08 mars 2022

lutte amour


Mon cousin Marc et moi on est de vrais potes, presque  comme des frères.  
Faut dire que nous sommes inséparables, nous avons tous les deux 18 ans et les gens effectivement,  nous prennent souvent pour des frères. C’est vrai que l’on se ressemble beaucoup. Tous les deux noirauds aux yeux bleus, assez fins mais avec des muscles bien dessinés.

Nous avons souvent l’habitude de passer la nuit ou même le week-end entier chez l’un ou chez l’autre même si le plus souvent c'est chez moi car lui et moi sommes branchés muscu et mes parents ont eu l'idée de me céder une partie du sous-sol de la maison  et j’ai pu y installer un banc de musculation avec quelques haltères ainsi qu’une douche, une vraie salle de sport perso! Du coup, Marc vient souvent soulever de la fonte avec moi et on s'entraîne l'un et l'autre mais depuis quelques temps, notre passe-temps favori, c’est la lutte. Dans un coin de la pièce, contre le mur j'ai pu installer  deux grands tapis de gym posés l’un à côté de l’autre d’une surface de 5 m2 bien assez pour le combat à deux.

Mes parents sont partis en week-end et ce soir encore,  il vient passer le week-end  chez moi. Ça sera cool,  muscu,  fight,  series,  bref un bon week-end entre potes. 

Après avoir mangé deux gros sandwiches devant un film plutôt série z, nous décidons pour nous dégourdir un peu de  nous faire un petit combat.  

En descendant au sous-sol,  Marc se retourne vers moi et me propose,  d'une voix curieusement rauque et un regard que je ne lui connaissait pas,

- Hey, ce soir, pas de maillot de lutte, juste en slibard ; Objectif pour se marrer, le gagnant c'est celui qui en premier,  enlève le slip  de l’autre et l’immobilise au sol puis fight à poil! 

Pour nos premiers combats, on se battait simplement en short et tee-shirt,  quelques fois torse nus.  Puis,  récemment Marc  m'a emmené dans un magasin spécialisé pour acheter des singlets,  ces maillots que les vrais lutteurs portent. Ça m'avait paru superflu et un peu bizarre au début mais J'ai très vite apprécié et compris l'utilité. La prise au corps est plus précise. Je dois aussi avouer que lutter avec, m'excite toujours un peu car on sent vraiment mieux le corps de l'autre surtout dans certaines prises  ..

Au sous-sol nous commençons à nous déshabiller pour se mettre en tenue : torse nu et slip donc... 

Tandis qu'il se prépare, je détaille mon cousin avec attention, je fais toujours ça car je dois avouer qu'il me plaît beaucoup. J’ai toujours eu un faible pour lui. Depuis très longtemps, je n’ai d’yeux que pour les garçons. Marc ne me parle jamais de filles et je ne sais pas grand-chose sur ses goûts sexuels. Nous sommes tous les deux, très secrets, sur ces sujets là. 

- j'espère que t'as un vieux slibard bon à jeter car ça va déchirer... Pas de cadeau !

Il met un slip blanc, genre vieux CK élimé et j'ai eu quelques secondes pour apercevoir son sexe et ..  cela a suffit pour me mettre en emoi. Lâche comme il est, il sera facile à ôter... Pour ma  part, je passe rapidement un vieux slip kangourou de fond de tiroir qui lui aussi a vécu. On s’installe sur le tapis et le corps-à-corps commence. Je prends  rapidement le dessus et mes mains essayent de tirer son CK vers le bas. Marc résiste tout en essayant de me faire basculer sur le côté.

N’arrivant toujours pas à lui enlever , je décide de coincer son bras gauche avec mon genou tandis que ma main droite bloque son autre bras. Je n’ai plus qu’à tirer avec mon autre main. Mais c'est le coton qui se déchire.. . J'ai quand même marqué le point ! 


- on continue ?! T'as été trop bon,  on vient à peine de commencer,  allez, il en reste bien assez de tissu,  t'as pas tout arraché !

- ok mais comme tu le vois,  j'ai encore le mien impec  et toi t'es déjà en loque,  donc 1 - 0 pour moi.


