15 février 2022

Grave envie, maintenant! (chuuut17!)



Un soir, chez moi, je traînais ferme mon ennui l'oeil rivé  sur l'écran de mon téléphone à parcourir les annonces sur une appli de rencontre pour mecs. Je ne trouvais pas grand-chose, j’avais envie d’un bon plan fun, d’une bonne défonce, d’une bonne queue.
Cela faisait une éternité que je m'éclatais les yeux, le désir montait ainsi que ma gaule en regardant les photos des membres - dans tous les sens du terme- ! Voir ces corps musclés, poilus ou non et ces queues… J’avais de plus en plus envie, je me demandais même si je n’allais pas me rabattre sur un mec qui me plaisait pas trop, mais avec une bonne queue histoire de baiser. Cela faisait plusieurs mois, suite à une rupture que je n’avais pas rencontré un mec et là j’en avais grave envie.
Soudain, je reçus un message d’un mec «Grave envie maintenant ». Sur son profil, sa tête n’apparaissait pas, juste son corps, musclé, poilu sur le torse dessinant encore plus son torse. Évidement il me plaisait  beaucoup. Le profil disait qu'il  était  seulement actif, ce qui me convenait car je suis surtout passif. Je me disais aussi qu’il jouait quand même dans une autre catégorie et que je ne pouvais  pas lui plaire. 


D'autres photos jointes montrent  deux mecs et il me dit que c’est lui et son pote et qu’ils cherchaient un passif prêt à encaisser. Son pote était plus sec, plus fin et sans poil, mais ils avaient tous les deux de jolies queues. Son pote une belle tige fine et longue, et lui une bite plutôt très épaisse. J'étais aux anges devant ces photos, et j'avais une gaule à  rompre et en même temps un peu d’appréhension, ça faisait  plusieurs mois que rien ne s'était passé, je ne m'étais jamais fait prendre par deux mecs dans la même soirée… j’avais un peu peur. J’essayais alors de me défiler en leur disant - Wahou super sexy, mais on joue pas dans la même catégorie, je suis pas top physiquement .

 Là je me dis que ça allait les décourager ça aura été un bon fantasme le temps que ça a duré.
Je reçu alors un :
-  tkt on s’en fout, on a juste grave envie de se vider, par contre si tu viens il y a qu’une seule règle .
 Mon cœur s’emballait et ma queue aussi, je pouvais avoir la chance de me faire sauter par deux beaux gosses. J’aimais beaucoup sa façon de s’exprimer « juste envie de se vider », cela faisait très mâle, le mec qui sait ce qu’il veut et il va se faire plaisir. J’ai déjà fait des plans dominants et j’ai beaucoup aimé même si j’ai honte de l’avouer; sentir un mec prendre complètement le dessus, être à sa merci, être là pour son plaisir c’est réconfortant.
Ces mots maintenant me firent me questionner, qu’une seule règle ? Qu’est-ce que ça veut dire ? Je leur répondis 
-  je vous écoute . 
La réponse ne se fit pas attendre
 - pour avoir la chance d’être baisé par nous il faut que quand tu viens, tu fasses ce qu’on te dit. Si à un moment tu le fais pas, tout s’arrête, et on te fout dehors à poil. A prendre ou à laisser.  
Mon excitation était  à son comble, j’avais  envie d’y aller, de foncer, de vivre mon plan à fond, d’être utilisé, baisé… et puis je me dis merde jusqu’où ils veulent aller. Car j’aime quand c’est sauvage, mais je n’ai pas envie de me faire péter la gueule, chier dessus… Je décidai de poser une question
 - Mmmmmh excitant. Vous avez quoi comme délire pour savoir si ça marche.  Une fois de plus la réponse fut directe 
-qu’une façon de le découvrir, vient . 
Je n’aurais pas plus d’information. Quelques secondes après 
- Bon tu te décides où on passe au suivant . Cette phrase fut comme un électrochoc en moi, merde j'allais passer à côté d’un bon plan. Tu en rêves Seb c’est le moment de te lancer, au pire ça ne te plait pas tu dégages, t’arrêtes tout. 
-  Ok je prends une douche et j’arrive .
 - Grouille  mec !!!! .





