Rupture newyorkaise
J'avais d'ailleurs
réservé une chambre dans un guest house plutôt haut de gamme « men only ».
Proche de la plage, due l’embarcadère et disposant de belles vues, de
toutes les commodités genre salle de sport, jacuzzi géant,
sauna, hammam, etc...
En outre, les
invités étaient prévenus qu’une liberté absolue était de mise dans l'enceinte
de l'établissement. La nudité était acceptée et il y avait aussi une
option supplémentaire à accrocher à la porte d'une chambre, outre "
ne pas déranger " on pouvait accrocher " merci de déranger " ce
qui signifiait bien sûr que l'on acceptait les visiteurs..
Il faut dire aussi que
je venais de me faire larguer par un mec. Ce n'était pourtant pas une histoire
d'amour, c'était juste une relation sexuelle mais à ma grande
surprise, cela m'avait attristé et il me manquait un peu..
C'était un gars plus
âgé que moi, Stan, rencontré à la salle de sport NYSC de la 80th.
Il était plutôt baraqué et branché mecs de mon âge. Il avait d'ailleurs un
petit copain qui devait approximativement avoir mon âge.
On se voyaient une à deux fois par semaine, toujours chez lui - il bossait dans la mode, la plupart du temps à la maison - bien sûr quand son pote n'était pas là.
C'était très
sexuel, uniquement actif il adorait mon cul et moi j'adorais quand il
venait entre mes fesses avec sa barbe de trois jours et mon cul lui rendait
bien.
Sa queue
épaisse, brune , veineuse savait particulièrement bien me mettre dans des
états incroyables, il me ramonait longtemps et fabuleusement bien sachant
cajoler ma prostate jusqu'à me faire éjaculer plusieurs fois et prenant plaisir
quel que soit la position choisie à sortir sa verge, reluquer ma
fente bien ouverte et revenir à fond, et ça me faisait hurler de bonheur.
M'entendre gémir en français, l'excitait beaucoup et me
regarder jouir les yeux rivés sur les miens aussi.
Malheureusement, la
dernière fois, son ami arriva à l'improviste, fit une scène,
plia ses affaires et rompit en claquant la porte. Ce qui ne nous empêcha
pas de continuer à baiser.
Mais il me demanda de
ne plus venir car il voulait se réconcilier avec son mec.
Changer d'air,
devenait important. Comme souvent aussi quand je flippe, j'allais
chez le coiffeur pour changer de bouille et demandai une vague coloration
blondasses, belle connerie...
Le guest house était
tout près de l'embarcadère et je fis un petit tour de découverte et déjeunais
avant de me rendre à la résidence et récupérer ma chambre.
Celle-ci était
composée de plusieurs petits bâtiments parfaitement isolés de
l'extérieur, de plusieurs piscines, de terrasses.
Dès le lobby principal
passé, pour rejoindre son bungalow on devait traverser un vrai
labyrinthe de salons divers, salle de jeux, salon de lecture, terrasses ,
piscines et on avait une première idée de la liberté offerte par
l'établissement. Dés invités déambulaient en slip de bain, main dans la
main, certains étaient nus et je vis par la porte entrouverte d'un salon,
une petite orgie en action. Visiblement c’était open bar dans tous les
sens du terme !
Au bord des piscines,
là encore la plupart des baigneurs étaient dans leur plus simple
appareil. Certaines chambres donnaient sur des terrasses meublées de
canapés et fauteuils d'extérieur, disposaient de douches extérieures et les
baies vitrées ouvertes devaient faciliter les échanges et assez peu
l'intimité...
Ma chambre était
de celles-là.
Je m'installai
rapidement voulant faire une petite sieste et passer le reste de
l'après-midi au bord de la piscine la plus proche de ma chambre .
J'y vais
comment, me disais-je en regardant les trois maillots de bain que j'avais
emporté.. l'hésitation fut de courte durée, aucun fut la décision et je
compris qu'il y avait de fortes probabilités que ces maillots restent dans la
valise.
Je choisis pour ce
premier après-midi, la petite piscine juste en bas de ma terrasse,
elle était à cette heure-ci déserte, c'était idéal pour faire une
petite sieste.
-
hmmm, je ne t’ai pas encore vu par ici,
tu viens d’arriver ? tu as des fesses superbes, dit-il
désolé de t'avoir réveillé mais je n'ai pas pu résister... ta peau est douce !
belle queue aussi ajouta t'il sans enlever sa main qui doucement se glissait
entre mes globes.
Instinctivement,
j'écartai un peu mes cuisses ; ce qu'il interpréta bien sûr comme un signe
d'acceptation.
Il m'embrassa et nous
fûmes bientôt enlacés dans de tendres caresses.
-
j'aime trop ton cul, mec,
Et écartant mes
cuisses, il vint fourrer son visage dans ma rainure. il commença à me
lécher la rondelle tout en allant et venant frottant ma raie avec son menton
barbu, un délice .
Sa langue n'avait
aucun mal à me pénétrer tant elle savait s'y prendre et tant j'adore me faire
bouffer le cul. Mes petits couinements l'excitaient de plus en plus et sa
feuille de rose devenait plus intense. Il vint après cela me présenter sa queue
que je gobai entièrement tout en tenant ses petites couilles bien fermes.
Il voulait visiblement prendre le dessus car il me donnait de puissants coups
de reins pour enfoncer sa verge bien au fond de ma gorge. Son message était
clair, il voulait me baiser.. d'ailleurs il retourna bientôt s'occuper de
nouveau de mon cul et le doigter avec passion.
-
putain mec, ton cul me rend
dingue, une vraie chatte, on va s'éclater mec!
