Je suis un inconditionnel du dévoilement. De mon dévoilement. De ce regard
que je laisse me mettre à nu. Les odeurs et vapeurs chaudes d’un hammam. Celles
de l’hôte, qui dans le passage express d’une rencontre décidée par l’intermédiaire
de quelque réseau social, vous ouvre sa porte, vous laisse pénétrer l’appartement.
Décidé, malgré une attitude qui laisserait deviner à mon interlocuteur du
moment une hésitation, en tout cas une fébrilité que je ne sais contenir.
Plus jeune que moi, et de trois têtes, me dépassant. J’enlève veste et chaussures. Lui regarde. Attend. Peut-être hésite-t-il ? je l’interroge, il acquiesce!
Il m’invite dans sa chambre. Tire le rideau épais, bleu, éteint les lampes. Seul l’écran de l’ordinateur reste allumé sur un texte qui couvre l’écran. Lumière bleutée, électrique qui remplace maintenant celle de la rue.
Je me déshabille. Chemise,
pantalon, chaussettes, caleçon. J’expose ma nudité, mon sexe ;
silence, calme attente ; je laisse mon sexe doucement se dresser. Il
regarde.
Je m’avance, il ne bouge pas ; me mets à genoux, défait la fermeture
bouton de son pantalon, sors son sexe et commence à le sucer. Il durcit, bien
sûr. Je les gobe. M’amuse avec son gland, le méat de son gland qui s’ouvre
au passage de ma langue. Je m’y enfonce. Je suce, re-suce et bave un peu. Il y
a quelque chose de goulu dans mon activité et seul le bruit de ma succion couvre
le silence de la pièce ; bruits qui pourraient être gênants, incommodants mais
qui ici, à ce moment précis, enflamment.
- Que veux-tu ? demande-t-il
- M’allonger sur ton lit.
Sans attendre sa réponse ou son assentiment, je m’y réfugie, sur le dos,
jambes écartées. Je l’attends.
Il se déshabille, ne gardant sur
lui, bizarrement que son polo. J’y consent bien sûr.
Il me rejoint, s’installe, jambes écartées, sur mon torse et me présente
sa queue. J’accepte, reprends, lèche,
engloutis, absorbe.
Je sue de plaisir, effort, désir ; mon corps exhale le désir.
Je descends sur ses couilles.
Elles aussi, je veux les goûter. Doucement , je soulève ses fesses ;
premier gémissement quand assis sur mon visage, je bouffe ses abricots, glisse
entre ses fesses, hume son intimité.
Il se lève, reste un moment
debout , me regarde fixement, la verge
dressée, toujours en polo.
Il me caresse les fesses, les
entrouvre, me les malaxe. Il s’équipe d’un préservatif.
-
Enlève ton polo, je veux tout voir
Il s’exécute ; regard malicieux.
Le polo atterrit quelque part dans cette chambre en désordre. Je le vois
maintenant ; sec, musculeux, beau, fragile néanmoins.
Il me retourne et doucement, lentement, peut-être tendrement (je veux
croire qu’il y en a !), il me pénètre.
Il ne force pas, il veut sentir autant que moi cette pénétration. Je la
veux, autant que lui, longue, patiente.
Le va-et-vient, mes fesses qui
claquent sur son bas-ventre. Je sue, je suis trempé, ses mains glissent sur mon
corps et ma sueur. Une sueur qui l’inquiète. Mais non, je n’ai pas mal, c’est
le désir de toi, c’est le plaisir qui vient.
Je savoure, dans cet accueil, le mouvement qu’il dirige. Par tous les
pores, de ma peau à mon sexe, je sens cette jouissance qui monte et s’empare de
moi. Je la retiens, ma main, petite alors qu’il m’en impose, enserrant mon sexe
… je sens que cela va me venir.
Il poursuit. Me demande de ne pas remuer. Savoir attendre !
Je l’accueille encore et encore.
Il me flanque sur le côté, et lui, dans mon dos, initie un nouveau rythme.
Il me caresse le torse, les tétons. Je sue toujours autant.
Je ne quitte pas cette
jouissance de l’instant. Délicatement, il se retire, se positionne devant moi,
s’agenouille, et me tend sa queue. Je me rapproche, le suce, le suce, le
masturbe, le suce, m’amuse avec son gland et je le sens se contracter. Tout
alors m’annonce sa jouissance. Il éjacule… M’inonde.
Semence et sueur se mêlent, il
vient, se rapproche, lèche et enfin tandis que je cours frénétiquement vers
l’orgasme, m’embrasse ; nos langues se combattent et nous goûtons tous
deux à cette acre mais enivrante preuve de plaisir son foutre et ma sueur mêlée
qui étouffe au fond de ma gorge le spasme de ma jouissance.
Enlacés, il s’endort. Je me
sépare de lui, doucement, tendrement.
Je laisse ma signature : « le mec au verre d’eau ». Je lui avais demandé
de ne pas questionner. Je lui avais interdit toute parole. Je n’ai pas eu mal.
J’ai aimé m’offrir……..
J'aime ton blog et te lire, le mien : http://janusblog2.hautetfort.com/
RépondreSupprimerreally very nice...the photos are terribley erotic and wonderful.
RépondreSupprimerThank you
DonPato
L’histoire d’une conversion.
RépondreSupprimerToujours de passage.
Il est plus petit que moi. Des Dreadlocks. Pas rasé depuis deux-trois jours, mais imberbe.
Dès l’entrée, la première chose qu’il m’offre, à quatre pattes sur son canapé, les jambes écartées : son cul. Lisse comme je n’en avais pas vu. Comme je n’en avais jamais goûté… plus enclin à offrir mon antre et à accueillir. Le trou rose. Un grain de beauté sur l’intérieur de la fesse gauche. Et je lui caresse la raie, doucement, mais avec insistance. De l’autre main, je caresse sa queue. Je commence à lui lécher le haut du dos, la nuque. Je descends le long de sa colonne vertébrale, jusqu'au haut de ses petites fesses, bien rebondies. Que j’embrasse et mordille. Il gémit. Il se cambre un peu plus, j’écarte bien ses fesses et je lui lèche la rondelle avec application. Ma langue la titille, puis s’enfonce, se retire, s’enfonce encore. Je bave sur cette raie si généreusement offerte. Je la caresse avec un doigt, puis deux. Je m’introduis dans son cul. Je me retire. Reprends le mouvement de ma langue. Recommence à le caresser. Il gémit. Je me lève. C’est, cette fois, ma queue qui parcourt sa raie. Elle glisse de haut en bas. Elle remonte avec aisance. Plusieurs fois ainsi. Il gémit. Je reprends ma salivation. Je le retourne et le suce. Une petite goutte perle au bout de son gland. je l'ai essuyée par mon visage. Il m'allonge. Il s’est assis sur ma bouche, de nouveau de dos, et m’arme d’un préservatif. La chose faite, il se retrouve face à moi et s’empale sur mon sexe. La pénétration est lente, puis, tout d’un coup, radicale. Il gémit. Je le renverse sur le dos. Les jambes écartées, au niveau de mes épaules, j’agis. Je fais claquer ses fesses contre mon bassin. Il gémit. Il se caresse les couilles. La queue. Il se branle. Il gémit. Il se raidit. Il éjacule. J’étale son sperme sur son torse. Je vais et je viens. Encore… Je lui caresse les tétons et, doucement, me retire. Mes deux mains sont pleines de son sperme. Je me masturbe au-dessus de lui. De son torse. Mon sexe est lubrifié par son jus. J’éjacule et je sue.