Je me douchai rapidement, j’enfilai un joke, et je me lançai. Je fumai une clope sur la route.  Mon  cœur qui battait la chamade, je repensais à leurs photos, vraiment sexe et ces queues!  j'allais  prendre cher. J’en mourrais d’envie et en même temps  j'étais  assez terrorisé. arrivé devant l’adresse, je fumai une autre cigarette pour me donner du courage. Je montai et frappai à la porte. Celui qui m’avait écrit ouvrit.  e
En jogging, torse nu. Rien que de le voir là je ne regrettais plus d’être venu.
-  rentre.
Je tremblai comme une feuille, d’excitation et de peur.
Lui : Bon je répète à partir de maintenant ce que je dis tu le fais, si tu ne le fais pas tout s’arrête.
Je hochai la tête, incapable de parler,  le ventre serré. Il me fit rentrer dans le salon, son pote était avachi sur le canapé, en jogging aussi, une cigarette au bec, buvant une bière et matant un porno gay sur le grand écran. Un mec attaché sur un sling, plusieurs mecs autour se faisait démonter par tous les trous. Cela donnait l’ambiance de la soirée à venir.....gros flip.
Lui : C’est vrai qu’habillé t’as pas l’air super top. Tu nous trouves comment nous ?
Moi, timidement : super sexy.
Son pote : c’est tout ce que tu trouves à dire ? Va falloir y mettre du tien.
Moi : j’adore vos corps, je rêverais d’en avoir un comme le vôtre. Vous ressemblez à mes fantasmes.
Lui : ah ben voilà ! Ce soir on veut voir de l’admiration dans ton regard, à partir de maintenant tu nous vénères. Ce que lui te dit c’est comme si c’est moi qui te le dis donc tu fais.
Je hochai une nouvelle fois la tête. Tous les deux installés sur le canapé, une bière à la main, leur regard allaient de la télé à moi. Moi je restais débout ne sachant  quoi faire. J’admirai leurs corps, leurs sourires, leurs yeux et j’essayai de voir une bosse sous leur jogging.
Lui : bon fous-toi entièrement à poil.
Ok le moment était venu, un petit coup de panique et si mon corps était vraiment trop laid pour eux ? Et s’ils me renvoyaient chez moi sans avoir vu leurs mandrins…
Son pote : aller dépêche.
Je m’activai, enlevai mes baskets et chaussettes puis mon pantalon.
Moi : j’ai mis un jock je dois l’enlever aussi ?
Son pote se leva, s’approcha de moi, attrapa ma tête 
- tu parles que si on te pose une question.
Je baissai la tête.  Il se mit à rire.


- on va bien s’amuser. Dit-il en s'approchant  de moi et en agrippant fermement mon jock et ce qui s'y trouve..
- Ouvre la bouche.
Je m’exécutai immédiatement et il me cracha dessus, directement dans la bouche. J’étais en train de refermer ma bouche quand je reçu une baffe. La pression sur mes boules se fit plus forte. 
Son pote : je t’ai pas dit d’avaler.
J' ouvris la bouche et il en cracha deux de plus. Puis il rentra un doigt dans ma bouche il m’ordonna de le sucer. Après une ou deux minutes, il me dit de finir de me déshabiller, mais de garder mon jock. Une fois nu ils me firent monter sur la table basse, debout, les mains derrière le dos pour pouvoir voir mon corps.
Lui : c’est vrai que t’es pas terrible, ces poils, ce petit ventre et surtout ces seins.
Il se leva et vint mettre une main sur mon sein.
Lui : remarque ça fait penser à une meuf.
Ils se marrent. Ils viennent se mettre de chaque côté de moi, face au miroir au-dessus du canapé. On voyait nos torses. Chacun une main sur un de mes seins.
Lui : tu vois ça c’est ce qui fait qu’on est des vrais mecs et toi juste bon à baiser.
Son pote : ouais t’es rien toi, tu comprends la chance que t’as qu’on te laisse nous voir, de recevoir notre salive et tout ce qu’on voudra bien te donner ?
Moi : je me rends compte de cette chance.
Lui: met-toi à genoux. 
Je m’exécutai tout de suite. Son pote sortit son téléphone. J’allais protester quand
son pote déclara  : rappelles-toi, tu fais ce qu’on veut où tu dégages.
Je ne savais pas quoi faire, se faire dominer et traiter comme une merde c’est une chose qu’ils en gardent la preuve s’en est une autre. Mais en même temps ils étaient là au-dessus de moi, sexy, torrides. Ils se mirent à me cracher dessus après m’avoir demandé d’ouvrir ma bouche. Je m'exécutai docile, l’autorité dans leurs voix me faisait me soumettre. Ils m’insultaient et  continuaient de me cracher dessus.

