14 juillet 2020

discrétion? (petit fantasme d'après sieste estivale, )


Voilà une soirée d'été qui commençait bien! le club était bondé, la musique pas trop assourdissante et plutôt bonne.  . Il faisait tellement chaud que la plupart des mecs dansaient ou déambulaient torse nu. C'était plutôt agréable de se faufiler vers le bar en frôlant sans cesse des  corps suants et odorants et il n'y avait qu'a les imiter pour se sentir bien à l'aise. 
Arrivé au bar, enfin, impossible de commander un verre; les barmen étaient débordés et se faisaient un malin plaisir de regarder ailleurs quand j'essayais d'attirer leur regard. Et puis un petit miracle; tout d'un coup un des barmen posa un verre de gin-tonic devant moi.
- j'ai pas encore commandé!...
-c'est offert pas le mec là-bas ; Effectivement, un gars à quelques mètres de moi et surtout beaucoup de corps plus loin, me souriait; pas mal vu d'ici. Je m'approchai tant bien que mal fendant la foule agglutinée autour du bar.  -Merci beaucoup! tu m'as presque sauvé la vie, dis-je en plaisantant; commander un verre ici semble une vrai gageure ou alors je dois vraiment me poser des questions sur mon physique! je dois être transparent ou trop quelconque pour ces stars de barmen! -Pas de raison particulière; de fois on remarque quelqu'un dans une foule et il se passe quelque chose, n veut le connaître davantage...  Et sans préambule aucun il entreprit de me caresser le torse en souriant. - Hmmmm tu es en nage.. comme nous tous ici et ici cela doit être une vrai fournaise! quelle folie de mettre un jean aussi étroit ! me dit-il en regardant ma braguette et en posant sans attendre sa main dessus.
Bordel, quelle entrée ne matière! A propos de matière je devenais une cocotte minute, une bombe d'hormones en fusion prête à exploser.
Je l'embrassai, seule façon de dépasser mon désarroi et mon trouble.
Il ne perdait pas le nord, le bougre tandis que nos langues se battaient goulûment, tandis que je malaxais ses fesses fermes sous son short estival il avait déjà déboutonné mon jean et tenais ma queue extraite dans sa main. Je ne suis pas pudique plutôt le contraire et personne ne faisait attention à nous mais je le pris par la mai et l’entraînai aux toilettes, sans doute pour trouver une intimité . quelle illusion! Si la musique arrivait assourdie, il y avait foule autour des pissotières et des cabines pour fumer et avaler ou sniffer des substances inconnues. Une cabine se libéra et je nous enfermai dedans. Sans attendre, il baissa son short et me présenta son cul.
 -viens; vite!

Mon jean étant déjà ouvert par ses soins et ma queue raide à moitié extraite, je n'eus qu'à baisser mon jean .
Je glissai un doigt puis deux dans son  troufignon mais là encore les entrée en matière semblaient inutile, il agrippa ma bite et m'attira vers lui.
- empale-moi!
Je le baisai alors, ma verge à fond en lui, mes couilles frappant ses fesses. il aimait ça le bougre! son sexe était bien raide et il s'astiquait fiévreusement tout en hurlant sans honte. La foule présente dans ces toilettes devait se régaler de ces cris ou s'en foutre peut-être aussi. Mais on ne se doutait pas qu'un petit malin, filmait nos ébats depuis la cabine à coté avec son smartphone et sa poignée télescopique.
Ce n'est qu'en me rhabillant, que je levai la tête et vis enfin, le smartphone. je sortis de la cabine et demandai au mec des explications.
En guise de réponse, il se contenta de me demander mon whatsapp 
-je te l'envoie, cela te fera un souvenir ; à toi et à ton pote!
-ok mais tu la détruit juste après et devant moi.
Ce qu'il fit.
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