26 avril 2020

aire d'autoroute


j’y pensais souvent, lors de mes longs parcours en voiture:  avoir une aventure purement sexuelle voire crade avec un ou des inconnus sur l'autoroute . Ce fantasme m'est venu simplement à force de m'arrêter dans les aires de repos et de subodorer, à la lecture des graffitis sur les murs et à d'autres signes encore, que ces lieux devaient être les témoins muets d’agissements sortant de na finalité de l'endroit. Et, je dois dire qu'il m'était déjà arrivé de me branler à la lecture évocatrice des messages, annonces, déclarations inscrites.  Sans compter les trous patiemment creusés dans les parois dont l'usage supposé, quand j'en voyais, emportaient mon imagination dans des contrées insoupçonnées. J'en tâtais les contours grossiers, imaginant les multiples queues qui avaient dû s'y glisser à la rencontre de bouches ou de mains inconnues et anonymes. 
Quelques fois même, me sachant seul, je me mettais torse nu et pantalon baissé, collé à la paroi sale, froide et humide, j'y glissai ma verge, l'offrant  à une bouche inconnue imaginaire.  Je finissais par me branler, aspergeant mon foutre sur les promesses de plaisir gravées sur le mur avant de reprendre la route, apaisé.

Une nuit, je rentrais de Lorraine par l’autoroute. Je pensais à ça et bandais depuis plus d’une demi-heure en me caressant de temps en temps.  Ma bite était tellement raide   j'étais tellement excité que je stoppai un instant sur la bande d'arrêt d'urgence, juste le temps de virer mon pantalon et mon boxer pour reprendre la route, libre de me palucher sans contrainte. 
Je n’en pouvais plus, il fallait que je m’arrête !
À l’aire de repos suivante, je décidai de m'arrêter,  m’y engageai et garai mon auto devant le bâtiment des  sanitaires.
 Aucune autre voiture de garée, l'endroit était désert.
Je sortis de ma voiture, non sans enfiler mon boxer et mon jean et me dirigeai ainsi vers le petit bâtiment.

L'endroit était comme souvent éclairé d'une lumière blafarde, empestait l'urine et l'humidité. Le sol était sale, encombré de papiers et de sacs plastiques.  Les équipes de nettoyage ne devaient venir souvent ici ! Des lavabos bien crades, un rang de pissotières et une rangée de cabines wc aux portes entrebâillées.
Je les visitai toutes, l'une après l'autre pour parcourir les murs, déchiffrer les déclarations, les dessins obscènes, les offres de rendez-vous prometteurs, les dessins subjectifs.
J’optai finalement pour la dernière cabine qui, il fallait sans douter offrait les fresques les plus nombreuses, les plus osées et ce qui est plutôt rare, une paroi de séparation avec la cabine mitoyenne percée d'un orifice maladroitement rebouché avec du papier journal. 
Ce "glory hole " était plutôt étroit, des contours anguleux et saillants, pas forcément adapté pour les calibres comme le mien, et qui avait sans nul doute déjà servi ; en tous cas je voulais m'en convaincre en enlevant le papier qui l'obstruai. Je m'attelai à cette tâche, assis sur la cuvette des chiottes, pantalon et boxer sur les chevilles, bandant comme un âne. La vue sur l'autre cabine, vide pourtant, faisait bouillonner mes pensées ; ma queue toute droite sous mon t-shirt mouillait déjà et n'écoutant plus que mes hormones,  je me mis torse nu,  introduisit  difficilement ma verge déjà raide dans l'orifice et me collai contre la paroi de séparation.
Ma bite maintenant turgescente, légèrement décalottée par la tension, était caressée par le léger courant d'air qui circulait à côté. Je bandais tellement que je sentais les irrégularités de l'orifice me titiller me faisant craindre non seulement de me blesser en m'extrayant, mais, pire de devoir attendre de débander pour me libérer ! Au risque d'être découvert par un conducteur venu se soulager ! Cocasse !
L’excitation étant à son comble; le corps collé sur le mur froid , je revivais dans ma tête, les propositions  subjectives qui y étaient décrites.
Dans mon délire, je n’entendis pas le bruit de pas avançant dans le local ni  la porte de la cabine mitoyenne s’entrouvrir.
Une main venait de se poser sur ma verge! Je tentai instinctivement, d'un coup de bassin de me libérer; trop  brusquement car outre le fait que cette main inconnue tenait ma verge, je me blessai à une aspérité du trou; je poussai alors un cri strident!
- Tout doux! tu vas te faire mal et te blesser! ça serait dommage d’abîmer un engin pareil, dit une voix, tandis que la main soupesait ma verge;
Ça c'est de la bite! et je m'y connais; tu dois en faire des heureuses ou... des heureux!