Et on reprend le combat.  Profitant de sa position je me glisse derrière lui tout contre le mur en me positionnant sur mes genoux, cuisses écartées, le soulève du matelas en passant mes bras sous ses aisselles et en calant mes mains derrière sa nuque, je le tire contre moi. Il se retrouve en position assise le dos collé contre mon torse, mes cuisses lui enserrant la taille et mes mollets calés à l’intérieur de ses cuisses.  Chaque prise met son slip en contact avec l'une ou l'autre partie de mon corps et ajoute un peu plus à mon trouble car souvent,  sous le coton fatigué je sens la chaleur de sa verge. Sans compter qu'il a déjà une fesse à l'air.  Le coton pendouille,  Je n'ai qu'à tirer dessus et il ne restera plus que la ceinture élastique de son slip..

  Ça  y est, Je l'ai à nouveau coincé,  il ne peut plus bouger, il essaye vainement de bouger son bassin pour se libérer, je vois très nettement le relief de son sexe sous le tissu de son slip. Un léger frémissement me laisse entr’apercevoir un début d’érection? Cela me fait tellement d’effet que mon sexe se tend . De peur qu’il ne sente quelque chose, je le relâche. Aussitôt il se retourne, me fait face et profitant de ma gêne, tire sur le bas de mon slip et me l’arrache en grande partie.  Du coup,  mes couilles sont à l'air. 

- 1- 1! Ça se corse,  dit il triomphant. 

Je me redresse à mon tour, on se regarde un long moment, son regard glisse sur la bosse qui déforme mon slip, mais il ne dit rien. Regardant son slip à mon tour, les élastiques usés et lâches résistent mal à  sa queue qui a encore pris du volume. Un bout de couille dépasse de l'élastique de la cuisse droite..

 Nous sommes face à face en position de lutte, le corps penché en avant, prêt à se jeter l’un sur l’autre. La tension est palpable, nos yeux ne se lâchent plus, tous nos muscles bandés dans l’attente d’un assaut. L’excitation est visible, comme le prouve nos deux sexes tendant sans ambiguïté le tissu de nos slips ou ce qu'il en reste. Un peu gêné au début,  Je me dis que s'il ne peut ne pas voir que je bande un peu,  il ne peut pas ne pas savoir que lui aussi est visiblement excité.  Cette pensée me libère un peu et augmente encore mon excitation.  L’adrénaline monte dans nos muscles, tout mon corps se tend et frissonne d’excitation et d’envie. Et dans un même élan, comme si un gong avait sonné, on se rue l’un sur l’autre.

Nos deux corps s’entrechoquent... Immédiatement on se colle l’un à l’autre, bras et jambes se mêlent, nos têtes se collent l’une à l’autre. Chacun essaye de mettre la pression maximale sur l’autre... Je crois qu’à ce moment là, personne n’aurait été capable de nous séparer... C’est comme une fusion de nos deux corps qui s’établit... La lutte commence, elle s’annonce chaude et terriblement excitante... mais tellement incertaine...

Mes abdos se raidissent pour contrer son attaque. Je sens son sexe se durcir encore sous son slip et venir se plaquer contre ma bosse entre nos deux ventres. Je manque arrêter le combat, tellement l’excitation me gagne, mais je me reprends car l’issue de ce combat est plus importante à mes yeux; je veux le vaincre, lui montrer ma supériorité. Mes mains glissent plus bas, sous la ceinture de son CK,  au niveau du haut de ses fesses, proche si proche de son sillon et pendant un moment,  lui arracher est à ma portée; mais je n'ose pas... pourtant, cette fois c’est moi qui ai le dessus et qui pousse mon torse contre le sien tout en l’attirant contre moi pour pouvoir le soulever du sol. Je sens ses abdos trembler de plus en plus fort. Le point de rupture est proche... Je pousse encore un peu. Je sens son corps qui commence légèrement à se plier en arrière. Nos deux têtes sont l’une contre l’autre, toujours appuyées sur l’épaule de l’autre. Je l’entends râler et souffler de plus en plus fort. Mes muscles commencent également à trembler, il va falloir que Marc tombe au sol le plus vite possible, je ne vais pas pouvoir tenir encore très longtemps. Son étreinte se relâche un peu plus, son corps se cambre en arrière. J’essaye de me libérer mais mes bras sont coincés le long de mon corps. Marc réussi à nous faire rouler sur le côté, tout son corps se durcit pour essayer de me faire rouler sur le dos, mais je résiste et on se retrouve couché sur le côté, les yeux dans les yeux, le visage dégoulinant de sueur, nos deux paquets érigés l’un contre l’autre... Il faut que je me concentre car l’envie de mettre ma main à l’intérieur de ce qui reste de son slip et de prendre sa queue raide devient irrépressible.... Coupant cours à mes idées, d’un coup de rein il arrive à me retourner. Il est sur moi... et son envie de gagner est grande...

