27 février 2021

bene pendentes **

D'une manière générale, j'aime voir le sexe des hommes. Bien entendu, il y a des engins que je vais préférer à d'autres; celle-ci parce qu'elle est élégante, longue, fine, celle-là  parce qu’elle est charnue et massive, cette autre encore parce que les couilles sont délicieusement accrochées telle la statuaire antique. Mais j'avoue avoir un petit faible pour les couilles bien pendues et si l'on peut apercevoir de derrière particulièrement, je défaille!
Hélas ce n'est pas mon cas, j'ai des couilles "normales" ni trop ni pas assez pendues.
 Il y à peu, j'ai vu ce mec au gymnase; un corps parfait. Sec, finement musclé, tatoué de partout mais avec élégance et.. un sexe tout bonnement superbe! magnifique; long, fin sur des couilles vertigineuses...
Un ami qui avait vu mon trouble et qui me veut sans doute du bien m'a conseillé de mettre un "ballstretcher". Il y en a de toutes sortes; avec des poids, en acier, en cuir et en silicone. J'ai choisi le silicone transparent; c'est pas douloureux et ça permet, soit disant",   un étirement du scrotum... let's  see!







Et puis, c'est si bon,  quelque soit le coté où l'on se trouve d'entendre le bruit sec des couilles qui battent contre un cul sans compter la sensation, d'un coté comme de l'autre!
 
















26 février 2021

l'amour est dans le pré

 






Et pourquoi pas une émission genre "l'amour est dans le pré" mais gay? en tous cas ce gars n'a pas attendu pour s'y mettre!






challenge réseaux sociaux?

 



challenge réseaux sociaux?









presque le printemps..

 


Aujourd'hui pour la première fois, nous avons pu déjeuner dehors!


24 février 2021

Rosace

Et c'est bien là où je pourrais bien me noyer, éperdu de bonheur, ivre de rosée musquée. Et c'est bien là où je voudrais me perdre dans ce maquis touffu et moite qui  quelques fois protège le saint des saints.
 Ce Graal doux et émouvant. Ce plus que toi même, ce toi tout entier concentré là. Au plus profond d'une vallée boisée ou d'un ravin sec ou même parfois gorgé d'humidité, juste là tout près à portée de regard et de langue. Longue cicatrice, étroite caverne ou bien même gouffre profond. Toujours la même émotion, La même envie de m'y perdre, de m'y réfugier. Toujours cet irrépressible désir de le fouiller de fond en comble, de m'y enfoncer toujours plus profondément toujours plus loin. A en étouffer. Mais quel bonheur de sentir au bout de mes doigts, de ma langue, de mon menton, vibrer les chairs moelleuses et tendres. Et c'est bien là où je voudrais me perdre.  Et le continent tout entier de son corps vibrer à l'unisson.













23 février 2021

wide open

 




sentir mes boules triturées par des sphincters,... ou sentir des couilles et un queue en moi,....


Franchement!? j'aimerais bien être l'un et l'autre....




Le Labyrinthe 2495




Blues, bad mood, je me traîne dans Paris. Crachin, gens pressés stress, fête à la grimace.... Toute l’ambiance des jours bof où l’on voudrait être loin ailleurs avec son mec. Mec qui comme un fait exprès est en voyage d’étude, au soleil du Liban.
Le sentiment d’être une « pauvre fille perdue et esseulée » n’a qu’une seule issue…une seule manière de remonter la pente: se donner à fond !
Direct, droit devant, en route vers ce sauna proche de l’Opéra. A cette heure-ci, un dimanche, la touze devrait battre son plein.
A peine déshabillé, chaud comme la braise, je file vers le hammam pour « dilater mes pores », me décontracter e
n profondeur.


Le labyrinthe, est en haut, je n’ai même pas envie de garder ma serviette autour de la taille ; à quoi bon ces faux-semblants. Tous ces mecs entrevus dans les ces petites cabines et qui attendent patiemment d’être choisis tout en se paluchant négligemment n’ont que faire de ces fausses et inutiles pudeurs.
Pas trop de monde quand même, je m’aventure doucement, au fur et à mesure de mon avancée le noir se fait plus compact. L’odeur ambiante, m’excite encore plus ; cela sent l’homme, Les hommes, la nudité, le caoutchouc des préservatifs et d’autres effluves plus intimes. Les regards se croisent, ma bite se dresse. Quelques mecs se touchent, d’autres attendent ou regardent les quelques ébats en cours ; à chaque fois, je regrette de n’avoir pas apporté un appareil photo ; saisir quelques instantanés : une main qui agrippe, la queue du passant, des corps qui se frôlent ; la sueur perlant sur la peau des mecs en action.

