31 janvier 2006

Ejac faciale

Ejacfaciale Qui que tu sois, J’aime ton sexe, ta bite, ta queue, ton viet. J’aime ce membre que tu me présentes voluptueusement, expression violente de ton désir, de ton envie de jouir, jouir absolument. J’aime le voir dressé devant moi, raide, tendu, turgescent. Ces veines gonflées déformant la droiture, ce sang accumulé soulignant la virgule, découvrant le gland. L’homme me ment jamais disait Cocteau et te voilà tout entier ton âme y compris concentré dans ce membre. Cet abandon me rend fou, me bouleverse, j’engloutis goulûment, l’enfonce au plus profond de ma gorge, à en vomir. Je le lèche, en mordille le prépuce. Je glisse ma langue dans ce méat, entoure et caresse les contours de ton gland tuméfié. J’avale à peine apparues les premières gouttes de lubrifiant « rosée du désir ». Très vite pour moi se pose la question qui va m’occuper jusqu’à l’accomplissement. Comment accepter ta jouissance. Comment communier avec toi. Avaler, ne faire ainsi qu’un, avec toi ; où me laisser inonder le visage de ta semence ? et communier ainsi avec ton plaisir. Tout, de fait dépend de toi, de l’intensité de ton abandon, de l’ascendant que tu auras pris sur moi ; m’as-tu dis des mots d’amour, des encouragements ? M’as-tu tiré les cheveux en accompagnant mes va et viens ? As-tu gémi, hurlé ? Ton sperme sur mon visage, comme au fond de ma gorge, sont des preuves intenses de mon amour pour toi. Hélas, la prudence veut que nous renoncions à ses moments de vérité nue.

1 commentaire:

  1. Anonyme12:30 PM

    effectivement, la prudence est bonne conseillère d'autant plus que la sensation de recevoir sa semence sur le visage est tout aussi forte que de la sentir au fond de la gorge...

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