Je sens le poids de son corps s’alourdir contre le mien, ses bras sont toujours croisés dans mon dos. Je sens qu’il essaie de les déloger, alors je plaque mon dos au sol pour lui bloquer les mains sous moi. Son regard est planté dans le mien, ses yeux me disent je VEUX GAGNER. Nos visages se touchent carrément, et sa bouche frôle la mienne. Et là je sais que ce qui devra arriver arrivera, car son sexe de plus en plus raide écrase le mien tout aussi dur et gonflé de désir et sans le concerter je sens que nous ne voulons pas aller plus loin, pas encore du moins, car ôter le slip de l'autre mettrait en évidence un sexe dressé, gonflé de désir et...on fait quoi après..  

 le combat se joue en ce moment même... Ses cuisses essaient d’immobiliser les miennes... J’arrive à replier un peu les jambes et prenant appui sur mes pieds j’élève doucement mon bassin, c’est épuisant car il se fait de plus en plus lourd et je dois le soulever comme si je voulais faire le pont. Marc essaie de contrer le mouvement en forçant avec son bassin à faire redescendre le mien. Son sexe écrase ma queue et me fait presque mal... Mais comme il n’a pas de point d’appui j’arrive à le soulever. On se regarde intensément, un sourire se dessine sur sa figure car il a toujours le dessus. Mais en y mettant toute mes forces, j’arrive à le soulever encore un peu plus et nous sentons tous les deux en même temps le point d’équilibre se rompre. Dans ses yeux une lueur d’inquiétude, dans les miens un air de victoire. Dans un dernier effort, nous tombons sur le côté.

Avec l’élan, nous roulons l’un sur l’autre plusieurs fois, en nous étreignant bras et jambes liés, chacun voulant reprendre le dessus. Le mur de la pièce nous stoppe... et par chance, je me retrouve au-dessus de lui... Je l’écrase à mon tour de tout mon poids, essayant de le plaquer au sol définitivement... Je le veux, je veux le vaincre, mon sexe est tellement tendu qu’il me semble sur le point d’exploser, poussant l'élastique de mon slip, cherchant la sortie et je sens aussi que mon slip est un peu humide. Le sexe de Marc comprimé par le mien est tout aussi dur et tendu... maintenant je dois oser ; une seconde de relâchement,  d'inattention, Je le lâche un instant et tire fortement sur l'élastique de son slip et tout vient.  Sa queue enfin libérée s'étend sur son ventre.  Oui il est nu et oui il bande..

Mes mains s’agrippent à ses poignets pour les lever au dessus de sa tête. Je suis complètement plaqué sur lui, nos visages s’approchent l’un de l’autre. Dans ses yeux une drôle de lueur se dessine, il me sourit et soulève un peu sa tête. Et là, ne réfléchissant à plus rien d’autre qu’à cette future explosion de plaisir ma bouche fond sur la sienne. Ses lèvres s’entrouvrent et je m’y aventure avec douceur. Tout d’abord timidement nos langues se caressent pour finalement se livrer un combat à l’intérieur de sa bouche, nos salives se mélangent. Ma bouche quitte la sienne et une envie subite me fait me redresser. Je m’assoie sur le haut de ses pectoraux et je cale mes genoux de chaque côté de sa tête. La bosse humide et en forme de barre de fer qui déforme mon slip se tend vers sa bouche. Marc me regarde, il a compris. Sa langue sort de sa bouche et commence à suivre le contour de ma queue puis s’attarde sur le gland où une tâche s’étale sur le tissu. Tout mon corps se tend, quand je sens les dents de Marc commencer à mordiller légèrement cette protubérance. Je sens l’excitation monter encore d’un cran et si je le laisse faire je vais finir par éjaculer. Je me recouche sur son corps en me plaquant à lui. Nos deux bouches se collent à nouveau l’une à l’autre, nos langues se mélangent, tandis que nos bassins se frottent furieusement et sans retenue l’un à l’autre. Nos langues se mélangent nous ne faisons plus qu’un, l’excitation est à son comble. Je sens les pulsations de son sexe à travers le tissu de ce qui reste de mon slibard. Nos yeux ne se quittent plus, nos mouvements deviennent de plus en plus saccadés,  son sexe se tend à l’extrême et cogne contre mon dos.  Nous commençons à gémir, le rythme s’accélère et dans un dernier râle  je sens  un liquide chaud tremper mon dos se mêlant à la sueur tandis que mon gland explose en se vidant à longs jets.