 Je me retirai tant bien que mal de cet orifice et remontai mon boxer et mon pantalon; Un homme d’une cinquantaine d’année, genre costaud bedonnant était là devant moi.

- Alors, on s’excite sur la littérature ? oh mais tu t’es rhabillé ?! fallait pas ! regarde la bosse dans ton pantalon, tu bandes encore bien dur ! Continue ton affaire, ça m’excite aussi!

Sur ces bonnes paroles il dézippa sa braguette, affichant une bite plutôt imposante, en pleine érection, gland décalotté.
-
Çà donne quoi en vrai ? C’est pas mieux que de lire ? Regarde ! J’ai une belle bite ? Hein ? Allez, assied-toi sur le siège tu vas me la sucer.
Toujours plus ou moins débraillé, mal à l’aise, en pleine panique, le gars me poussa doucement en arrière vers la cuvette WC et me força à  m'asseoir.
Il s’approcha de moi, baissa pantalon et slip et se mit à frotter sa bite contre mon visage. Il sentait fort, une odeur acre, puissante, de fin de journée, de renfermé.
- Allez mon gars tu vas aimer ça, ouvre bien ta bouche que je te la baise.
Le fantasme devenait réalité mais je n'étais pas vraiment rassuré; j'avançai dans un drôle de trip pour la première fois: des gogues crades et malodorantes d'autoroute, un mec bedonnant et pas franchement propre ; Pourtant, j’en avais manifestement très envie, depuis le temps que j’en rêvais, mais il me restais à sauter le pas, à me laisser porter si non j'allais le regretter longtemps.

- Monsieur fait le timide ? Un peu de courage, une bite comme ça, avec les couilles bien pleines, on ne trouve pas ça tous les jours.
J’hésitais toujours ! Le gars pris alors ma bouche dans sa main pour m'inciter à l’ouvrir; son gland imposant était contre mes lèvres, humide de précum.
- Bon, Tu vas me sucer et tu va aimer ça, si non pourquoi était-tu là, hein !? 
J’ouvris enfin la bouche 
- Bien ! et jusqu’au bout, je veux te voir tout avaler !! Compris ? Mais d’abord commence par me lécher les couilles et la queue !
Je sortis la langue et commençais à me délecter de cette grosse bite ; Je la léchais de bas en haut, en lui caressant les couilles avec mes deux mains ; C’était hyper génial et je sentais ma queue se sentir à l'étroit dans mon froc.


Je retardais le plaisir de poser mes lèvres sur son gland et d’avaler sa queue ! Visiblement il aimait ce que j’étais en train de lui faire ; Je bandais comme un dingue pensant que j’allais décharger dans mon slip, sans même me toucher.
Enfin je pris sa bite dans ma bouche et entrepris un lent va-et vient. C’était encore meilleur que dans mes fantasmes, pourvu qu’il se retienne pour que j’en profite le plus longtemps possible.

- baisse ton froc! J’ai envie de voir ta belle grosse queue et que tu te branles en même temps.
je me désapai donc, libérant ma verge turgescente qui se cala instantanément contre mon t-shirt, faisant une première tâche, tellement j'avais émis de précum.

Au bout d’un quart d’heure, il me dit :
- Je vais me vider les couilles dans ta bouche et tu vas aimer mon sperme, alors je veux te voir tout avaler !

