Enfin une belle journée d'été! un ciel d'un bleu étincelant, une belle
luminosité, de celles qui viennent après l'orage. Même si le chemin est
encore humide, il fait bon s'y promener; il sent bon l'herbe humide et
le blé coupé.
Là bas, près de la grande prairie et du petit bois se trouve un bout de
rivière d'eau claire, un petit coin ombragé pour une petite sieste et un
petit bain si l'eau n'est pas trop fraîche.
Rien ni personne pour venir troubler ma tranquillité.
L'eau bien que
très fraîche me faisait envie et j'avais surtout envie de me baigner nu
et de sécher au soleil ensuite. Je me dessapai rapidement, posai mes vêtements en petit tas au pied d'un arbre et me glissai dans l'eau . Après le bain, je me laissais sécher au soleil.
Quelle ne fut pas ma
surprise quand presque endormi, délicieusement caressé par la brise
légère et le soleil de cet après midi, je vis en contre jour devant moi, du
Sur le chemin surplombant la prairie, un engin agricole ronronnant et visiblement quelqu'un au volant que je ne
distinguait pas.
Je me relevai d'un bond, écarquillant les yeux pour
voir ce que j'avais devant moi tout en cachant bêtement d'une main mon
anatomie. Après quelques secondes, la surprise passée, je recherchai
mes vêtements pour me rhabiller.
-je viens quelques fois ici pour me baigner aussi
mais c'est la première fois que je rencontre quelqu'un!
J'avais devant moi un jeune gars en short et Marcel qui me dévisageait
amusé, souriant et pas du tout gêné par ma tenue ce qui me rassura.
- te gêne pas pour moi, je venais pour me reposer et me baigner aussi. Dit-il en s'approchant de moi. Son regard semblait subitement changé,
comme troublé, me faisant sentir plus nu que nu tout en me mettant mal à
l'aise avec mes mains bêtement posées sur mon sexe, je n'osais pas
encore bouger.
Visiblement troublés tous deux, nous savions pas encore comment réagir;
il tira le premier:
- pas mal foutu pour un gars de la ville, dis-donc! Tu dois soulever des fontes en ville! Et tu cache quoi la
dessous? Pas de gêne, moi aussi je me baigne à poil. Fais voir, sort le petit oiseau!
Ouh! Je rêve ou quoi, me voilà en pleine nature à poil devant un inconnu
du cru qui veut voir mon engin, me voilà beau!
Mais il était déjà devant moi, son short laissait deviner une certaine
excitation et sa main écartant les miennes pour soupeser mes gonades.
Pas de doute, nous y étions dans le vif du sujet. Me tirant fermement les couilles pour m'attirer vers lui, il me dit
-viens voir, baisse-toi, baisse mon froc, ça sent bon la campagne et
c'est tout pour toi.
Effectivement de son short baissé jaillit un braquemart qui fleurait bon
l'effort et les douches trop rares. des effluves musquées à faire
chavirer. Âmes sensibles s'abstenir, mais la première surprise passée,
j'avoue que cet âcre parfum intime tout de sueur, pisse et sperme
subtilement mêlés m'enivrait et le nez collé à sa toison j'en captais
toutes les effluves tandis que son viet me transperçait jusqu'à la
gorge.
Mes mains jouissaient de l'exploration de ses fesses poilues, charnues
et trempées de sueur et je rêvais déjà d'y enfouir mon visage tout
entier et offrir à ma langue le bonheur d'explorer son tréfonds. Mais pour l'heure je me
régalais encore de sa pine parfumée, de ses couilles lourdes et me
perdais quelques fois dans la forêt humide de son entrejambe si proche
de son oignon dont les senteurs de bosquet chatouillaient déjà mes
narines.
Hélas il me tira de cet enchantement pour me coller contre l'arbre le plus proche. M'écartant fermement les cuisses pour fourrer sa bouche entre mes fesses.
je sentais sa langue fourrager ma rondelle tandis que sa main droite me tirait brutalement sur les couilles m'arrachant de petits cris de douleur-plaisir. bien entendu je savais très bien ce qui allait se passer... Maintenant, là tout de suite!
A peine relevé, il approcha sa trique de mes fesses et sa tête chercheuse déjà se frayait un passage dans mon fion. Un grand coup sec et sans ménagement il entrepris de me besogner.
J'en voulais, dieu comme j'en voulais! Me tenant tant bien que mal et d'une main à à mon tronc d'arbre, l'autre accrochée à ses fesses, accompagnait, encourageait chaque coup de rein à m'empaler bien profond. Je jouissais de cette scène "champêtre" : le gargouillis des chairs et le claquement de ses gonades contre mes fesses se mêlant au bruissement des feuilles, aux gazouillis des oiseaux, au clapotis de l'eau.
Cela devait avoir une fin, quand il fut prêt à jouir, il voulut à tous prix lâcher sa semence sur mon visage; moi qui aime tant sentir mes compagnons de plaisir jouir en moi, j'allais sacrifier à la scène de film de cul.
Il se branlait durement, bruyamment. Je voyais sa queue décalottée gonflée de sang, le gland tuméfié, s'agiter tout contre moi; je voyais tout près de moi ce qui, il y avait à peine quelques instants m'avait transporté de bonheur, là tout près de ma bouche qui l'aurait bien gobée toute entière, attendant les fruits du plaisir.
Et enfin, soudain, une longue et généreuse giclée m'inonda le visage. Je pus enfin en profiter; je gobai son vit tout entier et me régalait de sa semence onctueuse et légèrement salée. je bandais comme un âne; il me fallait apaiser cette soif d'orgasme; il me colla de nouveau contre l'arbre et enfin daigna s’occuper un peu de moi; pour la première fois nos bouches se rencontrèrent. D'une certaine façon, nous fîmes l'amour; là contre cet arbre nous nous caressions, découvrant enfin nos corps respectifs, apprenant à nous connaître . Il me branlait avec tendresse tandis que ses lèvres parcouraient mon cou, mon visage, ma poitrine. Je ne tardai pas à jouir, dans un long et profond spasme.
Il approcha sa main couverte de ma semence près de nos visages et nous en léchâmes jusquà la dernière goutte dans un dernier baiser. il ne nous restait plus qu'à nous jeter à l'eau et redevenir des enfants, d'innocents camarades de jeu.
blog très bien fait avec de belles choses a voir bravo!
RépondreSupprimerhttp://www.biboy-production.com
Sa doit lui faire du bien
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