Son pote m’attacha alors les mains derrière le dos puis ils sortirent de leurs joggings leurs verges en même temps, assez molles encore. Tout à coup je sentis un liquide chaud couler sur ma tête je me retournai vers le poilu, il était en train de me pisser dessus! L’odeur était assez forte, mais j’aimais cette vision de lui en train de me pisser dessus, sur la tête, le visage, le corps, la bouche. Son pote sortit son jet à son tour. Je recevais  de la pisse de toute part, je n’arrivais pas à y croire que je me laissais faire comme ça, que j’adorais cette sensation chaude sur mon corps. C'était la première fois que ça m'arrivais mais Je me délectais de ce doux nectar, je ne pus m’empêcher d’avaler.
Lui : regarde comment il bande, il aime qu’on lui pisse dessus.
Son pote : une vraie fiotte, une chienne, une garce, une merde, un urinoir, un vide couilles.
Ils s’amusaient comme des fous. Moi je  n’avais qu’une envie c’était de gober ces queues, de les sentir au fond de ma gorge et de mon cul, j’étais en transe, prêt à faire n’importe quoi pour avoir ces queues. Ils me firent me doucher après qu’ils m’aient pissé dessus. Quand je revins  dans le salon, je les trouvai à poil, la bite à la main devant le porno.
Lui : t’aimes les pieds ?
Moi : pas trop.
Lui : dommage pour toi, lèche nos pieds.
Je me mis donc entre eux, à quatre pattes comme ils me l’ordonnèrent et j’entrepris de leur lécher les pieds. Je  ne m'étais jamais trouvé dans ce genre de situation et je n’étais pas  spécialement fan de ce type d’odeurs, mais là  j’aimais me retrouver là à sucer leurs orteils, lécher la plante ou le dessus. Ils essayèrent même de rentrer leur pied dans ma bouche. 
Son pote : on pourrait passer aux choses sérieuses non ?
Lui : grave !!!!
J’étais chez deux mecs que je ne connaissais pas, à poil, à quatre pattes, en train de lécher leurs pieds. Ils me firent me retourner, ils étaient puissants avec leur énorme queue entre les mains. Celle de son pote était plus fine, mais paraissait vraiment longue, par contre la sienne était un peu moins longue, mais elle était énorme. Je rêvais de les prendre en bouche.
Lui : t’en as envie de ces queues hein ?
Moi : oh oui.
Lui : dis-le !
Moi : je rêve de pouvoir avoir la chance de me faire défoncer la bouche par vos queues. D’être votre objet pour vous faire plaisir. D’être honoré par vos queues.
Son pote : c’est bien ça.
Il me caressa la tête.
Lui : c’est moi qui l’ai fait venir c’est moi qui commence.
J’allais m’approcher de lui à quatre pattes quand il se leva.
Lui : ouvre la bouche.
À l’instant où je l’eue ouverte il m'enfonça  sa verge en me maintenant la tête. J’aurais aimé pouvoir la lécher, la sucer un peu, en profiter. Là il était en train de m’étouffer avec sa grosse pine. J’avais envie de vomir, je bavais à n’en plus pouvoir et je toussais.
Lui : va falloir faire mieux que ça.