- O.K. j’en ai envie, elle est si bonne ta bite, vite, décharge tout ton foutre !
Il se contracta, je reçus d’énormes giclées dans la bouche puis il sortit sa queue pour m’en mettre sur le visage.
J ’avalai tout ou presque en rabattant même le sperme qui était sur mes joues.
Il ne me fallut que quelques secondes de plus pour jouir moi aussi et balancer sur mon t-shirt une longue coulée de semence.
- Super mec, c'était cool; en venant ici plus tôt que les autres fois, je ne m'attendais pas vraiment à trouver quelqu'un. Mais je ne regrette pas, on a pu se régaler tranquillement.
On s'est resapés et retrouvés à l’extérieur, sur le parking; c’était, je m'en était douté, un camionneur et il avait garé son camion à coté de ma voiture. 
- tu viens souvent ici , lui demandai-je, c'est fréquenté?
- En fait, c'est fréquenté mais un peu plus tard; les gens du coin surtout et quelques mecs comme moi de passage, mais si ça t’intéresse, ça devrait s'animer un peu d'ici une demi-heure 
- Tu sais quoi, j'ai bien aimé ta queue, j'ai envie de la revoir, ajouta t'il en me mettant la main sur la braguette. Voyant que je ne tentais pas de le stopper, il déboutonna mon pantalon, le baissa ainsi que mon boxer et sortit mon sexe à l'air.
-Hmm! quel engin, belle verge, belles couilles bien pendues; tu bandes de nouveau, baise-moi, tu veux.
Et, sans attendre ma réponse il baissa son froc, se tartina le troufignon d'un peu de gel sorti d'un sachet genre échantillon de sa poche, s'accrocha à son camion tout en écartant les cuisses pour m'offrir son cul.
- viens, ça te fera patienter en attendant les autres !
je bandais de nouveau comme une bête, juste le temps d'enfiler la capote qu'il me tendait et je poussai mon gland dans son fourreau; juste une petite crispation et je l'empalai jusqu'à la garde; 
il m'encourageai à pousser fort et profond; il aimait ça le bougre; je lui défonçait longtemps le cul de ma grosse queue, jusqu'à ce qu’il découvre à deux mètre de nous un spectateur qui ne loupait rien de nos ébats et qui braguette ouverte , se branlait tranquillement en nous matant.

- Attends un peu mon garçon, me dit-il, on va s’éclater encore plus , laisse-moi un instant ; je me retirai et il alla chercher dans sa cabine de camion une couverture qu’il disposa sur le sol puis, me proposa de m’y étendre ; il vint ensuite à califourchon s’empaler sur moi, se coucha ensuite sur mon torse et appela le spectateur, l’encourageant à venir se joindre à nous.
- j’en veux deux, les gars, allez viens ! fourre-la moi toi aussi !
Le mec n’hésita qu’un instant, se défringua et vint derrière lui joindre sa queue à la mienne ; il prit l’initiative en donnant de grands coups de reins et cela me fit une drôle d’impression de sentir une bite aller et venir contre la mienne ; je sentais les veines gonflées de sang frotter contre les miennes, c’était comme s’il me branlait et j’y prenait beaucoup de plaisir. Surtout quand il fut proche de l’orgasme et qu’il accéléra et renforça ses coups de reins. Enfin il jouit et les spasmes de sa verge éjaculant contre la mienne faillirent me porter moi aussi jusqu’à l’orgasme. Quand il se retira, mon partenaire se redressa et commença à se mouvoir sur moi.
-        C’était bon, hein ?! c’est la première fois que tu fais ça, hein, gémit-il.
J’étais proche de l’orgasme et je le pris par la taille pour accompagner et guider ses mouvements sur ma queue que je voulais à mon rythme ; nous étions en sueur, épuisés et je hurlai de plaisir en envoyant mon foutre dans son cul, sa queue dressée gicla presque en même temps, sans même qu’il eut à se branler.
Nous eûmes droit à quelques applaudissements qui nous firent nous rendre compte que nous n’étions plus du tout seuls. 


De fait, il y avait du mouvement dans ce parking et je voyais des mecs entrer et sortir du local WC. 
Il avait raison, l’heure de pointe était arrivée !

 - Me dit pas que tu regrettes ta soirée !  me dit-il en allumant un clope récupéré dans son camion et en m’en tendant un deuxième ;
- Et si tu veux, elle ne fait que commencer avec le spectacle que nous avons donné, tu seras le clou de la partouze ! Pour moi c’est fini, j’ai de la marchandise à livrer.
Nous passâmes un miment tous les deux à cloper et à deviser ; c’était je dois dire plutôt surréaliste !  Papoter tranquillement à poil sur un parking tout en fumant des clopes !
- Jamais personne ne vient ici, juste pour se reposer ou pisser ? demandai-je
- c’est rare à cette heure-ci et quand ça arrive, ils comprennent assez vite et vont ailleurs ; le seul problème ce sont les gendarmes qui connaissent l’endroit mais c’est rare qu’ils viennent déranger !

 je le laissais  se rhabiller au pied du camion et  après avoir remis mes vêtements, allait voir, maintenant tout à fait à l’aise avec ce genre de d’expérience, à l’intérieur du pavillon.
Il y avait là quelques mecs, se regardant, se jaugeant ;  deux étaient côte à côte devant un urinoir, les falzes baisés, se branlant mollement en attendant de la nouveauté ; je supposais que c’était des réguliers, des mecs du coin se croisant régulièrement ici. ; un autre encore faisait valoir, le jean déboutonné son « paquet » en caressant son slip CK.


