09 décembre 2022

une virée à Madrid

 


A l'époque,  je faisais pour mon boulot de nombreux allers-retours entre Madrid et Paris.  Je pouvais y passer quelques fois plusieurs jours d'affilée et j'avais fini par me faire des amis,  et même un "mec  attitré ". Je vivais chez lui et on s'eclataient bien. Je n'étais pas fou amoureux de lui et je ne me faisais que peu d'illusions sur sa fidélité lors de mes absences parisiennes car c'était quand même un obsédé du cul mais je m'étais bien attaché à lui et il baisait vraiment bien.

Tout cela finit lorsque,  voulant lui faire une surprise en débarquant à l'improviste,  Je trouvais chez nous,  enfin chez lui,  un mec que je ne connaissais pas et qui visiblement était comme chez lui...

Je ne sais pas ce qui m'a pris alors,  j'ai hurlé,  claqué la porte et pris une chambre d'hôtel. J'étais quand même un peu  choqué et peut-être aussi un peu vexé,  personne finalement n'aime être trompé même si la relation était considérée comme "libre ".

Je suis alors allé dans un club que nous connaissions et dont le serveur était de nos amis. 

Après lui avoir raconté mes malheurs  - celui-ci visiblement ne semblait pas vraiment surpris- il a haussé les épaules et m'a conseillé de  "me défouler en allant faire un tour en bas"....

En bas, il y a les backroom,  le labyrinthe et tout ce qui va avec un sexclub. 

Aux toilettes,  très sombres,  Je me suis retrouvé devant les urinoirs avec un grand gaillard barbu. Bien entendu je n'ai pas pu m'empêcher de jeter un oeil,  d'ailleurs les goges n'avaient évidemment pas de séparation. Sa queue était à l'image de sa carrure et elle ne tarda pas à se dresser, sous l'effet de mon regard sans doute! La mienne aussi d'ailleurs car voir ce braquemart grossir fièrement devant moi,  m'excitait et puis lui aussi matait et aidait sa verge à se développer par de légères caresses. 

J'ai osé prendre en mains l'engin brûlant ce qui a fini par me mettre les hormones à l'envers,  ma verge s'est dressée d'un coup frappant contre mon ventre.

- ça te dit un peu de coke,  à été sa seule réponse.  Moi j'avais surtout envie de sa queue que je tenais encore en mains mais j'ai dit ok sans vraiment réfléchir et je l'ai suivi dans une cabine de wc.

On n'a même pas pris la peine de rentrer nos engins, les toilettes étaient toujours vide. Dans la cabine WC, il a étalé sur le couvercle de la cuvette des chiottes,  deux lignes blanches. Il s'est baissé pour sniffer la sienne et je me suis baissé à mon tour.  J'avais sa bite bien droite à quelques centimètres de mon visage.   À moitié décalottée,  les veines saillantes,  une goutte de mouille perlant de son méat.  Je n'ai écouté que mes hormones et je l'ai gobée toute entière.. enfin presque. 


La coke décuplait mon désir et sans doute le sien car il ne cachait pas son plaisir et poussait de forts gémissements qui plusieurs fois  provoquèrent des remarques amusées d'utilisateurs derrière la porte.

Ses couilles étaient lourdes et bien pendues et je m'en servais pour pousser sa queue bien profond dans ma gorge.  C'est avec une bordée d'injures en espagnol qu'il m'a inondé la gorge et le visage de sperme.  On s'est quitté peu après en se claquant la bise comme de vieux potes. 

Tout cela m'avait effectivement excité sans parler des effets de la coke et je décidais d'arpenter les lieux. J'avais chaud, j'ai laissé mon sweat à capuche dans un coin et c'est torse nu que j'ai entamé ma déambulation. 

Au bout du couloir, des gémissements amplifiés, sans doute une salle de projection et bien sûr un film de boules. 

La salle était vide hormis deux gars côte à côte,  pantalons baissés, se paluchant sans trop d'enthousiasme  de belles tiges pourtant appétissantes tout en regardant le film..  Je me suis alors calé devant l'écran,  j'ai déboutonné lentement mon pantalon,  que j'ai baissé doucement dans un simulacre de strip-tease,  j'ai baissé ensuite mon slip et laissé ma queue se dresser bien droite et j'ai commencé à me branler espérant que cela les détourneraient de la pellicule et que l'on se lanceraient dans une partie à trois..