En levant un peu la
tête, je m'aperçu qu’entre temps, des résidents avaient pris place sur la
plage en bois de la piscine et regardaient , d'autres en revanche ne semblaient
ni intéressés ni gênés par nos ébats, d’autres
nous regardaient depuis les fenêtres de leurs chambres, certains sirotant
un rafraichissement. Nous allions faire le show. Mais j'allais
comprendre que ce qui m'étonnait en ce début de séjour était plutôt fréquent
dans cet établissement.
-
Tourne-toi mec, j'ai envie de ta grosse queue
,.. ouah belle pièce !
Et il s'en empara tout
de go. Il suçait bien le bougre, il la gobait toute entière,
s'attardant sur mon prépuce, léchant mon gland où explorant du bout de la
langue mon méat. Mes gémissements se firent plus bruyants. J'avais
conscience d'être peu discret mais c'était trop bon et un peu exhib,
l'idée d'être vu et entendu participait à mon excitation ;
Je voulus cependant après
une longue séance de ramonage, prendre les choses en main et ok pour
me faire mettre mais maintenant à ma façon et à mon rythme.
-
Assied-toi sur le transat lui
demandai-je,
et aussitôt fait, je m'empalai sur
sa queue; maintenant c'est moi qui donnait le rythme et qui dirigeait sa tige
en moi pour en obtenir le max de plaisir et lui en donner aussi car
visiblement il appréciait, contenant ses gémissements en me mordillant
les tétons. Il fallut que je faiblisse un tant soit peu dans mes va-et-vient
pour qu'il en profite pour me pilonner à nouveau à grand coups de bassin.
En nage tous
deux, je me couchai à nouveau sur le transat et il vint entre mes cuisses
levées me ramoner à donf.
Tandis que nos bassins
s'entrechoquaient violemment et bruyamment, je me branlais, tous
mes muscles tendus par l'effort, au rythme frénétique de sa queue et
j'inondait bientôt mon torse de belles giclées de foutre. il redoubla encore
d'intensité et dans un intense spasme, envoya de longues rafales de foutre dans
mon cul.
Il en recueillit
quelques gouttes et les porta à sa bouche.
Epuisé, il s'affala
sur moi, nous nous embrassâmes tendrement, il avait un beau sourire de
vainqueur. Après une tape sur les fesses
-
c'était super cool mec, see you
around... et tu es surement mieux avec ta teinte naturelle!
Prends-toi ça dans les
dents, c'est sûr que cette teinte blondasse avec mes couilles poilues
brun....ça le faisait pas vraiment.
voilà un séjour qui
commençait bien...
je pris une douche sur
ma terrasse comme pour continuer mon exhib, m'habillait et allai passer le
reste de l'après-midi en ville et.... me débarrasser de cette teinture
blonde genre connasse...
Après avoir dîné en
ville, pris une bonne douche et mis un tee-shirt propre, défis le tour de la
résidence et des différentes salles de réceptions ; certains salons
étaient très fréquentés, on dansait, buvait, parlait, rigolait, d’autres moins
fréquentés, présentaient une ambiance déjà plus chaude…, je rejoignis au hasard
un salon juste en dessous de ma chambre. Il y avait là un petit groupe de
trois mecs deux latinos et un black qui visiblement se connaissaient. Ils
rigolaient bien en se partageant une bouteille de chardonnay.
Ils m'accueillirent
très chaleureusement, m'offrirent de me joindre à eux et de partager
"cette bonne bouteille".
Pendant que je
m'appliquais à aspirer la tige du black, un des deux gars me dit
-
t'es super cambré mec, en body language
ça veut dire, j'en veux une bonne dans le cul, je vais te combler.
Une longue et fine
tige, légèrement courbée et accompagnée de merveilleuses couilles bien
pendues. Je ne résistai pas à me retourner pour la prendre en bouche pour
l'engloutir tout en tirant sur ses gonades.
Le second partenaire
voyant cela, lui aussi admiratif de ma cambrure, vint se caler lui aussi à
quatre pattes sur le canapé pour me bouffer la raie, il ne restait plus
au beau black qu’à faire de même ; nous devions faire une belle chaîne à nous
bouffer le cul ainsi ! Mon latino pas rasé comme il se doit, écarta
mes fesses, fourra sa langue dans ma rondelle, frotta son menton
contre ma rainure , crachant régulièrement et s'extasiant
-
putain, mec, ton petit trou est trop
bon, t'es chaud bouillant mec,
Je m'enflammais en
voyant cette matraque qui allait et venait dans son cul
t'inquiète mec tu y gouteras aussi, en
attendant prend ça
-
hmmm! Mettrais bien la mienne avec, mec !
-
viens toi aussi, me fit le latino
entre deux halètements , je vous veux tous les deux.
Je courus chercher le
flacon de gel lubrifiant, me mis moi aussi à califourchon sur lui et m'empalai
contre la verge du black pour le ramoner en alternance avec lui.
J'adorais sentir mes couilles
frotter contre la verge du black. Malheureusement, dans la position instable
dans laquelle nous étions, celle-ci sortait peu à peu et se retrouva bientôt
dehors. Avant de reprendre ma place, j'eus toutes les peines du monde à la
réintroduire tellement elle était dure et peu maniable.
-
A
moi maintenant, nous déclara le black.
Je compris, quand il
se posa contre le repose bras du canapé qu'il voulait lui aussi sentir un
braquemart le pilonner ; ce fut mon partenaire qui s'y colla.
Nous continuâmes
longtemps à aller de l'un à l'autre de bouche en cul de cul en
bouche de bite en cul jusqu'à ce que le foutre se répande.
Quand ce fut
fini, il nous restai à finir la bouteille de chardonnay avant de
rejoindre nos chambres.
En accompagnant mes
compagnons, je vis qu'ils avaient disposé à la porte de leur
chambre....le signet " please disturb ".
On verra demain !
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