27 juillet 2021

Fire Island guest house (1)

Rupture newyorkaise

 


Mon stage à  la NYFA, touchait à sa fin. J'avais prévu, avant de rentrer en France,  de passer quelques jours à Fire Island,  histoire de voir et visiter cet endroit mythique de la vie gay new-yorkaise et si possible de me donner du bon temps. 

J'avais d'ailleurs réservé une chambre dans un guest house plutôt haut de gamme « men only ». Proche de la plage,  due l’embarcadère et disposant de belles vues, de toutes les commodités genre salle de sport,  jacuzzi géant,  sauna,  hammam,  etc...

En outre,  les invités étaient prévenus qu’une liberté absolue était de mise dans l'enceinte de l'établissement.  La nudité était acceptée et il y avait aussi une option supplémentaire à accrocher à la porte d'une chambre,  outre " ne pas déranger " on pouvait accrocher " merci de déranger " ce qui signifiait bien sûr que l'on  acceptait les visiteurs..

Il faut dire aussi que je venais de me faire larguer par un mec. Ce n'était pourtant pas une histoire d'amour,  c'était juste une relation sexuelle mais à ma grande surprise,  cela m'avait attristé et il me manquait un peu..

C'était un gars plus âgé que moi,  Stan,  rencontré à la salle de sport NYSC de la 80th. Il était plutôt baraqué et branché mecs de mon âge. Il avait d'ailleurs un petit copain qui devait approximativement avoir mon âge. 

On se voyaient une à deux fois par semaine,  toujours chez lui - il bossait dans la mode, la plupart du temps à la maison - bien sûr quand son pote n'était pas là. 


C'était très sexuel,  uniquement actif il adorait mon cul et moi j'adorais quand il venait entre mes fesses avec sa barbe de trois jours et mon cul lui rendait bien. 

Sa queue épaisse,  brune , veineuse savait particulièrement bien me mettre dans des états incroyables, il me ramonait longtemps et fabuleusement bien sachant cajoler ma prostate jusqu'à me faire éjaculer plusieurs fois et prenant plaisir quel que soit la position choisie à sortir sa verge,  reluquer ma fente bien ouverte et revenir à fond, et ça me faisait hurler de bonheur.   M'entendre gémir en français,  l'excitait beaucoup et me regarder  jouir les yeux rivés sur les miens aussi. 

Malheureusement, la dernière fois, son ami arriva à l'improviste, fit une scène,  plia ses affaires et rompit en claquant la porte.  Ce qui ne nous empêcha pas de continuer à baiser. 

Mais il me demanda de ne plus venir car il voulait se réconcilier avec son mec. 

Changer d'air, devenait important.  Comme souvent aussi quand je flippe,  j'allais chez le coiffeur pour changer de bouille et demandai une vague coloration blondasses, belle connerie... 

 




 
 
 


Le guest house,  sieste au bord de la piscine 

 


Le lendemain avec juste un petit sac à dos,   je pris un train  et le ferry pour l'ile .

Le guest house était tout près de l'embarcadère et je fis un petit tour de découverte et déjeunais avant de me rendre à la résidence et récupérer ma chambre. 

Celle-ci était composée de plusieurs petits bâtiments parfaitement isolés de l'extérieur,  de plusieurs piscines,  de terrasses.

Dès le lobby principal passé,  pour rejoindre son bungalow on devait traverser  un vrai labyrinthe de salons divers, salle de jeux, salon de lecture, terrasses , piscines et on avait une première idée de la liberté offerte par l'établissement. Dés invités déambulaient en slip de bain, main dans la main,  certains étaient nus et je vis par la porte entrouverte d'un salon, une petite orgie en action. Visiblement c’était open bar dans tous les sens du terme !

Au bord des piscines,  là encore la plupart des baigneurs étaient dans leur plus simple appareil.  Certaines chambres donnaient sur des terrasses meublées de canapés et fauteuils d'extérieur, disposaient de douches extérieures et les baies vitrées ouvertes devaient faciliter les échanges et assez peu l'intimité... 

Ma  chambre était de celles-là.

Je m'installai rapidement voulant faire une petite sieste et  passer le reste de l'après-midi au bord de la piscine la plus proche de ma chambre .

