Les parisiens connaissent ce sauna. En tous cas les parisiens amateurs de ce type d’endroit. Il se trouve au fin fond du 17° arrondissement, dans une petite rue bien tranquille. On est un peu gêné quand on y vient car on y accède par le rez de chaussé d’un immeuble moderne d’habitations et on ne peut s’empêcher de penser aux voisins des appartements du dessus menant leur vie bien tranquille de bon pères de famille comme l’exige d’ailleurs le règlement de la copropriété.
Ouvert 7j/7 et pratiquement 24h/24, il accueille des amateurs du quartier mais aussi tous ceux qui en fin de soirée, las d’avoir traîne sans succès de bar en bar, ne veulent pas terminer la nuit seuls. C’est tout petit, on y accède par un bar donnant sur quelques vestiaires ; dans la salle principale, des douches déglinguées sur la gauche, un hammam et un petit sauna. Quelques habitués attendent on en sait quoi, le regard vague. C’est à peine si l’arrivée d’un nouveau venu les sort de leur torpeur. Un petit escalier même au sous-sol à quelques cabines
Ce soir là, j’avais décidé de ne pas perdre du temps en cruising inutile, je savais ce que je voulais. Après m'être déshabillé et à peine recouvert de ma serviette , j'ai traversé les deux pièces du rez de chaussée et je me suis rendu directement au sous-sol et, pour qu’il n’y ait aucune ambiguïté sur ma détermination, posté devant une cabine, j’ai laissé tomber ma serviette, bien prêt à accepter le premier venu sans faire de chi-chi.
Ce soir là, j’avais décidé de ne pas perdre du temps en cruising inutile, je savais ce que je voulais. Après m'être déshabillé et à peine recouvert de ma serviette , j'ai traversé les deux pièces du rez de chaussée et je me suis rendu directement au sous-sol et, pour qu’il n’y ait aucune ambiguïté sur ma détermination, posté devant une cabine, j’ai laissé tomber ma serviette, bien prêt à accepter le premier venu sans faire de chi-chi.
Comme tant d’autres, je l’ai regardé passer; j’ai immédiatement senti que c’était lui, lui que je voulais ce soir là; il est passé sans vraiment me regarder, mais nos corps se sont parlés. J’ai senti le picotement caractéristique sur ma bite; mes couilles se sont contractées.
Quand il est repassé, nos regards se sont à peine croisés mais j’y ai vu son désir.
Nouveau passage, il s’arrête, pendant juste un instant tout se fige, sans se tourner, vers moi, sa main à quelques millimètres de ma bite cherchant déjà le contact. Electrisé, la gorge soudain sèche, je regarde fixement ses muscles contractés dans ces quelques secondes d’immobilité. Alors, il tourne doucement sa tête vers moi, nos yeux se rencontrent et se sourient. Sa main déjà effleure ma queue. N’y tenant plus je l’agrippe par les cheveux pour l’attirer vers moi ; je voulais lire, mémoriser le désir que je sentais monter en lui. Nos corps se sont enfin mêlés.
Sa peau très blanche contraste avec ma peau mate de méditerranéen ; je m’amuse à distinguer dans la pénombre nos deux corps pendant que nos mains et nos langues vont à la découverte l’un de l’autre.
Sa langue effleure ma bite, il se met à jouer avec, la flattant du regard, de ses doigts. A chaque coup de langue, ma queue se tend un peu plus cherchant sa bouche ; quand il l’engloutit toute entière, mon corps se raidit, je lui écarte fermement ses fesses pour enfouir au fond de son cul un râle de plaisir ; ma langue fermement tendue, explore, la voie est libre.
Je me suis emparé à mon tour de son sexe, un sexe lourd et épais entouré de poils roux. Ses couilles bien pendues sont fermes, je les avale tout entières.
Maintenant debout sur les genoux face à moi, je vois son torse glabre, ses tétons que je titille doucement sont délicieusement durs, nos queues sont dures et tendues à l’extrême.
Fou de désir, je me précipite sur lui pour l’embrasser ; nos bouches s’entrechoquent, nos langues se mêlent.
J’embrasse ses yeux, son nez, lui mordille l’oreille pendant que ses mains s’agrippent de plaisir à ma chevelure. J’ai besoin de nouveau de lui bouffer la queue, nos corps sont maintenant trempés de sueur et glissent sur le matelas de plastique qui couine. Sa bite s’enfonce dans ma gorge, c’est lui qui donne le rythme en me tirant par les cheveux. N’y pouvant plus, il me renverse sur le matelas et me mordille les seins pendant que sa main me caresse les fesses ; son doigt doucement essaie de se frayer un passage ; j’ai froid, je tremble, mon corps semble tout entier vouloir attirer ce doigt puis deux en moi, je n’offre que très peu de résistance.
