Et puis, c'est si bon, quelque soit le coté où l'on se trouve d'entendre le bruit sec des couilles qui battent contre un cul sans compter la sensation, d'un coté comme de l'autre!
27 février 2021
bene pendentes **
Et puis, c'est si bon, quelque soit le coté où l'on se trouve d'entendre le bruit sec des couilles qui battent contre un cul sans compter la sensation, d'un coté comme de l'autre!
26 février 2021
l'amour est dans le pré
Et pourquoi pas une émission genre "l'amour est dans le pré" mais gay? en tous cas ce gars n'a pas attendu pour s'y mettre!
24 février 2021
Rosace
Et c'est bien là
où
je pourrais bien me noyer, éperdu
de bonheur, ivre de rosée
musquée.
Et c'est bien là où je voudrais me perdre dans
ce maquis touffu et moite qui quelques fois protège le saint des saints.23 février 2021
Le Labyrinthe 2495

Blues, bad mood, je me traîne dans Paris. Crachin, gens pressés stress, fête à la grimace.... Toute l’ambiance des jours bof où l’on voudrait être loin ailleurs avec son mec. Mec qui comme un fait exprès est en voyage d’étude, au soleil du Liban.
Le sentiment d’être une « pauvre fille perdue et esseulée » n’a qu’une seule issue…une seule manière de remonter la pente: se donner à fond !
Direct, droit devant, en route vers ce sauna proche de l’Opéra. A cette heure-ci, un dimanche, la touze devrait battre son plein.
A peine déshabillé, chaud comme la braise, je file vers le hammam pour « dilater mes pores », me décontracter en profondeur.
Le labyrinthe, est en haut, je n’ai même pas envie de garder ma serviette autour de la taille ; à quoi bon ces faux-semblants. Tous ces mecs entrevus dans les ces petites cabines et qui attendent patiemment d’être choisis tout en se paluchant négligemment n’ont que faire de ces fausses et inutiles pudeurs.
Pas trop de monde quand même, je m’aventure doucement, au fur et à mesure de mon avancée le noir se fait plus compact. L’odeur ambiante, m’excite encore plus ; cela sent l’homme, Les hommes, la nudité, le caoutchouc des préservatifs et d’autres effluves plus intimes. Les regards se croisent, ma bite se dresse. Quelques mecs se touchent, d’autres attendent ou regardent les quelques ébats en cours ; à chaque fois, je regrette de n’avoir pas apporté un appareil photo ; saisir quelques instantanés : une main qui agrippe, la queue du passant, des corps qui se frôlent ; la sueur perlant sur la peau des mecs en action.
Je m’arrête un instant près d’une sorte de niche, plus sombre encore que le reste mais qui m’offre un point d’observation idéal.
Une main m’effleure la fesse ; je ne réagis pas, elle s’avance donc plus hardiment, s’attarde quelques secondes dans le creux de ma fesse et se dirige vers mon pubis. Je ne distingue encore rien de lui ; jeune, vieux, belle queue, gras? mince ?
Après avoir joué quelques instants dans mes poils, il se décide à me la prendre plus fermement ; de fait, il se rapproche de moi, son corps est maintenant contre le mien. Son haleine est maintenant perceptible alors qu’il effleure mon oreille d’un coup de langue. Je distingue un peu mieux son visage. Ses yeux sont brillants et me fixent. Il est beau, son corps est ferme, mes doigts parcourent les légers sillons entre ses abdos. Peu de poils mais une légère ligne velue qui court de son nombril jusqu’à sa queue.
Je m‘affale sur lui, on s’embrasse pour la première fois.
16 février 2021
le blockhaus (récit anonyme de passage) 18/04/14
Je décidais d’aller faire une promenade dans les collines qui surplombaient la mer ou j’avais passé d’agréables moment durant mon enfance. Nous étions à la mi juin, l’orage grondait, menaçant, mais j’étais bien couvert. En ce début de soirée contrairement aux après-midi, les sentiers étaient déserts.
