Rude journée! après une longue
et matinale traversée de Tokyo pour me rendre en taxi au siège de la compagnie,
après de longues et nombreuses réunions soit avec des locaux soit en visio avec
des collaborateurs au siège parisien , je pouvais enfin tomber la cravate et
souffler a l'arrière de mon taxi. Direction mon hôtel, une bonne douche, une
séance de gym dans la minuscule salle de l’hôtel, un bon repas et au dodo pour
une prochaine journée marathon.
En attendant
mon ascenseur, je vis une pancarte vantant les bienfaits du centre de spa de
l'hôtel: piscine, jacuzzi, sauna, hammam et massage. De fait la plupart des
établissements hôteliers des grandes villes japonaises proposent des SPA sans
compter bien entendu sur les bains traditionnels japonais disponibles même dans
les grands établissements dont les chambres disposent néanmoins de salles de
bains classiques.
Une petite vérification à la
conciergerie pour en vérifier la disponibilité et hop, voilà une bonne façon de
passer la soirée en se relaxant et en tentant de mettre en parenthèse les
problèmes du bureau.
Après une m’être
« décrassé » à la japonaise dans la salle de bains traditionnelle
réservée aux hommes, je me glissai dans le grand bain très chaud en
compagnie de trois autres clients japonais. Au bout d'une quinzaine de minutes,
un masseur vint me chercher pour ma séance, m'aida à enfiler un peignoir et me
conduisit dans la salle de massage, une belle pièce toute blanche un peu
clinique zen ; lumineuse, quelques fleurs et en fond musical, une musique
que j’identifiai comme traditionnelle japonaise. Après m'avoir invité et aidé à ôter mon
peignoir, il me proposa de m'étendre sur la table de massage tout en allumant
quelques bâtonnets d'encens.
La séance commença ; il fit
couler des huiles parfumées chaudes sur mon dos que ses mains
parcouraient tour à tour fermement et délicatement. C'était délicieusement relaxant
! Malgré moi, mon sexe durcissait sous mon ventre et je dus à plusieurs
reprises, soulever les fesses pour mieux le "positionner" redoutant
déjà le moment où il faudrait se retourner.
C'était bon... je me laissais
aller à la douceur et à la sensualité prononcée de ses mains palpant,
malaxant, caressant ma peau et des senteurs sophistiquées des encens, je me
laissais fondre dans la musique japonaise qui emplissait doucement la salle.
Ses mains
allaient et venaient sur mes cuisses m'effleurant les fesses et l'entrejambe...
j'en soupirai d'aise, écartant bien malgré moi les cuisses... comme une invite,
comme un désir inconscient.
Il m’exauça,
malaxant mes fesses enduites d'huiles, passant la tranche de sa main
entres celles-ci et les écartant enfin, me faisant ainsi sentir son
souffle frais sur ma rondelle. Quoique surpris par ces gestes que je
n’imaginais pas vraiment dans un Spa d’hôtel, je me disais en mont for
intérieur que c’était sûrement « traditionnel », je ne savais pas vraiment
où cela allait me mener mais j’étais prêt à y aller direct!
Je gloussai de plaisir bien malgré moi Mais quelle ne fut pas ma surprise quand je sentis sa langue me lécher la rosace et entamer une douce pénétration.
Je le
laissai me branler, me lécher la poitrine, me mordiller les tétons percés. Tout
cela ne ressemblait plus du tout à un massage ! Surtout quand il approcha sa
bouche de la mienne tandis que sa main tenant fermement mon viet tandis que
d'un doigt il explorait mon tréfonds.
Il ôta son
pantalon laissant échapper une queue longue, fine et bandée que j'engloutis
entièrement tout en lui tenant les fesses des deux mains ; de belles
petites fesses, délicatement musclées et fermes.
Il sortit un
préservatif du tiroir d’un meuble à côté de la table de massage et
en revêtit mon sexe.
Je le
branlais tandis qu'il allait et venait sur ma queue. Nous haletions bruyamment
tandis que le plaisir inexorablement montait. Soudain dans un spasme
profond et des mots japonais criés, il inonda mon torse de sa semence.
Se séparant de
moi et après avoir ôté ma capote, il me branla énergiquement m'arrachant
un cri et une longue giclée de sperme qui se mêla à la sienne.
Nous nous enlaçâmes
longuement et, quand il fut temps de nous séparer, il m’apporta mon peignoir et
m’aida à le revêtir.
Juste avant
qu’il n’ouvre la porte, je ne résistai pas à lui demander
Était-ce un
traitement de faveur ? Était-ce inclus dans la tradition japonaise du massage ?
lui demandai-je avec un sourire complice ; je n’eus qu’un beau sourire et
une courbette pour unique réponse.
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