En ce weekend de Pentecôte, le printemps est là sur Paris. Un printemps comme on ne l’avait pas eu depuis longtemps. Un jour à lunettes de soleil, tongs, shorts et marcels. Un jour à flâner tranquillement en respirant le bonheur d’être, juste le bonheur insouciant d’être parmi les autres.
En ce lundi de pentecôte, mes pas m’ont porté à visiter la cité de l’architecture, au palais de Chaillot. Un musée moderne, neuf, clair, lumineux et frais.
Un musée encore peu fréquenté ce qui pour un passionné d’architecture comme moi est un vrai plaisir, le plaisir de prendre le temps de regarder, d’admirer et lire.
C’est là que je t’ai trouvé. J’ai tout d’abord vu ton ventre, oui ton ventre ! Cela m’a bien entendu fait rire car, alors que je regardais la maquette de la « tour sans fin » de Jean Nouvel, la main sur mon ventre, juste au dessus de la ceinture de mon slip, sous ma chemise, tu regardais le petit film sur Charlety…. En te caressant le ventre, sous ton marcel. Tu portais un short difforme style H&M, bien sûr porté bas ; très bas avec un slip kangourou porté haut, presque trop haut juste sous le nombril.
Nous avons passé beaucoup de temps dans cette merveilleuse salle ; chacun de notre côté. Beaucoup de temps à étudier les maquettes, Roissy, la cité radieuse, le CNIT,… et regarder les petits films thématiques associés. Bien souvent, tout à ma réflexion du moment, je t’oubliais. Puis, de loin en loin, je te retrouvais près de moi. A aucun moment tu n’as semblé me chercher, ni moi non plus d’ailleurs. Bien sûr, j’aimais ces quelques moments volés où je découvrais cette parcelle de ton corps, ces quelques poils, ce slip. Même quand en fin de visite nous nous sommes retrouvés seuls ou presque à déambuler dans l’exigüité de l’appartement type de Le Corbusier. Il a fallu que nos bras se frôlent sur ce balcon, pour que je croise ton regard, pour que je comprenne instantanément que toi aussi tu jouais avec moi. Immédiatement, j’ai ressenti des vibrations du désir, tout le long de mes jambes, le long de ma verge, au cœur de mes couilles.
Je t’ai suivi, puis rejoint dans les toilettes, juste en dessous de la maison Corbusier. De belles toilettes amples, fermées et donc discrètes.
Nous nous sommes regardés et avons mis quelques minutes avant d’approcher nos lèvres l’un de l’autre. Quelques minutes pour passer nos mains sur nos ventres respectifs, comme un clin d’œil à notre petite manie commune.
Et puis nos shorts sont tombés ; j’ai longuement caressé ta queue à travers le coton de ton slip. Avec la main tout d’abord, puis avec ma bouche enfin pour accompagner son épanouissement sous le tissu.. Un peu de suspense avant de découvrir ce que ma bouche et mes doigts jaugeaient déjà ; Je n’allais pas être déçu ! Tout doucement, j’ai abaissé ton slip et laissé une longue et fine queue sortir. Une longue bite courbée, couronnée d’un gland déjà turgescent. Une goutte perlait, comme un appel, comme une offrande. Je l’ai recueillie délicatement avant de t’engloutir tandis que je jouais d’une main avec tes couilles.
Nous nous sommes affalés sur le carrelage froid et tandis que baissant mon froc et mon slip d’un coup tu découvrais ma bite, je m’acharnais sur ta verge magnifiée, sur tes délicieuses petites couilles et enfin sur ton cul que je léchais goulûment, cherchant de la langue à forcer le passage.
Entravé par ton slip baissé jusqu’aux chevilles, tu écartais au maximum les cuisses pour me faciliter l’exercice ! J’aime beaucoup, je le confesse, découvrir un inconnu de cette façon : laisser s’échapper, les effluves acres - tissu, sueurs, sécrétions intimes - enfermées au creux des fesses, et, enfin, ce petit goût salé au bout de la langue. C’est le goût du dedans, c’est le goût de l’intime, du plus profond intime.
Très vite je suis revenu sur ta verge ; j’aurais vraiment voulu, t’avoir au fond de moi, la sentir au plus profond de moi te donner du plaisir, mais le lieu ne se prêtais pas aux élans longs et passionnés ; il fallait conclure. Toi aussi par ailleurs, tandis que j’allais et venais sur ta queue, tu me branlais énergiquement. Très vite, je suis venu, très vite tu as joui, me laissant à peine le temps de me dégager. Ton sperme a giclé sur mon visage et un peu aussi sur ma chemise.
Nous nous sommes rhabillés. Le soleil était encore là, inondant pleinement cette belle salle et la maquette grandeur nature de l’appartement de la cité radieuse. Radieux nous l’étions aussi. Nous sommes allés sur la terrasse du café du musée, juste derrière la statue guerrière qui nous présentait un cul musclé et des couilles bien pendantes. Nous avons ri, beaucoup et tu m’as dit – allons chez moi, on a encore à se dire !....-
une fois de plus...torride, excitant ! (et j'aime beaucoup l'image des deux mecs dans les toilettes !-)
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