14 janvier 2007

TonCul

Je suis là comme un couillon à mater un film quelconque. Tu n’es pas là ce week end, tu es parti vers les montagnes retrouver pour quelques jours ton filleul. Travailler aussi un peu tranquillement sur ton prochain bouquin. Moi, avec une envie de ne rien faire, la tête prise par les problèmes du boulot. J’ai traîné toute la journée. J’aurais préféré rester avec toi. Couette, caresses, bisous). Mais je n’ai eu que la couette, la couette et l’envie de te caresser les fesses, tes fesses si solides si charnues. Tes doux poils que mes doigts aiment effleurer. Et puis me perdre des lèvres le long de ta rainure profonde, et puis aller, enfin, à la recherche au fond de cette géographie si intime, au fond de cette vallée obscure et humide, envahie d’effluves entêtants et musqués, de toi et de ton plaisir. See you tomorrow

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