Encore une soirée passée au bureau. encore une longue, interminable journée de boulot et de stress. La tour est maintenant bien vide. par les baies vitrées de mon bureau; les lumières de la ville. Elle vibre, elle bruisse d'activités tandis que moi, je continue de galérer sur mon dossier client "urgent". Elle bruisse des plaisirs de la nuit et moi derrière les vitres épaisses et condamnées, du haut de mon vingtième étage, je n'entends rien, pas un bruit ne me parvient.
C'est une immense solitude qui m'envahit soudain, plus moyen de réfléchir encore, de taper le moindre argument, je n'ai plus vraiment envie de travailler.
C'est une immense solitude qui m'envahit soudain, plus moyen de réfléchir encore, de taper le moindre argument, je n'ai plus vraiment envie de travailler.
Je suis une vraie bouilloire. Le stress, la tension me serre les tripes, je suis au bord de l'implosion.
je me colle tout entier contre la baie, contre la ville à mes pieds, contre la nuit noire à peine violée par les scintillements de la cité, en bas.
Le froid du verre me calme un peu. je voudrais me vider, me liquéfier me fondre tout entier dans l'éther de la nuit, dans le scintillement des néons. Une idée folle me vient, J'allais me brancher, pas de raison de ne pas le faire, sur mon compte Cam4 et offrir à tous les voyeurs habitués du site, ce spectacle du cadre essayant d'évacuer son stress.
Le froid du verre me calme un peu. je voudrais me vider, me liquéfier me fondre tout entier dans l'éther de la nuit, dans le scintillement des néons. Une idée folle me vient, J'allais me brancher, pas de raison de ne pas le faire, sur mon compte Cam4 et offrir à tous les voyeurs habitués du site, ce spectacle du cadre essayant d'évacuer son stress.
je pensais aussi à tous ces gens qui se donnent quelques fois en spectacle aux fenêtres de ce nouvel hôtel de NYC dans meatpacking; c'est devenu, le dernier endroit à la mode pour se promener le soir: aller voir les exhib de l’hôtel "X".
j'allais donc me branler, m'offrir en spectacle aux improbables spectateurs qui pourraient m'apercevoir du haut de leur tour, de derrière leurs vitres épaisses sirotant leur bourbon du soir. On voit quelques fois dans les appartements d'immeubles à grande hauteur, des télescopes et il vrai que lorsque l'on habite un de ces appartements, la vue nocturne dans ces nombreux lieux de vie inconnus est fascinante.
je commence à me dévêtir; Je caresse ma queue bien raide à travers le léger et luxueux tissu de mon pantalon de costume. La braguette toujours collée à la baie vitrée, je défait ma cravate et la jette au sol déboutonne lentement ma chemise, l'ôte, tel un gogo boy; je fais de même avec mon pantalon et les chaussures
En boxer maintenant, je danse, lascif, sur une musique techno imaginaire. Une barre massive gonfle le tissu blanc. Je sens mon gland gonflé et prêt à délivrer les toutes premières gouttes de "mouille" Je balance voluptueusement mon bassin baissant de temps en temps mon boxer, collant ma queue dressée contre la vitre ou mon cul dont j'écarte les globes et colle ma rosace contre le verre froid et n'oublie pas les lointains spectateurs de la toile dont j'entends de temps à autre, les clics des tokens qui tombent. Je branle mon dard turgescent, goûte à ma mouille abondante, me penche pour glisser un doigt dans ma rosace. Je branle frénétiquement, trop, ma verge jusqu'à enfin, éjaculer enfin.
C’était bon. cela m'avait permis de m’apporter un peu de calme et de sérénité d'éloigner mes soucis de tarifications et de penser enfin à rentrer chez moi.
la station de métro était bien entendu quasi déserte ainsi que la rame express qui devait me conduire dans ma banlieue lointaine.
Fort heureusement c'était une rame avec très peu de stations et le trajet n'en serait que plus court. le wagon était vide également hormis un clodo emmitouflé dans des couches de vêtements et cuvant son vin.
Vide jusqu'à l'entrée in extremis d'un mec qui s'est assis sur la banquette à ma droite. Très vite, alors que le train roulait à vive allure dans les tunnels et viaducs de la ville, j'ai vu qu'il s’intéressait vivement à moi. Il avait d'ailleurs déboutonné son caban et se caressait visiblement l'entrejambe.
Il ne m'en fallait pas plus pour me mettre les hormones en émoi, pour que ma queue se raidisse dans mon pantalon et bien entendu qu'il s'en aperçoive !...
Sans hésitation aucune le voici qui extrait, de son pantalon son sexe; une belle, longue et épaisse queue qu'il se met à branler en me regardant. je fais bientôt de même, reculant le moment de me précipiter pour engloutir le plus possible de cette chair brûlante qui s'offre à moi.