Je ne devais pas les intéresser car ils continuaient à garder les yeux rivés sur le film... Pas la peine d'insister,  me suis-je dit, j'ai remballé ma marchandise,  encore plus excité qu'avant et j'ai continué mon exploration. 

Il y avait là des cabines de glory holes.. pourquoi pas,  me suis-je dit.  Je suis entré dans l'une d'entre elles.  Une cabine un peu trop éclairée à mon goût avec des fentes à chaque parois. Je me suis défringué complètement et j'ai attendu qu'il se passe quelque chose en regardant de temps en temps dans les cabines adjacentes.  Une porte a claqué,  j'ai entendu comme des vêtements que l'on ôte et  du mouvement dans l'une des cabines. Une longue queue, veineuse, légèrement courbée est apparue.  Je l'ai caressée, elle était brûlante.. J'ai passé une main pour saisir deux petites couilles bien fermes et très douces car rasées de frais et j'ai posé mes lèvres sur le gland humide et à moitié décalotté. Le mec était collé contre sa paroi,  ainsi et malgré sa taille, je pouvais entièrement la prendre en bouche et coller mon nez contre son pubis rasé lui aussi. Une autre est apparue par la fente à ma droite,  là encore une longue et fine tige que je me suis empressé de saisir d'une main,  sans cesser de m'occuper  de   la première.  Bientôt une troisième est apparue puis une quatrième.  J'allais de l'une à l'autre tout en gardant mes deux mains occupées.  J'étais aux anges,  j'aimais bien ce lâcher prise anonyme et puis elles étaient toutes aussi appétissantes.
Longues, charnues,  toutes de belle taille.. ah ces espagnols, Je ne savais plus ou donner de la tête.  Enfin,  une première bite a déchargé une copieuse giclée de foutre sur mon visage suivie de peu par une autre qui m'a couvert une épaule.  Quand enfin,  après avoir donné satisfaction à tous,  Je me suis branlé frénétiquement sous les regards anonymes derrière les fentes des parois. 

Je suis allé reprendre mon sweat et j'ai regagné mon hôtel tout en prévenant mon pote du bar de bien faire passer le message à mon ex que c'était fini...

Et que je reviendrai plus tard dans la soirée,  car j'avais vraiment aimé l'endroit. 

au passage,  il m'a donné un slip avec le logo du club... 

- un souvenir, ...

Rentré à mon hôtel,  j'ai pris une longue douche. Je me suis couché nu sur mon lit.  J'étais de fait un peu frustré de cet après-midi.  J'étais encore hyper chaud,  j'avais sucé et fait jouir cinq mecs mais je m'étais tristement "fini " tout seul sous la lumière crue et sur le sol froid de la cabine. Sacré expérience mais j'aurais voulu qu'on s'occupe un peu de moi !. Je sentais ma petite rosace affamée !

Il me fallait y retourner,  le soir il y a sûrement plus d'occasions. J'ai enfilé le slip du club,  comme un porte chance ,un jean et un tee-shirt propre et j'ai filé là-bas..

Un clin d'oeil à mon pote serveur et me voilà de nouveau au sous-sol dans les toilettes..

 Il y avait un gars devant les urinoirs.  Je me suis placé à côté de lui pour pisser et je me suis débraguetté tout en jetant un coup d'oeil sur ce qu'il avait  en mains. 

Pas mal...une belle verge massive qui crache un puissant jet d'urine.  Le mec me sourit et lui aussi mate ma queue.  Il n'a pas fallut plus de deux minutes pour que nos engins se dressent.. un petit clin d'oeil puis il est parti vers le labyrinthe qui ce soir était plongé dans la pénombre, " soirée "lights off". Je  n'ai hésité qu'un instant,  armé de mon téléphone portable en mode torche,  j'ai pris moi aussi le chemin du labyrinthe.  Il y avait des mecs,  des couples en action dévoilés par le rayon des torches.  A peine entré,  une main m'alpague le bras et me colle à un corps . C'est le gars de l'urinoir..