Je m’arrête un instant près d’une sorte de niche, plus sombre encore que le reste mais qui m’offre un point d’observation idéal.
Une main m’effleure la fesse ; je ne réagis pas, elle s’avance donc plus hard
iment, s’attarde quelques secondes dans le creux de ma fesse et se dirige vers mon pubis. Je ne distingue encore rien de lui ; jeune, vieux, belle queue, gras? mince ?
Après avoir joué quelques instants dans mes poils, il se décide à me la prendre plus fermement ; de fait, il se rapproche de moi, son corps est maintenant contre le mien. Son haleine est maintenant perceptible alors qu’il effleure mon oreille d’un coup de langue. Je distingue un peu mieux son visage. Ses yeux sont brillants et me fixent. Il est beau, son corps est ferme, mes doigts parcourent les légers sillons entre ses abdos. Peu de poils mais une légère ligne velue qui court de son nombril jusqu’à sa queue.
 Mon Dieu, elles si dure, bien dressée, légèrement tordue comme je les aime tant ; Je ne veux aucune ambiguïté entre nous, je le caresse, admire du bout des doigts ses seins et ses tétons biens durs, et me tourne et me cambre ; je veux le recevoir, je veux cette queue-virgule en moi. Les « autres » s’agitent déjà autour de nous. Ils sentent le désir « fort » naissant ; Il a compris, il a envie. Déjà sa main s’aventure le long de mon sillon. C’est merveilleux, nos corps sont trempés de sueur, ils s’emboîtent d’autant plus facilement. Je grogne ; sa main parcoure de plus en plus profondément ma raie, et tripote les poils humides à la recherche de mon oeillet: je me cambre encore accroché à la paroi, j’écarte les jambes pendant que son doigt déjà entre à la découverte. Puis un second. Les « autres»  comme toujours s’agglutinent autour de nous, ils voudraient profiter du festin. Nous les repoussons. Mais j’aime ça, j’aime le regard des autres sur mon corps offert. J’aime que l’on voit, entende mon désir, mon plaisir; je gémis; ils aiment ; lui ça l’excite encore plus; alors, du bout de son gland, il caresse mon sillon, et, doucement l’humecte avec la sueur accumulée. Je sens mon cul se dilater dans l’attente de sa bite, j’imagine sa « queue paren
thèse », sa queue courbe se lover en mon sein. Je m’impatiente, ma bite frappe à chacun de mes gémissements mon ventre. Il vient, il est en moi. Agrippé, d’une main à la paroi, je m’accroche de l’autre à ses fesses, le poussant au plus profond. Il souffle ; le regard des autres me rend fou ; je suis fier. Ses mains parcourent mon torse pendant qu’il me laboure le cul. Je hurle de plaisir; comme à chaque fois, cette envie énorme, jamais assouvie, de l’avoir, plus loin, plus profond, plus longtemps; des mains, celles des «autres» s’approchent, essaient d’avoir des miettes de ce plaisir qui se déploie, chaque instant plus intense, là tout près d'eux ; sans eux; C’est une communion, une cérémonie baroque; tout cela finit par le gêner, il me prie de continuer dans une cabine, je n’ai vraiment pas envie car pour moi ce cérémonial ce sacrifice public participe à ma jouissance, mais sa bite déjà ramollit. Nous quittons le labyrinthe et partons vers la première cabine libre. Il rentre, s’assied sur le sol, la bite de nouveau dressée. Je m’avance vers lui sans le quitter des yeux et m’accroupis et m’empale. Je donne maintenant le rythme, nous haletons ensemble de plus en plus profondément. Ses doigts travaillent mes tétons, les pincent, m’arrachant à chaque fois des petits cris de douleur-plaisir. Maintenant, alors que l’inéluctable, sans cesse retardé approche, il me branle; il me branle durement, des deux mains. Mon prépuce tiraillé découvre à chaque mouvement mon gland. Je me retiens, pour rien au monde je ne viendrai le premier, c’est son foutre au fond de mon cul, son regard de petite-mort qui me donnera la jouissance. Il se cambre, il voudrait, son visage l’exprime, attendre encore, mais l’orgasme est là au bord de ses lèvres ; la chair de poule, une grimace, ses mains agrippent mes hanches. Un cri, long profond. Je n’ai plus aucune raison de me retenir, j’envoie un long jet blanc sur son ventre ; quelques gouttes sur sa poitrine.
Je m‘affale sur lui, on s’embrasse pour la première fois.