J'y vais comment,  me disais-je en regardant les trois maillots de bain que j'avais emporté.. l'hésitation fut de courte durée,  aucun fut la décision et je compris qu'il y avait de fortes probabilités que ces maillots restent dans la valise. 

Je choisis pour ce premier après-midi,  la petite piscine juste en bas de ma terrasse,  elle était à cette heure-ci déserte,  c'était idéal pour faire une petite sieste. 


Je pris une serviette de bain, m'installai à l'ombre  sur un transat et ne tardai pas à m'assoupir. Je me réveillai soudain ; j'étais couché sur le ventre et clairement une main caressait mes fesses,  très doucement comme pour ne pas me réveiller ou tout du moins pour ne pas m'effrayer. Je me retournai pour découvrir un mec plutôt beau, brun,  une barbe de trois jours.  Il était à poil et  sa pine brune de taille moyenne, était à demi raide.  Quant à moi,  comme souvent au réveil,  je présentai un magnifique "morning wood ".

-         hmmm,  je ne t’ai pas encore vu par ici, tu viens d’arriver ? tu as des fesses superbes,  dit-il  désolé de t'avoir réveillé mais je n'ai pas pu résister... ta peau est douce ! belle queue aussi ajouta t'il sans enlever sa main qui doucement se glissait entre mes globes. 

Instinctivement,  j'écartai un peu mes cuisses ; ce qu'il interpréta bien sûr comme un signe d'acceptation. 

Il m'embrassa et nous fûmes bientôt enlacés dans de tendres caresses. 

-         j'aime trop ton cul,  mec, 

Et  écartant mes cuisses, il vint fourrer son visage dans ma rainure.  il commença à me lécher la rondelle tout en allant et venant frottant ma raie avec son menton barbu,  un délice .

Sa langue n'avait aucun mal à me pénétrer tant elle savait s'y prendre et tant j'adore me faire bouffer le cul.  Mes petits couinements l'excitaient de plus en plus et sa feuille de rose devenait plus intense. Il vint après cela me présenter sa queue que je gobai entièrement tout en tenant ses petites couilles bien fermes.  Il voulait visiblement prendre le dessus car il me donnait de puissants coups de reins pour enfoncer sa verge bien au fond de ma gorge. Son message était clair,  il voulait me baiser.. d'ailleurs il retourna bientôt s'occuper de nouveau de mon cul et le doigter avec passion. 

-         putain mec,  ton cul me rend dingue,  une vraie chatte,  on va s'éclater mec!

En levant un peu la tête,  je m'aperçu qu’entre temps, des résidents avaient pris place sur la plage en bois de la piscine et regardaient , d'autres en revanche ne semblaient ni intéressés ni gênés par nos ébats,  d’autres nous regardaient depuis les fenêtres de leurs chambres,  certains sirotant un rafraichissement.  Nous allions faire le show.  Mais j'allais comprendre que ce qui m'étonnait en ce début de séjour était plutôt fréquent dans cet établissement. 

-         Tourne-toi mec, j'ai envie de ta grosse queue ,.. ouah belle pièce !

Et il s'en empara tout de go.  Il suçait bien le bougre,  il la gobait toute entière,  s'attardant sur mon prépuce,  léchant mon gland où explorant du bout de la langue mon méat.  Mes gémissements se firent plus bruyants. J'avais conscience d'être peu discret mais c'était trop bon et un peu exhib,  l'idée d'être vu et entendu participait à mon excitation ;


Nous eûmes juste quelques applaudissements quand il me retourna et m'empala  sèchement. Faut dire qu’il m’avait longuement et merveilleusement doigté ! Ses coups de butoir massifs étaient redoutables,  il me pilonnait avec constance,  sans faiblir.. 

Je voulus cependant après une longue séance de ramonage,  prendre les choses en main et ok pour me  faire mettre mais maintenant à ma façon et à mon rythme.

-        Assied-toi sur le transat  lui demandai-je,

 

et aussitôt fait,  je m'empalai sur sa queue; maintenant c'est moi qui donnait le rythme et qui dirigeait sa tige en moi pour en obtenir le max de plaisir et lui en donner aussi car  visiblement il appréciait,  contenant ses gémissements en me mordillant les tétons. Il fallut que je faiblisse un tant soit peu dans mes va-et-vient pour qu'il en profite pour me pilonner à nouveau à grand coups  de bassin.