Il n'avait  pas pris la peine de se reboutonner et sa queue chaude et raide était sortie encore plus impressionnante sous le rayon de la torche. Il mouillait grave.  Il m'embrasse furieusement ; je caresse sa verge et porte à ma bouche mes doigts humides de mouille.  Il pousse ma tête pour que je me baisse et je ne me fais pas prier. Sa verge fleure bon; odeur mielleuse d'une journée passée confinée dans le coton d'un boxer.  Je la gobe entièrement,  les couilles en main. Il pousse ma tête durement et à chaque va-et-vient ses poils pubiens viennent chatouiller mes narines..

- viens,  me dit-il et il m'entraine vers les toilettes.

Il m'embrasse goulûment,  m'ôte mon tee-shirt,  me pousse vers le sol crade, défait ma ceinture,  descend mon jean et je l'aide comme je peux à me débarrasser des baskets,  et du falze.   Me voilà en slip sur le sol des toilettes d'un sexclub. Sans attendre il me baisse le slip et me l'enlève.  Je suis à poil.  Il se défringué à son tour.  Un ou deux mecs viennent se soulager dans le laps de temps mais ni lui ni moi n'y  faisons attention.  Nu , la queue  bien droite,  il me soulève,  me met en position le cul levé et commence un léchage de cul magistral.  Sa langue se force un passage aisément et explore mon anus avec délectation. Je couine...

Puis bien agrippé à mes hanches, il s'empale à moi.  Il me défonce le cul à grands coups de reins. Je gémis de plaisir à chaque coup de butoir sous le regard amusé de clients venus se soulager.  Certains en profitent pour tenter leur chance en me tendant leurs queues mais mon partenaire les éloigne à chaque fois. 

Il m'entraine ensuite vers le lavabo,  me demande de m'y asseoir.  les jambes écartées, agrippé aux rebords du lavabo,  il me taraude à nouveau  jusqu'à ce qu'il soit au bord de l'orgasme. 

Alors,  il m'éjecte sur le sol,  se branle avec frénésie au dessus de mon visage et m'envoie en éructant une généreuse giclée de foutre. Après quelques secondes de répit,  il m'enfonce un  doigt dans le cul pour un massage vigoureux de ma prostate.,

- branle-toi !

Je m'exécute fébrilement et sans attendre,  Je jouis copieusement.  Il embrasse ma queue,  lèche  mon ventre et partage avec moi ma semence toute chaude en un long baiser. 

Pas encore rassasié voire encore plus excité,  Je suis allé poser mes fringues dans un casier et je suis retourné dans la pénombre,  nu, la queue encore un peu raide et humide de sperme.  Ce qui a fait le bonheur d'un inconnu posté dans l'obscurité dont la  main baladeuse a pu m'essuyer .


J'ai retrouvé les cabines mais au moment de pénétrer dans l'une d'elles,  Je m'y retrouvé poussé de force.  En le retournant,  j'ai vu deux gaillards tatoués,  nus qui me regardaient.  Leurs sexes encore au repos laissaient présager des dimensions respectables "en éveil ".

- on a vu que tu t'amusais bien tout à l'heure... on a très envie de jouer avec toi... tu veux bien  celui qui parlait, se frottait en même temps la bite et elle raidissait rapidement. 

- regarde, elle a très envie de te donner du plaisir..et celle de Pedro aussi.. effectivement,  le Pedro en question offrait un engin du même acabit..

Je n'ai pas eu beaucoup dé temps pour réfléchir; le gland humide de Pedro était déjà à quelques centimètres de mon visage.. et j'ai à peine ouvert la bouche que le vit veineux de Pedro me pilonnait la gorge.  Pendant ce temps,  son copain me bouffait le troufignon langue alternant avec ses doigts.

Il n'a pas fallu longtemps pour qu'il vienne me défoncer ses couilles bien pendues battant contre mon cul.  

Je ne sais pas combien de temps a passé ainsi . Ils alternant régulièrement mais j'avais sans cesse l'anus et la bouche occupée.  Nous avons jouis tous les trois pratiquement ensemble.  C'est la gueule et les cuisses dégoulinants de sperme que j'ai rejoint le vestiaire pour me rhabiller épuisé et repus.  


       

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