Il la ressortit un instant pour que je respire et me l’enfonça à nouveau. J’essaye de ne pas le décevoir, mais elle était si grosse. Son pote sortit une bouteille de poppers et me la mit sous le nez. Je respirai à fond. Il commença alors des va-et-vient dans ma gueule. J’étais littéralement un sextoy. Après plusieurs minutes, ce fut au tour de son pote. Elle était plus fine alors c’était plus facile à prendre en bouche, mais elle allait plus loin. C’était moins agréable, mais il ne manquait pas de rigueur. Ils n’arrêtaient pas de filmer et de prendre des photos. J’étais aux anges de recevoir ces engins, mais apeuré de ce qu’ils pourraient faire avec ces photos et vidéos.
Pendant que son pote me tambourinait la bouche, lui passa derrière moi. J’allais me la prendre dans le cul.
Profitant d’un moment de respiration,
-  je préférerais un préservatif.
 Sans m'entendre, Il enfonça le bout de son gland dans mon oeillet m'arrachant un cri de douleur.
Lui : t’es sûr que tu veilles que j’en sorte ? Tout peut s’arrêter. Aller sniffe-moi ça
J inspirai une grande lampée de poppers et après une fraction d’hésitation je poussais mon cul pour que sa bite pénètre plus.
Son pote : ça c’est une bonne salope.
Lui : putain son cul est grave serré.
Qu’est-ce qu’il me faisait mal!  Elle était trop grosse, je n’étais pas du tout préparé, mais ça, ils s’en foutaient. Ils me firent renifler de nouveau un peu de poppers et il poussa sa queue au fond de ma rondelle. Je poussais un cri étouffé par le mandrin  de son pote. Ils étaient tous les deux sur moi, à me démonter. J’en avais toujours rêvé, un derrière un devant. Mais qu’est-ce que c’était douloureux et tellement satisfaisant. L’excitation était à son comble, je bandais comme un taureau. Je ne savais plus où donner de la tête, je ne réalisai rien, je subissais simplement. Prenant des coups de queue dans le cul et dans la bouche. J’étais à bout de force, tout mon corps tremblait.
Ils décidèrent de m’allonger sur le dos, son pote présenta sa queue à mon anus qu’il transperça avec un sourire vicieux. Je poussais un hurlement. Alors le poilu présenta sa queue devant ma bouche, en montant sur mon torse. Ma tête reposait sur le sol, j’étais incapable de faire quoi que ce soit. Je ressentais trop de choses, de la douleur, du plaisir, de la satisfaction d’être à ma place. Il se mit en équilibre sur ses bras et m’enfonça sa queue au fond de la gorge. J’étais inerte, je me laissais faire. Je n’en pouvais plus, mais je ne pouvais rien faire. J’encaissais comme j’étais obligé de le faire. J’avais toujours rêvé de ce moment-là où je n’en pourrais plus, mais que ça ne s’arrête pas. J’avais les yeux qui pleuraient, je manquais de m’étouffer, j’avais le cul en feu. Mais j’avais la satisfaction de leur procurer du plaisir, moi qui étais loin d’être aussi séduisant et sexy qu’eux. Ce soir c’était moi leur vide couille.

Il se mit à se branler au dessus de ma tête pendant que son pote continuait de tambouriner mon cul. Il s’amusait bien, il rentrait, il sortait. Il alternait entre rythme rapide et rythme plus lent où il prenait plaisir à aller jusqu’au fond, m’arrachant au passage de grands couinements. Je sentais le poilu se contracter au-dessus de moi, il se branlait frénétiquement, ces muscles étaient bombés, de la transpiration coulait sur son torse que j’avais envie de caresser et lécher. Il avait un regard satisfait et pervers. Il comprenait quel plaisir c’était pour moi de le voir se masturber. Il était pas loin de la jouissance, il m’ordonna alors d’ouvrir la bouche, me cracha dedans et m’enfonça sa queue pour éjaculer.  Des râles profonds et rauques  de plaisir accompagnèrent de bonnes giclées  de foutre dont je me délectai. Il me fit lui nettoyer la bite. Que c’était bon !


