11 février 2007

promesse

Tu me fais face et soudain, la chambre disparaît, tout s'assombrit autour de moi, de nous.
Nous voilà encore tout étonnés du bonheur de cette merveilleuse journée de campagne. La tête lavée des saletés de la ville. nos corps encore endoloris de la longue marche de cet après midi au gré des chemins autour de notre maison, de notre bourg.
Une bonne douche nous attend. Et je t'observe tendrement, ne voulant perdre aucun instant de cette découverte toujours renouvelée de ta peau, si blanche, presque laiteuse, de tes creux et de tes courbes qui apparaîtront pendant que tu te déshabille devant moi. Peut-être te suivrais-je sous le jet brûlant de la douche; peut-être mes mains savonneront ton dos, ton cul, ton sexe, ma bouche baisant ton épaule. peut-être resterais-je à attendre ton retour, pour te voir, nu sous le contrejour de la porte; tu t'approcheras alors, tu t'etendras près de moi et, je poserai alors mon visage sur ton ventre pour simplement sentir, m'emplir de l'odeur de ton corps parfumé, encore humide. Peut-être.

week end de bonheur.

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