16 février 2021

le blockhaus (récit anonyme de passage) 18/04/14



Je décidais d’aller faire une promenade dans les collines qui surplombaient la mer ou j’avais passé d’agréables moment durant mon enfance. Nous étions à la mi juin, l’orage grondait, menaçant, mais j’étais bien couvert. En ce début de soirée contrairement aux après-midi, les sentiers étaient déserts.

Je venais ici avec des copains après l’école, nous étions libres, les anciennes casemates nous servaient de refuges pour nos jeux. C’est ici aussi que j’avais fait mes premières découvertes sexuelles, et les premières branlettes avec des copains. Les lieux semblaient être restés immuables. Je reconnaissais chaque coin, chaque blockhaus. J’en visitai un ou deux. Des traces récentes de visites montraient qu’ils étaient encore utilisés, sans doute par des jeunes en mal d’isolement et de tranquillité. Les cendres d’un feu de bois à l’entrée et de la fougère sèche au sol montraient que les lieux avaient été occupés il y a peu de temps.

Je m’approchai du blockhaus que nous préférions. Un couloir central bordé de petites pièces annexes qui aboutissait à deux grandes salles. Ces dernières disposaient de grandes ouvertures rectangulaires avec ’ vue sur mer ’. Des socles de béton équipés de pièces métalliques témoignaient qu'elles devaient avoir abrité des canons de défenses côtières.

C’était dans ces dernières salles que nous préférions nous retrouver, les plus claires et les plus spacieuses. Comme l’orage approchait je me décidai de me mettre à l’abri et en même temps d’y faire une visite pèlerinage. Je m’avançai prudemment dans le couloir mal éclairé de crainte d’un obstacle invisible. Les touristes sont sales et le sol était jonché de détrituset c'était sans compter sur l'odeur de pisse...

J’étais arrivé près de l'entrée des salles, elle étaient mieux éclairées que le couloir. Malgré les bruits du vent et entre deux coups de tonnerre, j’entendis un bruit provenant de l’une des salles. Sous le couvert de la pénombre, j’avançai la tête. La pièce était sommairement équipées de meubles disparates : une vieille table sur laquelle reposait une lampe à pétrole antédiluvienne, des cendriers emplis de mégots, des chaises dépareillées de vieux matelas. Sur l’une des chaises étaient posés des vêtements, mais je ne voyais encore personne, bien que je sentais une présence.

J’avançai un peu plus la tête, sur un socle de planches, un matelas équipé d’un sac de couchage était disposé presque au ras du sol, un traversin plié en deux servait de repose tête. Quelqu’un était allongé dessus, le corps nu, la queue dressée, raide, qu’il massait lentement en regardant une revue.

Allongé sur le dos, je ne voyais pas son visage, mais ses cheveux roux et son corps lisse, ses jambes fines imberbes. Apparemment un jeune gars, il ne m’avait pas vu ni entendu, Je l’observais, et je commençais à  bander, je sortis ma queue pour me masser de concert, ce petit salopard m’excitait déjà, surtout que j’avais vu que le bouquin illustré qu’il lisait semblait une revue gay.
A ce stade, je préférais rester discret , afin de mieux profiter du spectacle. Je me massais doucement au même rythme que le gars. Il faisait doux et je n’étais pas pressé.

Cela durait depuis un moment, quand je me décidais à signaler ma présence. Je toussotai et sans se retourner le gars demanda :
    - C’est toi Max ?



Il attendait visiblement quelqu’un, comme je n’avais pas répondu il à tourné la tête. D'abord surpris de ne pas me connaître, il sembla vite rassuré de voir ma bite tendue que je caressais. Il devait avoir 17 ou 18 ans, une touffe de poils roux encadrait ses couilles et sa verge  de belle taille.

J’avancai de quelques pas, il fixait ma queue. Je m’étais rapproché du lit. J’ai amorcé une caresse sur sa tête, puis sur son torse, il me laissait faire. Je me débarrassai de mes vêtements pour les poser sur une chaise. Il m’observait sans un mot.

Je me présentai ; il ne semblait pas gêné par ma cinquantaine sonnante. Il ne regardait que ma bite plus courte mais plus épaisse que la sienne, terminée par un beau gland dont j’étais fier, que mes ami(e)s appréciaient.

