01 mai 2020

massage tokyoite


Rude journée! après une longue et matinale traversée de Tokyo pour me rendre en taxi au siège de la compagnie, après de longues et nombreuses réunions soit avec des locaux soit en visio avec des collaborateurs au siège parisien , je pouvais enfin tomber la cravate et souffler a l'arrière de mon taxi. Direction mon hôtel, une bonne douche, une séance de gym dans la minuscule salle de l’hôtel, un bon repas et au dodo pour une prochaine journée marathon.


En attendant mon ascenseur, je vis une pancarte vantant les bienfaits du centre de spa de l'hôtel: piscine, jacuzzi, sauna, hammam et massage. De fait la plupart des établissements hôteliers des grandes villes japonaises proposent des SPA sans compter bien entendu sur les bains traditionnels japonais disponibles même dans les grands établissements dont les chambres disposent néanmoins de salles de bains classiques.


Une petite vérification à la conciergerie pour en vérifier la disponibilité et hop, voilà une bonne façon de passer la soirée en se relaxant et en tentant de mettre en parenthèse les problèmes du bureau.
Après une m’être « décrassé » à la japonaise dans la salle de bains traditionnelle réservée aux hommes, je me glissai dans le grand  bain très chaud en compagnie de trois autres clients japonais. Au bout d'une quinzaine de minutes, un masseur vint me chercher pour ma séance, m'aida à enfiler un peignoir et me conduisit dans la salle de massage, une belle pièce toute blanche un peu clinique zen ; lumineuse, quelques fleurs et en fond musical, une musique que j’identifiai comme traditionnelle japonaise.  Après m'avoir invité et aidé à ôter mon peignoir, il me proposa de m'étendre sur la table de massage tout en allumant quelques bâtonnets d'encens.
La séance commença ; il fit couler des huiles parfumées chaudes sur mon dos  que ses mains parcouraient tour à tour fermement et délicatement. C'était délicieusement relaxant ! Malgré moi, mon sexe durcissait sous mon ventre et je dus à plusieurs reprises, soulever les fesses pour mieux le "positionner" redoutant déjà le moment où il faudrait se retourner.


C'était bon... je me laissais aller à la douceur et à la sensualité prononcée de ses mains palpant, malaxant, caressant ma peau et des senteurs sophistiquées des encens, je me laissais fondre dans la musique japonaise qui emplissait doucement la salle.
Lâcher prise, voilà le secret pour profiter pleinement de cette expérience !

Ses mains allaient et venaient sur mes cuisses m'effleurant les fesses et l'entrejambe... j'en soupirai d'aise, écartant bien malgré moi les cuisses... comme une invite, comme un désir inconscient.
Il m’exauça, malaxant mes fesses enduites d'huiles, passant la tranche de sa main entres celles-ci et les écartant enfin, me faisant ainsi sentir son souffle frais sur ma rondelle. Quoique surpris par ces gestes que je n’imaginais pas vraiment dans un Spa d’hôtel, je me disais en mont for intérieur que c’était sûrement « traditionnel », je ne savais pas vraiment où cela allait me mener mais j’étais prêt à y aller direct! 
Soudain, il vint chercher sous moi ma queue, qu’il positionna entre mes cuisses, me décalotta et me caressa le gland de ses doigts recouverts d'huile. Je ne savais plus où j’habitais ; à la fois gêné par mon érection, conquis, excité et finalement rassuré car, il ne faisait aucun doute qu’il savait que j’étais en érection et que cela faisait partie du « protocole ».

 Je gloussai de plaisir bien malgré moi Mais quelle ne fut pas ma surprise quand je sentis sa langue me lécher la rosace et entamer une douce pénétration. 
Je me cambrai, tandis qu'il se déchaînait sur mon cul, léchant, mordillant, suçant mes couilles et mon gland gonflé de désir. A sa demande, je me tournai lui offrant ainsi ma queue dressée. Sans la moindre remarque de sa part, très professionnel, il fit couler de l’huile chaude sur mon torse, sur mon ventre et entama un massage vigoureux, malaxant tantôt fermement, tantôt sensuellement mon torse, mon ventre avant de s’attaquer aux jambes puis à remonter doucement vers les cuisses et l’aine qu’il massa en écartant de temps en temps ma verge quand elle se trouvait sur son passage. Il entama ensuite un massage de mon entrejambe, insistant bien sous les testicules qu’il soulevait régulièrement. Enfin il fit couler sur ma verge un filet d’huile chaude et la goba goulûment tout en ôtant sa chemise. 
Je le laissai me branler, me lécher la poitrine, me mordiller les tétons percés. Tout cela ne ressemblait plus du tout à un massage ! Surtout quand il approcha sa bouche de la mienne tandis que sa main tenant fermement mon viet tandis que d'un doigt il explorait mon tréfonds.
J'hésitai quelques instants et me laissai enfin embrasser.
Il ôta son pantalon laissant échapper une queue longue, fine et bandée que j'engloutis entièrement tout en lui tenant les fesses des deux mains ; de belles petites fesses, délicatement musclées et fermes.
Il sortit un préservatif du tiroir d’un meuble à côté de la table de massage et en revêtit mon sexe. 
Puis se plaçant à califourchon, il s'empala sur moi. Il avait un beau torse sec et musclé, des abdos saillants et des pecs aux tétons érigés que je triturais et pinçais tandis qu’il allait et venait sur ma queue
Je le branlais tandis qu'il allait et venait sur ma queue. Nous haletions bruyamment tandis que le plaisir inexorablement montait.  Soudain dans un spasme profond et des mots japonais criés, il inonda mon torse de sa semence. 
Se séparant de moi et après avoir ôté ma capote, il me branla énergiquement m'arrachant un cri et une longue giclée de sperme qui se mêla à la sienne.

Nous nous enlaçâmes longuement et, quand il fut temps de nous séparer, il m’apporta mon peignoir et m’aida à le revêtir.
Juste avant qu’il n’ouvre la porte, je ne résistai pas à lui demander

Était-ce un traitement de faveur ? Était-ce inclus dans la tradition japonaise du massage ? lui demandai-je avec un sourire complice ; je n’eus qu’un beau sourire et une courbette pour unique réponse.







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