Alors, tout bascule, il me regarde maintenant, ce n’est plus le même, il n’est plus lui, il est son sexe, son sexe qui maintenant veut me pénétrer. En un instant mes reins se cambrent, il sait qu’il a gagné, déjà il soulève mes jambes et commence à se frayer un passage, il est doux, tranquillement il prépare mon cul à sa venue, mon corps, mon esprit, ma respiration sont en cet instant au diapason de sa main ; quand il vient enfin, c’est comme une libération, je le regarde, et je ris, je ris de joie en lui prenant les fesses comme pour l’aider à pénétrer au plus profond de moi. Il sourit, je lui caresse les seins, le ventre, les fesses.
Je veux jouir avec lui, c’est important, j’adapte mon plaisir au sien ; nous sommes en nage, je sens à chaque coup de reins, ses couilles battre contre mon cul, nous sommes de plus en plus concentrés, occupés par notre plaisir, reculant le plus possible le moment ; et puis tout d’un coup, il me regarde, il arrive, je le vois, je vois l’orgasme monter en lui , alors son plaisir devient le mien, il me prend la queue des mains et me branle sauvagement, je sens que je viens et un court instant crains de perdre pied avant lui. Agrippé à ses reins, j’accompagne son mouvement ; je sens monter en lui, un râle puissant et profond, il vient, il vient, nous nous raidissons ensemble. Un long cri remplit le silence de ce sous-sol. Nous sommes heureux. Nous rions ;
Je ne lui ai pas demandé son nom et lui non plus ; un dernier sourire, un baiser sur la bite, un dernier regard en quittant la cabine.
Sa peau très blanche contraste avec ma peau mate de méditerranéen ; je m’amuse à distinguer dans la pénombre nos deux corps pendant que nos mains et nos langues vont à la découverte l’un de l’autre.
Sa langue effleure ma bite, il se met à jouer avec, la flattant du regard, de ses doigts. A chaque coup de langue, ma queue se tend un peu plus cherchant sa bouche ; quand il l’engloutit toute entière, mon corps se raidit, je lui écarte fermement ses fesses pour enfouir au fond de son cul un râle de plaisir ; ma langue fermement tendue, explore, la voie est libre.
Je me suis emparé à mon tour de son sexe, un sexe lourd et épais entouré de poils roux. Ses couilles bien pendues sont fermes, je les avale tout entières.
Maintenant debout sur les genoux face à moi, je vois son torse glabre, ses tétons que je titille doucement sont délicieusement durs, nos queues sont dures et tendues à l’extrême.
Fou de désir, je me précipite sur lui pour l’embrasser ; nos bouches s’entrechoquent, nos langues se mêlent.
J’embrasse ses yeux, son nez, lui mordille l’oreille pendant que ses mains s’agrippent de plaisir à ma chevelure. J’ai besoin de nouveau de lui bouffer la queue, nos corps sont maintenant trempés de sueur et glissent sur le matelas de plastique qui couine. Sa bite s’enfonce dans ma gorge, c’est lui qui donne le rythme en me tirant par les cheveux. N’y pouvant plus, il me renverse sur le matelas et me mordille les seins pendant que sa main me caresse les fesses ; son doigt doucement essaie de se frayer un passage ; j’ai froid, je tremble, mon corps semble tout entier vouloir attirer ce doigt puis deux en moi, je n’offre que très peu de résistance.
Alors, tout bascule, il me regarde maintenant, ce n’est plus le même, il n’est plus lui, il est son sexe, son sexe qui maintenant veut me pénétrer. En un instant mes reins se cambrent, il sait qu’il a gagné, déjà il soulève mes jambes et commence à se frayer un passage, il est doux, tranquillement il prépare mon cul à sa venue, mon corps, mon esprit, ma respiration sont en cet instant au diapason de sa main ; quand il vient enfin, c’est comme une libération, je le regarde, et je ris, je ris de joie en lui prenant les fesses comme pour l’aider à pénétrer au plus profond de moi. Il sourit, je lui caresse les seins, le ventre, les fesses.
Je veux jouir avec lui, c’est important, j’adapte mon plaisir au sien ; nous sommes en nage, je sens à chaque coup de reins, ses couilles battre contre mon cul, nous sommes de plus en plus concentrés, occupés par notre plaisir, reculant le plus possible le moment ; et puis tout d’un coup, il me regarde, il arrive, je le vois, je vois l’orgasme monter en lui , alors son plaisir devient le mien, il me prend la queue des mains et me branle sauvagement, je sens que je viens et un court instant crains de perdre pied avant lui. Agrippé à ses reins, j’accompagne son mouvement ; je sens monter en lui, un râle puissant et profond, il vient, il vient, nous nous raidissons ensemble. Un long cri remplit le silence de ce sous-sol. Nous sommes heureux. Nous rions ;
Je ne lui ai pas demandé son nom et lui non plus ; un dernier sourire, un baiser sur la bite, un dernier regard en quittant la cabine.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire