02 mai 2020

vestiaires sport (texte anonyme reçu et revu & corrigé) **

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Enfin... C’était impossible à imaginer mais,... c’est arrivé. C’était il y a trois semaines. Un week-end comme un autre, une séance d’entraînement comme d’habitude. Cet après-midi là, on s’était défoncé comme des oufs. On avait couru comme des bourrins, l’entraîneur nous avait tués, on n’en pouvait plus.
On s’était tous retrouvés dans les vestiaires, nazes, nos maillots littéralement trempés de sueur. Dans les vestiaires, ça sentait encore plus le mec que d’habitude. Ça sentait la sueur, mais bizarrement, ce n’était pas une odeur désagréable. C’était même plutôt excitant, et en entrant parmi les derniers, dans cette atmosphère virile, et en voyant certains de mes potes déjà presque à poil, ça m’a immédiatement foutu la gaule.

J’étais super gêné, je bande très rarement quand je fais du sport. En général je suis concentré sur ce que je fais, je ne pense pas à ça, et dans les vestiaires je suis tout entier encore dans le match passé, de plus la plupart des autres sont des potes et même si j’apprécie le physique de certains, je ne bande pas pour autant, parce que je les connais bien. Mais ce jour-là, sans doute cette atmosphère musquée, virile qui vous prenait aux narines en entrant dans ces vestiaires, j’étais excité sans pouvoir me raisonner. Je me suis assis vite fait sur mon banc, j’ai viré mon maillot je l’ai posé en vrac sur mon entrejambe pour masquer mon érection et j’ai essayé de gagner du temps en faisant semblant de chercher quelque chose dans mon sac de sport posé à côté de moi
Mon voisin, à côté de moi, m’a dit:

-       "Alors Ced, on s’est bien défoulé aujourd’hui non?"
Moi, je me disais qu’il était impossible que j’aille prendre ma douche tout de suite, avec cette gaule, donc j’ai saisi ce prétexte pour ne pas me dessaper immédiatement, et j’ai engagé la conversation.
-       "Ouais, j'suis naze..." On a échangé quelques banalités, je n’avais pas grand-chose à faire de ce dialogue, mais c’était bien pratique pour justifier le fait que je gardais mon short.
 En parlant, je regardais autour de moi, en espérant  que personne ne s’intéressait à moi ou que la douche soit rapidement désertée pour que je puisse y aller discrètement, même si je bandais encore un peu.
C’est en regardant autour de moi que j’ai croisé le regard de Christophe.
Il me regardait, tout en détachant ses lacets. J’ai dû avoir l’air surpris qu’il me regarde comme ça, parce qu’il a fait un sourire moqueur. Ses yeux ont quitté les miens, et je les ai vus descendre vers mon entrejambe. Puis il m’a regardé de nouveau, toujours en souriant. J’ai dû rougir un peu, il me fallait faire quelque chose ! Je me décidai à délacer mes souliers puis, à ôter  mon short pour ensuite passer un long moment, trop long moment en boxer, le maillot couvrant toujours mon entrejambe, à « ranger mon sac » j’ai tourné la tête vers mon pote pour continuer à raconter des bêtises à propos de cet entraînement fatiguant, mais qui ne méritait pas qu’on dise autant de banalités à son propos. Le pire, c’est que mon érection commençait tout juste à se calmer quand j’ai croisé le regard de Chris, et, sans que je m’explique pourquoi, l’impression qu’il m’avait grillé, un je ne sais quoi de brillant dans son regard, m’a fait rebander aussi sec.
J’étais mal. Heureusement, tout le monde avait l’air vraiment fatigué, et la plupart des mecs étaient déjà ressortis de la douche, et s’habillaient rapidement pour rentrer chez eux. Ce n’est pas aujourd’hui qu’on allait boire un verre ensemble après l’entraînement. Sans doute plus tard dans la soirée pour certains, mais pas immédiatement en sortant, comme on le faisait parfois.

L’entraîneur avait l’air encore plus pressé que nous. Il a débarqué en disant:
-       "Bon, les gars, faut que j’y aille, j’ai un rendez-vous. Je vous laisse les  clés, que le dernier ferme bien les vestiaires derrière lui, et qu’il dépose la clé dans ma boîte aux lettres!"