En nage tous deux,  je me couchai à nouveau sur le transat et il vint entre mes cuisses levées me ramoner à donf. 

Tandis que nos bassins s'entrechoquaient violemment et bruyamment,  je me branlais,  tous mes muscles tendus par l'effort,  au rythme frénétique de sa queue et j'inondait bientôt mon torse de belles giclées de foutre. il redoubla encore d'intensité et dans un intense spasme, envoya de longues rafales de foutre dans mon cul.

Il en recueillit quelques gouttes et les porta à sa bouche.

Epuisé, il s'affala sur moi, nous nous embrassâmes tendrement, il avait un beau sourire de vainqueur. Après une tape sur les fesses

-        c'était super cool mec, see you around... et tu es surement mieux avec ta teinte naturelle!

Prends-toi ça dans les dents, c'est sûr que cette teinte blondasse avec mes couilles  poilues brun....ça le faisait pas vraiment.

 je me levai la queue encore raide et moite et me dirigeai tranquillement vers ma chambre. entre temps la piscine s'était remplie de résidents; certains bronzaient tranquillement sur leurs transats sans faire attention à nous,  la plupart nus mais pas tous, certains voulant visiblement faire le show avec des slips de bains sexy et moulants, d'autres me regardaient m'éloigner, certains étalaient leurs érection, un couple dans l'eau se bécotait passionnément.

voilà un séjour qui commençait bien...

je pris une douche sur ma terrasse comme pour continuer mon exhib, m'habillait et allai passer le reste de l'après-midi en ville et.... me débarrasser de cette teinture blonde  genre connasse...

 

 
 
 



Le guest house,  première soirée premiers amis 

 


L'établissement,  soucieux de faire régner une bonne ambiance, organisait chaque soir une sorte de  happy hour d'après dîner.  Des boissons non alcoolisées et différents vins étaient mis à disposition dans les différents salons et terrasses. Seules les alcools forts étaient payants.  C'était une bonne façon de faire se rencontrer les résidents  car s'il y avait une proportion importante de couples et de groupes d'amis il y avait aussi pas mal de mecs venus seuls comme moi. 

Après avoir dîné en ville, pris une bonne douche et mis un tee-shirt propre, défis le tour de la résidence et des différentes salles de réceptions ; certains salons étaient très fréquentés, on dansait, buvait, parlait, rigolait, d’autres moins fréquentés, présentaient une ambiance déjà plus chaude…, je rejoignis au hasard un salon juste en dessous de ma chambre.  Il y avait là un petit groupe de trois mecs deux latinos et un black qui visiblement se connaissaient. Ils rigolaient bien en se partageant une bouteille de chardonnay. 

Ils m'accueillirent très chaleureusement,  m'offrirent de me joindre à eux et de partager "cette bonne bouteille".

La conversation tourna très vite à des commentaires enthousiastes autour de mon physique et il ne fallut pas attendre longtemps pour que les tee-shirts valsent,  que les pantalons disparaissent.  Bientôt  tous en slips bien remplis, nous entamâmes une sorte de ronde sensuelle.  Je compris assez vite que le beau black était en couple avec un des deux latinos quand le troisième ôta son slip et me proposa une belle tige à déguster. Tandis que derrière nous,  le couple finissait de se dévêtir,  mon partenaire prenant ma tête des deux mains, me baisait la gorge ; elle était épaisse et longue et je manquais m'étouffer à chaque "absorption".

J'avais quand même envie de ne pas me cantonner à un mec et de bien profiter du groupe entier.  Je me retournai alors,  le black était juste derrière moi, toujours en slip, en train de sucer son compagnon . Je me mis entre ses cuisses, baissai son slip blanc et libérai une somptueuse masse de chair brune, courbée à souhait, d'une dureté rare.  Je la gobai avec délectation comprimant de mes lèvres les veinules gonflées de sang. Pendant ce temps les deux autres compères lui présentaient leurs verges à téter. 

 Pendant que je m'appliquais à aspirer la tige du black, un des deux gars me dit

-        t'es super cambré mec, en body language ça veut dire,  j'en veux une bonne dans le  cul, je vais te combler.


Il vint alors derrière moi, baissa mon CK humecta d'un peu de salive et s'empala sans préliminaire aucun ; pas de doute,  j'en  voulais.. Je me redressai et tout en encaissant ses coups de bassins. l'embrassai avec passion. Le slip baissé aux genoux me gênais, je dus prendre quelques instants pour m'en séparer ce qui me donna le temps de voir et d'apprécier l'engin qui me ramonait quelques instants auparavant. 

