05 septembre 2014

Miroir mon beau miroir

Des fois, souvent on s'inquiète, on s'interroge.  Le temps passe, inexorable, inexorablement vite.  Parfois, souvent, on déconne;  on mange trop, on boit trop. Il arrive parfois que l'on n'ai plus envie de suer à la gym.
Après, après, un matin on s'inquiète, on se met devant la glace, on se scrute, s' examine, se palpe.
Voit-on passer le temps sur son visage, sur son corps.  Ferons-nous encore illusion dans ce grand magasin de la vie.  Et encore une vois quand on se voit on s'inquiète et quand on se compare on peut encore se rassurer.

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