Fort heureusement c'était une rame avec très peu de stations et le trajet n'en serait que plus court. le wagon était vide également hormis un clodo emmitouflé dans des couches de vêtements et cuvant son vin.
Vide jusqu'à l'entrée in extremis d'un mec qui s'est assis sur la banquette à ma droite. Très vite, alors que le train roulait à vive allure dans les tunnels et viaducs de la ville, j'ai vu qu'il s’intéressait vivement à moi. Il avait d'ailleurs déboutonné son caban et se caressait visiblement l'entrejambe.
Il ne m'en fallait pas plus pour me mettre les hormones en émoi, pour que ma queue se raidisse dans mon pantalon et bien entendu qu'il s'en aperçoive !...
Sans hésitation aucune le voici qui extrait, de son pantalon son sexe; une belle, longue et épaisse queue qu'il se met à branler en me regardant. je fais bientôt de même, reculant le moment de me précipiter pour engloutir le plus possible de cette chair brûlante qui s'offre à moi.
Notre rame ralentit soudain à l'approche d'une station; vite il faut calmer un peu le jeu, couvrir nos sexes dressés. Personne ne monte et, dès la fermeture des portes, sans réfléchir, je me jette littéralement sur son engin..
Bon Dieu comme il est gros, massif. dès le gland passé, sa base s’épaissit et j'ai grand peine à l'absorber tant elle remplit ma bouche! pourtant je n'ai qu'une seule envie: l'engloutir totalement. Ses couilles que j'attrape dans les replis du pantalon sont moites. Cela sent bon le mec, l'intimité trop longtemps enfermée dans le coton du slip. C'est fort..
je me lève ensuite pour lui offrir mon sexe qu'il avale plus... facilement tandis que je regarde les lumières de la ville défiler derrière la vitre.
Bientôt, excité, en rut, je me mets en tête de me foutre à poil. Je connais cet express et le prochain arrêt laisse du temps libre et, à cette heure-ci, rare sont les voyageurs. j'avais de toutes façons une terrible envie de faire l'amour là, sentir ses mains sur mon corps et non pas seulement à travers les vêtements ; j'avais envie de faire l'amour là dans le bruit assourdissant de métro filant dans les sombres banlieues.
Mais je suis trop excité; Sa superbe queue tantôt dans ma bouche, entre mes mains, entre les siennes me rend fou et, bientôt à moitié nu, je ne peux me contenir davantage, je jouis, je jouis contre le plastic orange de la banquette, un peu sur son manteau aussi....
Nous avons chacun notre tour goûté à ma semence puis tandis que me rhabille, accroché à la barre centrale, il se branle devant moi et jouit très vite, laissant son sperme couler le long de l'acier. Je me précipite pour nettoyer sa verge poisseuse de foutre.
Bon Dieu comme il est gros, massif. dès le gland passé, sa base s’épaissit et j'ai grand peine à l'absorber tant elle remplit ma bouche! pourtant je n'ai qu'une seule envie: l'engloutir totalement. Ses couilles que j'attrape dans les replis du pantalon sont moites. Cela sent bon le mec, l'intimité trop longtemps enfermée dans le coton du slip. C'est fort..
je me lève ensuite pour lui offrir mon sexe qu'il avale plus... facilement tandis que je regarde les lumières de la ville défiler derrière la vitre.
Bientôt, excité, en rut, je me mets en tête de me foutre à poil. Je connais cet express et le prochain arrêt laisse du temps libre et, à cette heure-ci, rare sont les voyageurs. j'avais de toutes façons une terrible envie de faire l'amour là, sentir ses mains sur mon corps et non pas seulement à travers les vêtements ; j'avais envie de faire l'amour là dans le bruit assourdissant de métro filant dans les sombres banlieues.
Mais je suis trop excité; Sa superbe queue tantôt dans ma bouche, entre mes mains, entre les siennes me rend fou et, bientôt à moitié nu, je ne peux me contenir davantage, je jouis, je jouis contre le plastic orange de la banquette, un peu sur son manteau aussi....
Nous avons chacun notre tour goûté à ma semence puis tandis que me rhabille, accroché à la barre centrale, il se branle devant moi et jouit très vite, laissant son sperme couler le long de l'acier. Je me précipite pour nettoyer sa verge poisseuse de foutre.
Un sourire, un baiser et il disparait dans la nuit au prochain arrêt. J'étais enfin calmé, le clodo dormait et cuvait toujours. Je savais que j'allais bien dormir et que demain serait un autre jour.
Première partie de cette vidéo pleine de tension et d'envies...Est-ce toi ? ce corps est si beau...Cette queue si belle, plein de promesses...
RépondreSupprimerC'est peut-être moi,Pierre.
RépondreSupprimerOui,beaucoup de tensions et d'envies,avec une queue,pour TOI:
Pierre