Cet été là, mon pote et moi avions loué un petit chalet dans un village de vacances en montagne. C'est un endroit pas trop touristique, surtout fréquenté par des randonneurs en cette fin d'automne. Ce matin là, réveillé très tôt, j'avais décidé de me faire une bonne séance de cardio et de muscu dans la petite salle de sport du village. Façon de bien commencer la journée. Mon pote dormait à poings fermés et il n'était bien sûr pas question de le réveiller surtout si tôt. Je me réjouissais d'avance car à cette heure matinale, la petite salle serait forcément vide et je pourrais sûrement l'avoir pour moi tout seul !
j'avais aussi l'impression qu'il me matait un peu et même, sa main libre étant entre ses cuisses, qu'il se touchait... A cette idée et bien malgré moi, j'ai commencé à bander grave. Impossible de me cacher.. Mais persuadé maintenant qu'il matait ,.. rien à foutre ! De plus, Je suis plutôt bien doté et un peu exhib
Je continue le long de ses couilles. Il écarte ses jambes et je passe en dessous. Ma langue ne s’arrête pas, ne fait pas de pause. Je descends le long de son périnée glabre.… et j’arrive à son cul puissant, si musclé que je ne saurais dire où son trou se trouve. J’enfonce ma langue dans ce profond sillon et arrive à mon but. Je titille sa rosace et il se met à gémir. Je m'éclate tellement entre ses globes, encouragé par ses gémissements et par les réactions de sa rondelle à mes assauts de langue, que je suis prêt à y rester des heures! Enfin, je descends lentement le long de ses jambes. J’arrive à ses orteils que je lèche. Puis j’arrête. Je le trouve tout détendu, un sourire béat sur le visage. Je vais pour l’embrasser mais au moment d’atteindre ses lèvres, il se détourne et j’embrasse à la place son cou. De sa main, il me fait passer à ses aisselles. Son excitation se fait ressentir, il a une odeur puissante de mâle, bien qu’il se soit douché avant. J’hume sa bonne odeur, J’enfonce ma langue dans ses poils et lèche passionnément ses aisselles. Il a l’air d’apprécier. Son corps finement musclé, dessiné, sa peau blanche rosée, son odeur musquée de roux me font chavirer de désir. Je m'empare de son visage et je l'embrasse avidement, profondément; nos langues luttent l'une contre l'autre. entre deux baisers enflammés, je l'entends murmurer, supplier? baise moi. Est-ce lui, vraiment, est-ce mon désir qui me le susurre? peu importe, mes doigts fouillent déjà son trou qui avait fait bon accueil à ma langue.. puis je le retourne; d'une main, il prend appui sur le banc près de nous, les jambes bien ouvertes et de son autre main, écartant ses belles fesses charnues offre à mon regard la vue sur son œillet . je prends mon temps, j'ai envie de savourer ce moment, la vision de ce dos large et cambré, cette croupe bombée, cette rosace entrouverte. je caresse, flatte, claque, passe la tranche de ma main dans le profond sillon humide, caresse l'oeillet... je le doigte un moment, mon doigt puis deux tournent et retournent en lui , il se cambre davantage, il aime, il en veut, son cul m'appelle. je crache abondamment sur ma queue, l'approche tout contre sa rosette; je frotte mon gland à l’entrée de son anus bien mouillé et il s’y retrouve happé ! Je m’enfonce au fond de lui, mon pubis contre ses globes, je reste un moment ainsi pour bien sentir ma verge enserrée par ses sphincters puis je me mets à donner des coups de queue sur le champ. Nos corps ne font plus qu’un. nos sueurs se mêlent, nos halètements s'accordent.
Son cul bien serré m'amène rapidement, trop, au bord de l'orgasme. je me retire pour calmer un moment le jeu, juste le temps de me coucher sur le banc et l'inviter à s'empaler sur moi, à lui de faire les efforts, de donner le rythme. et puis, j'aime beaucoup cette position,; voir mon amant aller et venir sur ma queue, voir son plaisir se mettre au diapason du mien, prendre plaisir à regarder sa bite dressée battre contre son ventre au rythme des va-et-vient. Ce beau mec se laisse baiser par un petit mec comme moi. Je n’y aurais jamais cru, même dans mes rêves les plus fous. J’admire ma large queue s’enfoncer dans ce cul puissant, tout en caressant son torse musclé et glabre..