Allongé a ses cotés, mes mains parcouraient tout son corps, jouant avec ses tétons durcis , ou courant sur ses cuisse fermes, puis enserrant sa bite brûlante. Visiblement il appréciait et se décida lui aussi à  découvrir mon corps. Ses mains provoquaient des frissons agréables sur ma chair. Il se colla contre moi, je lui massai les fesses, il me le rendit aussitôt.

Le premier il me glissa un doigt dans la raie du cul, pour aller jouer avec mon petit trou et il se saliva le doigt avant d’aller le plonger dedans. Il appréciait que je lui facilite le passage, attendant visiblement que je lui rende la pareille.
Je me plaçai contre lui tête bêche, après avoir enfourné sa queue entre mes lèvres, je plongeai la tête plus bas et lui léchai l’anus.

Il me rendit la politesse, et après m’avoir bien salivé, il m’enfourna deux doigts dans mon cul bien ouvert, que je gode souvent avec de beaux engins. Je me plaçai alors à quatre pattes et lui demandai :

— viens me prendre j’ai envie de toi ! défonce-moi !

Calé derrière moi, Il m’enfourna sa queue  jusqu’aux couilles, ce mandrin chaud qui me fouillait le ventre me plaisait beaucoup. Pendant qu’il me pistonnait je lui dit entre deux gémissements :
    - Je m’appelle Jacques et toi ?
    - Vincent !
    - Je venais ici avec mes copains d’école il y a quelques années.

    - Avec deux amis, on vient ici depuis trois ans.... L'un d’eux devrait venir ce soir.

Il me prenait lentement à petits coups, en vrai habitué, une main passée sous moi agaçait mes tétons puis venait masser mes couilles et ma verge. Il savait y faire le gamin. Son ventre chaud contre mes fesses était une excitation supplémentaire. Ma queue ruisselant de mouille, je frôlai plusieurs fois l'orgasme . Il accéléra, me prévenant qu’il n’allait pas tarder a décharger. Je lui demandai de tout me lâcher dans le cul, de me remplir de son foutre. Il pistonna alors plus fort, se cabrant il me serra aux hanche pour me coller contre son ventre, je sentis alors giclée m’inonder. Intense. 
Vincent souffla un peu, alluma un clope, se contentant de regarder son foutre s'ecouler de ma rosace puis , jetant sa cigarette à peine consumée, il me demanda de le prendre à mon tour. 
Placé à genoux les fesses relevées, je lui léchai le cul en salivant bien sa rosette. Je me régalais de ses rondeurs fermes, de sa peau douce, de son odeur de rouquin. J’aimais aussi beaucoup son coté de petit vicieux sans manières, sans complication.

Je me plaçai derrière lui, posai mon gland sur sa rondelle et poussai doucement; mon gland était entré, le reste suivit aisément, mes couilles collant à sa raie. Je commençai mes aller-retour. Vincent me dit :
- Allez, plus fort !...... Défonce-moi !......... Encule-moi, vieux vicieux !.... Plus fort salope !..... Ça te plait, hein, vieux cochon de baiser un petit jeune ?...... Allez dit le ! !

Ses paroles me fustigeaient, je le prenais plus durement. Il aimait ça tendant ses fesses vers mon ventre, accompagnant chacun de mes coups de reins, d’une poussée opposée comme pour se faire prendre plus fort encore. A ce moment j’entendis une voix derrière moi :

    - Ben mes cochons ! Vous avez l’air de vous régaler tous les deux ! Je peux participer aussi ?

    - Bien sûr profites-en, je suis à ta disposition, lui ai-je répondu. En un tournemain Max, l’ami de Vincent se déshabilla.

Grand presque filiforme, brun, les cheveux très courts, le corps musculeux, il exhibait une très belle queue aussi longue que celle de Vincent, et plus grosse que la mienne. Il bandait déjà, présentant son dard sous mon nez, il dit :

— Allez vieux salopard suce-moi avant que je te baise ! !

Quel bonheur cette tige chaude dans ma bouche pendant que la mienne coulissait, enserrée dans un autre étui chaud elle aussi. Après un moment,  m'ayant bien chauffé, Max se retira de ma bouche, se plaça derrière mes fesses que je lui offrais sans manière. Vincent ayant  bien travaillé, il entra sans trop de difficulté, sa hampe me remplissant les entrailles, je me régalais d’être ainsi le milieu d’un sandwich. Nos rythmes s’étaient synchronisés d’eux même.
Nous nous défoncâmes ainsi longtemps. Nos haletements respectifs et  les bruits de succion mêlés , la tempête qui grondait à l'extérieur  emplissaient et resonnaient dans le blockhaus et dupliquaient notre plaisir.  Bientôt, je dus prévenir  mes partenaires que je ne pourrais plus résister longtemps au plaisir. Max me demanda haletant de l’avertir quand je giclerais pour le faire en même temps. Je m’étais agrippé plus fortement aux hanches de Vincent en haletant moi aussi  :

    - Ça vient, ça vient..... je vais partir !

