettait bien en valeur ses formes généreuses ..
Blond, les cheveux ébouriffés, dans les 1m80, plutôt sec comme beaucoup de grands coureurs de fonds. Arrivé devant moi, il me jeta un coup d’œil et me salua tout en continuant sa course ; je répondis par un simple bonjour et tandis qu’il s’éloignait, je ne pus m’empêcher de regarder son cul parfaitement musclé.
 Tandis que je le regardais s’éloigner, je le vis trébucher contre un morceau de trottoir quelques cent mètres plus loin, et s’étaler de tout son long par terre en criant un grand « Aïe » de douleur. Ni une ni deux, je me rapprochai de lui et lui proposai mon aide. Il me répondit qu’il avait très mal à la cuisse et me remerciait de bien vouloir que je le soutienne pour se relever.
Presque debout, il continuait à se tordre de douleur et je lui proposai alors de rejoindre ma maison pour le soigner. Je passai son bras derrière mon cou et nous fîmes difficilement le chemin vers chez moi. Je l’installai ensuite sur mon divan et lui demandai de m’attendre quelque secondes le temps que j’aille chercher de quoi m’occuper de lui. Cela ne semblait pas plus grave qu’un claquage de muscles et empoignais donc le tube de gel adéquat tout en revenant avec ma table de massage pliante pour l’installer confortablement.
Voyant cela, il me fit remarquer que j’étais bien équipé et qu’il avait finalement de la chance d’être tombé près de chez moi. Je souris et après avoir déplié la table,
-      En fait voit-tu c’est mon métier ; j’habites à la campagne mais j’exerce sur rendez-vous en ville
 Je l’aidai à s’installer sur le ventre. Je lui proposai, pour me faciliter la tâche, d’enlever son short pour pouvoir mieux masser sa cuisse endolorie et il accepta sans soucis.
Le short ôté, je fus déçu de découvrir ainsi un boxer qui galbait en effet un superbe fessier bien musclé tel que je l’avais imaginé.  Je croyais naïvement que l'on ne mettait rien sous un short de compression...
Je fis couler le gel dans ma main et commençai délicatement à masser la zone où il avait mal. Je l’entendis, par de petits gémissements, exprimer sa douleur et tentai de faire ça au mieux.
 Il s’excusa de faire « la chochote » et me garantit que cela lui faisait réellement du bien et m’encourageait à continuer. Pendant le massage, nous discutâmes et nous fîmes plus amples connaissance ; j’appris qu’il s’appelait Marco, qu’il avait  28 ans et qu’il vivait seul dans un village à quelques kilomètres du mien.  Il me félicita pour mes talents de masseur en soulignant combien c’était agréable ;
-      Un super moment de détente, ajouta t’il 

Je le remerciai et, hésitant à peine quelques secondes, je lui demandai alors s’il voulait que je masse son corps complètement. Il faut dire que cette « mise en bouche » m’avait quelque peu excité et sans vraiment penser à ce qu’il pouvait advenir, j’avais très envie de masser longuement ce beau corps d’athlète.
Il accepta immédiatement et cela m’étonna avec enthousiasme.
-      Je crois que cela va vraiment me détendre et me faire du bien, j’avoue être très stressé en ce moment par le boulot notamment

