Après une bonne douche froide, après avoir rafraîchi ma tonsure pubienne, j' enfilai un jean taille basse, sans rien dessous, bien moulant. Je m'excitais moi même! Tellement, que j'avais un peu de mal à fermer ce satané pantalon. Un marcel pour compléter le tout et me voilà prêt. Dans une bonne crise de narcissisme, je me plaisais. J'aimais ce jean suggérant bien ce qui était un de mes atouts, qui laissait entrevoir un début de pilosité, , une aine bien dessinée. Sans compter sur la vue arrière qui offrait au passant, le petit triangle du haut de mes fesses.
Je devais transpirer le désir sexuel car dans ce quartier de Barcelone, quartier de la nuit, je voyais les regards se tourner vers moi. Il ne fallu pas longtemps pour que ce mec m'aborde à la terrasse d'un bar. A peine le temps de boire une bière bien fraîche que d'un regard amusé il me caressait d'un doigt l'aine tout en faisant un commentaire coquin sur mon entrejambe proéminente. Il voulait parier que c'était une chaussette et quand je me proposai de lui montrer illico, il proposa alors de le découvrir chez lui, il habitait à quelques pas de là.
Chez lui, je dirais son minuscule chez lui; on pouvait à peine faire le tour du lit. Pas question de perdre du temps en salamalecs, je me sur le lit, enlevai mon marcel et je commençai alors à déboutonner mon jean, , lui laisser le temps des politesses habituelles.
- voilà, lui dis je, extrayant avec peine, ma queue déjà bien raide. Assis sur lit, je lui faisais en admirer la cambrure. Il se déshabilla prestement.
Près de moi, sa queue touchant la mienne, il parcouru d'un doigt la longue courbure de mon sexe s'attardant quelques instants sur le gland décalotté. Sa peau était d'une suprême douceur. A peine poilu, juste une petite couronne blonde entourant un sexe long et fin se terminant par un gland un peu disproportionnée. Je voyais dans ses yeux, au fur et à mesure que je caressais son corps, que mes doigts exploraient son cul, au fur et à mesure qu'il découvrais mon corps de ses lèvres et de ses mains, l'excitation croître. Cela était tout à fait évident par sa respiration de plus en plus saccadée et surtout par le peu de résistance à mes doigts s'introduisant en lui.
Il se leva alors, le regard voilé par le désir et s'accroupit sur ma verge ne s'arrêtant que lorsque ses fesses furent au contact de mes cuisses. Mon braquemart tout entier en lui, lui arracha un sourire radieux. Sa queue battait sur mon torse et mon ventre tandis qu'il allait et venait. C'était bon, ses muscles experts savaient s'occuper de ma bite et je haletais de plaisir. Je le branlais durement au même rythme que lui empalé sur moi. En nage, nos corps glissaient l'un sur l'autre. Je me retenais au maximum voulant absolument jouir avec lui.
Les veines de son sexe se durcissaient gonflées de sang sous mes doigts.
Quand je sentis que l'orgasme approchait, je laissai aller les vannes et bientôt hurlant comme un boeuf, je jouis en lui. Il n'attendait que cela pour couvrir de semence mon torse. Nous sommes restés longtemps ainsi l'un dans l'autre. Partageant du bout des doigts le précieux liquide.
J'eus du mal à le quitter dans la nuit moite barcelonaise. .
Chez lui, je dirais son minuscule chez lui; on pouvait à peine faire le tour du lit. Pas question de perdre du temps en salamalecs, je me sur le lit, enlevai mon marcel et je commençai alors à déboutonner mon jean, , lui laisser le temps des politesses habituelles.
- voilà, lui dis je, extrayant avec peine, ma queue déjà bien raide. Assis sur lit, je lui faisais en admirer la cambrure. Il se déshabilla prestement.
Près de moi, sa queue touchant la mienne, il parcouru d'un doigt la longue courbure de mon sexe s'attardant quelques instants sur le gland décalotté. Sa peau était d'une suprême douceur. A peine poilu, juste une petite couronne blonde entourant un sexe long et fin se terminant par un gland un peu disproportionnée. Je voyais dans ses yeux, au fur et à mesure que je caressais son corps, que mes doigts exploraient son cul, au fur et à mesure qu'il découvrais mon corps de ses lèvres et de ses mains, l'excitation croître. Cela était tout à fait évident par sa respiration de plus en plus saccadée et surtout par le peu de résistance à mes doigts s'introduisant en lui.
Il se leva alors, le regard voilé par le désir et s'accroupit sur ma verge ne s'arrêtant que lorsque ses fesses furent au contact de mes cuisses. Mon braquemart tout entier en lui, lui arracha un sourire radieux. Sa queue battait sur mon torse et mon ventre tandis qu'il allait et venait. C'était bon, ses muscles experts savaient s'occuper de ma bite et je haletais de plaisir. Je le branlais durement au même rythme que lui empalé sur moi. En nage, nos corps glissaient l'un sur l'autre. Je me retenais au maximum voulant absolument jouir avec lui.
Les veines de son sexe se durcissaient gonflées de sang sous mes doigts.
Quand je sentis que l'orgasme approchait, je laissai aller les vannes et bientôt hurlant comme un boeuf, je jouis en lui. Il n'attendait que cela pour couvrir de semence mon torse. Nous sommes restés longtemps ainsi l'un dans l'autre. Partageant du bout des doigts le précieux liquide.
J'eus du mal à le quitter dans la nuit moite barcelonaise. .
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