Une longue et fine tige,  légèrement courbée et accompagnée de merveilleuses couilles bien pendues.  Je ne résistai pas à me retourner pour la prendre en bouche pour l'engloutir tout en tirant sur ses gonades. 

Le second partenaire voyant cela, lui aussi admiratif de ma cambrure, vint se caler lui aussi à quatre pattes sur le canapé pour me bouffer la raie,  il ne restait plus au beau black qu’à faire de même ; nous devions faire une belle chaîne à nous bouffer le cul ainsi !  Mon latino pas rasé comme il se doit, écarta mes fesses,  fourra sa langue dans ma rondelle,  frotta son menton contre ma rainure , crachant régulièrement et s'extasiant

-         putain,  mec, ton petit trou est trop bon,  t'es chaud bouillant mec,  

Pendant ce temps je me faisait baiser la bouche à grands coups de reins. De nouveau il voulut mon cul,  il me retourna face à l'autre compère et me pénétra à nouveau tandis que le black faisait de même avec mon acolyte que j'embrassai tout en lui écartant les fesses pour l'aider à accepter le mandrin du black; 

Je m'enflammais en voyant cette matraque qui allait et venait dans son cul 

t'inquiète mec tu y gouteras aussi, en attendant prend ça 

Et penché sur moi il glissa, tandis que la pine continuait de me pilonner deux doigts dans mon cul. Je criai un peu 

-        hmmm! Mettrais bien la mienne avec, mec !


Mon cavalier savait si prendre,  chaque coup de reins m'arrachait de longs gémissements,  il me fallait m'occuper la bouche; je pris la queue de mon compère de face et me laissai baiser au rythme donné par les coups de butoir massifs du black. Soudain, la grosse queue du black sortit de son fourreau et j'en profitai pour la lécher ainsi que ses grosses noix bien pleines.

Ils changèrent de position ; le black s'installa sur le canapé et son partenaire à califourchon sur lui.  Ça m'excitait grave ; je me séparai de mon mec et accroupi derrière lui l'aidai à introduire le mandrin du black en lui quand il fut entièrement introduit, le cul bien posé sur les cuisses du black, il commença ses va-et-vient ; je m'approchai, prenant en main les couilles du black tout en léchant sa verge qui allait et venait ; un lubrifiant naturel en quelque sorte !

-        viens toi aussi,  me fit le latino entre deux halètements , je vous veux tous les deux.  

Je courus chercher le flacon de gel lubrifiant, me mis moi aussi à califourchon sur lui et m'empalai contre la verge du black pour le ramoner en alternance avec lui.   J'adorais sentir  mes couilles frotter contre la verge du black. Malheureusement, dans la position instable dans laquelle nous étions, celle-ci sortait peu à peu et se retrouva bientôt dehors. Avant de reprendre ma place, j'eus toutes les peines du monde à la réintroduire tellement elle était dure et peu maniable.
Le mec que j’avais un peu abandonné,  debout sur le canapé se faisait pomper par mon latino, approchai ma bouche aussi et nous nous la partageâmes en bon copains.

-         A moi maintenant,  nous déclara le black. 

Je compris, quand il se posa contre le repose bras du canapé qu'il voulait lui aussi sentir un braquemart le pilonner ; ce fut mon partenaire qui s'y colla. 

Quant à moi,  je me mis debout sur le canapé, posai mon cul fesses bien écartées contre le visage du troisième compère qui y fourra sa langue pour bien humecter ma rosace  puis je m'empalai sur sa queue dressée , levai et baissai frénétiquement mon bassin pour bien me faire mettre tandis qu'il branlait ma queue qui battait contre mon nombril .

Nous continuâmes longtemps à aller de l'un à l'autre  de bouche en cul  de cul en bouche de bite en cul jusqu'à ce que le foutre se répande. 

Quand ce fut fini,  il nous restai  à finir la bouteille de chardonnay avant de rejoindre nos chambres. 

En accompagnant mes compagnons,  je vis qu'ils avaient disposé à la porte de leur chambre....le signet " please disturb ". 

On verra demain !



 
 

A suivre,.....










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