 Je me saisis de mon huile de massage  observant un instant son dos parfaitement dessiné que j’allais « masser/caresser » pendant de longues minutes.
-      Tu fais de la muscu pour avoir un dos musclé comme cela ? d’ailleurs, si je puis me permettre, tu es super bien bâti
-      En effet, je vais dans une salle en ville m’entraîner après le boulot, c’est indispensable à mon équilibre.
Je fis couler mon huile de massage tout au long de son dos et entamai de fermes mouvements de massage ; au fur et à à mesure, je le sentais de plus en plus détendu appréciant les sensations que mes mains lui prodiguaient.
-      Je sens que tu commences vraiment à te détendre, ça me fait plaisir je vais continuer par un massage crânien.
Je me plaçai devant sa tête, et lui massai lentement le crâne et les tempes avec un d’huile.
-      Tu ne t’inquiètes pas pour l’huile, tu pourras prendre une douche après !
-      C’est super mec, quelle détente, je m’endormirais presque !
 Après sa tête, j’allais alors vers ses jambes en insistant tout d’abord sur ses pieds en appliquant les quelques connaissances que je possédais en matière de réflexologie plantaire puis progressivement remontais sur ses jambe en  insistant de nouveau  sur ses cuisses qui ne semblaient encore douloureuses après sa chute.
C’était un vrai bonheur de malaxer ces membres fermes, aux muscles parfaitement dessinés qui roulaient sous mes doigts ; j’étais sur un petit nuage, heureux de ce moment inattendu et partagé.
-tu sais, je risque de tâcher ton boxer avec toute cette huile, ça te dérange de l’enlever ? d’ailleurs ça me permettra d’être plus efficace car les fessiers sont importants aussi. Il hésita un peu puis accepta finalement sans rechigner.
- ok ! pas de problème pour moi
-soulève un peu ton bassin, je vais te débarrasser de ton boxer
J’attrapai alors le bord de son caleçon par l’avant et sentis  furtivement que son sexe semblait bien… en forme. Tandis que je lui ôtais le sous-vêtement, il sentit ma main contre son sexe et s’excusa de bander comme ça mais mon massage lui faisait vraiment du bien.  J’étais bien sûr de plus en plus excité mais je me contentai de lui répondre qu’il ne devait pas s’inquiéter,
-je suis gay et j’en ai vu d’autres ; d’ailleurs c’est normal le but du massage c’est aussi de se détendre et de « lâcher prise ».
Je le sentis se raidir en m’entendant lui dire que j’étais gay
-      ça t’ennuie que je sois gay ? je te rassure , il ne t’arriveras rien … que tu ne veuilles pas !... dis-je en tendant malgré moi une perche
-      je suis hétéro mais j’avoue qu’il m’est arrivé de mater des mecs dans les vestiaires, comme tout le monde, bien sûr ! mais je n’ai jamais rien tenté..
Je dois reconnaître que cette information me donna à mon tour une érection dans le slip ! tout cela devenait bien troublant … surtout en découvrant deux superbes fesses, diablement galbées et délicieusement entrouvertes maintenant qu’il avait les cuisses légèrement écartées.
Après avoir bien malaxé ses cuisses, je versai quelques gouttes d’huile sur ses fesses que je massai avec envie et une érection de tous les diables, je ne savais plus comment placer ma queue dans mon slibard. Comme elles étaient fermes ! je les massais énergiquement en cercles concentriques, les écartant régulièrement m’offrant le spectacle de son sillon délicieusement velu et humide et de son oeillet ! quel supplice, je résistais tant bien que mal à l’envie de coller mon visage dans ce sillon et ma langue dans sa rondelle. Cela ne devait pas le laisser indifférent car à chaque fois que ses fesses s’écartaient, il soupirait tout en soulevant légèrement son bassin.
-      Ça te va ? lui demandais-je ? j’ai l’impression que tu te détends ? Si tu veux, je peux t’aider à mieux lâcher prise, à disons, découvrir de « nouvelles sensation » qu’en dis-tu ? bien entendu, si tu trouvais que je vais trop loin, tu m’arrête à tout moment ! mais je suis sûr que tu n’as jamais expérimenté ce type de massage
-      Bon, dit-il en riant, encore un truc de Pd… vas-y , jusqu’à présent tu m’as vraiment fait du bien.
. Il avait sans doute deviné ce que je m’apprêtais à lui faire ce qui fit redoubler mon excitation.
J’ôtai sans qu’il s’en aperçu mon pantalon , m’assis à califourchon sur la table de massage, lui écartai et soulevai les cuisses afin qu’elles reposent sur les miennes et de rehausser son cul ; je fis couler quelques gouttes d’huile dans son sillon, m’en enduisis les mains et commençai à lui caresser son petit trou puis à le tapoter par de toutes petites mais énergiques pressions ; de petits soupirs mais aussi de petites contractions de son anus, m’assuraient qu’il y était sensible ; il se laissait faire sans aucun problème. 
Par moment, j’approchai ma bouche et soufflai provoquant une sensation de chaud-froid avec l’huile de massage.
-ça va toujours, susurrai-je
Je n’eus droit qu’à un hmmmmm qu’il murmura en soulevant un peu plus les fesses ; comme un appel à aller plus loin….
D’un doigt je fis une lente pression sur son troufignon, pour tout doucement, tout doucement m’introduire en lui délicatement. Ce fut assez facile même si je lui arrachai alors un petit cri presque un gémissement.
Je commençai alors à titiller sa prostate ce qui le fit rapidement gémir.
-      C’est super bon, mec continue, je t’en prie ! J'ai jamais ressenti ça !

