Tu as décidé que, oui vraiment tu ferais l’amour avec moi. Quand
tu me l'as dit, c'était au détour d'une conversation, quelque part entre
Madeleine et Concorde. Quelques instants avant nous parlions des fringues que
nous venions d'acheter, quelques instants après, du film que nous allions voir
sur les Champs, de tout et de rien quoi, comme de bons amis. Tu m'as excité un
moment mais ne te croyant pas, j'ai vite oublié.
C’est à vrai dire
une situation délicate pour moi ! Bien sûr que j’en meurs d’envie, et depuis
fort longtemps. Mais nous avons depuis, eu le temps de devenir amis. Nous avons
depuis, parlé, rigolé, partagé déjà un peu d’intimité. Nous nous connaissons
donc un peu, trop peut-être pour donner à l’amour des corps l’intensité, la
force de la découverte de l’inconnu qui mérite de transgresser l’amour conjugal.
Mais cette amitié naissante n’a pas tué mon désir et a fait naître en toi,
l’hétero de base, après le jeu habituel du charmeur, conscient de l’effet
produit, une certaine envie de passer outre les barrières. Ce soir là, nous
avions passé une bonne soirée entre copains ; tu m’as parlé de tes conquêtes,
de toutes ces filles qui te courent après et que tu dédaigne la plupart du
temps.
Celles que tu raccompagnes chez elles et qui ne demandent qu’une seule chose : que tu montes chez elles prendre un dernier verre, le dernier, pour la route… et toi, tu prends un malin plaisir (que tu dis) à justement, ne prendre que ce dernier verre, pour la route… mais ton insistance à vouloir passer pour un allumeur est douteuse, le sourire de tes yeux cherchant à mesurer l’effet produit sur moi en dit long sur ce que tu as en tête. Alors nous aussi nous montons chez moi boire un dernier verre… mais c’est toi qui me le proposes !
je sors une bonne bouteille de vin, deux verres et la soirée s'engage, chaleureuse, tendre aussi, nous écoute quelques titres, on rit, on fait une petite partie de cartes, le temps passe, c'est bon. Tu n'as visiblement pas envie de partir et moi je voudrais que tu reste; nos voix se font plus traînantes, le vin sans doute? nos regards se croisent et s'évitent, quelque chose en nous s'est réveillé et nous ne voulons pas le voir, pas tout de suite. des fois on se frôle.
Celles que tu raccompagnes chez elles et qui ne demandent qu’une seule chose : que tu montes chez elles prendre un dernier verre, le dernier, pour la route… et toi, tu prends un malin plaisir (que tu dis) à justement, ne prendre que ce dernier verre, pour la route… mais ton insistance à vouloir passer pour un allumeur est douteuse, le sourire de tes yeux cherchant à mesurer l’effet produit sur moi en dit long sur ce que tu as en tête. Alors nous aussi nous montons chez moi boire un dernier verre… mais c’est toi qui me le proposes !
je sors une bonne bouteille de vin, deux verres et la soirée s'engage, chaleureuse, tendre aussi, nous écoute quelques titres, on rit, on fait une petite partie de cartes, le temps passe, c'est bon. Tu n'as visiblement pas envie de partir et moi je voudrais que tu reste; nos voix se font plus traînantes, le vin sans doute? nos regards se croisent et s'évitent, quelque chose en nous s'est réveillé et nous ne voulons pas le voir, pas tout de suite. des fois on se frôle.
Enfin, ta main s’est posée sur mon genou, tu n’as même pas attendu que je te propose une boisson. Tu m’as dit " je veux bien essayer" et, sans attendre, tu t’es déshabillé ; ostensiblement, devant moi, comme pour bien te montrer, fier de ton corps, sûr de l’effet que cela effectivement, me faisait. Me voilà mort de trouille, paniqué, que faire ? Accepter ? Refuser ? Tu te joues de moi ? Est-ce du bluff, vas-tu au dernier moment partir dans un énorme éclat de rire et me jeter à la figure « mais tu n’as quand même pas cru que j’étais sérieux !!? »
Et tu restes là, fier comme Artaban debout et nu devant moi, ta bite à quelques centimètres de mon visage ; et moi, qui reste cloué là, assis sur mon canapé. Bravo tu as réussi à me déglinguer la tête, je bouillonne, je dois faire quelque chose tandis que tu me regardes, ton sourire franc et sans arrières pensées et ta queue, ta queue, là juste devant moi qui doucement se dresse, les effluves de ton intimité qui déjà me parviennent. Il faut que je réagisse !
L’amitié, c’est
entre l’indifférence courtoise et l’amour. La gradation des sentiments est très
large. Du bon copain à l’ami intime. Du copain de virées à l’homme à qui l’on
dit tout, toutes les situations existent. Toi, c’était entre les deux. En tous
cas tout dans notre relation aurait dû m’interdire d’aller plus loin ce soir
là. D’abord, nous ne sommes pas intimes, mais est-ce là une condition
suspensive ou encourageante ? Nous sommes collègue de bureau, pas dans le même
service, mais dans la même entreprise ! Là, tout le monde s’accorde à dire que
c’est LA condition suspensive ! Et puis, je t’ai connu par ta copine qui, de
fait, travaille dans mon service et là, là, pour le coup, c’est très suspensif.