Son pote s’occupait toujours de mon cul, mais j’avais l’espoir qu’il ne tarde pas. J’avais les pieds du poilu sur ma bouche que je devais lécher et sucer. J’étais par terre, lui assis sur la table basse et son pote qui s’amusait encore et encore. Il essayait de me faire crier et couiner le plus possible. Il était vraiment endurant. Le poilu se mis à me pisser dessus, je fus surpris de recevoir ce jet chaud, mais j’ouvris docilement la bouche même si en étant allongé ce n’était pas pratique pour avaler.
Je sentais qu’il arrivait enfin au bout, ses coups étaient profonds,  il fermait les yeux. Après un gros râle, il pulsa son sperme directement en moi. Il continua de donner quelques coups. Il sortit sa queue et fit des photos de mon cul se vidant  de son sperme. Il passa un doigt sur ma raie pour en rattraper  et le porta à ma bouche pour que je goûte ce délice. Il me fit lui aussi nettoyer sa queue puis me pissa une nouvelle fois dessus.
Je m’apprêtais à me lever pour aller me doucher quand le poilu posa son pied sur mon torse.
Lui : pas si vite je n’ai pas encore bien profité de ton cul.
Moi : j’en peux plus là.
Lui : fallait y penser avant.

Il me fit me retourner sur le ventre, j’avais le visage dans la pisse des deux mecs. Il présenta son énorme gland à mon trou encore humide.
Moi : s’il te plait, va y douce…
Je n’eus même pas le temps de finir ma phrase que je poussais un cri au moment où sa queue toucha ma prostate. Il n’en avait rien à foutre de l’état dans lequel je me trouvais, il voulait s’amuser et ça durerait le temps qu’ils l’eussent décidé.
Il jouait avec mon cul, il fait sortir son énorme gland pour me le renfoncer directement bien profondément.
Lui : t’aimes ça salaud.
Moi : je suis tout à toi, j’aime sentir ta puissance.
J’avais parlé la tête toujours dans la pisse, incapable de faire d’autres mouvements. Je pleurais, la douleur était intense, j’avais le cul en feu. Mais je ne saurai expliquer cette sensation d’être à ma place, je n’avais pas vraiment envie que ça s’arrête, je voulais profiter de cette queue. Son pote était en train de filmer encore, je l’aperçus du coin de l’œil. Ils rigolaient.
Son pote : elle est morte la salope, vas y montre lui ce qu’est un homme.

Il posa ses mains sur mes épaules et poussa bien au fond. J’essaye de bouger avec le peu de force qui me restait, mais je ne pouvais pas. Il donnait de petits à coups bien au fond pour me faire couiner. Il était vraiment doué.
Après avoir bien joué avec moi, il accéléra le rythme. Si j'avais été une poupée gonflable il aurait pris plus de précautions. Il éjacula en donnant de bons coups au fond de rosace  pour me prendre mes derniers couinements. Il retira sa queue et la re-rentra pour me faire sortir un dernier cri. Il sortit sa queue et promena ses doigts le long de mon cul béant et s’amusa à faire rentrer son sperme dans mon cul avec ses doigts.
Lui : t’as plus qu’à nettoyer ma queue maintenant.

Je me relevais difficilement et m’activais à nettoyer sa queue, profitant de ce temps calme pour savourer, promener ma langue et déguster. Il me pissa une dernière fois dessus.
Lui : tu peux prendre tes fringues et te barrer. Ils me mirent sur le palier juste après avoir pris mon numéro pour m’envoyer les photos et les vidéos pour ne pas les oublier. Ça, aucun risque. Je me retrouvais nu, couvert de sperme et de pisse sur le palier. Je me dépêchais à m’habiller et rentrai chez moi souillé. Je n’avais pas de force pour une douche, je me déshabillais et m’allongeai sur mon lit. Mon cul me faisait mal, mais je ne pus résister à l’envie de me branler. Je m’endormis recouvert, en plus du reste, de mon sperme.


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