Je me retenais encore pourtant, Max s’était crispé m’avertissant qu’il était prêt lui aussi. Ce petit salaud semblait pouvoir jouir sur  commande. Je me cabrai en lui demandant de m’envoyer sa purée. Je sentis sa semence dans mes tripes pendant que je lâchais la mienne dans le cul de son ami. Quel bonheur ! !

Momentanément repus nous étions allongés sur le duvet crasseux, je caressais les corps de mes nouveaux amis. Ils me racontaient leur premières branlettes, comment ils avaient commencé à  se sucer, puis à s’enfiler. Ils aimaient ça! Je leur racontais comment j’avais connu mes premiers émois ici même avec deux amis aussi. Puis mes aventures diverses dans des lieux insolites. Mes plaisirs dans des toilettes publiques, ou des aires de repos routier. Comment j’avais converti de jeunes étudiants à  nos plaisirs.

Émoustillés nous rebandions à nouveau, Max voulait que je le prenne à son tour pendant qu’il sucerait son ami, dont il adorait le goût du sperme. Nous avons ainsi continué nos ébats jusqu’à la nuit, alternant les rôles.

Au regret de nous séparer, mes deux nouveaux amis me firent promettre de venir les rejoindre dès que possible. 
- finalement,  t'es encore bon à ton âge,  le vioc!
Me donnant un numéro de téléphone portable, discret et joignable à  tous moments. J’étais ravi que ma compagnie leur plaise et qu’ils aient autant d’attraits pour mon cul que ma queue ou ma bouche.






13 février 2021

Pénombre



I
l suffit de grimper quelques marches et tout est dans une douce pénombre. Il faut quelques instants pour s'y habituer, pour distinguer tant bien que mal la géographie des lieux, pour entrevoir à peine éclairés par l'intermittence des projecteurs du rez de chaussée, des ombres à peine mouvantes. Le beat de la sono du bar ne parvient qu'assourdi. Il ajoute au mystère qui empli les lieux. Il accompagne les rares bruits qui me parviennent en franchissant le seuil de cette vaste mezzanine. Vêtements froissés, murmures, métal cognant le carrelage du sol (
boucle de ceinture?) je parcoure cette matrice bruissant de caresses, de gémissements étouffés. Mes yeux distinguent à peine ces ombres sur ombres, ces ombres de clair-obscurs. Parfois des éclairs de projo ricochent, l'espace d'un si bref instant sur des regards scrutant l'obscurité. Regards concupiscents, regards déjà embrumés par le plaisir. Je trouve un petit coin pour moi, un peu en retrait, juste pour voir, juste pour, au moins au départ, m'imprégner de la si particulière tension électrique de l'endroit, absorber par tous mes pores les phéromones dégagées par tous ces êtres en rut.

Ensuite, comme souvent, saoulé, enivré par toutes ces vapeurs de stupre, j'irai en chasse ou je m'offrirai en pâture suivant l'humeur. Près de moi, je distingue à peine un corps seul, en attente. Dans la pénombre, l'intermittence colorée des spots donne à ce corps dénudé, à sa délicate musculature, des reliefs superbes. Je m'approche, sans un mot. Corps contre corps. je laisse mes mains et mes yeux parcourir délicatement son torse et son ventre musclés, ma bouche effleurant sa douce pilosité. Mon visage maintenant à quelques millimètres du creux profond de ses fesses à peine couvertes d'un slip filet sombre. Depuis le début de mon exploration, il n'a pas bougé d'un poil. Imperturbable, il me laisse admirer sa plastique magnifiée par l'atmosphère "érogène" de l'endroit. Je laisse un doigt parcourir le mince filet duveteux de son nombril vers la ceinture de son slip. Sous la fine maille, un sexe se tend. Je le caresse par dessus le tissu ainsi que ses couilles bien fermes. Tout doucement, sous mes caresses, sa queue se déploie, m'offrant, sous le filet, un émouvant jeu d'ombres et de lumières. Encore un petit effort et son gland s'extraira de sa gangue. Alors, j'en suis sûr, viendra éclore une petite goutte de mouille  que je recueillerai délicatement du bout de la langue. Alors enfin, je soulèverai ce filet libérant son désir. Sa bite s'épanouira contre son ventre. Il sera à moi, livré à notre plaisir partagé.