Alors,
timidement, tremblotant, j’ai caressé ta verge du dos de la main, j’ai posé un
léger bisou à la naissance des poils ; j’aurais pu tout arrêter là, avec une
sorte de dignité qui plus est ; mais non, je me suis levé, t’ai pris par la
main. Nous sommes allés dans ma chambre sans un mot. Tu ne riais plus, tu
comprenais que ta plaisanterie, ta provocation n’en était plus une. Tu voulais
et tu auras ce que tu étais venu chercher. Tu n’en menais donc pas large et moi
non plus d’ailleurs. Nos cerveaux étaient assaillis d’alertes de toutes sortes
: sur le lendemain, sur Carine, ta copine, sur le bureau, sur comment
allions-nous gérer cela. Mais ces flux étaient immédiatement censurés et
rejetés avec armes et fracas. Nous étions dans l’action et il nous fallait
terminer, demain serait un autre jour. Couché sur le lit, nu, tremblotant de
plus en plus, un sourire terrorisé sur les lèvres, tu me regardais me dévêtir.
Je t’ai rejoint
sur le lit, nous nous sommes regardés longuement, nos mains respectivement
posées sur le visage de l’autre. On ne riait plus, on allait au devant du
désir. Je me suis approché de tes yeux, tes yeux qui me brûlaient du regard et,
comme pour éteindre l’incendie, j’ai posé sur chacun d’eux, un tendre baiser.
Nous avons ensuite échangé notre premier baiser d’amour, profond, long. Tu
embrassais bien, finalement tu t’y prenais assez bien, tout en douceur, sans
timidité exagérée. Je pensais que ton inexpérience en la matière te laisserait
aller à une certaine passivité, mais non, ta main déjà explorait mon corps et
sans crainte aucune cherchait ma bite. Tu n’as pas été long à te pencher et à
la prendre dans ta bouche. Je te caressais le dos, tandis que tu t’affairais
sur mon engin. Mes mains cherchaient ton cul, ma bouche parcourait ton dos.
J’étais
abasourdi, toute crainte, tout doute s’étaient éloigné de moi. Ta queue ne
mentait pas, ma queue ne mentait pas ; par moment, je prenais ton visage et je scrutais
longuement ton regard pour chercher toute trace d’imposture ; je n’y voyais que
de la sincérité et le désir d’aller plus loin.
Tu n’avais reculé devant rien, tu t’étais laissé bouffer le cul et tu avais gémi. Tu as fait de même avec moi, avec beaucoup de délicatesse au début et de la fougue très vite ensuite. Ma queue très longue, très droite semblait te passionner : tu la regardais, l’embrassais, l’engloutissais tandis que ta main me malaxait les couilles. C’était de longs moments sans échange de mots hormis nos gémissements mêlés. Alors que nous étions tout deux accroupis face à face sur le lit, que nous nous embrassions, et alors que je te faisais découvrir un nouveau plaisir en te triturant les tétons, nous avons marqué un moment d’arrêt et nous nous sommes regardés ; j’avais envie de te pénétrer, si intensément que l’idée a du te parvenir.

tandis que tu me léchais et mordillais les épaules et le cou, mes doigts ont calmé et apprivoisé ta rondelle. Le moment venu, je t’ai rapproché de moi et, avec infiniment de tendresse et de précaution, je t’ai pénétré sans jamais quitter tes yeux des miens, suspendu à ta douleur ou à ton plaisir. Puis, lentement, à ton rythme, je t’ai baisé, doucement tout d’abord, puis avec fougue ; c’est toi qui menais le bal, ton corps maintenant couvert de sueur se soulevait régulièrement ; nous avions toujours les yeux rivés l’un sur l’autre et quand tu levais la tête comme pour mieux profiter seul de ton plaisir, je ne tardais pas à ramener ton regard sur le mien, je voulais profiter de tous tes instants de plaisir, ne pas en perdre une miette.
Tu bandais bien, je te branlais tandis que tu t’activais sur moi. J’étais très attentif à accompagner ton plaisir, je voulais qu’il soit partagé avec le mien, en aucun cas je n’aurais voulu que pour cette première fois nous eussions à jouir en décalé. Tes vas et viens sur ma queue se faisaient plus rapides plus pressants ; à chaque pénétration tu pesais plus fort sur moi et sur ma queue, comme pour me sentir en toi encore plus profond. Ta queue très dure dans ma main, s’agita soudain et dans un long spasme tu couvris mon torse de sperme ; je n’ai pu ni voulu résister à cette violente émotion et quelques instants après dans un long hurlement, j’ai joui en toi.
Tu t’es endormi
dans mes bras. Demain c’est samedi, Carine te cherchera sûrement. Ne pensons
pas au lendemain
superbe vidéo:
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