Nous sommes restés comme ça, couché l’un sur l’autre, seules nos respirations faisaient bouger nos corps. Au bout d’un long moment, je me décolle de lui, le regarde, il est magnifique avec ses yeux brillant plantés dans les miens, un sourire qui en dit long sur ce qu’il vient d’éprouver. Les mots ne sont pas nécessaires pour l’instant, je l’embrasse amoureusement, lui caressant doucement le visage. Me relevant, j’enlève mon slip, le tissu glisse sur mes jambes et je le jette au loin. Je regarde ce sexe tant convoité, reposer au milieu d’une touffe noire tachée de sa semence. Une envie folle me prend...

Une envie folle me prend… Je veux ressentir les émotions de ce corps à corps mais cette fois, sans aucun tissu pour entraver le contact entre nos deux peaux. Ce combat m’a montré à quel point Marc me plait, à quel point j’ai envie de lui et surtout que cette envie est réciproque. Maintenant je veux aller plus loin, beaucoup plus loin.

Je me relève pour monter à l’étage

— Où vas-tu ? me dit Marc

— Je reviens, ne bouge pas

— Reviens vite !




Je me dirige vers la salle de bains de mes parents et ouvre l’armoire où ma mère range ses produits. Une grande bouteille d’huile de massage est posée en évidence, celle qu’elle utilise pour les massages que mon père lui fait. Je m’en empare et redescends rejoindre Marc. Je m’approche de lui et me mets à genoux à ses côtés

— Que veux-tu faire avec ça ?

— Laisse-toi faire, ne dis plus rien


J’ouvre délicatement la bouteille et laisse couler un fin filet d’huile sur son corps, Marc tressaute lorsque l’huile atteint la ligne entre ses pectoraux qu’elle suit suavement, avant de s’insinuer à l’intérieur de son nombril. Je m’attarde un peu plus lorsque le filet arrive au niveau de son sexe lové au milieu de sa broussaille noire, éclaboussée de quelques gouttes de sperme. Je continue le trajet le long de ses cuisses pour finir par ses pieds et je referme la bouteille.

— Et maintenant place au massage !

— Mmmhhhh…

Il est à moi, mes mains se posent sur le haut de ses pectoraux en s’imbibant d’huile, je commence mon massage en laissant courir mes doigts sur la surface de sa poitrine, je titille ses petits tétons bruns qui se durcissent légèrement. Les paumes de mes mains épousent le relief de son torse en étalant bien l’huile sur les côtés, j’arrive au niveau de son ventre et mes doigts suivent le contour de ses abdominaux. Dans son nombril un petit lac d’huile, j’y trempe un doigt pour dessiner une ligne imaginaire descendant vers la toison de son pubis. Son corps se tend, son sexe commence légèrement à s’épanouir. Je le contourne délicatement en entamant ma descente le long de ses cuisses. Arrivé au bout de ses pieds, je remonte doucement le long de son corps, arrivé à son entrejambe, mes doigts se retrouvent collés à ses bourses , je les malaxe doucement. Son sexe se tend et des gémissements s’échappent de sa bouche. Mes doigts agacent son gland en l’effleurant à peine, son sexe se tend encore plus à la rencontre de ma main, mais elle s’en éloigne aussitôt. Je serre la base de sa queue de ma main gauche et de la droite je le branle lentement pour lubrifier sa queue sur toute la longueur et je stoppe le mouvement. Sa queue reste là, toute raide d’excitation, une goutte translucide perle sur le bout de son gland. Marc me regarde et je vois dans ses yeux toute l’envie qu’il a de jouir de mes mains. Ma queue est raide elle aussi. Je me couche sur lui et je me frotte tendrement contre son corps glissant afin d’huiler tout le mien. Ma bouche se pose sur la sienne et nos langues entrent en fusion dans de grands mouvements humides pendant que nos sexes se frottent frénétiquement l’un sur l’autre. Mais ce n'est pas le moment de jouir, je veux plus, évidemment.  Alors je lui dis :

— T’en as envie autant que moi, non ?

— Oui je te veux !