J’ai oublié de préciser que j’habite un petit bourg qui dispose quand même d’un vieux stade un peu isolé du reste du village, un peu dégradé mais qui nous fait bien l’affaire et que les vestiaires sont installés sous les vieux gradins qui longent la pelouse..
En général, l’entraîneur part le dernier et ferme les vestiaires. Devinez quoi... Vous imaginez bien que ce qu’il a dit ce jour là n’a pas aidé à calmer mon excitation. Je me suis dit qu’il fallait que je sois parmi les deux ou trois derniers à quitter le vestiaire. Histoire de voir qui seraient les deux autres, qui serait l’avant-dernier, et des fois que... Là, évidemment, je fantasmais à fond les ballons, évidemment (si j’ose dire). J’ai déjà expliqué pourquoi c’était quasiment impossible.
Mon voisin était maintenant parti se doucher à son tour. J’ai relevé la tête, et j’ai recroisé le regard de Christophe. Mais pourquoi il n’était pas encore sous la douche, lui? Il venait à peine d’enlever son maillot, et, il portait encore son short, ses chaussettes. Il avait du encore faire le fanfaron en discutant avec tous les autres membres de l’équipe. Moi j’étais comme un couillon, sur mon banc, en boxer et un maillot sur l’entrejambe, plus de copain avec qui papoter, plus rien à trifouiller dans mon sac, je l’avais fait trop longtemps. En fait, nous étions tous deux comme des marionnettes sur nos bancs.
 il me regardait encore, mais ne souriait plus. Il m’observait fixement, le regard un peu trouble. J’ai vite détourné la tête pour regarder qui d’autre était encore là. Les gars partaient les uns après les autres, leur sac de sport sur l’épaule, après avoir dit au revoir à la cantonade. Nous n’étions plus que cinq dans les vestiaires. Et Christophe et moi étions les seuls à ne pas avoir encore pris notre douche.
Il faut que je vous dise quelques mots sur Christophe. Je connais bien tous les mecs de l’équipe, sauf justement Christophe. Il a débarqué dans notre village cet été. Avant, il habitait à Lyon. Bonjour le dépaysement. Ses parents en ont eu marre de la ville, et sont venus s’installer à la campagne. Je ne le connais donc que depuis deux mois environ. Je sais qu’il a 23 ans. Il fait à peu près la même taille que moi (je mesure 1m80). Il est blond, avec des yeux bleus. Pas ce que je préfère, j’aime bien les bruns plutôt du genre ténébreux. Mais je dois dire que dès que je l’ai vu la première fois, je l’ai trouvé... Non, pas mignon, ce n’est pas ce qui m’a frappé en premier, bien qu’il le soit. Je l’ai trouvé "sexe". J’ai trouvé qu’il dégageait un charme spécial, un charme animal, félin. Un mélange de force, de virilité, mais pas une brute, tout ça dans un corps bien bâti et assez musclé, mais sans plus.
Alors évidemment, le premier mois, à chaque entraînement, à chaque match, je l’ai observé. Dans les vestiaires, j’ai constaté qu’il était bien gaulé, dans tous les sens du terme. Un torse musclé, sans excès, avec des pecs aux contours bien nets, et des abdominaux bien dessinés aussi. Des biceps qui trahissaient le sportif (et pas seulement un fan de foot!). Des cuisses assez larges, poursuite du ballon oblige. Et puis... un joli p’tit cul, et une bite que je n’avais vu qu’au repos, bien sûr, mais de dimensions tout à fait acceptables.

"Alors, Ced, on va se la prendre, cette douche?" Je suis sorti de ma rêverie à ce moment là. J’ai regardé autour de moi et j’ai constaté que j’étais seul avec Christophe, les trois autres étaient partis et je ne les avais même pas entendus sortir. Il était debout devant moi, à poil, prêt à aller se doucher. J’ai balbutié:
— Qu... Quoi?
— Fais pas cette tête là, je ne t’ai pas demandé ta main! Je te demande juste si tu vas prendre ta douche ou si tu restes planté là tout la nuit? Moi j’y vais en tous cas!
— Heu... Ouais, j’arrive, je suis crevé et j’ai un peu la flemme de me dessaper... Je te rejoins!
— La flemme de te dessaper? Tu veux de l’aide? Dit-il en riant.

Pendant un instant, je me suis demandé si j’avais bien entendu. Christophe, un de mes potes footballeurs, sur lequel je fantasmais sans trop me l’avouer depuis que je le connaissais, était presque à poil devant moi, dans des vestiaires vides, et me demandait si je voulais qu’il m’aide à me déshabiller. Je me suis repris. Du calme, Cédric, c’est juste  une blague, une boutade ! Te fais pas un film !