Il
attendait visiblement quelqu’un, comme je n’avais pas répondu il à
tourné la tête. D'abord surpris de ne pas me connaître, il sembla vite
rassuré de voir ma bite tendue que je caressais. Il devait avoir 17 ou 18 ans, une touffe de poils roux encadrait ses couilles et sa verge de belle taille.Grand presque filiforme, brun, les cheveux très courts, le corps musculeux, il exhibait une très belle queue aussi longue que celle de Vincent, et plus grosse que la mienne. Il bandait déjà, présentant son dard sous mon nez, il dit :
Je
me retenais encore pourtant, Max s’était crispé m’avertissant qu’il était prêt lui
aussi. Ce petit salaud semblait pouvoir jouir sur commande. Je me cabrai en lui demandant de m’envoyer sa purée. Je sentis sa semence dans mes
tripes pendant que je lâchais la mienne dans le cul de son ami. Quel
bonheur ! !13 février 2021
Pénombre
Il suffit de grimper quelques marches et tout est dans une douce pénombre. Il faut quelques instants pour s'y habituer, pour distinguer tant bien que mal la géographie des lieux, pour entrevoir à peine éclairés par l'intermittence des projecteurs du rez de chaussée, des ombres à peine mouvantes. Le beat de la sono du bar ne parvient qu'assourdi. Il ajoute au mystère qui empli les lieux. Il accompagne les rares bruits qui me parviennent en franchissant le seuil de cette vaste mezzanine. Vêtements froissés, murmures, métal cognant le carrelage du sol (boucle de ceinture?) je parcoure cette matrice bruissant de caresses, de gémissements étouffés. Mes yeux distinguent à peine ces ombres sur ombres, ces ombres de clair-obscurs. Parfois des éclairs de projo ricochent, l'espace d'un si bref instant sur des regards scrutant l'obscurité. Regards concupiscents, regards déjà embrumés par le plaisir. Je trouve un petit coin pour moi, un peu en retrait, juste pour voir, juste pour, au moins au départ, m'imprégner de la si particulière tension électrique de l'endroit, absorber par tous mes pores les phéromones dégagées par tous ces êtres en rut.
Ensuite, comme souvent, saoulé, enivré par toutes ces vapeurs de stupre, j'irai en chasse ou je m'offrirai en pâture suivant l'humeur. Près de moi, je distingue à peine un corps seul, en attente. Dans la pénombre, l'intermittence colorée des spots donne à ce corps dénudé, à sa délicate musculature, des reliefs superbes. Je m'approche, sans un mot. Corps contre corps. je laisse mes mains et mes yeux parcourir délicatement son torse et son ventre musclés, ma bouche effleurant sa douce pilosité. Mon visage maintenant à quelques millimètres du creux profond de ses fesses à peine couvertes d'un slip filet sombre. Depuis le début de mon exploration, il n'a pas bougé d'un poil. Imperturbable, il me laisse admirer sa plastique magnifiée par l'atmosphère "érogène" de l'endroit. Je laisse un doigt parcourir le mince filet duveteux de son nombril vers la ceinture de son slip. Sous la fine maille, un sexe se tend. Je le caresse par dessus le tissu ainsi que ses couilles bien fermes. Tout doucement, sous mes caresses, sa queue se déploie, m'offrant, sous le filet, un émouvant jeu d'ombres et de lumières. Encore un petit effort et son gland s'extraira de sa gangue. Alors, j'en suis sûr, viendra éclore une petite goutte de mouille que je recueillerai délicatement du bout de la langue. Alors enfin, je soulèverai ce filet libérant son désir. Sa bite s'épanouira contre son ventre. Il sera à moi, livré à notre plaisir partagé.
Corps et biens
Est-il encore temps d'atteindre ce corps vivant
Et de baiser sur cette bouche la naissance
De la voix qui m'est chère?
En étreignant ton ombre
A se croiser sur ma poitrine ne se plieraient pas
Au contour de ton corps, peut-être.
Et que, devant l'apparence réelle de ce qui me hante
Et me gouverne depuis des jours et des années,
Je deviendrais une ombre sans doute.
O balances sentimentales.
Sans doute que je m'éveille.
Je dors debout, le corps exposé
A toutes les apparences de la vie
Et de l'amour et toi, la seule
qui compte aujourd'hui pour moi,
Je pourrais moins toucher ton front
Et tes lèvres que les premières lèvres
et le premier front venu.
Couché avec ton fantôme
Qu'il ne me reste plus peut-être,
Et pourtant, qu'a être fantôme
Parmi les fantômes et plus ombre
Cent fois que l'ombre qui se promène
Et se promènera allègrement
Sur le cadran solaire de ta vie.
Robert Desnos, "Corps et biens".
09 février 2021
Confiné, tu fais quoi? -24
Salut!