Corps et biens



J'ai tant rêvé de toi que tu perds ta réalité.
Est-il encore temps d'atteindre ce corps vivant
Et de baiser sur cette bouche la naissance
De la voix qui m'est chère?
J'ai tant rêvé de toi que mes bras habitués
En étreignant ton ombre
A se croiser sur ma poitrine ne se plieraient pas
Au contour de ton corps, peut-être.
Et que, devant l'apparence réelle de ce qui me hante
Et me gouverne depuis des jours et des années,
Je deviendrais une ombre sans doute.
O balances sentimentales.
J'ai tant rêvé de toi qu'il n'est plus temps
Sans doute que je m'éveille.
Je dors debout, le corps exposé
A toutes les apparences de la vie
Et de l'amour et toi, la seule
qui compte aujourd'hui pour moi,
Je pourrais moins toucher ton front
Et tes lèvres que les premières lèvres
et le premier front venu.
J'ai tant rêvé de toi, tant marché, parlé,
Couché avec ton fantôme
Qu'il ne me reste plus peut-être,
Et pourtant, qu'a être fantôme
Parmi les fantômes et plus ombre
Cent fois que l'ombre qui se promène
Et se promènera allègrement
Sur le cadran solaire de ta vie.
Robert Desnos, "Corps et biens".


09 février 2021

Confiné, tu fais quoi? -24

 


Salut!

Salut!

On fait quoi cet aprèm? bof, j'ai reçu plein de nouveaux jouets, tu veux pas qu'on joue un peu avec?

Ouah! plusieurs tailles, j'aime pas trop la couleur mais bon....

Allez, en ligne, j'ai envie que tout le monde me voit essayer ces engins!






A en perdre la tête **

Mon Dieu, quand j'ai rencontré ce mec, j'étais loin de me douter de ce que j'allais découvrir et finalement expérimenter.

Au delà de son corps longiligne quoique sec et bien musclé, au delà de sa blondeur vénitienne, il m'a offert un sexe superbement long et veineux. Un sexe lourd qui même bandé peinait à se dresser, des couilles si bien pendues qu'elles m'ont rendu fou quand agenouillé sur le lit, m'offrant son cul au regard et aux baisers , je les voyais pendre  fièrement faisant contrepoids à sa queue dressée. Et quand enfin, j'ai pu jouer avec sa délicieuse rondelle, quand j'ai pu la sentir au bout de ma langue, s’entrouvrir, me céder le passage pour mieux m’enserrer, je ne voulais plus que faire corps avec lui, me confondre avec lui et en lui, mêler nos sèves dans un ultime soupir.  



01 février 2021

Fin de soirée


après la tournée des bars du marais,  seul encore,  je m'apprêtais à rentrer chez moi.  La rue était déserte et froide et après avoir vainement guetté le passage d'un taxi, je m'arrêtai un moment pour commander un vtc. 
Le nez encore dans mon smartphone,  une voiture s'arrêta près de moi.
- salut,  on passait devant le  bar au coin de la rue et on t'a repéré! T'es rudement mignon ! T'es tout seul et on s'est dit que peut-être tu ne voudrais pas finir la nuit tout seul...
Un peu gêné et tout de même amusé voire flatté,  je déclinai poliment, 
- sympa mais tu vois j'étais en train de commander un cab pour aller chez un pote. 
- tu sais, en fait on voulait te proposer un plan cul.. Erwan à l'arrière est acteur porno,  tu lui a tapé dans l'oeil et il bande grave pour toi.. Il voudrait bien tourner un plan cul avec toi.. une petite aventure exhib,  ça te dirait?
- Pas trop mon trip,  vraiment...
- Allez monte, on t'emmène là où tu vas et entre temps,  Erwan va te montrer ses atouts,  si tu changes d'avis...
- on filme mais c'est juste pour rigoler.  On te file la cassette,  on se garde juste une copie.
Je tentai d'apercevoir sans trop de succès ce Erwan derrière la vitre mais j'avoue que cette situation insolite m'excitait et après quelques instants d'hésitation,  je donnai mon accord.
- ok , je vous donne l'adresse,  merci pour le ride!
Je montai à l'arrière du véhicule et claquai la portière. 
Erwan me salua avec un superbe sourire. 
Pas mal le gus... il se caressait l'entrejambe qui effectivement semblait bien réagir à ses caresses. 
- Erwan,  montre-lui comment t'es chaud bouillant !