— Ok mais nous allons lutter de nouveau et le gagnant prendra le perdant.

— Chiche, je vais t’avoir.

D’un coup, je me redresse, m'enduis tous le corps d'huile de massage et glisse en avant drout sur lui. J’écarte ses deux bras de chaque côté de son corps et je me positionne au-dessus de  lui afin que sa tête se retrouve entre mes cuisses. J’abaisse mon bassin vers son visage et ma queue tendue se presse contre ses lèvres. Marc refuse d’ouvrir la bouche, le combat vient de repartir de plus belle et il ne veut pas le perdre. Toujours bien assis sur lui, je lâche ses bras pour essayer d’ouvrir sa bouche avec mes mains. Il en profite aussitôt et me pousse de toutes ses forces avec ses mains libres, je tombe en arrière et me retrouve couché sur le dos, mon sexe toujours en érection se tend vers le plafond. Marc se lance sur moi et de tout son poids me plaque au sol. Mes bras s’enroulent autour de son corps, je le sens glisser contre le mien. Mes mains se plaquent sur ses fesses que j’écarte au maximum. Mon majeur se presse contre son anus. Je sens Marc se trémousser sur moi pour essayer d’échapper à mon doigt. Je commence à lui masser le bord de son trou et en pressant un peu plus fort, mon doigt huilé commence à se frayer facilement un passage dans ce conduit humide et chaud qui l'enserre  subitement,  par réflexe sans doute. 
Aussitôt son sexe se durcit et se presse encore d’avantage contre le mien. Sa bouche se plaque sur la mienne, nos souffles se mélangent, tandis que nos corps tanguent l’un contre l’autre au rythme des mouvements de mon doigt qui coulisse en lui. Je suis au bord de l'orgasme,  je pourrais jouir, mais le combat n’est pas terminé.

Au prix d’un effort surhumain, je tente de me dégager, mais avec l’huile les mouvements ne sont plus aussi précis et je ne fais que glisser sous lui pour me retrouver sur le ventre. Marc se redresse légèrement, pose ses mains de chaque côté de mes fesses et les écarte. Je sens son sexe dur comme un roc venir se placer entre elles, tout contre mon anus. Il commence à pousser sa queue contre ma rosace et d'un coup me pénètre et l'enfonce toute  entière. Sous l’effet de la douleur, je réagis aussitôt. Malgré la pression de tout son corps contré mes fesses et  en prenant appui sur mes mains je me soulève et je me mets sur les genoux, son corps toujours accroché au mien. Je sens son sexe ressortir et venir se plaquer contre le bas de mon dos. Poussant sur mes pieds, j’essaie de me redresser encore en peu, notre équilibre devient précaire, nos corps sont trop glissants pour tenir dans cette position. Marc tombe sur le sol et on se remet aussitôt debout, face à face, nos yeux ne se quittant pas, on essaie de reprendre notre souffle. La tension dans l’air est palpable, tout son corps est tendu comme un arc, ses muscles tétanisés roulent sous sa peau et son sexe raide et rouge est prêt à éclater. Je sens qu’en une fraction de seconde il peut bondir sur moi comme un félin. Tous mes sens sont en alerte, mon corps est prêt, tendu à l’extrême.