Soudain, il se relève, prend mes deux jambes en mains, les soulève et les écarte
- à toi maintenant, tu veux bien?
-ai-je le choix?!
sa verge est là devant moi; finalement c'est peut-être la première fois que je la vois vraiment... longue, assez épaisse et veineuse, légèrement courbée, le gland proéminent.
- tourne-toi!
couché sur le ventre, instable sur ce banc de bois, les cuisses bien écartées de chaque coté du banc, ses deux mains puissantes me plaquent, écartent fermement mes fesses; je sens maintenant son haleine tout contre ma raie, son souffle caresse ma rondelle et sa langue entre dans mon trou. Il me fait un bon anulingus puis se relève et me pénètre lentement. Je suis tellement excité et tellement mouillé que sa queue rentre toute seule ! Il prend mon cul à pleines mains, l’écarte et il se met à me défoncer. Son gland me laboure le conduit... mais j'aime, j'en veux. Il rentre et sort de mon cul comme pour bien le mater grand ouvert .. Puis il me retourne sur le dos, toujours instable sur ce banc de bois, je m'accroche comme je peux aux pieds d'acier et, toujours les jambes posées contre ses épaules, il reprend son pillonage. Je le vois dans un miroir me baiser à fond. Moi, plutôt grand et mince j’admire cette montagne de muscles, qui me couvre complétement. Sa paire de couilles rebondit contre mes fesses. Il me baise toujours plus violemment. J’admire ses abdos et ses pecs se contracter sous l’effort. J’adore voir jouer ses muscles pour me faire du bien. Je pose mes mains sur ses fesses et je les sens travailler sous ses coups de reins, se contracter. Il se penche de temps en temps sur moi pour m’embrasser. Il me défonce à fond, son rythme est effréné, c’est comme si je sentais à peine sa queue coulisser en moi. Son pubis claque contre mes fesses, ses couilles me les fouettent.
Au bout de ce qui m'a semblé une éternité, en permanence au bord de l'orgasme. Je me rends compte de sa jouissance quand sa respiration s’accélère. Il se cale bien en moi, sa grosse queue se contracte et éjecte en de multiples giclées, ce qui me semble un flot de foutre. Quand il ressort, son gland fait un gros plop et je sens immédiatement son sperme couler de mon trou. On s’embrasse longuement et passionnément. Puis il me tend sa verge encore dégoulinante pour que je l'essuie; ceci fait, il me demande de me relever, prend la place et se met en levrette. Je comprends le message et je le défonce à mon tour. Je sens pendant toute la baise son sperme couler de mon cul et tout au long de ma jambe. Je ne tiens pas longtemps cette fois. Ma queue, les veines tuméfiées, se raidit encore. Je pousse un cri bestial et mon pubis se colle contre son cul et le remplis. Trois jets puissants vont exploser dans son cul. Une fois fini, je m’écroule sur lui, la bite toujours en lui comme pour prolonger ce moment de plaisir puis enfin la séparation.
il m’emmène dans la douche et on se nettoie tendrement . Vu que je rebande, il me suce à nouveau et je jouis rapidement dans sa bouche. C’est à mon tour, je savonne avec plaisir ses muscles bandés et je le fais jouir à mon tour.
Lavés et habillés nous partons du gymnase.. oups, devant la porte d'entrée qu'il avait verrouillé, deux ou trois mecs attendaient..
- Comment êtes vous entrés?
- Pourquoi cette question ? Avec nos badges.
- mais ça ne marche pas !
Ah bon ?! curieux, nous est entrés sans problème, essayez encore... si non, vous n'avez qu'à entrer direct et nous on en parle au gérant.
Et on s'est éloignés en riant sous cape.
- au fait, moi c'est Max et toi?
Bastien, à la prochaine peut-être ?! dis-je avec un petit sourire en coin
- je suis dans un des bungalows du haut avec 2 autres potes, viens nous voir....
- avec plaisir!
A suivre
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