Je remarquai alors qu'il filmaient encore  avec un smartphone sur un trépied.
- vous filmez encore ?
- oui,  t'inquiètes pas,  si tu veux pas jouer avec nous, on effacera. 
Erwan me pris alors la main et la posa sur sa queue qui se dressait massive hors de son falze.
L'engin était brûlant ; magnifié par intermittence par les néons de la rue. Je sentais sur mes doigts saillir les veines gonflées de sang,..
Je m'approchai. Une forte odeur envahit mes narines. Il avait visiblement jouit il y a peu sans prendre le temps de se laver.. ajoutant encore à  l'attirance un peu sauvage de cet Erwan. Je humai ce vit,  le décalottai, le léchai avant de l'engloutir .
Il se dégagea de son pantalon et de son slip,  offrant à ma bouche sa queue dans toute sa longueur ainsi que ses couilles et son entrejambe humide. 
Je bandais,  je bandais tellement dur comprimé dans mon jean, que cela en devenait douloureux.  
- Alors,  convaincu ? T'es ok? Tu vas prendre ton pied comme jamais.
Cette question n'appelait visiblement pas de réponse.  La voiture roulait vers une destination inconnue , la caméra filmait sans interruption, je ne pensais plus qu'à mon désir tandis que Erwan libérait ma verge de sa cage. 
 

A genoux entre ses cuisses écartées, sa tige noueuse en face de mon visage, je me délectai de la vue de ce mandrin puissant, lourd. Je pouvais en voir chaque détail et c’était  un ravissement.  Je posai mon visage sur son ventre. Sec et ferme, je sentais chacune des contractions de son abdomen. Mon visage descendit  plus bas, jusque sur son pubis joliment taillé. Je sentais les poils de sa toison contre moi. Il commença alors à passer sa queue sur mon visage et j’enfonçai mon visage contre elle. Ma bouche s'approchant  de nouveau,  happa la base de sa hampe. Et je commençai à glisser sur la partie antérieure.
 Ma bouche encercla son gland et je posai ma langue sur son frein, laissant ainsi un peu durer, n’encerclant que la tête puis, je tournai  autour faisant rouler son gland dans ma bouche, entre mes joues et ma langue. C’était tout bonnement délicieux. 
Pendant ce temps,  courbé sur moi,  sa main flattait ma croupe et un doigt tentait déjà d'explorer mon cul.
La voiture ralentit,  je me relevai. La caméra filmait toujours. 
- hmmm, belle queue ! Bien raide, mon cochon! Laisse-moi la filmer . Erwan , suce-la un peu,  tu vas te régaler.
Erwan ne se fit pas prier et avala entièrement mon chibre pourtant de belle taille. 
- putain elle est bonne, marmonna t'il la bouche pleine, nous faisant rire aux éclats. 
La voiture s'arrêta dans une ruelle sombre, devant un immeuble minable . 
- on arrive,  je monte le premier,  mettre le chauffage et préparer la caméra,  c'est au sixième, Erwan connaît le chemin. 
En riant comme des gosses, nous nous aidâmes mutuellement à ranger tant bien que mal nos braquemarts dans nos pantalons, nous nous précipitâmes dans l'escalier et montâmes quatre à quatre en chahutant jusqu'au palier du sixième où nous retrouvâmes - je réalisai alors que je ne savais pas encore son nom- le cameraman.

L'immeuble, passablement délabré, semblait entièrement abandonné par des squatteurs. Les murs étaient par endroits couverts de tags. L'appartement en question était un "champ de ruine ", murs défoncés et tagués,  chaises branlantes, matelas souillé et chauffage rudimentaire confié à des radians à  infrarouge,... mais j'étais  chaud en dedans et sans attendre,  je poussai Erwan contre le mur,  baissai son jean et son slip,  m'agenouillai devant sa queue dressée et avalai entièrement sa queue recta, et très vite en gorge profonde, ce qui s'avérait une  performance compte tenu de la longueur. C'était juste fantastique, sa queue était super raide, il poussait  de petits gémissements trop délicieux;  je le suçais doucement avec des changements de rythme alternant  avec ses couilles que je massais dans ma bouche, l’une après l’autre.
Sa bite dans la bouche,  j'ôtai mes vêtements,  faisant valser ma doudoune, mon pull, mon t-shirt. Il fit de même me permettant ainsi de parcourir  son torse musclé et m'attarder sur ses tétons durcis. Je rêvai de fourrer ma langue entre ses fesses mais il ne m'en laissa pas le temps. Il me releva, fit tomber mon pantalon et mon boxer,  se débarrassa du sien. 