 Je continuai ainsi le massage anal ; le plaisir montait en lui, ses gémissements se faisaient plus intenses, plus assumés. Il me tendait son cul et je sentais ses sphincters se détendre autour de mon doigt, puis il eut comme un long spasme, tout son corps se tendit, mon doigt se retrouva un instant prisonnier, enserré et il gémit, presque une lamentation.
Nous restâmes un moment ainsi sans bouger ; il desserra naturellement l’étreinte sur mon doigt que j’ôtai doucement.
-      C’était quoi ça, mec ? j’ai joui comme jamais ! sans même me toucher, je crois bien que j’ai éjaculé ; c’est ça que vous faites ? je vais virer ma cuti, moi !
Retourne-toi maintenant il me reste à masser devant !
-      Je te préviens, dit-il en s’exécutant, je bande comme un taureau et je crois bien que j’ai mouillé ton drap… t’as d’autres surprises comme celle-là ? parce que maintenant je suis chaud bouillant....et en plus t’es en calbut!
-      Oui c’était plus pratique pour m’asseoir à califourchon sur la table
-      Et en plus, j’ai bien l’impression que tu bandes….
-      Ben, entre ton corps superbe et tes réactions que je qualifierais de chaleureuses à mon massage, c’eut été une insulte envers toi de rester insensible ! allez mets-toi sur le dos !
Quel corps ! des pecs impeccables et parfaitement dessinés, des abdos je vous raconte-pas, une légère ligne de poils qui descendait vers une petite couronne dorée et sur son sexe fin mais assez long bien bandé.
Je me positionnai derrière lui , fis couler l’huile de massage sur son torse et sur mes mains ; mon slip était collé à son crâne  et tandis que j’entamai un profond massage du visage, du cou, des épaules et , quand il fallut, après avoir versé quelques gouttes d’huile sur son torse, masser ses pecs, ma bosse se retrouva sur son front, il ne pouvait douter que je bandais comme un âne ; il y posa une main en disant
-      Bel engin, j’ai l’impression... 
- S i tu veux j’enlève mon slip, je bande tellement qu’il me gêne..
Sans attendre sa réponse, je m’exécutai, libérai enfin mon mandrin et repris mon massage des pecs avec cette fois-ci mes attributs contre son oreille.
Pendant ce temps je voyais que sa queue battait frénétiquement contre son ventre et qu’il commençait à se branler.
-      Quand je tu m’as massé la prostate, j’ai vraiment aimé et … je dirais,  j’ai très envie de recommencer … mais pas forcément avec ton doigt.. ; j’ai un peu peur mais je crois que j’ai très envie de me faire enculer..
-      Ne t’inquiètes pas, on va y aller doucement et tranquillement
Je plaçai ses fesses au bord de la table, relevai ses jambes sur mes deux épaules. D’une main, je le branlai un peu et de l’autre je commençai à lui doigter l’entrée pour ensuite introduire un doigt. Tout doucement après avoir de nouveau caressé sa prostate, il se détendit et je pus introduire un second doigt ; lentement son œillet se dilatait et bientôt il me signala qu’il se sentait  prêt et m’invita à le pénétrer.
-vas-y doucement quand même ajouta t’il inquiet.
je lubrifiai ma queue d'huile de massage et doucement  posai mon gland contre sa rondelle et commençai à m’introduire en lui tout en continuant à le masturber.
Son visage se crispait et j’essayai d’y aller le plus doucement possible. Il sourit en me disant que j’avais un fameux morceau quand même, ce qui me fit sourire à mon tour.  Quand enfin, le passage se libéra lui arrachant un cri de douleur, Une fois bien en lui, je lui laissai quelques instants pour s’habituer et laisser la douleur du premier passage s’estomper puis commençai à faire quelques petits allers-retours qui semblèrent le décontracter au fur et à mesure. Au bout de trois minutes de ce traitement, il me dit que c’est vraiment trop bon et m’encouragea à y aller plus fort.
Je ne fis pas prier et me mis alors à le pénétrer de plus en plus vite ce qui entraîna chez lui des petits cris de plaisir.
Je m’amusai même par moments à me retirer pour rentrer tout aussi vite ce que j’adore faire afin de me régaler de voir un oigne bien ouvert et ce qui semblait lui procurer beaucoup de bien.
 Il saisit son sexe avec sa main et tout en se faisant baiser, se masturba au rythme de mes coups de butoir. Je vis ensuite sa main accélérer le rythme et compris qu’il allait bientôt jouir.
Je tentai alors d’accompagner sa masturbation et de suivre son propre rythme dans ma pénétration jusqu’à ce que je voie mon bonhomme lâcher quatre gros jets de sperme sur son ventre et ses pectoraux tout en contractant son anus sur mon sexe ce qui me fit monter la sauce rapidement.


