
Tout en toi était sexuel, électrisant.
Le mouvement de tes hanches, le tissu de ton jean, ses plis et replis, ton visage qui se tourne en traversant la rue, ta main dans tes cheveux et ton t-shirt qui se relève laissant apparaître, l’espace d’un instant, un peu de peau, la bande blanche d’un boxer.
Je ne te quittais pas des yeux tandis que tu te rapprochais d’une moto garée à quelques mètres de moi. Subjugué, conquis, ivre de tant de sensualité naturelle.
Tu m’as tendu un casque
– chez toi ou chez moi ?-
– chez toi ou chez moi ?-
Je t’ai conduit à mon hôtel qui n’était pas très loin. Juste le temps de m’accrocher à tes hanches, juste le temps déjà de te caresser le ventre sous les vêtements.
Dans ma chambre, tout en la visitant rapidement, tu t’es, simplement déshabillé, éparpillant sur ton passage, tes fringues. Tandis que je me dévêtais à mon tour, gauchement tout intimidé par ton aisance naturelle, ton assurance et par la découverte de ton corps nu devant moi. Ton torse large et légèrement poilu, ton ventre. Curieusement tu avais gardé ton boxer ; peut être pour me laisser imaginer ta queue qui déjà en tendait le tissu, peut être pour m’exciter encore un peu plus, sans doute aussi pour me permettre de l’enlever moi-même.
Je me suis approché, j’ai baisé le tissus tendu, j’ai humé les effluves douçâtres, j’ai parcouru de mes lèvres les formes prometteuses, puis, doucement j’ai baissé le rideau, j’ai laissé ta queue s’épanouir et se tendre vers moi. Une queue épaisse et longue sur des couilles bien pendues. Mes lèvres lentement sont parties à ta découverte, la découverte de ton corps. Ma langue, mes mains ont parcourues, ton torse. J’ai embrassé ton nombril, tes tétons ; mon visage enfin s’est calé sous tes aisselles. Soudain tes mains m’ont pris par les cheveux, tu m’as embrassé violemment, intensément.
Ta langue se mêlant à la mienne. Enfin, tu m’as guidé vers ton sexe maintenant bien tendu. Il fallait que je le pompe, il fallait que tu me possède. Rapidement, une nouvelle fois en me prenant par les cheveux, tu m’as arraché à ton sexe pour mieux me jeter sur le lit, pour mieux me baiser. Tu ne faisais pas dans la dentelle. Quelques gouttes de salive suffirent, de toutes les manières j’étais prêt, tout mes sens t’attendaient. D’une main assurée, tu m’as légèrement écarté les jambes, et, à califourchon sur moi, d’un coup tu m’as pénétré ; d’un coup, à fond.
Ma vue un instant s’est brouillée, Bien sûr j’ai hurlé, mais ta main immédiatement est venue couvrir ma bouche, mes cris. Et puis, soumis, vaincu, possédé ; alors que nous ne faisions plus qu’un, sous tes coups de butoir, écartelé, le plaisir m’a envahi. Je te voulais, je te sentais au plus profond de moi. Nos râles, le bruit de tes hanches tapant sur mes fesses, remplissaient la pièce. La sueur couvrait nos corps. Soudain, d’un râle retenu, suspendu, tu as joui, au fond de mes entrailles, tu as joui. Tu as libéré cette énergie que j’avais perçue, qui m’avait conquis, envahi de l’autre coté de cette rue madrilène.
Ta langue se mêlant à la mienne. Enfin, tu m’as guidé vers ton sexe maintenant bien tendu. Il fallait que je le pompe, il fallait que tu me possède. Rapidement, une nouvelle fois en me prenant par les cheveux, tu m’as arraché à ton sexe pour mieux me jeter sur le lit, pour mieux me baiser. Tu ne faisais pas dans la dentelle. Quelques gouttes de salive suffirent, de toutes les manières j’étais prêt, tout mes sens t’attendaient. D’une main assurée, tu m’as légèrement écarté les jambes, et, à califourchon sur moi, d’un coup tu m’as pénétré ; d’un coup, à fond.
Ma vue un instant s’est brouillée, Bien sûr j’ai hurlé, mais ta main immédiatement est venue couvrir ma bouche, mes cris. Et puis, soumis, vaincu, possédé ; alors que nous ne faisions plus qu’un, sous tes coups de butoir, écartelé, le plaisir m’a envahi. Je te voulais, je te sentais au plus profond de moi. Nos râles, le bruit de tes hanches tapant sur mes fesses, remplissaient la pièce. La sueur couvrait nos corps. Soudain, d’un râle retenu, suspendu, tu as joui, au fond de mes entrailles, tu as joui. Tu as libéré cette énergie que j’avais perçue, qui m’avait conquis, envahi de l’autre coté de cette rue madrilène.

Oui heureux. J’ai porté ce qui me restait de toi, ce misérable bout de coton blanc à mon visage. Un instant j’ai retrouvé cette odeur douçâtre. J’ai enfilé ton boxer, mec, je me suis rhabillé et je suis sorti dans la nuit fraîche de Madrid. Plus tard, en rentrant, je me branlerais en souvenir de toi.
je ne sais pas celui que j'aimerais être...celui qui t'excite tant et qui te donne ce plaisir brutal, ou toi, celui qui déclenche ce besoin quasi vital de sexe...
RépondreSupprimerBeautiful expression of hunger and intuition.
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