Nous voilà nus dans un chantier,  entre deux radiateurs infrarouge, filmés en permanence et les hormones à l'envers  qui nous faisaient oublier l'environnement pour ne penser qu'au plaisir. 
Il se baissa pour s'occuper de mon  chibre. D'une main, tout en me caressant de l'autre  la raie des fesses, il tirait fort sur mes couilles m'obligeant ainsi à pousser ma verge dans sa gorge . C'était douloureux, une douleur qui accentuait encore le plaisir de ma queue dans sa gorge, de sa langue contre mon gland.
quand il me lâcha enfin, j'étais au bord de la jouissance.
- Tu mouilles bien mon salaud! me dit-il , on va changer de jeu.. Retourne-toi  et écarte bien les cuisses que je m'occupe de ta rondelle!
Les mains contre le mur, je galbai le dos pour mieux m’offrir. Il caressa mes fesses un moment, posa sur chacune un baiser, les écarta et je sentis alors son regard posé sur ma rosace, je m'offris encore plus.


 - Hmm, on m'appelle, dit-il rieur.

 Sa langue parcourut d’abord les bords puis doucement se glissa dans un tourbillon de plaisir au centre de ma rondelle. j'écartai encore plus les cuisses, me cambrai encore plus si tant est que cela fut possible, tout mon corps vibrait aux caresses, aux mouvements de cette langue qui me pénétrait.
 Il  cracha et à chacun de ses coups de langue, grandissait  l'envie qu’il aille plus profondément. Je sentais son souffle, haletant, sa barbe de trois jours contre mes fesses, je perdais pied. Je le voulais en moi, maintenant; il le comprit.

Il se redressa, je l’entendis cracher et sentis enfin la douce pression entre mes fesses. Puis, d’un coup ferme, il me pénétra. La douleur laissa  vite place au plaisir. Il attendit un peu et s’enfonça à fond. La danse commença. Je sentais son gland frotter, sa bite gonflée en moi. Ses bourses qui venaient claquer contre mes fesses. J’adorais  le rythme de ces percussions. Je gémissais.


J'avais oublié le caméraman qui vint se glisser sous nous sans doute pour filmer en gros plan, ce long mandrin m'embrocher, ces couilles battre contre mes fesses, et ma queue toujours raide se balancer au rythme des coups de butoir. 

Il allait et venait en moi de plus en plus rapidement. Sa bite me remplissait et j'en sentais toute sa géographie à chaque coup. Pour calmer le jeu, il ressortait de temps en temps, sans doute pour se délecter de la vision de mon œillet ouvert mais c'était aussi  pour mieux rentrer de nouveau et retarder l'orgasme. Je n'allais pas tenir longtemps à ce rythme. L'orgasme était proche et c'est ainsi que sans même avoir à me toucher, dans un spasme puissant, j'éjaculais en de longues rafales.


-Putain mec, je suis là! hurla en riant le caméraman, l'objectif de l'appareil inondé de foutre.

Nous nous séparâmes un moment, le temps de rire un bon coup, de reprendre souffle et de... nettoyer le matériel!

Il s'assit sur le sol froid, me tendit son mandrin que j'enfourchai recta. Pas un millimètre ne dépassait, sa longue verge était entièrement en moi et le poids de mon corps accentuait encore la puissance de ce pal. Je serrais mes sphincters autour de ses veines gonflées de sang et lui arrachait à chacun de mes va-et-vient de profonds spasmes de plaisir. ainsi je sentais sa queue grossir, se contracter de plus en plus ...


- Pas encore, il m'attira alors dans une autre pièce, m'écarta de nouveau les cuisses et m'empala d'un grand coup sec.

Accroché à mon torse d'une main, il me branlait de l'autre . A intervalles de plus en plus proches, il se tendait comme prêt à jouir; il ressortait alors nous offrant quelques secondes de répit puis reprenait son pilonnage.  Sa verge en moi était à rompre quand il se retira soudain


- je vais jouir!!!... 

Le caméraman zooma et dans un profond gémissement, il éjacula plusieurs giclées chaudes sur mes fesses . Il me pénétra de nouveau de sa bite pleine de foutre et là n'en pouvant plus de me retenir. Mes sphincters se contractèrent sur son engin et j’explosai en plusieurs jets.

Enlacés tous les deux, nous fîmes un grand sourire à la caméra. Je réalisai soudain que je venais de m'offrir à un film de boules .... 

 





 Fin de soirée,