Dans un même cri, on fonce l’un sur l’autre. Marc démarre une fraction de seconde avant, et de son bras gauche, m’attrape par le cou. Je ne peux rien faire, je me retrouve la tête coincée par son bras. Il se baisse pour me faire plier. Courbé en deux, ma tête se retrouve au niveau de sa queue. Il me force à avancer mon visage vers son sexe tendu. Sa bite cogne contre ma bouche fermée, je ne veux pas me faire avoir si vite… Il serre davantage mon cou avec son bras, je commence à étouffer et je suis obligé d’ouvrir la bouche pour mieux respirer. Sa queue s’y engouffre jusqu’à la garde et cogne au fond de ma gorge. Je ne peux que sentir son sexe entrer et sortir de ma bouche, c’est chaud, doux comme de la soie et dur à la fois, mes lèvres se resserrent autour de sa tige et ma langue s’active autour de son gland. Mes deux mains viennent se poser sur ses fesses, je l’attire encore plus fort contre moi pour que ma bouche s’empale encore plus profondément sur cette barre d’acier vibrante. Les poils de son pubis me chatouillent le nez, je respire son odeur, je suis en transe. Je sens mon sexe devenir de plus en plus raide. Son bras desserrent doucement son étreinte, son plaisir reprend le dessus. Son sexe entre et sort de ma bouche de plus en plus vite. Son souffle s’accélère, il commence à gémir. Sur ma langue je sens le goût de son plaisir. Mais je veux que mon plaisir soit différent, ma bouche se referme d’un coup sur sa queue et l’immobilise. Je sens les pulsations sanguines à travers son sexe. Mes dents prennent sa bite dans leur étau et je commence à serrer. Marc commence à ressentir de la douleur, il libère aussitôt mon cou de son bras. C’est le moment que j’attendais… Mes bras lui ceinturent le haut des cuisses et en poussant je le fais tomber en arrière. Il se retourne sur le ventre pour se remettre à genoux, mais pas assez vite… Je lui saute sur le dos et le plaque au sol. Pendant que mon bras droit le maintient dans cette position, mon autre main se glisse sous son corps et attrape son sexe encore raide et mouillé de ma salive. Je commence doucement à le masturber, il soulève de lui-même son bassin afin que ma main soit plus libre de ses mouvements. Il a l’air d’aimer ça… J’insère mes cuisses à l’intérieur des siennes pour les lui écarter, ma main gauche part à l’aventure, et cette fois je le pénètre directement de deux doigts. Son anus se resserre mais au bout de quelques instants se relâche un peu, mes doigts coulissent sans problème dans ce fourreau humide. Marc commence à donner de furieux coups de bassin pendant que sa queue s’active dans ma main gauche. C’est le moment que je choisis pour me soulever un peu, je retire mes doigts et place mon sexe entre ses fesses. Je me recule un peu pour placer mon gland contre son anus palpitant. Tout doucement mon bassin se met en marche. Mon gland pénètre très légèrement son trou et y reste quelques secondes sans bouger. Les coups de bassin de Marc se sont stoppés, il ne bouge plus pendant un moment. Puis tout doucement il recule ses fesses afin que mon sexe le pénètre un peu plus. Centimètre par centimètre, son trou avale en douceur la moitié de ma queue. Il s’arrête encore quelques secondes, il recule un peu tandis que je pousse tout en douceur mon bassin en avant, jusqu’à ce que mes testicules cognent contre ses fesses. Nous ne bougeons plus, pendant que son trou s’habitue à mon  vit. C’est moite, c’est chaud, mais je sens les parois de son anus se détendre. La sensation est merveilleuse, mon corps entier est traversé par des spasmes qui me coupent le souffle. Alors doucement je commence à bouger, ma queue coulisse délicatement et profondément en lui. Mon plaisir est intense, jamais je n’avais ressenti une telle excitation. Son anus se resserre autour de ma bite afin d’augmenter notre plaisir;  tour le corps de Marc vibre de désir. J’accélère le mouvement jusqu'à sortir mon sexe  complètement de ses fesses pour y plonger de plus belle avant que son anus se referme.
Voir ce trou béant réclamer mon braquemart augmente encore mon excitation et fou de désir,  Il se cambre encore plus à la rencontre de ma bite afin qu’elle s’enfonce profondément en lui. Je ralentis le mouvement afin de faire durer notre plaisir puis j’accélère à nouveau en le pilonnant de plus en plus violemment. Nos gémissements se transforment en râles de plus en plus bruyants, je voudrais que ce moment dure une éternité, mais je sens une chaleur me traverser tout le corps, et dans un dernier assaut, mon sexe se vide en de violentes saccades à l’intérieur de mon cousin. Au même moment il se tend comme un arc pendant que sa queue se vide sur le matelas. On se tourne sur le côté et je reste en lui encore quelques instants jusqu’à ce que mon sexe débandé ressorte de lui-même. Marc se couche sur le dos, on se regarde tendrement avant que nos bouches viennent sceller ce secret qui vient de naître.

Je m’allonge à moitié sur lui une jambe entre les siennes, ma tête sur ses pectoraux et je ferme les yeux. Et dans cette odeur de sperme et de sueur, je me sens bien, complètement détendu. Que se passera-t-il demain, dans les jours à venir, les années. Que de questions me tombent dessus. Je regarde encore une fois Marc, il s’est déjà endormi, son sexe n’est pas totalement au repos, pense-t-il à une revanche ? Et en voyant cet adorable sexe prometteur de tant de plaisir, je pense à cette revanche que lui offrirait sûrement et aux nombreux moments qu’on partagera ensemble



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