-      C’est trop bon Marco, ton cul bien serré me rend dingue, je vais décharger !
Je me retirai, enlevai le préservatif et envoyai de longues giclées de foutre sur son sexe et son ventre.
Épuisé, je me couchai sur lui quelques instants. Épuisé mais inquiet, maintenant que la tension sexuelle était calmée, la honte de l’hétéro revienne et gâche le moment…
-      Et ben, pour une première fois, c’était grandiose ! je ne savais pas que c’était comme ça de se faire mettre !  Dit-il finalement, épuisé mais très heureux d’avoir vécu cette « expérience »
-      C’est à refaire, lui demandai-je un peu provocateur, je crains que ta copine ne puisse te donner ce type de plaisirs !
-      Pas de commentaire…. Je ne suis pas près de virer de bord.
Une petite tape sur les fesses et je lui proposai de prendre une bonne douche
-viens, c’est par ici, je vais te donner une serviette dis-je en le laissant passer devant, juste pour admirer un peu plus sa plastique ; nu comme un ver, son corps d’athlète me faisait un effet monstre ; et ce cul, ce cul que j’avais possédé il y a peu, ce cul !
- je ne sais pas si ta copine te le dis, mais tu as un cul superbe, rien que de le voir bouger, j’en bandes de nouveau ; je crois que je l‘envie vraiment !
Et moi donc, regarde, me dit-il en se retournant et en souriant, ma queue est toute raide ; viens, je crois que ta leçon n’est pas terminée, j’ai encore beaucoup à apprendre !!

Je le rejoignis dans la salle de bain puis sous la douche. La cabine n’étant pas très grande nous étions l’un contre l’autre, visage contre visage, poitrine contre poitrine, nos sexes se touchaient et recommençaient à durcir. Marco, malicieux les prit ensemble et nous branla, nos queues l'une sur l'autre.
-      Je croyais que c’était moi qui donnait  des leçons ; tu es zélé comme élève ! Voilà que tu prends des initiatives ; mais je te donne un B+, c’est trop cool, dis-je en agrippant ses fesses
 C'était bon comme sensation de sentir à la fois le sexe dur d'un homme contre le sien et le mouvement de masturbation qui est le même. Il me regarde dans les yeux, avec un petit sourire.
-      J’ai une super envie de t’embrasser, osai-je dans un murmure ; et toi ? sans même répondre, il prit mon visage dans sa main et m’embrassa profondément, longuement tout en continuant ses caresses masturbatoires.
-      Et si tu me savonnais dit-il en se tournant !
Je ne me fis pas prier, je parcourais avec délice son superbe dos, ses fesses en insistant là où ma queue avait pris et donné autant de plaisir et j’y glissai de nouveau un doigt ce qui le fit sourire ; puis je le priai de se retourner et savonnai chaque parcelle de son corps sans oublier sa verge dressée et ses suaves et exquises bourses.
-     

J’ai très envie de te sucer, viens on sera plus à l’aise dehors !

 je pris alors une serviette pour nous essuyer rapidement puis agenouillé,  j’enfournai son sexe après l’avoir décalotté. Il gémit et recula pour prendre appui contre le lavabo tout en me regardant pomper sa belle bite. Je devins dingue, une envie folle de sentir son foutre dans ma bouche, de le faire et de le voir jouir.
Je cessai de le sucer pour admirer son chibre turgescent contre mon visage, pour prendre ses couilles, les aspirer et les lécher. Je descendis, après lui avoir demandé d’écarter un peu les cuisses, lécher la partie entre son anus et ses couilles, en recueillir l’intime humidité.
- c'est bon continue

Je remontai, aidé par Marco qui des deux mains s’écartait les fesses pour me faciliter le passage et arrivé sur son petit trou tout rose, je le léchai doucement, presque amoureusement. Je restai un long moment sur son anus, forçant par moments le passage du bout de la langue. Seuls se faisaient entendre ses gémissements.
J’éloignais par moment mon visage de son sillon, admirant sa rosette qui s’entrouvrait, la titillait par de petits tapotis de l’index pour enfin l’y introduire et l’enfonce doucement ainsi que le majeur. Tout en continuant de le doigter, je revins vers sa verge pour la gober entièrement. Il appuyait ses mains sur mes épaules, et ses coups de bassin enfonçait sa bite bien profond au fond de ma gorge et accentuait la pénétration. Il ne fallut plus de cinq minutes à mon athlète pour à nouveau avoir un orgasme et sans prévenir décharger son sperme en bouche ! un vrai délice, un goût délicieux après avoir méticuleusement nettoyé tout son sexe avec ma bouche.
-      Tu sais, il manque quelque chose à ton « apprentissage », tu ne crois pas ?  dis-je en lui montrant ma verge bien raide, que dirais-tu d’y goûter ? je te guiderais si jamais tu manques d’imagination !


Il n’hésita pas une seconde, nous échangeâmes nos places, s’agenouilla devant sa première bite, décalotta et me regarda un instant, il semblait heureux simplement, de toucher pour une première fois un autre sexe que le sien. La chaleur, la moiteur d'une bouche sur ma bite, toutes ces sensations magnifiées par le fait qu’il restait hétéro. Sa langue allait et venait sur mon gland, il aspirait ma queue et la suçait tendrement. Je posai mes mains sur sa tête et lui donnais le rythme.
Au bout d’un moment et après qu’il eut introduit un doigt dans mon cul, j’eus une irrépressible envie qu’il me baise ; qu’un hétéro me baise !
-      Baise-moi maintenant, baise-moi comme tu baise ta cop ;
J’attrapai une capote dans le tiroir de la commode et m’accrochai fermement au lavabo de la salle de bains, cuisses bien écartées
il s'approcha, caressa tendrement mon dos, présenta son vit et me pénétra doucement, puis rapidement me pilonna sans retenue tout en m’attirant le visage vers lui pour me galocher violemment ;je ne voyais plus rien, je ressentais juste tout le plaisir que me procurais sa pénétration. Au bout de quelques minutes, il me susurra à l’oreille :

— Ah ce cul, j'adore te défoncer. Tu sens comme je bande pour toi, comme je suis dur en toi. J'vais te baiser, te faire crier, te remplir de foutre. Vas-y, fais-moi jouir avec ton cul, tu me rends dingue.

Je m'enfonçai totalement son sexe l’enserrant fort et dessinai de petits ronds dessus, les yeux fermés, il gémit, prit mon sexe en main et me branla ; tant de plaisirs accumulés firent que je ne tardai pas à jouir et je jouis comme jamais, envoyant de grandes salves de foutre, en hurlant.
Chancelant alors qu’il accélérait en gémissant ses coups de reins pour jouir en hurlant lui aussi, remplissant la capote de sperme tandis que je sentais les palpitations de son sexe en moi quand il déchargeait. Je me relevai, retirai la capote et nettoyait de nouveau son sexe mollissant, effaçant toute trace de jouissance, me délectant de son sperme salé.
— Tu m'a épuisé, me dit-il, c'était génial.
— Pour moi aussi, un pied incroyable. Je crois qu’on est bon pour une nouvelle  douche !
Nous prîmes, sagement cette fois une bonne douche, non sans nous savonner et essuyer tendrement mutuellement. Il était hélas temps de nous quitter, il avait pris beaucoup de retard, le temps d’enfiler son boxer, son short et ses baskets et moi un t-shirt et un vieux survêt et je le raccompagnai chez lui en voiture et ce fut rapide car il habitait pas très loin de chez moi... ce qui pouvait offrir d'intéressantes perspectives..
-      - tu sais tu m’as ouvert de nouveaux horizons ; je ne pensais pas que l’on pouvait prendre autant de plaisir entre mecs
-   Si c’est arrivé, c’est aussi parce que tu es ouvert d’esprit, un autre n’aurait jamais tenté quoique ce soit et d’ailleurs, je n’aurais moi-même rien tenté ; j’aurais eu trop peur ! j’ai du sentir en te massant que tu était sans doute réceptif…
-      Je te remercie en tous cas de cette matinée, et si tu en es d’accord, si tu le souhaites, peut-être pourra t’on se revoir ?
-      C’est avec plaisir que je te reverrai et pas seulement, forcément pour baiser ! mais réfléchis-bien, il ne faut pas rendre les gens autour de toi malheureux ; les vies parallèles ne sont pas toujours faciles à gérer mais je serais heureux de te revoir !

Nous nous embrassâmes longuement et reprîmes chacun notre route.


   

1 commentaire:

  1. C'est où chez toi ? Que je vienne faire mon footing ce Weekend ?
    Jimy.

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