On fait quoi cet aprèm? bof, j'ai reçu plein de nouveaux jouets, tu veux pas qu'on joue un peu avec?
Ouah! plusieurs tailles, j'aime pas trop la couleur mais bon....
Allez, en ligne, j'ai envie que tout le monde me voit essayer ces engins!
A en perdre la tête **
Mon Dieu, quand j'ai rencontré ce mec, j'étais loin de me douter de ce que j'allais découvrir et finalement expérimenter.01 février 2021
Fin de soirée
après la tournée des bars du marais, seul encore, je m'apprêtais à rentrer chez moi. La rue était déserte et froide et après avoir vainement guetté le passage d'un taxi, je m'arrêtai un moment pour commander un vtc.
A genoux entre ses cuisses écartées, sa tige noueuse en face de mon visage, je me délectai de la vue de ce mandrin puissant, lourd. Je pouvais en voir chaque détail et c’était un ravissement. Je posai mon visage sur son ventre. Sec et ferme, je sentais chacune des contractions de son abdomen. Mon visage descendit plus bas, jusque sur son pubis joliment taillé. Je sentais les poils de sa toison contre moi. Il commença alors à passer sa queue sur mon visage et j’enfonçai mon visage contre elle. Ma bouche s'approchant de nouveau, happa la base de sa hampe. Et je commençai à glisser sur la partie antérieure.
Nous voilà nus dans un chantier, entre deux radiateurs infrarouge, filmés en permanence et les hormones à l'envers qui nous faisaient oublier l'environnement pour ne penser qu'au plaisir.
Il se redressa, je l’entendis cracher et sentis enfin la douce pression entre mes fesses. Puis, d’un coup ferme, il me pénétra. La douleur laissa vite place au plaisir. Il attendit un peu et s’enfonça à fond. La danse commença. Je sentais son gland frotter, sa bite gonflée en moi. Ses bourses qui venaient claquer contre mes fesses. J’adorais le rythme de ces percussions. Je gémissais.
J'avais oublié le caméraman qui vint se glisser sous nous sans doute pour filmer en gros plan, ce long mandrin m'embrocher, ces couilles battre contre mes fesses, et ma queue toujours raide se balancer au rythme des coups de butoir.
Il allait et venait en moi de plus en plus rapidement. Sa bite me remplissait et j'en sentais toute sa géographie à chaque coup. Pour calmer le jeu, il ressortait de temps en temps, sans doute pour se délecter de la vision de mon œillet ouvert mais c'était aussi pour mieux rentrer de nouveau et retarder l'orgasme. Je n'allais pas tenir longtemps à ce rythme. L'orgasme était proche et c'est ainsi que sans même avoir à me toucher, dans un spasme puissant, j'éjaculais en de longues rafales.
-Putain mec, je suis là! hurla en riant le caméraman, l'objectif de l'appareil inondé de foutre.
Nous nous séparâmes un moment, le temps de rire un bon coup, de reprendre souffle et de... nettoyer le matériel!
Il s'assit sur le sol froid, me tendit son mandrin que j'enfourchai recta. Pas un millimètre ne dépassait, sa longue verge était entièrement en moi et le poids de mon corps accentuait encore la puissance de ce pal. Je serrais mes sphincters autour de ses veines gonflées de sang et lui arrachait à chacun de mes va-et-vient de profonds spasmes de plaisir. ainsi je sentais sa queue grossir, se contracter de plus en plus ...
- Pas encore, il m'attira alors dans une autre pièce, m'écarta de nouveau les cuisses et m'empala d'un grand coup sec.
Accroché à mon torse d'une main, il me branlait de l'autre . A intervalles de plus en plus proches, il se tendait comme prêt à jouir; il ressortait alors nous offrant quelques secondes de répit puis reprenait son pilonnage. Sa verge en moi était à rompre quand il se retira soudain
- je vais jouir!!!...
Le caméraman zooma et dans un profond gémissement, il éjacula plusieurs giclées chaudes sur mes fesses . Il me pénétra de nouveau de sa bite pleine de foutre et là n'en pouvant plus de me retenir. Mes sphincters se contractèrent sur son engin et j’explosai en plusieurs jets.
Enlacés tous les deux, nous fîmes un grand sourire à la caméra. Je réalisai soudain que je venais de m'offrir à un film de boules ....




