Le temps que je pense à ça, Christophe avait, sans me quitter des yeux baissé son boxer et  l’avait envoyé valser sur le banc. Si j’avais espéré arrêter de bander, il fallait oublier. Je bandais comme un âne maintenant. Je le cachais désespérément derrière mon maillot, en sachant très bien que d’ici quelques instants je serai bien obligé d’être nu. J’étais super gêné,
—  tu viens ou quoi ?!
— Heu, oui, oui, t’inquiètes. Va te doucher, j’arrive!
— Mais t’attends quoi, Ced?
Devant mon silence, Christophe s’est approché, a attrapé mon maillot d’un coup, et me l’a arraché des mains.
— Mais, tu caches quoi, là? Ton érection? Ha mais oui, tu bandes comme un cochon... Et tu caches ça depuis combien de temps?
Ça y est, j’étais grillé. j’étais vraiment mal et rouge comme une pivoine !. Je n’arrivais pas à sortir un mot.
Il était là debout à quelques centimètres de moi ; j’avais son bas-ventre, juste là, au niveau de mes yeux ; sa belle verge surplombée d’une délicieuse couronne de poils blonds reposait sur de belles couilles bien pendues entre ses cuisses musclées était là tout près….
— Pfff, t’es con, ça arrive à tout le monde de bander, t’as pas de raison de mettre ton maillot devant. Bon, j’y vais, à tout de suite!
Et le voilà parti sous la douche. J’ai maté son petit cul, et je suis resté là, comme un con, sur mon banc. Merde alors, il n’avait pas compris? J’allais peut-être m’en tirer à bon compte finalement, s’il mettait juste ça sur le compte d’une réaction naturelle après l’effort.
Je me suis vite foutu à poil, et je suis allé dans les douches. Christophe, face à moi, se savonnait le torse et le visage, yeux fermés. J’ai rapidement regardé sa queue, peut-être un peu plus grosse que quelques minutes auparavant, elle semblait former comme une virgule, sans doute l’effet de l’eau brûlante et du savonnage.. Ce fut un coup d’œil rapide, je ne  voulais pas me faire griller. Christophe a rouvert les yeux.
— Dis donc, quand elle travaille, elle travaille, hein! T’es pas à plaindre à ce niveau là, t’es plutôt gâté!
Je me suis remis à rougir.
— Arrête, Chris, c’est gênant de parler de ça!
— Ha bon? Moi je ne trouve pas, entre mecs c’est normal ce genre de discussion... Y’a toujours de la compétition entre nous, même sur ce plan là!
Il a éclaté de rire, et s’est retourné.
— Puisque tu es là et qu’il a fallu que je pousse Monsieur à se bouger un peu,, à ton tour de me rendre service, savonne moi le dos!
J’ai avalé ma salive, j’ai mis du gel douche dans le creux de ma main, et j’ai commencé à savonner son dos, tout en me disant qu’à ce rythme là, je n’allais jamais réussir à débander, et que j’allais sortir de là hyper frustré après tant d’excitation... Christophe a un dos de sportif, c’est à dire assez musclé... Je sentais ses muscles sous sa peau, sous mes mains. Je lui ai demandé s’il avait fait de la natation.
— Un peu, pourquoi?
— Parce que t’as le dos assez musclé!
— Ha... Merci du compliment!
Impossible de savoir comment il avait réagi à ma remarque, vu qu’il me tournait le dos. Pendant ce temps, je continuais à étaler le gel (douche, je précise bien!) sur son dos. J’ai également savonné sa nuque, plutôt musclée elle aussi. Puis je suis redescendu sur le dos, jusqu’à la limite de ses fesses, ne voulant pas donner l’impression de tenter de le tripoter.
— Merci, c’était très agréable ; t’as rien oublié ? t’as pas oublié le bas ?!
J’ai dégluti, ma queue a bondi subitement contre mon ventre et… après quelques secondes d’hésitation, j’ai savonné sa cambrure et… ses fesses si  fermes, si douces ; j’aurais juré qu’il me les présentait !...