Je ne sais pourquoi, je voulais me rendre vers la dernière cabine celle de ma première expérience, qui sait peut-être allais-je m’y réinstaller et voir ce qui se passe. Personne encore,  de fait, il n’y avait pas d’action à l’intérieur du bâtiment, on était plutôt en phase « préambule », on se jauge, on se chauffe… ;
Et, pourquoi pas assouvir mon premier fantasme de la soirée ? me dis-je de nouveau en émoi ?!
Je pénétrai dans la cabine, refermai la porte qui de toutes façons n’avait pas de verrou, 
baissai mon froc et mon boxer, glissai de nouveau ma queue dans l’orifice et me collai de nouveau à la paroi. Je n’eus pas à attendre longtemps, une main très douce vint caresser ma queue et ce qui me plut vraiment, mit une autre bite bandée à mon contact, frottant nos deux glands l’un à l’autre ; il ne fallut pas longtemps pour que cela attire du monde ; de l’action ! De la nouveauté ! Un jeune mec me rejoignit et commença à me caresser les fesses, un autre entra à son tour, baissa son pantalon et m’offrit sa queue à branler tout en me caressant.
Toujours collé au mur, la verge bouffée de l’autre côté, des mains m’écartaient les fesses, une langue commençait à s’aventurer dans ma raie et à titilles mon œillet; j’écartai les jambes pour aider à la manœuvre mais cette position me fatigua très vite et  je décidai de m’extraire de l’orifice, de toutes manières le mec derrière suçait mal, pour me concentrer sur ce qui se passait dans ma cabine ; aussitôt,  ma queue libérée fut gobée par un des deux gars  tandis que le  second après avoir bien ouvert mon trèfle de la langue puis de deux doigts , tentait de me fourrer.
 J’en avais grave envie ; je me désapai entièrement, imité par mon nouveau compagnon, m’installai sur la cuvette des chiotes en écartant bien les cuisses et me laissait enculer ; j’attirai vers moi le troisième en tirant sur sa bite et le branlait.
Mes gémissements avaient attiré du monde et on se bousculait devant la cabine pour mater ; j’aimais vraiment ça ! Exciter les mecs ! du coup, les mecs se branlaient en matant, se bécotaient, se caressaient ! de l’action enfin !

 Quand je sentis que mon partenaire était proche de jouir, je lui dit :
-        mec, quand tu m’auras envoyé la sauce, montre leur bien mon trou de balle avec ton foutre qui sort, ils vont adorer !
Effectivement, quand après un long et profond spasme il gicla en moi, il se retira en gardant mes cuisses bien ouvertes ; quand le foutre commença à couler, il en recueillit les premières gouttes et les porta à sa bouche face aux autres.
j’en jouis immédiatement et me tartinai ensuite le ventre de ma semence. Fier comme d’Artaban, je pris mes fringues sous le bras et la verge encore raide, me fis un passage entre les spectateurs ; des mains caressèrent mon cul, ma verge, d’autres recueillirent quelques gouttes de sperme sur mon ventre ou sur ma cuisse.
J’espérais avoir mis de l’ambiance et qu’ils allaient se décider tous, enfin, à prendre leur pied !   

Arrivé à l’extérieur, enfin rassasié, je humai l’air frais du soir; en me rhabillant, je m'aperçu que j'avais laissé mon boxer là-bas dedans, comme un trophée, finalement et j'enfilai tant bien que mal mon jean, continuant à faire le show.
Je déverrouillai ma voiture d’un coup de bipper et la rejoignis, le cœur léger, encore tout étonné d’avoir eu le courage de faire ce que j’avais fait ; peut-être étais-je finalement une vraie salope.








1 commentaire:

  1. Très excitant ce genre de plan.
    C'est assez rare mais parfois on a de la chance ...
    Çà me rappelle mon 1er que j'avais raconté dans un de mes ancien blog.
    http://corps-nu.allmyblog.com/157-histoire-vraie.html

    PS : je n'ai pas ton talent de narrateur.

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