Christophe s’est subitement retourné, et m’a regardé droit dans les yeux. Il affichait un grand sourire, et ses yeux riaient aussi. J’avais très envie de mater encore sa bite, mais je n’osais pas le faire tout de suite, parce qu’il me regardait et s’en rendrait compte. Mais tout en le regardant dans les yeux, il me semblait avoir vu, du coin de l’œil, un truc bizarre. Il a fermé les yeux, et j’ai vite descendu les miens. Il bandait comme un  taureau! J’hallucinais.
— Tiens, ça y est, tu as remarqué?
J’ai relevé la tête et le regard. Christophe souriait encore plus. Il a attrapé ma main, l’a posé sur son sexe tendu, et m’a dit:
— J’aimerais bien que tu me savonnes là aussi!
Je me demandais si ce n’était pas un test, pour me griller. Je savais que je devais enlever ma main, et lui dire "Mais qu’est ce que tu fous, Chris, t’es pédé ou quoi?" Mais je n’ai pas pu, et je n’ai pas voulu le faire. J’ai vite remis du gel dans ma main, et j’ai commencé à savonner son sexe, ou plutôt à le branler. Il m’a laissé faire en fermant les yeux et en écartant bien les cuisses. Il a poussé un long soupir de plaisir... Je n’y croyais toujours pas.
Tout un coup, il s’est dégagé, s’est agenouillé devant moi, et a pris ma queue toute entière dans sa bouche. Et il s’est mis à me sucer comme un fou. Enfin, j’y ai cru! Incroyable. Et en plus il suçait super bien! Je n’en pouvais plus. Je lui fait signe de se relever, me suis approché de lui et l’ai pris dans mes bras, j’ai approché ma bouche pour l’embrasser, mais il m’a repoussé doucement. Et il est parti en courant vers les vestiaires.
Je suis resté là, comme un con, une fois de plus. MERDE! Qu’est ce que j’avais fait pour le faire fuir. Je n’ai pas vraiment eu le temps de me poser des questions. Trente secondes plus tard, il était de retour, et me roulait une énorme et longue pelle. Quand il s’est enfin arrêté, j’ai repris mon souffle et je lui ai demandé pourquoi il s’était sauvé.
— J’ai préféré fermer la porte à clé... Pour qu’on soit tranquilles!
Et il m’a fait un gros clin d’œil évocateur. Moi je ne comprenais plus grand chose.
— Écoute, Chris, je suis perdu... c’est réel tout ça ?
— Évidemment, banane !! Je t’ai repéré dès que je suis arrivé dans l’équipe, je n’étais pas sûr, mais ce soir, ton érection a balayé mes derniers doutes. J’avais enfin une occasion de rester seul avec toi, et je n’allais pas la louper! Tu m’excites à mort, et j’ai envie de baiser avec toi!
J’ai essayé de bredouiller une réponse, mais il m’a embrassé dans le cou, m’a mordillé un peu l’oreille, avant de me souffler dedans:
— Tais toi, ne dis rien, et suce moi, j’en ai très envie!
Joignant le geste à la parole, il a doucement appuyé sur mes épaules pour m’inciter à m’agenouiller devant lui, puis a doucement guidé ma tête vers son sexe, toujours bien dressé. J’ai embrassé et léché pendant une bonne minute sa bite, puis j’ai commencé à le sucer doucement, prenant mon temps pour découvrir ce morceau de chair auquel j’avais tant pensé depuis deux mois.
— Dis donc, mon gars, tu suces drôlement bien, visiblement t’en es pas à ton coup d’essai! T’as dû en sucer des queues!
J’ai beau avoir pas mal d’expérience, je n’ai pas pu m’empêcher de rougir, comme un con. Christophe l’a vu, évidemment, et a éclaté de rire, de ce rire qui me plaisait tant.
— Je te taquine, pas la peine de rougir comme ça...
Et il s’est de nouveau sauvé vers les vestiaires, pour revenir avec quelque chose, dans son poing fermé. Il a sorti une capote de son étui, et, sans me demander mon avis, l’a enfilé sur mon sexe. Il a sorti une dosette de gel, et m’a glissé à l’oreille:
— J’ai très très envie que tu me prennes!
Et il s’est mis contre le mur de la douche, sous le jet d’eau, jambes  écartées, bras écartées aussi, et a attendu. J’étais super excité. Je me suis collé dans son dos, frottant mon sexe encapuchonné contre son petit cul. J’ai rapidement enfoncé un doigt, qui est entré très  facilement. Du coup j’en ai entré un deuxième, et j’ai commencé un mouvement de va-et-vient. Christophe tendait bien son cul en arrière, et manifestait son contentement par de longs soupirs qui me mettaient dans tous mes états.
— Allez, vas-y maintenant, Cédric, s’te plaît!
Je ne me le suis pas fait dire deux fois. J’ai posé mon gland sur son trou, et je me suis enfoncé lentement, mais fermement, en lui. Il avait l’air aux anges. Une fois entré complètement, j’ai commencé à aller et venir, en accélérant le rythme. Chris gémissait au rythme de mes assauts. Moi j’étais au septième ciel, je n’en revenais pas. J’avais du mal à croire que j’étais dans les douches du club, en train d’enculer Christophe, le blondinet baraqué, le p’tit dernier de l’équipe, arrivé l’été dernier, et qui m’avait fait fantasmer sans arrêt depuis.
Au bout d’un long moment, j’ai joui. On était morts tous les deux, on s’est allongé sur le carrelage de la douche, l’un contre l’autre, sous le jet brûlant, et on est restés comme ça de longues minutes, enlacé, crevés mais repus...




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